Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'polar'.
-
Titre de l'album : Un putain de salopard - Tome 2 - O Maneta Scenariste de l'album : Regis Loisel Dessinateur de l'album : Olivier Pont Coloriste : François Lapierre Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Pour échapper aux hommes de main du camp minier, Max et Baia se perdent dans la jungle. Qu'importe, Baia guide, nourrit et soigne Max. En s'enfonçant toujours davantage dans cette forêt tropicale, Baia arrive jusqu'à l'épave d'un avion écrasé il y a quelques années. A son bord, le squelette d'une enfant dont les poignets sont encore ligotés. Serait-ce l'épave de cette vieille histoire de kidnapping de la fille du patron de la mine et d'un beau magot détourné ? De leur côté, Christelle et Charlotte prennent la fuite en direction de chez Corinne. Elles quittent le dispensaire où elles abandonnent un cadavre. Recherchées, les deux infirmières pourront compter sur l'aide de Rego, un vieux flic de la région au passé douteux. Croisant malfrats, chasseurs de trésors, et vieux secrets enfouis, chaque pas dans la jungle amazonienne semble réduire les chances de survie de nos héros. Critique : C'est peu dire que c'est l'une des très grosse sortie que j'attendais avec impatience cet automne. Le tome 1 avait frappé fort, et je l'avais beaucoup apprécié, que ce soit au niveau de l'intrigue qu'au niveau du dessin sublime de M. Pont. J'avais adoré. Et ce tome 2 poursuit exactement la même recette : révélations et scénario bien foutu, scènes d'actions bien pensées, personnages tous travaillés, couleurs et dessins des décors ou personnages somptueux. Une nouvelle vraie réussite. Et je suis ravi de savoir que nos deux auteurs bossent déjà sur le troisième tome. Faut pas laisser refroidir l'ouvrage quand on tient une belle inspiration comme celle là. L'intrigue m'a beaucoup fait penser aux romans de Michel Bussi, et c'est plutôt un compliment 🙂 Les couleurs sont belles et rendent bien les ambiances et la jungle. Inutile donc de faire long. Foncez. Ce tome est un vrai tome d'aventure, bien scénarisé, rythmé avec des personnages supers sympathiques et une intrigue roublarde servis par le dessin rond, expressif et fourmillant de détails du dessinateur de Bout d'ficelle. Rue de Sèvres tient là une sacrée série à mon humble avis. Pas étonnant donc que le tome 3 soit déjà en cours d'écriture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/un-putain-de-salopard-tome-2-o-maneta?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Ah c'est sûr qu'un Bruno Brazil juste après un Thorgal, ça fleure bon les années 80 chez Le Lombard cet automne. Et si côté Thorgal on nous livre une aventure qui a évolué, côté nouvelles aventures de Bruno Brzail, on se rapproche plus de la BD hommage. Hommage aux James Bond, hommage aux Bob Morane, mais que ce soit au scénario ou au dessin, on nage en plein parmi ces références là. : bases secrètes dans la jungle, conquêtes spatiales, relations troubles entre agents, super méchant, scènes d'actions, on a la panoplie presque complète. La colorisation et le dessin soigné de Philippe Aymond font honneur sans les dénaturer aux personnages imaginés à l'époque par Greg et Vance. Là où le premier Bruno Brazil m'avait semblé trop classique et sans vrai identité, ce second tome nous amène à l'essentiel. L'intrigue avance beaucoup, on voyage, on se divertit. Et c'est déjà bien.
-
Les nouvelles aventures de Bruno Brazil - Tome 2 - Black Program
The_PoP a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Les nouvelles aventures de Bruno Brazil - Tome 2 - Black Program Scenariste de l'album : Laurent Frédéric Bollée Dessinateur de l'album : Philippe Aymond Coloriste : Didier Ray Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le commando Caïman est encore traumatisé par sa dernière mission. Mais une nouvelle menace vient d'apparaître. Un criminel insaisissable assassine tous leurs anciens ennemis. Et ce nouvel adversaire semble préparer une opération d'envergure liée à la conquête spatiale. L'heure n'est plus au chagrin et aux plaies que l'on panse. Les survivants du commando Caïman doivent se réunir à nouveau. Critique : Ah c'est sûr qu'un Bruno Brazil juste après un Thorgal, ça fleure bon les années 80 chez Le Lombard cet automne. Et si côté Thorgal on nous livre une aventure qui a évolué, côté nouvelles aventures de Bruno Brzail, on se rapproche plus de la BD hommage. Hommage aux James Bond, hommage aux Bob Morane, mais que ce soit au scénario ou au dessin, on nage en plein parmi ces références là. : bases secrètes dans la jungle, conquêtes spatiales, relations troubles entre agents, super méchant, scènes d'actions, on a la panoplie presque complète. La colorisation et le dessin soigné de Philippe Aymond font honneur sans les dénaturer aux personnages imaginés à l'époque par Greg et Vance. Là où le premier Bruno Brazil m'avait semblé trop classique et sans vrai identité, ce second tome nous amène à l'essentiel. L'intrigue avance beaucoup, on voyage, on se divertit. Et c'est déjà bien. Autres infos : James Bond Style Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nouvelles-aventures-de-bruno-brazil-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Et voilà une BD qui m'a fait de l'oeil dans les rayons de mon libraire préféré avant le confinement. Du polar bourré d'action et de charme, avec un graphisme sympa et un univers qui semble un peu original. Il ne m'en fallait guère plus pour tenter l'expérience. Le résultat est un poil plus mitigé. Attention c'est une bonne BD, de celle qu'on lit et qu'on relira avec beaucoup de plaisir. Mais ce premier tome n'est pas encore un tome qui marque durablement, la faute à mon goût à un scénario un peu léger à partir du milieu de la BD. Le démarrage est vraiment top, mais la suite s'enchaine trop vite à mon goût, et la construction de l'intrigue me semble juste un peu légère sur les moments clefs. Un peu facile, et c'est dommage, car globalement on évite la sensation de déjà vu. J'ai vraiment bien accroché avec les personnages et l'ambiance. Peut être que les auteurs ont voulu aller un peu trop vite au niveau du scénario pour ne pas faire un tome d'introduction trop lent. Le dessin est lui très très sympa, avec le dynamisme d'un Marini mais un trait peut être plus actuel. Pas étonnant pour ceux qui ont suivi le dessinateur Gabor, issu du même bain bourré de talent de la BD espagnole que les Juan Diaz Canales ou Raule avec qui il a collaboré sur Isabellae notamment. J'espère que le tome 2 orientera favorablement cette série qui mérite un développement sympa au vu de ses personnages et son potentiel. .
-
Titre de l'album : D.O.W Scenariste de l'album : Thilde Barboni Dessinateur de l'album : Gabor Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Qui est donc ce mystérieux street artist qui signe D.O.W. et aide la police à combattre le crime ? Le jeune médecin Alexandra Bariankoff, alias Sasha, va croiser sa route par hasard lors d'une intervention chez un célèbre tatoueur, Aliocha, prisé de la jet set internationale autant que de la mafia russe. Aliocha va entraîner la jeune femme au coeur d'une terrible vengeance.De révélations en rebondissements, de manigances en trahisons, la mise en scène musclée dynamise une intrigue à suspense où l'ombre des tsars de l'ancienne Russie plane encore sur la mafia russe moderne. Le mystérieux D.O.W. devra affronter d'impitoyables adversaires pour défendre son nom, son passé et son avenir. Critique : Et voilà une BD qui m'a fait de l'oeil dans les rayons de mon libraire préféré avant le confinement. Du polar bourré d'action et de charme, avec un graphisme sympa et un univers qui semble un peu original. Il ne m'en fallait guère plus pour tenter l'expérience. Le résultat est un poil plus mitigé. Attention c'est une bonne BD, de celle qu'on lit et qu'on relira avec beaucoup de plaisir. Mais ce premier tome n'est pas encore un tome qui marque durablement, la faute à mon goût à un scénario un peu léger à partir du milieu de la BD. Le démarrage est vraiment top, mais la suite s'enchaine trop vite à mon goût, et la construction de l'intrigue me semble juste un peu légère sur les moments clefs. Un peu facile, et c'est dommage, car globalement on évite la sensation de déjà vu. J'ai vraiment bien accroché avec les personnages et l'ambiance. Peut être que les auteurs ont voulu aller un peu trop vite au niveau du scénario pour ne pas faire un tome d'introduction trop lent. Le dessin est lui très très sympa, avec le dynamisme d'un Marini mais un trait peut être plus actuel. Pas étonnant pour ceux qui ont suivi le dessinateur Gabor, issu du même bain bourré de talent de la BD espagnole que les Juan Diaz Canales ou Raule avec qui il a collaboré sur Isabellae notamment. J'espère que le tome 2 orientera favorablement cette série qui mérite un développement sympa au vu de ses personnages et son potentiel. . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dow-tome-1-ailes-du-loup?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
On ne va pas se mentir, vu tout le bien qui en a déjà été dit, vu les signatures des auteurs sur cet album, vu qu'il s'agit de la Collection Signé et vu qu'il s'agit de la suite du déjà très apprécié Little Tulip, il n'y avait que peu de suspens sur la réussite de cet album. Et je ne vais pas déroger à la règle, même pour le plaisir de contrarier France Inter. Cet album est excellent. Je vous rassure tout de suite, nul besoin d'avoir Lu Little Tulip (du même duo d'auteur et dans la même collection) pour profiter pleinement de ce one shot dense, étouffant et qu'on ne lâche pas avant la dernière des 144 pages que compte ce polar un brin mystique à la galerie de personnages plus ébouriffants les uns que les autres. Ce New York Cannibals a parfois des allures des premiers Jeremiah tant l'on se retrouve avec des personnages hors normes plus vrais que nature. Le trait de François Boucq est toujours aussi facilement identifiable, tant il est difficile de ne pas aimer tant le soucis du détail, des personnages et des ambiances qui transpire de chaques pages. Alors oui, ce n'est pas le dessin de la Bande Dessinée que je préfère, question de goûts et de représentations, mais je lui reconnais évidemment et sans discussion le statut de très grand. Ces crayonnés sont superbes et heureusement bien mis en valeur en fin d'album dans le carnet de croquis. L'histoire est âpre, violente, nous plongeant en apnée dans les bas fonds de ce New York des années 90 jusqu'au dénouement brutal sur fond de mysticisme qui vous laissera le souffle court. Personnellement je n'ai pas mis de 5ème étoile car le polar noir est loin d'être mon genre de BD favorite et que par goût personnel, le dessin de Boucq n'est pas celui qui me parle le plus. Mais j'avais déjà eu ce constat sur sa série du Bouncer, sans que cela ne m'empêche de les avoir en bonne place à la maison. C'est d'ailleurs sans nul doute la, la marque de fabrique des très grands, même quand ce n'est pas le genre de BD que vous auriez envie de lire, une fois démarré, vous ne la lâcherez pas. Et vous vous en rappellerez. Essayez donc de plonger aux trousses d'Anna la Hyène pour voir...
-
Titre de l'album : New York Cannibals Scenariste de l'album : Jérôme Charyn Dessinateur de l'album : François Boucq Coloriste : François Boucq, Alexandre Boucq, Denis Béchu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : New York, 1990. Pavel tient toujours son salon de tatouage. Sa protégée, Azami, est devenue policière et culturiste. Lors d'une intervention, elle découvre un bébé abandonné dans une poubelle. Incapable d'enfanter à cause des traitements qu'elle a infligés à son corps, elle décide d'adopter l'enfant. Pour le protéger, elle va remonter la piste d'un trafic de bébés, et découvrir qu'il semble lié à un mystérieux gang de femmes qui dévorent leurs ennemis. Étrangement, les fantômes du goulag dans lequel Pavel a grandi semblent être à l'origine de ces atrocités. Comme si l'univers, les codes et la violence du goulag avaient pris pour nouveau territoire les rues de New York. Critique : On ne va pas se mentir, vu tout le bien qui en a déjà été dit, vu les signatures des auteurs sur cet album, vu qu'il s'agit de la Collection Signé et vu qu'il s'agit de la suite du déjà très apprécié Little Tulip, il n'y avait que peu de suspens sur la réussite de cet album. Et je ne vais pas déroger à la règle, même pour le plaisir de contrarier France Inter. Cet album est excellent. Je vous rassure tout de suite, nul besoin d'avoir Lu Little Tulip (du même duo d'auteur et dans la même collection) pour profiter pleinement de ce one shot dense, étouffant et qu'on ne lâche pas avant la dernière des 144 pages que compte ce polar un brin mystique à la galerie de personnages plus ébouriffants les uns que les autres. Ce New York Cannibals a parfois des allures des premiers Jeremiah tant l'on se retrouve avec des personnages hors normes plus vrais que nature. Le trait de François Boucq est toujours aussi facilement identifiable, tant il est difficile de ne pas aimer tant le soucis du détail, des personnages et des ambiances qui transpire de chaques pages. Alors oui, ce n'est pas le dessin de la Bande Dessinée que je préfère, question de goûts et de représentations, mais je lui reconnais évidemment et sans discussion le statut de très grand. Ces crayonnés sont superbes et heureusement bien mis en valeur en fin d'album dans le carnet de croquis. L'histoire est âpre, violente, nous plongeant en apnée dans les bas fonds de ce New York des années 90 jusqu'au dénouement brutal sur fond de mysticisme qui vous laissera le souffle court. Personnellement je n'ai pas mis de 5ème étoile car le polar noir est loin d'être mon genre de BD favorite et que par goût personnel, le dessin de Boucq n'est pas celui qui me parle le plus. Mais j'avais déjà eu ce constat sur sa série du Bouncer, sans que cela ne m'empêche de les avoir en bonne place à la maison. C'est d'ailleurs sans nul doute la, la marque de fabrique des très grands, même quand ce n'est pas le genre de BD que vous auriez envie de lire, une fois démarré, vous ne la lâcherez pas. Et vous vous en rappellerez. Essayez donc de plonger aux trousses d'Anna la Hyène pour voir... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/new-york-canibals-186642?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Ah quel plaisir de lire une BD aussi bien écrite, dont les dialogues et situations font mouche et tapent juste et fort. J'ai refermé cet album en me disant que je venais de lire une BD dont la qualité d'écriture sortait largement du commun. Et pourtant la base ne m'avait pas emballé, nouvelle héroïne ancienne flic devenue détective privée qui enquête sur le milieu marseillais, comment dire, on a fait mieux niveau originalité. Mais forcément quand M. Trondheim est au scénario et que la qualité graphique semble bien présente, on est obligé de laisser le bénéfice du doute. Et heureusement. Ce Karmela Krimm est une belle surprise qui m'a replongé avec délice dans mes années de boulot à Marseille. Sans tomber dans les stéréotypes j'ai trouvé, sans trop de jugements, avec un vrai humanisme et un optimisme qui me plait toujours autant. On se retrouve finalement avec un Polar enlevé dont les joutes verbales entre Karmela et Tadj régalent à chaque fois. Fort heureusement le dessin n'est pas en reste et colle à merveille au propos de ce Polar pas si noir mais pas si tendre non plus qui porte pourtant un regard plein d'espoir sur cette cité phocéenne si particulière pour ceux qui la connaissent ou l'ont connue. J'ai hâte de voir ce que ce duo d'auteur va nous réserver pour la suite qui est déjà prévue, mais je ne peux pour ma part que vous recommander d'y jeter un coup d'oeil, sans être révolutionnaire, ce Karmela Krimm est parfaitement réalisé. Bravo.
-
Titre de l'album : Karmela Krimm - Tome 1 - Ramdam Blues Scenariste de l'album : Lewis Trondheim Dessinateur de l'album : Franck Biancarelli Coloriste : Walter Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Karmela Krimm était la jeune inspectrice la plus prometteuse de la police de Marseille. Mais elle a un jour accepté de porter le chapeau pour une opération qui a mal tourné. Karmela a perdu sa place et s'est reconvertie comme détective privée. Elle a aussi perdu ses idéaux. Mais dans les eaux troubles où elle navigue désormais, les idéaux sont un luxe dangereux. Critique : Ah quel plaisir de lire une BD aussi bien écrite, dont les dialogues et situations font mouche et tapent juste et fort. J'ai refermé cet album en me disant que je venais de lire une BD dont la qualité d'écriture sortait largement du commun. Et pourtant la base ne m'avait pas emballé, nouvelle héroïne ancienne flic devenue détective privée qui enquête sur le milieu marseillais, comment dire, on a fait mieux niveau originalité. Mais forcément quand M. Trondheim est au scénario et que la qualité graphique semble bien présente, on est obligé de laisser le bénéfice du doute. Et heureusement. Ce Karmela Krimm est une belle surprise qui m'a replongé avec délice dans mes années de boulot à Marseille. Sans tomber dans les stéréotypes j'ai trouvé, sans trop de jugements, avec un vrai humanisme et un optimisme qui me plait toujours autant. On se retrouve finalement avec un Polar enlevé dont les joutes verbales entre Karmela et Tadj régalent à chaque fois. Fort heureusement le dessin n'est pas en reste et colle à merveille au propos de ce Polar pas si noir mais pas si tendre non plus qui porte pourtant un regard plein d'espoir sur cette cité phocéenne si particulière pour ceux qui la connaissent ou l'ont connue. J'ai hâte de voir ce que ce duo d'auteur va nous réserver pour la suite qui est déjà prévue, mais je ne peux pour ma part que vous recommander d'y jeter un coup d'oeil, sans être révolutionnaire, ce Karmela Krimm est parfaitement réalisé. Bravo. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/karmela-krimm-tome-1-ramdam-blues?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Et voici, rapidement après un premier tome qui m'avait laissé une impression mitigée le second tome de cette nouvelle série de Polar parue chez le Lombard. La période est toujours la même puisque l'on retrouve les personnages laissés dans le tome 1 à savoir notre ancien combattant de la seconde guerre mondiale devenu détective privé. L'enquête le dirige cette fois-ci dans le Hawaï des années 50, entre projets secrets défense et cause indigène. La particularité de cette série tient au travail réalisé par les auteurs à 4 mains sur le dessin et le scénario. Warnauts et Raives ont l'habitude de collaborer ensemble et se réservant juste l'écriture pour l'un et les couleurs pour l'autre. Le résultat sur cette série est assez inégal avec certaines cases et visages qui semblent très travaillées et certaines où le rendu semble moins abouti et fouillé. Côté narration, il faut noter que les auteurs nous livrent des tranches complètes de récit positionnées en prose dans les pages entre les bulles plus classiques de BD. L'histoire quand à elle, est un polar riche mais assez classique et sans grosse subtilités. Purple Heart est donc une série que je recommanderais aux amateurs de la période qui trouveront le graphisme à leur goût.
-
Titre de l'album : Purple Heart - Tome 2 - Projet Bluebird Scenariste de l'album : Warnauts & Raives Dessinateur de l'album : Warnauts & Raives Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Hawaï, 1952. L'héritier d'une riche famille new-yorkaise traverse la vitre d'un hôtel de luxe et fait une chute mortelle. Dans sa chambre, fermée de l'intérieur, on découvre le cadavre d'une femme assassinée. Pour la police, il s'agit d'un meurtre suivi d'un suicide. Mais pour les parents du jeune homme, c'est inconcevable. Ils veulent une nouvelle enquête. Quelques jours plus tard, le détective Joshua Flannagan débarque à Hawaï. Critique : Et voici, rapidement après un premier tome qui m'avait laissé une impression mitigée le second tome de cette nouvelle série de Polar parue chez le Lombard. La période est toujours la même puisque l'on retrouve les personnages laissés dans le tome 1 à savoir notre ancien combattant de la seconde guerre mondiale devenu détective privé. L'enquête le dirige cette fois-ci dans le Hawaï des années 50, entre projets secrets défense et cause indigène. La particularité de cette série tient au travail réalisé par les auteurs à 4 mains sur le dessin et le scénario. Warnauts et Raives ont l'habitude de collaborer ensemble et se réservant juste l'écriture pour l'un et les couleurs pour l'autre. Le résultat sur cette série est assez inégal avec certaines cases et visages qui semblent très travaillées et certaines où le rendu semble moins abouti et fouillé. Côté narration, il faut noter que les auteurs nous livrent des tranches complètes de récit positionnées en prose dans les pages entre les bulles plus classiques de BD. L'histoire quand à elle, est un polar riche mais assez classique et sans grosse subtilités. Purple Heart est donc une série que je recommanderais aux amateurs de la période qui trouveront le graphisme à leur goût. Autres infos : Anciens combattants - Détective Privé Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/purple-heart-tome-2-projet-blue-bird?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Après un premier tome accrocheur lançant cette série de polar sur fond de monde de la construction d'ouvrages d'arts, le tome 2 avait ouvert un dyptique que vient clôturer ce tome 3. On retrouve bien évidemment notre héros plus ou moins charismatique Jack Irons. Comme le décrivent si bien les auteurs : Jack est brillant, misanthrope, sarcastique et joui d'un succès relatif auprès des femmes. Oui vous l'avez deviné, on a déjà un peu vu et revu beaucoup de Jack Irons dans divers univers (hopitaux, police, juristes) à travers les séries U.S. Et c'est un peu dommage je trouve tant l'univers et le côté Mac Gyver du personnage pour ses compétences était intéressant à exploiter. Las le héros a du mal à gagner notre empathie. Dommage car le polar lui est rondement mené et ce dyptique se lit très bien. Le dessinateur Luc Brahy ( connu sur la série Cognac) signe ici des planches sérieuses dans un style désormais très classique pour ce genre de séries. C'est sobre et efficace même si le style un peu froid ou lisse joue peut être sur notre manque d'empathie envers les personnages. Ce tome 3 clôture donc le dyptique sur la construction de ce pont en Indonésie. Nous verrons comment les scénaristes relanceront la série pour un nouveau cycle, après avoir mis en place quelques indices sur le passé de Jack.
- 2 commentaires
-
- bd européenne
- construction
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Irons - Tome 3 - Les disparus d'Ujung Batu Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Luc Brahy Editeur de l'album : Le Lombard Note : https://www.1001bd.com/tmp/pic/note/3.0.png Résumé de l'album : Après le tsunami de 2004, la construction de nouveaux ponts pour relier les villages est lancée. À Sinkis pourtant, les travaux tardent et n'aboutissent pas. Irons est envoyé sur place pour enquêter sur ce retard. Mais remettre en question le travail de la société internationale Starbridge n'est pas sans danger, et Irons se retrouvera vite confronté à un ingénieur malhonnête et des hommes de main redoutables. Critique : Après un premier tome accrocheur lançant cette série de polar sur fond de monde de la construction d'ouvrages d'arts, le tome 2 avait ouvert un dyptique que vient clôturer ce tome 3. On retrouve bien évidemment notre héros plus ou moins charismatique Jack Irons. Comme le décrivent si bien les auteurs : Jack est brillant, misanthrope, sarcastique et joui d'un succès relatif auprès des femmes. Oui vous l'avez deviné, on a déjà un peu vu et revu beaucoup de Jack Irons dans divers univers (hopitaux, police, juristes) à travers les séries U.S. Et c'est un peu dommage je trouve tant l'univers et le côté Mac Gyver du personnage pour ses compétences était intéressant à exploiter. Las le héros a du mal à gagner notre empathie. Dommage car le polar lui est rondement mené et ce dyptique se lit très bien. Le dessinateur Luc Brahy ( connu sur la série Cognac) signe ici des planches sérieuses dans un style désormais très classique pour ce genre de séries. C'est sobre et efficace même si le style un peu froid ou lisse joue peut être sur notre manque d'empathie envers les personnages. Ce tome 3 clôture donc le dyptique sur la construction de ce pont en Indonésie. Nous verrons comment les scénaristes relanceront la série pour un nouveau cycle, après avoir mis en place quelques indices sur le passé de Jack. Autres infos : Le béton c'est ma passion Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/irons-tome-3-les-disparus-d-ujung-batu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 2 réponses
-
- bd européenne
- construction
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :