Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'policier'.
28 résultats trouvés
-
Serge Lehman poursuit les révélations dans ce nouvel épisode de Saint-Elme avant de nous apporter la conclusion avec le prochain tome. Le côté fantastique de la série prend plus d'ampleur dans cet épisode même si l'on reste dans le registre policier. Les deux frères Sangaré sont aidés par la population dans leur enquête contre la famille Sax qui contrôle toute la ville, la police et la maire. Serge Lehman nous réserve encore beaucoup de surprise pour le dernier tome, comme tous les éléments étranges doivent trouver leur explication. Les planches de Frederik Peeters sont un régal pour les yeux, l'auteur gère à merveilles les décors mais également les scènes d'action où l'on peut toute la folie du Derviche dans ses yeux. Le final risque d'être intense avec des règlements de compte dans toute la ville surtout que la famille Sax accueille le grand-père avec une petite armée de gardes du corps. C'est vraiment un plaisir de retrouver toute la population de Saint-Elme avec leur ambition, leur défaut surtout pour la famille Sax et leur homme de main. Le dernier tome est prévu pour le début de l’année 2024.
-
Titre de l'album : Saint-Elme tome 4 - L'oeil dans le dos Scenariste de l'album : Serge Lehman Dessinateur de l'album : Frederik Peeters Coloriste : Frederik Peeters Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : La mort de Roland Sax crée des remous : Gregor Mazur et son entourage débarquent à Saint-Elme pour assister à l'enterrement. À la Vache Brûlée, Franck se remet de ses blessures et tente de convaincre Philippe de rester en ville malgré le danger. Stan et Yérim font un tour en boîte de nuit. Yves Mertens cherche une maison à louer. Et Piotr est touché par la grâce. Critique : Serge Lehman poursuit les révélations dans ce nouvel épisode de Saint-Elme avant de nous apporter la conclusion avec le prochain tome. Le côté fantastique de la série prend plus d'ampleur dans cet épisode même si l'on reste dans le registre policier. Les deux frères Sangaré sont aidés par la population dans leur enquête contre la famille Sax qui contrôle toute la ville, la police et la maire. Serge Lehman nous réserve encore beaucoup de surprise pour le dernier tome, comme tous les éléments étranges doivent trouver leur explication. Les planches de Frederik Peeters sont un régal pour les yeux, l'auteur gère à merveilles les décors mais également les scènes d'action où l'on peut toute la folie du Derviche dans ses yeux. Le final risque d'être intense avec des règlements de compte dans toute la ville surtout que la famille Sax accueille le grand-père avec une petite armée de gardes du corps. C'est vraiment un plaisir de retrouver toute la population de Saint-Elme avec leur ambition, leur défaut surtout pour la famille Sax et leur homme de main. Le dernier tome est prévu pour le début de l’année 2024. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saint-elme-tome-4-l-oeil-dans-le-dos/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Le cri est le premier tome des romans de Nicolas Beuglet à être adapté en bande dessinée autour du personnage de l'inspectrice Sarah Geringën accompagné d'un reporter de guerre et conférencier. L'histoire s'inspire de faits réels avérés mais tenus secret dans les années 70, avec les techniques de la CIA et du FBI pour le conditionnement de personne et leur contrôle par le biais d'utilisation de drogues hallucinogènes. L'affaire nous fait voyager entre la Norvège et la France où l'on retrouve les derniers cobayes humains et d'autres intrigues glauques. Makyo se charge de l'écriture pour l'histoire au format bande dessinée, les dialogues sont importants mais obligatoires pour rassembler tous les éléments de l'intrigue. Les dessins sont réalisés par Ng Laval dans un style réaliste de toute beauté particulier donnant une atmosphère bien sombre pour mieux servir l'histoire. La magnifique couverture est un très bon exemple du style de dessins qui vous attend avec les planches intérieures. Ce premier tome démarre très fort, je ne connaissais pas les romans de Nicolas Beuglet mais j'ai beaucoup apprécié la mécanique d'écriture pour résoudre l'affaire en cours. Je vais surveiller la parution des deux prochains albums de la trilogie.
-
Titre de l'album : Le cri Scenariste de l'album : Nicolas Beuglet & Makyo Dessinateur de l'album : Ng Laval Coloriste : Ng Laval Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : L'inspectrice Sarah Geringën enquête sur la mort suspecte d'un patient d'un hôpital psychiatrique. La victime a gravé sur le front le chiffre 488 et les conclusions des légistes sont sans appel : l'homme est mort de peur ! Inspiré par des découvertes scientifiques et des faits réels, Le Cri est un thriller sur la folie des hommes et le danger d'une science dévoyée, transformée en arme fatale. Critique : Le cri est le premier tome des romans de Nicolas Beuglet à être adapté en bande dessinée autour du personnage de l'inspectrice Sarah Geringën accompagné d'un reporter de guerre et conférencier. L'histoire s'inspire de faits réels avérés mais tenus secret dans les années 70, avec les techniques de la CIA et du FBI pour le conditionnement de personne et leur contrôle par le biais d'utilisation de drogues hallucinogènes. L'affaire nous fait voyager entre la Norvège et la France où l'on retrouve les derniers cobayes humains et d'autres intrigues glauques. Makyo se charge de l'écriture pour l'histoire au format bande dessinée, les dialogues sont importants mais obligatoires pour rassembler tous les éléments de l'intrigue. Les dessins sont réalisés par Ng Laval dans un style réaliste de toute beauté particulier donnant une atmosphère bien sombre pour mieux servir l'histoire. La magnifique couverture est un très bon exemple du style de dessins qui vous attend avec les planches intérieures. Ce premier tome démarre très fort, je ne connaissais pas les romans de Nicolas Beuglet mais j'ai beaucoup apprécié la mécanique d'écriture pour résoudre l'affaire en cours. Je vais surveiller la parution des deux prochains albums de la trilogie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-cri-9782491467326?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Le premier tome de Friday commençait très bien cette trilogie sur deux jeunes enquêteurs dans une petite ville des Etats-Unis avec plusieurs histoires à la limite du surnaturel. Par chance, on n’a pas dû attendre longtemps avant de poursuivre l'intrigue. Cette suite réserve bien des surprises avec une ambiance bien plus sombre et davantage d'action. Friday remonte la piste laissée par son compagnon avec des indices qui apportent de nouvelles questions pour l’instant. Ed Brubaker a semé des indices partout depuis le premier tome que l'on commence seulement à voir et comprendre à la fin de cet album. En même temps, il est impossible de deviner le retournement de situation qui nous attend à la lecture de cet album. La relecture pour le prochain tome n’en sera que meilleure pour capter tous les détails dans les planches. Marcos Martín gère à merveille les dessins de cette série entre ambiance réaliste et côté fantastique avec un monstre inattendu. L'album se termine sur quelques recherches graphiques de l'auteur comme pour le premier tome. Les dessins et l'histoire fonctionnent très bien et l'on ne peut pas abandonner la lecture de cette série avant de l'avoir terminé, l'attente va être maintenant pour connaitre la conclusion avec le prochain tome.
- 1 commentaire
-
- fantastique
- comics
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Friday tome 2 Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Marcos Martin Coloriste : Muntsa Vincente Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Une enquête aux frontières du réel.En revenant à Kings Hill, Friday a retrouvé son meilleur ami Lancelot. Ce petit prodige a toujours su résoudre les affaires étranges de la région. Mais cette fois, il y a laissé sa vie. Alors que Friday est dévastée par le chagrin, pour les autorités, l'affaire est close : c'est un accident. Comment peut-on imaginer pareille sottise ? Lancelot travaillait sur une mystérieuse affaire au moment où Friday a découvert son corps dans leur QG en feu. De toute évidence, on a essayé de le faire taire à jamais. Malgré la douleur, Friday se lance dans une épineuse enquête pour honorer la mémoire de son ami. Hélas les lieux du crime ne livreront aucun indice, tout a été détruit dans l'incendie. Friday repense alors à Fouinard, ce camarade qui avait disjoncté à cause d'une étrange dague juste avant la mort de Lancelot. Et si ces deux affaires étaient liées ? De pistes en pistes, Friday va se heurter à une énigme qui évoque une légende locale tout en essayant de déchiffrer les signes que Lancelot semble lui avoir laissés sur sa route. La jeune femme n'avait pas prévu qu'elle devrait se dresser face à une créature maléfique ! Critique : Le premier tome de Friday commençait très bien cette trilogie sur deux jeunes enquêteurs dans une petite ville des Etats-Unis avec plusieurs histoires à la limite du surnaturel. Par chance, on n’a pas dû attendre longtemps avant de poursuivre l'intrigue. Cette suite réserve bien des surprises avec une ambiance bien plus sombre et davantage d'action. Friday remonte la piste laissée par son compagnon avec des indices qui apportent de nouvelles questions pour l’instant. Ed Brubaker a semé des indices partout depuis le premier tome que l'on commence seulement à voir et comprendre à la fin de cet album. En même temps, il est impossible de deviner le retournement de situation qui nous attend à la lecture de cet album. La relecture pour le prochain tome n’en sera que meilleure pour capter tous les détails dans les planches. Marcos Martín gère à merveille les dessins de cette série entre ambiance réaliste et côté fantastique avec un monstre inattendu. L'album se termine sur quelques recherches graphiques de l'auteur comme pour le premier tome. Les dessins et l'histoire fonctionnent très bien et l'on ne peut pas abandonner la lecture de cette série avant de l'avoir terminé, l'attente va être maintenant pour connaitre la conclusion avec le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/friday-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 1 réponse
-
- fantastique
- comics
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Soda - le pasteur sanglant Scenariste de l'album : Olivier Bocquet Dessinateur de l'album : Bruno Gazzotti Coloriste : Bruno Gazzotti Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Après une nuit agitée peuplée de cauchemars, Soda se réveille, constate qu'il a perdu la petite croix du revers de son veston et se rend sur les lieux d'un meurtre. La victime, une prostituée qui a une page de calendrier agrafée sur le front ? et une petite croix au creux de la main ? n'est pas morte et hurle en voyant Soda, le reconnaissant comme son agresseur. Les crimes s'enchaînent et la population apprend à connaître un nouveau serial killer surnommé le Pasteur sanglant... Les séances de psy qu'on impose à Soda lui permettront-elles de se souvenir de ce qu'il fait de ses nuits ? Critique : un nouveau soda ? 9 ans après une conclusion qui avait défrayé la critique, nous montrant un Soda au bord du gouffre dans un new york au bord de l'explosion ? Étonnant surtout que repartir après le tome 13 semble bien compliqué... surtout après la mort récente de Tome, le scénariste des 13 premiers. Et bien en fait Olivier Bocquet a choisi ... de ne pas choisir. Ils ont, avec Bruno Gazzotti, de retour au dessin, préféré ne pas chercher une quelconque continuité ou filiation. Il nous propose ici une BD qui se passe... au début des aventures du lieutenant Solomon. Mais attention, ce n'est pas parce que ce Soda est temporellement au début de l'histoire du Lieutenant, que le dit lieutenant n'est pas deja torturé. Et c'est la grande réussite d'Olivier Bocquet pour sa prise de contrôle du personnage de Tome. Il nous offre un Lieutenant Solomon qui respecte parfaitement le caractère et la psychologie de celui créer par Tome. On retrouve ses névroses, sa double vie et sa faculté à attirer les drames. Si la résolution du scenario est trop rapide et pourra en décevoir certain, l'ambiance, le personnage et aussi le plaisir de retrouver les seconds rôles succulents que sont Babs' et la binome de Soda, font de ce nouveau Soda une belle réussite pour tous les fans de la série. Pour tous les autres, Dupuis fait une super offre à 14.50 les deux tomes pour refaire votre retard dans la série ! Et franchement... Soda c'est excellent 🙂 En espérant ne pas attendre 9 ans avant de avoir un 15ieme. tome PS: je me permets de râler un poil sur le format qui a changé, ne récompensant pas ce qui comme moi suivent la série depuis très longtemps 😞 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/soda-le-pasteur-sanglant?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
un nouveau soda ? 9 ans après une conclusion qui avait défrayé la critique, nous montrant un Soda au bord du gouffre dans un new york au bord de l'explosion ? Étonnant surtout que repartir après le tome 13 semble bien compliqué... surtout après la mort récente de Tome, le scénariste des 13 premiers. Et bien en fait Olivier Bocquet a choisi ... de ne pas choisir. Ils ont, avec Bruno Gazzotti, de retour au dessin, préféré ne pas chercher une quelconque continuité ou filiation. Il nous propose ici une BD qui se passe... au début des aventures du lieutenant Solomon. Mais attention, ce n'est pas parce que ce Soda est temporellement au début de l'histoire du Lieutenant, que le dit lieutenant n'est pas deja torturé. Et c'est la grande réussite d'Olivier Bocquet pour sa prise de contrôle du personnage de Tome. Il nous offre un Lieutenant Solomon qui respecte parfaitement le caractère et la psychologie de celui créer par Tome. On retrouve ses névroses, sa double vie et sa faculté à attirer les drames. Si la résolution du scenario est trop rapide et pourra en décevoir certain, l'ambiance, le personnage et aussi le plaisir de retrouver les seconds rôles succulents que sont Babs' et la binome de Soda, font de ce nouveau Soda une belle réussite pour tous les fans de la série. Pour tous les autres, Dupuis fait une super offre à 14.50 les deux tomes pour refaire votre retard dans la série ! Et franchement... Soda c'est excellent 🙂 En espérant ne pas attendre 9 ans avant de avoir un 15ieme. tome PS: je me permets de râler un poil sur le format qui a changé, ne récompensant pas ce qui comme moi suivent la série depuis très longtemps 😞
-
En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes.
- 1 commentaire
-
- policier
- fantastique
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : M.O.R.I.A.R.T.Y Tome 4 - Le voleur aux cent visages 2/2 Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Gess Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sherlock, Watson et Freud guettent le départ de la course en ballon autour du monde pour appréhender leur cible mais l'épreuve ne cesse d'être repoussée à cause d'intempéries. En attendant, le prodige de Baker Street se penche sur les disparitions de cargos en pleine mer. Les armateurs, victimes de ces larcins de grande envergure, parlent d'un unique rescapé qui ne cesse de déblatérer sur un Kraken... Critique : En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moriarty-tome-4-le-voleur-aux-cent-visages-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 1 réponse
-
- policier
- fantastique
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
J'avais adoré le premier tome de cette série moyenâgeuse sur l'art héraldique sur une trame d'enquête policière. Chaque tome propose une histoire complète avec toujours un fil conducteur autour du duo composé de Mayeul un jeune peintre et Landri un ancien moine. Le contexte historique est bien retranscrit et Corbeyran est à l'aise dans ce registre, avec de bonnes idées innovantes. Bien évidement l'art héraldique reste présent avec des explications sur le choix des couleurs et des animaux, avec quelques annotations bien venues en compléments. J'ai l'impression de retrouver l'ambiance du film le nom de la rose en lisant cette série même si on est loin de la religion. Dans ce tome, l'utilisation de dessins identiques pour deux familles vivant proche soulève des problématiques et la nécessité d'un expert dans le domaine pour départager les familles. Les dessins de Nicolas Bègue sont magnifiques, avec beaucoup de détails pour faire vivre cette époque. Les deux premiers tomes sont de grande qualité et l'on prend plaisir à retrouver les deux héros dans une nouvelle affaire.
-
- historique
- policier
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Hérauts tome 2 - Le griffon Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Nicolas Bègue Coloriste : Jean-Paul Fernandez Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Marie, Mayeul et Landri arrivent dans une nouvelle région où les deux hérauts entendent poursuivre leur oeuvre de recensement des armoiries... Landri accepte d'aider le seigneur local à résoudre un problème : les armoiries de sa famille ont été copiées par un petit seigneur voisin indélicat. En se lançant dans cette enquête, Landri est loin de se douter des révélations qui l'attendent. Critique : J'avais adoré le premier tome de cette série moyenâgeuse sur l'art héraldique sur une trame d'enquête policière. Chaque tome propose une histoire complète avec toujours un fil conducteur autour du duo composé de Mayeul un jeune peintre et Landri un ancien moine. Le contexte historique est bien retranscrit et Corbeyran est à l'aise dans ce registre, avec de bonnes idées innovantes. Bien évidement l'art héraldique reste présent avec des explications sur le choix des couleurs et des animaux, avec quelques annotations bien venues en compléments. J'ai l'impression de retrouver l'ambiance du film le nom de la rose en lisant cette série même si on est loin de la religion. Dans ce tome, l'utilisation de dessins identiques pour deux familles vivant proche soulève des problématiques et la nécessité d'un expert dans le domaine pour départager les familles. Les dessins de Nicolas Bègue sont magnifiques, avec beaucoup de détails pour faire vivre cette époque. Les deux premiers tomes sont de grande qualité et l'on prend plaisir à retrouver les deux héros dans une nouvelle affaire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/herauts-tome-2-le-griffon/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
- historique
- policier
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Je suis toujours avec beaucoup d'attention les nouvelles parutions d'Ed Brubaker, donc c'est avec un grand plaisir que je découvre Friday. L'auteur laisse de côté le polar très sombre et réaliste pour une histoire plus légère pour créer un mélange de genres entre policier et fantastique avec deux jeunes héros. On découvre les deux personnages depuis leur rencontre lors de leur adolescence avec leurs premières enquêtes et les nombreux mystères résolus dans leur petite ville de Kings Hill. Brubaker nous révèle en fin d'album avoir attendu une vingtaine d'année avec cette idée en tête avant de trouver le dessinateur idéal pour mettre en image son intrigue. On est très vite pris dans cette introduction qui met en place une affaire en cours avec des flashbacks pour comprendre la relation des deux enquêteurs en herbe. Les dessins de Marcos Martín sont plus proches des réalisations des bandes dessinée franco-belge que des comics. Le trait est plaisant et les planches sont très détaillées dans un style réaliste pour dépeindre les décors et la partie fantastique. L'album se termine sur un Sketchbook de Marcos Martín avec des illustrations des personnes et quelques informations sur eux. Ce premier tome démarre très bien une nouvelle histoire prévue en trois albums. Le deuxième tome est déjà programmé pour le mois de septembre de cette année.
-
- fantastique
- policier
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Friday tome 1 Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Marcos Martín Coloriste : Muntsa Vincente Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Retour aux sources : une enquête aux frontières du réel. Quand Friday Fitzhugh revient à Kings Hill pour les vacances de Noël, la neige tombe à gros flocons… Elle qui a passé son enfance dans cette petite ville à élucider des mystères en tout genre aux côtés de son meilleur ami, Lancelot Jones, pensait bien avoir tourné la page en entrant à l’université. Mais il lui suffit de revoir Lancelot pour se laisser embarquer dans une nouvelle aventure ! Petit prodige local mal-aimé de tous, ce garçon a toujours su résoudre les affaires les plus occultes de la région avec la bienveillance du shérif local. Pour autant leurs retrouvailles n’ont rien d’idyllique et malgré le lien fort qui les unit, les non-dits subsistent… Ils ne sont plus des enfants désormais. Pour l’heure ce qui inquiète Friday c’est cette étrange apparition dans les bois environnants ! Critique : Je suis toujours avec beaucoup d'attention les nouvelles parutions d'Ed Brubaker, donc c'est avec un grand plaisir que je découvre Friday. L'auteur laisse de côté le polar très sombre et réaliste pour une histoire plus légère pour créer un mélange de genres entre policier et fantastique avec deux jeunes héros. On découvre les deux personnages depuis leur rencontre lors de leur adolescence avec leurs premières enquêtes et les nombreux mystères résolus dans leur petite ville de Kings Hill. Brubaker nous révèle en fin d'album avoir attendu une vingtaine d'année avec cette idée en tête avant de trouver le dessinateur idéal pour mettre en image son intrigue. On est très vite pris dans cette introduction qui met en place une affaire en cours avec des flashbacks pour comprendre la relation des deux enquêteurs en herbe. Les dessins de Marcos Martín sont plus proches des réalisations des bandes dessinée franco-belge que des comics. Le trait est plaisant et les planches sont très détaillées dans un style réaliste pour dépeindre les décors et la partie fantastique. L'album se termine sur un Sketchbook de Marcos Martín avec des illustrations des personnes et quelques informations sur eux. Ce premier tome démarre très bien une nouvelle histoire prévue en trois albums. Le deuxième tome est déjà programmé pour le mois de septembre de cette année. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/friday-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
- fantastique
- policier
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
La septième fonction du langage est l'adaptation en bande dessinée par Xavier Betaucourt du roman de Laurent Binet. En effet, l'auteur s’inspire d'un fait réel pour construire sa fiction à partir de la mort du philosophe Roland Barthes, renversé accidentellement par une camionette dans Paris. La fiction prend la suite avec un complot visant à tuer ce philosophe de renommé. L'auteur va ainsi construire une histoire plausible en insérant de nombreuses figures historiques, philosophes, politiciens pour servir son intrigue ainsi que les auteurs eux-mêmes qui commentent l'histoire en cours de création. Le commissaire Jacques Bayard en compagnie Simon Herzog un jeune sémiologue vont tout mettre en œuvre pour comprendre cette tentative de meurtre qui est certainement liée à la découverte de la septième fonction du langage. La couverture est très représentative des dessins intérieurs. Ce roman graphique tient sur 150 pages de bande dessinée pour résoudre l’affaire autour de Roland Barthes. Si vous ne connaissez pas le roman, cette adaptation pourrait vous convaincre de découvrir une affaire policière sérieuse partant d’un concept farfelu avec beaucoup d’humour quand même.
-
La septième fonction du langage : mais qui a tué Roland Barthes ?
alx23 a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : La septième fonction du langage : mais qui a tué Roland Barthes ? Scenariste de l'album : Xavier Betaucourt Dessinateur de l'album : Olivier Perret Coloriste : Paul Bona Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : 25 février 1980. Roland Barthes est renversé par une camionnette. Et s'il s'agissait d'un assassinat ? Jacques Bayard, commissaire de son état, et Simon Herzog, jeune sémiologue, mènent l'enquête. Une enquête de routine qui se transforme rapidement en polar saisissant. Roland Barthes possédait en effet la septième fonction du langage, capable de convaincre n'importe qui de faire n'importe quoi dans n'importe quelle situation. Attisant la convoitise des plus grands intellectuels et hommes politiques, la septième fonction sème les cadavres sur son chemin. Tout le monde est suspect... Critique : La septième fonction du langage est l'adaptation en bande dessinée par Xavier Betaucourt du roman de Laurent Binet. En effet, l'auteur s’inspire d'un fait réel pour construire sa fiction à partir de la mort du philosophe Roland Barthes, renversé accidentellement par une camionette dans Paris. La fiction prend la suite avec un complot visant à tuer ce philosophe de renommé. L'auteur va ainsi construire une histoire plausible en insérant de nombreuses figures historiques, philosophes, politiciens pour servir son intrigue ainsi que les auteurs eux-mêmes qui commentent l'histoire en cours de création. Le commissaire Jacques Bayard en compagnie Simon Herzog un jeune sémiologue vont tout mettre en œuvre pour comprendre cette tentative de meurtre qui est certainement liée à la découverte de la septième fonction du langage. La couverture est très représentative des dessins intérieurs. Ce roman graphique tient sur 150 pages de bande dessinée pour résoudre l’affaire autour de Roland Barthes. Si vous ne connaissez pas le roman, cette adaptation pourrait vous convaincre de découvrir une affaire policière sérieuse partant d’un concept farfelu avec beaucoup d’humour quand même. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-septieme-fonction-du-langage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Les éditions Philéas réunissent quinze auteurs de bande dessinée pour nous donner chacun sa vision du crime parfait dans une ambiance de roman policier et thriller. Ce recueil est composé de onze histoires courtes allant de six à dix planches pour les plus longues. Les thèmes sont variés avec quelques récits inspirés de faits réels, ou de l'imagination des auteurs. Il est intéressant de découvrir comment les auteurs pensent au crime parfait pour que leur personnage puisse s'en sortir après leur méfait. Pour la partie graphique, on alterne entre du noir et blanc avec de la couleur ainsi on passe du trait réaliste de Chabouté à de la couleur avec Guérineau. On peut ainsi profiter de plusieurs styles dans un même recueil. A noter qu'il existe une version Canal BD avec une couverture alternative et un cahier supplémentaire de 8 pages dans une édition limitée. Dès que j'ai vu l'annonce de cet album avec les auteurs présents, je savais déjà que j'aimerais avec en plus avec une thématique que j'affectionne particulièrement. J’ai eu une préférence pour l’histoire de De Metter pour ses dessins et son intrigue mais aussi celle de Gess ou de de Chabouté… Liste des auteurs : Christophe Chabouté, Christian De Metter, Gess, Richard Guérineau, Iñaki Holgado, Jean-Paul Krassinsky, Emmanuel Moynot, Miceal Beausang, Jean-Philippe Peyraud, Cyril Pomès, Pascal Rabaté, Tony Sandoval, Cyril Lieron, A. K. Seltzer et Nicolas Barral.
-
Titre de l'album : Le crime parfait Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : "Le crime parfait est le triomphe de la préméditation, le criminel doit non seulement camoufler son crime s'il le peut, mais même prévoir toutes les circonstances qui entourent ce crime de manière à ne laisser aucune trace, de façon à ce que son crime se déroule, en quelque sorte, automatiquement..." - Thomas Narcejac, auteur de Esthétique du roman policier. Critique : Les éditions Philéas réunissent quinze auteurs de bande dessinée pour nous donner chacun sa vision du crime parfait dans une ambiance de roman policier et thriller. Ce recueil est composé de onze histoires courtes allant de six à dix planches pour les plus longues. Les thèmes sont variés avec quelques récits inspirés de faits réels, ou de l'imagination des auteurs. Il est intéressant de découvrir comment les auteurs pensent au crime parfait pour que leur personnage puisse s'en sortir après leur méfait. Pour la partie graphique, on alterne entre du noir et blanc avec de la couleur ainsi on passe du trait réaliste de Chabouté à de la couleur avec Guérineau. On peut ainsi profiter de plusieurs styles dans un même recueil. A noter qu'il existe une version Canal BD avec une couverture alternative et un cahier supplémentaire de 8 pages dans une édition limitée. Dès que j'ai vu l'annonce de cet album avec les auteurs présents, je savais déjà que j'aimerais avec en plus avec une thématique que j'affectionne particulièrement. J’ai eu une préférence pour l’histoire de De Metter pour ses dessins et son intrigue mais aussi celle de Gess ou de de Chabouté… Liste des auteurs : Christophe Chabouté, Christian De Metter, Gess, Richard Guérineau, Iñaki Holgado, Jean-Paul Krassinsky, Emmanuel Moynot, Miceal Beausang, Jean-Philippe Peyraud, Cyril Pomès, Pascal Rabaté, Tony Sandoval, Cyril Lieron, A. K. Seltzer et Nicolas Barral. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-crime-parfait?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Ce diptyque dans la tête de Sherlock Homes a rencontré un énorme succès auprès des lecteurs. En effet, on peut suivre toutes les réflexions et déductions du célèbre détective puisqu'on est projeté à l'intérieur de sa tête. Tous les détails et indices nous sont expliqués ainsi que le cheminement pour résoudre une affaire. Sherlock est bien entendu accompagné par le docteur Watson qui le seconde dans ses enquêtes et sur le terrain. Les éditions Ankama ont eu l'excellente idée de proposer un coffret des archives de Sherlock Holmes. Le coffret s'ouvre en grand avec plusieurs cases représentant les moments importants de l'enquête comme dans un bureau, avec deux ex-libris façon tickets de spectacles du magicien de Wu-Jing. Ce magnifique coffret est en édition limitée pour les collectionneurs et participe à l'immersion dans la tête de Sherlock à sa façon. Benoit Dahan réalise un travail exceptionnel de création sur chaque planche. La construction des planches ainsi que sa mise en scène sont fabuleuses surtout quand on rentre dans la tête de Sherlock. Je recommande fortement la lecture de ce diptyque en espérant avoir prochainement une autre enquête.
-
Titre de l'album : Dans la tête de Sherlock Holmes - coffret tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : Cyril Liéron Dessinateur de l'album : Benoit Dahan Coloriste : Benoit Dahan Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Un simple diagnostic médical du Dr Watson se révèle être bien plus que cela... La découverte d'une poudre mystérieuse sur des vêtements et d'un ticket de spectacle très particulier amène Sherlock Holmes à penser que le patient n'est pas l'unique victime d'un complot de grande ampleur. Il semblerait en effet que l'étrange disparition de londoniens trouve son explication dans les représentations d'un magicien Chinois. D'autres tickets retrouvés confirment les soupçons du détective... Critique : Ce diptyque dans la tête de Sherlock Homes a rencontré un énorme succès auprès des lecteurs. En effet, on peut suivre toutes les réflexions et déductions du célèbre détective puisqu'on est projeté à l'intérieur de sa tête. Tous les détails et indices nous sont expliqués ainsi que le cheminement pour résoudre une affaire. Sherlock est bien entendu accompagné par le docteur Watson qui le seconde dans ses enquêtes et sur le terrain. Les éditions Ankama ont eu l'excellente idée de proposer un coffret des archives de Sherlock Holmes. Le coffret s'ouvre en grand avec plusieurs cases représentant les moments importants de l'enquête comme dans un bureau, avec deux ex-libris façon tickets de spectacles du magicien de Wu-Jing. Ce magnifique coffret est en édition limitée pour les collectionneurs et participe à l'immersion dans la tête de Sherlock à sa façon. Benoit Dahan réalise un travail exceptionnel de création sur chaque planche. La construction des planches ainsi que sa mise en scène sont fabuleuses surtout quand on rentre dans la tête de Sherlock. Je recommande fortement la lecture de ce diptyque en espérant avoir prochainement une autre enquête. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/coffret-dans-la-tete-de-sherlock-holmes-tomes-1-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Les adaptations en bande dessinée de romans à succès sont de plus en plus fréquentes actuellement, c'est une bonne manière de découvrir des auteurs que l'on connait pas ou que l’on n’a jamais lu. On la trouvait plutôt jolie à l'origine est un best-seller du romancier Michel Bussi dont Joël Alessandra réalise l'adaptation ainsi que les dessins. Ce thriller nous propose de suivre la destinée tragique de Leyli Maal, originaire d'une petite ville proche de Bamako au Mali. Elle vit désormais à Marseille et s'occupe de faire le ménage pour subvenir à ses besoins et ceux de ses trois enfants. On va découvrir son parcours de réfugiée lors de passage tout en sépia avec des flashbacks. On comprend toutes les difficultés que les réfugiés rencontrent durant leur voyage, les trahisons de proches et l'espoir qui leur permet d'avancée et de fuir leur vie détruite ou de misère. Le récit est très fort par ses propos avec une trame d'enquête policière et de vengeance. Les dessins de Joël Alessandra sont de grande qualité avec des couleurs en aquarelle dans un style réaliste pour être proche du récit. On voyage en Afrique jusqu'à dans les quartiers de Marseille. On la trouvait plutôt jolie est un mélange entre récit policier et thriller à suspense très bien orchestré.
-
Titre de l'album : On la trouvait plutôt jolie Scenariste de l'album : Joël Alessandra Dessinateur de l'album : Joël Alessandra Coloriste : Joël Alessandra Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : À Port-de-Bouc, près de Marseille, Leyli Maal fait le ménage dans des hôtels pour subvenir aux besoins de ses trois enfants, Bamby, Alpha et Tidiane. Personne ne peut se douter que Leyli cache un lourd secret. « - Qu'est-ce qui ne va pas, Leyli ? Vous êtes jolie. Vous avez trois jolis enfants. Bamby, Alpha, Tidiane. Vous vous en êtes bien sortie. - Ce sont les apparences, tout ça. Du vent. Il nous manque l'essentiel. Je suis une mauvaise mère. Mes trois enfants sont condamnés. Mon seul espoir est que l'un d'eux, l'un d'eux peut-être, échappe au sortilège. Elle ferma les yeux. Il demanda encore : - Qui l'a lancé, ce sortilège ? - Vous. Moi. La terre entière. Personne n'est innocent dans cette affaire.» Critique : Les adaptations en bande dessinée de romans à succès sont de plus en plus fréquentes actuellement, c'est une bonne manière de découvrir des auteurs que l'on connait pas ou que l’on n’a jamais lu. On la trouvait plutôt jolie à l'origine est un best-seller du romancier Michel Bussi dont Joël Alessandra réalise l'adaptation ainsi que les dessins. Ce thriller nous propose de suivre la destinée tragique de Leyli Maal, originaire d'une petite ville proche de Bamako au Mali. Elle vit désormais à Marseille et s'occupe de faire le ménage pour subvenir à ses besoins et ceux de ses trois enfants. On va découvrir son parcours de réfugiée lors de passage tout en sépia avec des flashbacks. On comprend toutes les difficultés que les réfugiés rencontrent durant leur voyage, les trahisons de proches et l'espoir qui leur permet d'avancée et de fuir leur vie détruite ou de misère. Le récit est très fort par ses propos avec une trame d'enquête policière et de vengeance. Les dessins de Joël Alessandra sont de grande qualité avec des couleurs en aquarelle dans un style réaliste pour être proche du récit. On voyage en Afrique jusqu'à dans les quartiers de Marseille. On la trouvait plutôt jolie est un mélange entre récit policier et thriller à suspense très bien orchestré. Autres infos : Editions: Robert Lafon Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/on-la-trouvait-plutot-jolie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Ce nouvel album d'Hercule Poirot est le huitième épisode de la série d'adaptation en bande dessinée des romans d'Agatha Christie. Marek avait déjà réalisé la partie graphique de rendez-vous avec ma mort, le second tome de la série. Aujourd'hui, il réalise en auteur complet cet épisode où une chasse au faux meurtre est organisée par l'amie du détective lors d'une kermesse pour récolter des fonds. Dès les premières planches, on plonge dans le vif du sujet avec Hercule Poirot qui est présenté à tout une galerie de personnages qui semblent et peuvent être tout plus ou moins suspect. Car la jeune femme qui joue le rôle du cadavre va vraiment être tué. En plus des dialogues, on profite également d'une voix-off qui nous donne des indications et réflexions du détective alors qu'il discute où observe des situations banales. Les dessins sont agréables et participent bien à l'enquête avec des points de vue orientés sur des objets ou des personnages pour nous guider dans la résolution de l'enquête. Cet album est bien entendu très classique pour une enquête d'Hercule Poirot et devrait convenir aux adeptes du détective. Le rythme est bien évidemment très calme comme d'habitude.
-
- policier
- hercule poirot
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Titre de l'album : Hercule Poirot - Poirot joue le jeu Scenariste de l'album : Marek Dessinateur de l'album : Marek Coloriste : Marek Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Une chasse au faux meurtre, mais un vrai cadavre. Un cadre enchanteur et des secrets de famille. La disparition de la maitresse des lieux, et l'arrivée d'un invité surprise. Au coeur d'une intrigue complexe, Hercule Poirot se trouve à nouveau confronté au mal. Mais pour le détective belge, il n'est pas question de jouer avec le crime. Utilisant toute la puissance de ses petites cellules grises, il va tout mettre en oeuvre pour confondre le coupable. Situé dans une des propriétés de la Reine du crime, une enquête policière qui prouve une fois de plus que Poirot ne plaisante pas avec le crime ! Critique : Ce nouvel album d'Hercule Poirot est le huitième épisode de la série d'adaptation en bande dessinée des romans d'Agatha Christie. Marek avait déjà réalisé la partie graphique de rendez-vous avec ma mort, le second tome de la série. Aujourd'hui, il réalise en auteur complet cet épisode où une chasse au faux meurtre est organisée par l'amie du détective lors d'une kermesse pour récolter des fonds. Dès les premières planches, on plonge dans le vif du sujet avec Hercule Poirot qui est présenté à tout une galerie de personnages qui semblent et peuvent être tout plus ou moins suspect. Car la jeune femme qui joue le rôle du cadavre va vraiment être tué. En plus des dialogues, on profite également d'une voix-off qui nous donne des indications et réflexions du détective alors qu'il discute où observe des situations banales. Les dessins sont agréables et participent bien à l'enquête avec des points de vue orientés sur des objets ou des personnages pour nous guider dans la résolution de l'enquête. Cet album est bien entendu très classique pour une enquête d'Hercule Poirot et devrait convenir aux adeptes du détective. Le rythme est bien évidemment très calme comme d'habitude. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hercule-poirot-poirot-joue-le-jeu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
- policier
- hercule poirot
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :
-
Ce comics est l'adaptation d’une nouvelle écrit par Neil Gaiman, auteur de nombreux comics cultes comme Sandman pour ne citer que celui-là. Le scénariste Rafael Scavone se charge de son adaptation en comics. Avec une étude en émeraude, les auteurs s'inspirent des univers d’Arthur Conan Doyle pour la partie Sherlock Holmes et de Howard Phillips Lovecraft pour la partie des grands anciens, ces divinités sombres et tentaculaires. L'histoire est donc un mélange de récit policier avec une partie fantastique bien présente. Dans le monde du détective privé, les grands anciens gouvernent les hommes avec de postes clés parmi les familles royales. Cette dimension apporte évidemment beaucoup d'originalité à l'histoire mais l'on pourra regretter que le récit ne développe pas assez ce concept. Il reste très plaisant de suivre les aventures du détective avec toutes ses déductions qui ont fait son succès. La partie graphique est réalisée par Rafael Albuquerque très en forme sur cette histoire. Les planches sont de qualité avec une ambiance bien sombre comme on peut l'attendre d'un tel récit. Pour parfaire l'ensemble, Dave Stewart assure les couleurs. Avec Une étude en émeraude, les auteurs rendent de nombreux hommages comme vous pourrez le découvrir à des références de la littératures de cette époque, comme le docteur Jekyll et mister Hyde ou Dracula avec Vlad Tepes.
- 2 commentaires
-
- comics
- fantastique
-
(et 1 en plus)
Étiqueté avec :