Aller au contenu
  • S’inscrire

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'policier'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Les forums BD
    • Toute la BD
    • Projets participatifs
    • Petites Annonces BD
    • Liens BD vers ailleurs
  • Et si on parlait d'autre chose que la bande dessinée ?
    • Améliorons 1001BD
    • Films et séries TV
    • 1001 Jeux Video
    • Livres - Musique - Spectacles - Théatre - Musées
    • 1001 choses à dire
  • TEAM

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui contiennent…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


20 résultats trouvés

  1. alx23

    Hérauts tome 2 - Le griffon

    J'avais adoré le premier tome de cette série moyenâgeuse sur l'art héraldique sur une trame d'enquête policière. Chaque tome propose une histoire complète avec toujours un fil conducteur autour du duo composé de Mayeul un jeune peintre et Landri un ancien moine. Le contexte historique est bien retranscrit et Corbeyran est à l'aise dans ce registre, avec de bonnes idées innovantes. Bien évidement l'art héraldique reste présent avec des explications sur le choix des couleurs et des animaux, avec quelques annotations bien venues en compléments. J'ai l'impression de retrouver l'ambiance du film le nom de la rose en lisant cette série même si on est loin de la religion. Dans ce tome, l'utilisation de dessins identiques pour deux familles vivant proche soulève des problématiques et la nécessité d'un expert dans le domaine pour départager les familles. Les dessins de Nicolas Bègue sont magnifiques, avec beaucoup de détails pour faire vivre cette époque. Les deux premiers tomes sont de grande qualité et l'on prend plaisir à retrouver les deux héros dans une nouvelle affaire.
  2. Titre de l'album : Hérauts tome 2 - Le griffon Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Nicolas Bègue Coloriste : Jean-Paul Fernandez Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Marie, Mayeul et Landri arrivent dans une nouvelle région où les deux hérauts entendent poursuivre leur oeuvre de recensement des armoiries... Landri accepte d'aider le seigneur local à résoudre un problème : les armoiries de sa famille ont été copiées par un petit seigneur voisin indélicat. En se lançant dans cette enquête, Landri est loin de se douter des révélations qui l'attendent. Critique : J'avais adoré le premier tome de cette série moyenâgeuse sur l'art héraldique sur une trame d'enquête policière. Chaque tome propose une histoire complète avec toujours un fil conducteur autour du duo composé de Mayeul un jeune peintre et Landri un ancien moine. Le contexte historique est bien retranscrit et Corbeyran est à l'aise dans ce registre, avec de bonnes idées innovantes. Bien évidement l'art héraldique reste présent avec des explications sur le choix des couleurs et des animaux, avec quelques annotations bien venues en compléments. J'ai l'impression de retrouver l'ambiance du film le nom de la rose en lisant cette série même si on est loin de la religion. Dans ce tome, l'utilisation de dessins identiques pour deux familles vivant proche soulève des problématiques et la nécessité d'un expert dans le domaine pour départager les familles. Les dessins de Nicolas Bègue sont magnifiques, avec beaucoup de détails pour faire vivre cette époque. Les deux premiers tomes sont de grande qualité et l'on prend plaisir à retrouver les deux héros dans une nouvelle affaire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/herauts-tome-2-le-griffon/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes.
  4. Titre de l'album : M.O.R.I.A.R.T.Y Tome 4 - Le voleur aux cent visages 2/2 Scenariste de l'album : Fred Duval & Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Gess Coloriste : Scarlett Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Sherlock, Watson et Freud guettent le départ de la course en ballon autour du monde pour appréhender leur cible mais l'épreuve ne cesse d'être repoussée à cause d'intempéries. En attendant, le prodige de Baker Street se penche sur les disparitions de cargos en pleine mer. Les armateurs, victimes de ces larcins de grande envergure, parlent d'un unique rescapé qui ne cesse de déblatérer sur un Kraken... Critique : En 2018, le premier dytique M.O.R.I.A.R.T.Y sortait en librairie dessinée par Stevan Subic sur une histoire de Jean-Pierre Pécau et Fred Duval. Les deux scénaristes nous offrent une suite en deux tomes avec cette fois ci, le dessinateur Gess pour mettre en image une nouvelle enquête de Sherlock Holmes face à son ennemi juré, Moriarty. Après trois années d'attente, on peut enfin lire la conclusion où le docteur Freud en personne vient en aide au détective accompagné du bon vieux docteur Watson. Pécau et Duval gère bien leur histoire entre les vols de bijoux aux quatre coins du monde lors d'une course en dirigeable et un homme aux multiples personnalités avec en parallèle l'organisation de Moriarty, le génie du crime. Gess assure des planches de qualité dans un style beaucoup plus clair que les planches de Subic. L'ambiance steampunk est bien présente et intéressante dans cette version de Sherlock Holmes. Les amateurs des récits du détective trouveront leur compte avec cette affaire. Dommage cependant que l’on ne suive pas directement les projets de Moriarty comme le titre de la série l’annonce, à la place de la mécanique de déductions de Holmes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/moriarty-tome-4-le-voleur-aux-cent-visages-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Friday tome 1

    Je suis toujours avec beaucoup d'attention les nouvelles parutions d'Ed Brubaker, donc c'est avec un grand plaisir que je découvre Friday. L'auteur laisse de côté le polar très sombre et réaliste pour une histoire plus légère pour créer un mélange de genres entre policier et fantastique avec deux jeunes héros. On découvre les deux personnages depuis leur rencontre lors de leur adolescence avec leurs premières enquêtes et les nombreux mystères résolus dans leur petite ville de Kings Hill. Brubaker nous révèle en fin d'album avoir attendu une vingtaine d'année avec cette idée en tête avant de trouver le dessinateur idéal pour mettre en image son intrigue. On est très vite pris dans cette introduction qui met en place une affaire en cours avec des flashbacks pour comprendre la relation des deux enquêteurs en herbe. Les dessins de Marcos Martín sont plus proches des réalisations des bandes dessinée franco-belge que des comics. Le trait est plaisant et les planches sont très détaillées dans un style réaliste pour dépeindre les décors et la partie fantastique. L'album se termine sur un Sketchbook de Marcos Martín avec des illustrations des personnes et quelques informations sur eux. Ce premier tome démarre très bien une nouvelle histoire prévue en trois albums. Le deuxième tome est déjà programmé pour le mois de septembre de cette année.
  6. alx23

    Friday tome 1

    Titre de l'album : Friday tome 1 Scenariste de l'album : Ed Brubaker Dessinateur de l'album : Marcos Martín Coloriste : Muntsa Vincente Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Retour aux sources : une enquête aux frontières du réel. Quand Friday Fitzhugh revient à Kings Hill pour les vacances de Noël, la neige tombe à gros flocons… Elle qui a passé son enfance dans cette petite ville à élucider des mystères en tout genre aux côtés de son meilleur ami, Lancelot Jones, pensait bien avoir tourné la page en entrant à l’université. Mais il lui suffit de revoir Lancelot pour se laisser embarquer dans une nouvelle aventure ! Petit prodige local mal-aimé de tous, ce garçon a toujours su résoudre les affaires les plus occultes de la région avec la bienveillance du shérif local. Pour autant leurs retrouvailles n’ont rien d’idyllique et malgré le lien fort qui les unit, les non-dits subsistent… Ils ne sont plus des enfants désormais. Pour l’heure ce qui inquiète Friday c’est cette étrange apparition dans les bois environnants ! Critique : Je suis toujours avec beaucoup d'attention les nouvelles parutions d'Ed Brubaker, donc c'est avec un grand plaisir que je découvre Friday. L'auteur laisse de côté le polar très sombre et réaliste pour une histoire plus légère pour créer un mélange de genres entre policier et fantastique avec deux jeunes héros. On découvre les deux personnages depuis leur rencontre lors de leur adolescence avec leurs premières enquêtes et les nombreux mystères résolus dans leur petite ville de Kings Hill. Brubaker nous révèle en fin d'album avoir attendu une vingtaine d'année avec cette idée en tête avant de trouver le dessinateur idéal pour mettre en image son intrigue. On est très vite pris dans cette introduction qui met en place une affaire en cours avec des flashbacks pour comprendre la relation des deux enquêteurs en herbe. Les dessins de Marcos Martín sont plus proches des réalisations des bandes dessinée franco-belge que des comics. Le trait est plaisant et les planches sont très détaillées dans un style réaliste pour dépeindre les décors et la partie fantastique. L'album se termine sur un Sketchbook de Marcos Martín avec des illustrations des personnes et quelques informations sur eux. Ce premier tome démarre très bien une nouvelle histoire prévue en trois albums. Le deuxième tome est déjà programmé pour le mois de septembre de cette année. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/friday-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. La septième fonction du langage est l'adaptation en bande dessinée par Xavier Betaucourt du roman de Laurent Binet. En effet, l'auteur s’inspire d'un fait réel pour construire sa fiction à partir de la mort du philosophe Roland Barthes, renversé accidentellement par une camionette dans Paris. La fiction prend la suite avec un complot visant à tuer ce philosophe de renommé. L'auteur va ainsi construire une histoire plausible en insérant de nombreuses figures historiques, philosophes, politiciens pour servir son intrigue ainsi que les auteurs eux-mêmes qui commentent l'histoire en cours de création. Le commissaire Jacques Bayard en compagnie Simon Herzog un jeune sémiologue vont tout mettre en œuvre pour comprendre cette tentative de meurtre qui est certainement liée à la découverte de la septième fonction du langage. La couverture est très représentative des dessins intérieurs. Ce roman graphique tient sur 150 pages de bande dessinée pour résoudre l’affaire autour de Roland Barthes. Si vous ne connaissez pas le roman, cette adaptation pourrait vous convaincre de découvrir une affaire policière sérieuse partant d’un concept farfelu avec beaucoup d’humour quand même.
  8. Titre de l'album : La septième fonction du langage : mais qui a tué Roland Barthes ? Scenariste de l'album : Xavier Betaucourt Dessinateur de l'album : Olivier Perret Coloriste : Paul Bona Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : 25 février 1980. Roland Barthes est renversé par une camionnette. Et s'il s'agissait d'un assassinat ? Jacques Bayard, commissaire de son état, et Simon Herzog, jeune sémiologue, mènent l'enquête. Une enquête de routine qui se transforme rapidement en polar saisissant. Roland Barthes possédait en effet la septième fonction du langage, capable de convaincre n'importe qui de faire n'importe quoi dans n'importe quelle situation. Attisant la convoitise des plus grands intellectuels et hommes politiques, la septième fonction sème les cadavres sur son chemin. Tout le monde est suspect... Critique : La septième fonction du langage est l'adaptation en bande dessinée par Xavier Betaucourt du roman de Laurent Binet. En effet, l'auteur s’inspire d'un fait réel pour construire sa fiction à partir de la mort du philosophe Roland Barthes, renversé accidentellement par une camionette dans Paris. La fiction prend la suite avec un complot visant à tuer ce philosophe de renommé. L'auteur va ainsi construire une histoire plausible en insérant de nombreuses figures historiques, philosophes, politiciens pour servir son intrigue ainsi que les auteurs eux-mêmes qui commentent l'histoire en cours de création. Le commissaire Jacques Bayard en compagnie Simon Herzog un jeune sémiologue vont tout mettre en œuvre pour comprendre cette tentative de meurtre qui est certainement liée à la découverte de la septième fonction du langage. La couverture est très représentative des dessins intérieurs. Ce roman graphique tient sur 150 pages de bande dessinée pour résoudre l’affaire autour de Roland Barthes. Si vous ne connaissez pas le roman, cette adaptation pourrait vous convaincre de découvrir une affaire policière sérieuse partant d’un concept farfelu avec beaucoup d’humour quand même. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-septieme-fonction-du-langage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. alx23

    Le crime parfait

    Les éditions Philéas réunissent quinze auteurs de bande dessinée pour nous donner chacun sa vision du crime parfait dans une ambiance de roman policier et thriller. Ce recueil est composé de onze histoires courtes allant de six à dix planches pour les plus longues. Les thèmes sont variés avec quelques récits inspirés de faits réels, ou de l'imagination des auteurs. Il est intéressant de découvrir comment les auteurs pensent au crime parfait pour que leur personnage puisse s'en sortir après leur méfait. Pour la partie graphique, on alterne entre du noir et blanc avec de la couleur ainsi on passe du trait réaliste de Chabouté à de la couleur avec Guérineau. On peut ainsi profiter de plusieurs styles dans un même recueil. A noter qu'il existe une version Canal BD avec une couverture alternative et un cahier supplémentaire de 8 pages dans une édition limitée. Dès que j'ai vu l'annonce de cet album avec les auteurs présents, je savais déjà que j'aimerais avec en plus avec une thématique que j'affectionne particulièrement. J’ai eu une préférence pour l’histoire de De Metter pour ses dessins et son intrigue mais aussi celle de Gess ou de de Chabouté… Liste des auteurs : Christophe Chabouté, Christian De Metter, Gess, Richard Guérineau, Iñaki Holgado, Jean-Paul Krassinsky, Emmanuel Moynot, Miceal Beausang, Jean-Philippe Peyraud, Cyril Pomès, Pascal Rabaté, Tony Sandoval, Cyril Lieron, A. K. Seltzer et Nicolas Barral.
  10. alx23

    Le crime parfait

    Titre de l'album : Le crime parfait Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : "Le crime parfait est le triomphe de la préméditation, le criminel doit non seulement camoufler son crime s'il le peut, mais même prévoir toutes les circonstances qui entourent ce crime de manière à ne laisser aucune trace, de façon à ce que son crime se déroule, en quelque sorte, automatiquement..." - Thomas Narcejac, auteur de Esthétique du roman policier. Critique : Les éditions Philéas réunissent quinze auteurs de bande dessinée pour nous donner chacun sa vision du crime parfait dans une ambiance de roman policier et thriller. Ce recueil est composé de onze histoires courtes allant de six à dix planches pour les plus longues. Les thèmes sont variés avec quelques récits inspirés de faits réels, ou de l'imagination des auteurs. Il est intéressant de découvrir comment les auteurs pensent au crime parfait pour que leur personnage puisse s'en sortir après leur méfait. Pour la partie graphique, on alterne entre du noir et blanc avec de la couleur ainsi on passe du trait réaliste de Chabouté à de la couleur avec Guérineau. On peut ainsi profiter de plusieurs styles dans un même recueil. A noter qu'il existe une version Canal BD avec une couverture alternative et un cahier supplémentaire de 8 pages dans une édition limitée. Dès que j'ai vu l'annonce de cet album avec les auteurs présents, je savais déjà que j'aimerais avec en plus avec une thématique que j'affectionne particulièrement. J’ai eu une préférence pour l’histoire de De Metter pour ses dessins et son intrigue mais aussi celle de Gess ou de de Chabouté… Liste des auteurs : Christophe Chabouté, Christian De Metter, Gess, Richard Guérineau, Iñaki Holgado, Jean-Paul Krassinsky, Emmanuel Moynot, Miceal Beausang, Jean-Philippe Peyraud, Cyril Pomès, Pascal Rabaté, Tony Sandoval, Cyril Lieron, A. K. Seltzer et Nicolas Barral. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-crime-parfait?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Ce diptyque dans la tête de Sherlock Homes a rencontré un énorme succès auprès des lecteurs. En effet, on peut suivre toutes les réflexions et déductions du célèbre détective puisqu'on est projeté à l'intérieur de sa tête. Tous les détails et indices nous sont expliqués ainsi que le cheminement pour résoudre une affaire. Sherlock est bien entendu accompagné par le docteur Watson qui le seconde dans ses enquêtes et sur le terrain. Les éditions Ankama ont eu l'excellente idée de proposer un coffret des archives de Sherlock Holmes. Le coffret s'ouvre en grand avec plusieurs cases représentant les moments importants de l'enquête comme dans un bureau, avec deux ex-libris façon tickets de spectacles du magicien de Wu-Jing. Ce magnifique coffret est en édition limitée pour les collectionneurs et participe à l'immersion dans la tête de Sherlock à sa façon. Benoit Dahan réalise un travail exceptionnel de création sur chaque planche. La construction des planches ainsi que sa mise en scène sont fabuleuses surtout quand on rentre dans la tête de Sherlock. Je recommande fortement la lecture de ce diptyque en espérant avoir prochainement une autre enquête.
  12. Titre de l'album : Dans la tête de Sherlock Holmes - coffret tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : Cyril Liéron Dessinateur de l'album : Benoit Dahan Coloriste : Benoit Dahan Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : Un simple diagnostic médical du Dr Watson se révèle être bien plus que cela... La découverte d'une poudre mystérieuse sur des vêtements et d'un ticket de spectacle très particulier amène Sherlock Holmes à penser que le patient n'est pas l'unique victime d'un complot de grande ampleur. Il semblerait en effet que l'étrange disparition de londoniens trouve son explication dans les représentations d'un magicien Chinois. D'autres tickets retrouvés confirment les soupçons du détective... Critique : Ce diptyque dans la tête de Sherlock Homes a rencontré un énorme succès auprès des lecteurs. En effet, on peut suivre toutes les réflexions et déductions du célèbre détective puisqu'on est projeté à l'intérieur de sa tête. Tous les détails et indices nous sont expliqués ainsi que le cheminement pour résoudre une affaire. Sherlock est bien entendu accompagné par le docteur Watson qui le seconde dans ses enquêtes et sur le terrain. Les éditions Ankama ont eu l'excellente idée de proposer un coffret des archives de Sherlock Holmes. Le coffret s'ouvre en grand avec plusieurs cases représentant les moments importants de l'enquête comme dans un bureau, avec deux ex-libris façon tickets de spectacles du magicien de Wu-Jing. Ce magnifique coffret est en édition limitée pour les collectionneurs et participe à l'immersion dans la tête de Sherlock à sa façon. Benoit Dahan réalise un travail exceptionnel de création sur chaque planche. La construction des planches ainsi que sa mise en scène sont fabuleuses surtout quand on rentre dans la tête de Sherlock. Je recommande fortement la lecture de ce diptyque en espérant avoir prochainement une autre enquête. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/coffret-dans-la-tete-de-sherlock-holmes-tomes-1-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. alx23

    On la trouvait plutôt jolie

    Les adaptations en bande dessinée de romans à succès sont de plus en plus fréquentes actuellement, c'est une bonne manière de découvrir des auteurs que l'on connait pas ou que l’on n’a jamais lu. On la trouvait plutôt jolie à l'origine est un best-seller du romancier Michel Bussi dont Joël Alessandra réalise l'adaptation ainsi que les dessins. Ce thriller nous propose de suivre la destinée tragique de Leyli Maal, originaire d'une petite ville proche de Bamako au Mali. Elle vit désormais à Marseille et s'occupe de faire le ménage pour subvenir à ses besoins et ceux de ses trois enfants. On va découvrir son parcours de réfugiée lors de passage tout en sépia avec des flashbacks. On comprend toutes les difficultés que les réfugiés rencontrent durant leur voyage, les trahisons de proches et l'espoir qui leur permet d'avancée et de fuir leur vie détruite ou de misère. Le récit est très fort par ses propos avec une trame d'enquête policière et de vengeance. Les dessins de Joël Alessandra sont de grande qualité avec des couleurs en aquarelle dans un style réaliste pour être proche du récit. On voyage en Afrique jusqu'à dans les quartiers de Marseille. On la trouvait plutôt jolie est un mélange entre récit policier et thriller à suspense très bien orchestré.
  14. Titre de l'album : On la trouvait plutôt jolie Scenariste de l'album : Joël Alessandra Dessinateur de l'album : Joël Alessandra Coloriste : Joël Alessandra Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : À Port-de-Bouc, près de Marseille, Leyli Maal fait le ménage dans des hôtels pour subvenir aux besoins de ses trois enfants, Bamby, Alpha et Tidiane. Personne ne peut se douter que Leyli cache un lourd secret. « - Qu'est-ce qui ne va pas, Leyli ? Vous êtes jolie. Vous avez trois jolis enfants. Bamby, Alpha, Tidiane. Vous vous en êtes bien sortie. - Ce sont les apparences, tout ça. Du vent. Il nous manque l'essentiel. Je suis une mauvaise mère. Mes trois enfants sont condamnés. Mon seul espoir est que l'un d'eux, l'un d'eux peut-être, échappe au sortilège. Elle ferma les yeux. Il demanda encore : - Qui l'a lancé, ce sortilège ? - Vous. Moi. La terre entière. Personne n'est innocent dans cette affaire.» Critique : Les adaptations en bande dessinée de romans à succès sont de plus en plus fréquentes actuellement, c'est une bonne manière de découvrir des auteurs que l'on connait pas ou que l’on n’a jamais lu. On la trouvait plutôt jolie à l'origine est un best-seller du romancier Michel Bussi dont Joël Alessandra réalise l'adaptation ainsi que les dessins. Ce thriller nous propose de suivre la destinée tragique de Leyli Maal, originaire d'une petite ville proche de Bamako au Mali. Elle vit désormais à Marseille et s'occupe de faire le ménage pour subvenir à ses besoins et ceux de ses trois enfants. On va découvrir son parcours de réfugiée lors de passage tout en sépia avec des flashbacks. On comprend toutes les difficultés que les réfugiés rencontrent durant leur voyage, les trahisons de proches et l'espoir qui leur permet d'avancée et de fuir leur vie détruite ou de misère. Le récit est très fort par ses propos avec une trame d'enquête policière et de vengeance. Les dessins de Joël Alessandra sont de grande qualité avec des couleurs en aquarelle dans un style réaliste pour être proche du récit. On voyage en Afrique jusqu'à dans les quartiers de Marseille. On la trouvait plutôt jolie est un mélange entre récit policier et thriller à suspense très bien orchestré. Autres infos : Editions: Robert Lafon Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/on-la-trouvait-plutot-jolie?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. alx23

    Hercule Poirot - Poirot joue le jeu

    Ce nouvel album d'Hercule Poirot est le huitième épisode de la série d'adaptation en bande dessinée des romans d'Agatha Christie. Marek avait déjà réalisé la partie graphique de rendez-vous avec ma mort, le second tome de la série. Aujourd'hui, il réalise en auteur complet cet épisode où une chasse au faux meurtre est organisée par l'amie du détective lors d'une kermesse pour récolter des fonds. Dès les premières planches, on plonge dans le vif du sujet avec Hercule Poirot qui est présenté à tout une galerie de personnages qui semblent et peuvent être tout plus ou moins suspect. Car la jeune femme qui joue le rôle du cadavre va vraiment être tué. En plus des dialogues, on profite également d'une voix-off qui nous donne des indications et réflexions du détective alors qu'il discute où observe des situations banales. Les dessins sont agréables et participent bien à l'enquête avec des points de vue orientés sur des objets ou des personnages pour nous guider dans la résolution de l'enquête. Cet album est bien entendu très classique pour une enquête d'Hercule Poirot et devrait convenir aux adeptes du détective. Le rythme est bien évidemment très calme comme d'habitude.
  16. Titre de l'album : Hercule Poirot - Poirot joue le jeu Scenariste de l'album : Marek Dessinateur de l'album : Marek Coloriste : Marek Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Une chasse au faux meurtre, mais un vrai cadavre. Un cadre enchanteur et des secrets de famille. La disparition de la maitresse des lieux, et l'arrivée d'un invité surprise. Au coeur d'une intrigue complexe, Hercule Poirot se trouve à nouveau confronté au mal. Mais pour le détective belge, il n'est pas question de jouer avec le crime. Utilisant toute la puissance de ses petites cellules grises, il va tout mettre en oeuvre pour confondre le coupable. Situé dans une des propriétés de la Reine du crime, une enquête policière qui prouve une fois de plus que Poirot ne plaisante pas avec le crime ! Critique : Ce nouvel album d'Hercule Poirot est le huitième épisode de la série d'adaptation en bande dessinée des romans d'Agatha Christie. Marek avait déjà réalisé la partie graphique de rendez-vous avec ma mort, le second tome de la série. Aujourd'hui, il réalise en auteur complet cet épisode où une chasse au faux meurtre est organisée par l'amie du détective lors d'une kermesse pour récolter des fonds. Dès les premières planches, on plonge dans le vif du sujet avec Hercule Poirot qui est présenté à tout une galerie de personnages qui semblent et peuvent être tout plus ou moins suspect. Car la jeune femme qui joue le rôle du cadavre va vraiment être tué. En plus des dialogues, on profite également d'une voix-off qui nous donne des indications et réflexions du détective alors qu'il discute où observe des situations banales. Les dessins sont agréables et participent bien à l'enquête avec des points de vue orientés sur des objets ou des personnages pour nous guider dans la résolution de l'enquête. Cet album est bien entendu très classique pour une enquête d'Hercule Poirot et devrait convenir aux adeptes du détective. Le rythme est bien évidemment très calme comme d'habitude. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hercule-poirot-poirot-joue-le-jeu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. alx23

    Une étude en émeraude

    Ce comics est l'adaptation d’une nouvelle écrit par Neil Gaiman, auteur de nombreux comics cultes comme Sandman pour ne citer que celui-là. Le scénariste Rafael Scavone se charge de son adaptation en comics. Avec une étude en émeraude, les auteurs s'inspirent des univers d’Arthur Conan Doyle pour la partie Sherlock Holmes et de Howard Phillips Lovecraft pour la partie des grands anciens, ces divinités sombres et tentaculaires. L'histoire est donc un mélange de récit policier avec une partie fantastique bien présente. Dans le monde du détective privé, les grands anciens gouvernent les hommes avec de postes clés parmi les familles royales. Cette dimension apporte évidemment beaucoup d'originalité à l'histoire mais l'on pourra regretter que le récit ne développe pas assez ce concept. Il reste très plaisant de suivre les aventures du détective avec toutes ses déductions qui ont fait son succès. La partie graphique est réalisée par Rafael Albuquerque très en forme sur cette histoire. Les planches sont de qualité avec une ambiance bien sombre comme on peut l'attendre d'un tel récit. Pour parfaire l'ensemble, Dave Stewart assure les couleurs. Avec Une étude en émeraude, les auteurs rendent de nombreux hommages comme vous pourrez le découvrir à des références de la littératures de cette époque, comme le docteur Jekyll et mister Hyde ou Dracula avec Vlad Tepes.
  18. Titre de l'album : Une étude en émeraude Scenariste de l'album : Rafael Scavone, Neil Gaiman Dessinateur de l'album : Rafael Albuquerque Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : L'éventreur frappe à Londres et seul le plus grand détective du monde saura l'arrêter ! Face à un étrange assassinat d'horreur cosmique, un détective de génie et son partenaire sont appelés à l'aide. Dans un monde où Sherlock Holmes et Chtulhu cohabitent, ce mystère surnaturel conduira les deux enquêteurs de Baker Street jusqu'au Palais de la Reine afin de résoudre un meurtre transcendant le genre humain. Après avoir remporté les prix Hugo, Bram Stoker, Locus, World Fantasy et Nebula, l'écrivain à succès Neil Gaiman nous livre cette adaptation en roman graphique, assisté au dessin par Rafael Albuquerque ! Critique : Ce comics est l'adaptation d’une nouvelle écrit par Neil Gaiman, auteur de nombreux comics cultes comme Sandman pour ne citer que celui-là. Le scénariste Rafael Scavone se charge de son adaptation en comics. Avec une étude en émeraude, les auteurs s'inspirent des univers d’Arthur Conan Doyle pour la partie Sherlock Holmes et de Howard Phillips Lovecraft pour la partie des grands anciens, ces divinités sombres et tentaculaires. L'histoire est donc un mélange de récit policier avec une partie fantastique bien présente. Dans le monde du détective privé, les grands anciens gouvernent les hommes avec de postes clés parmi les familles royales. Cette dimension apporte évidemment beaucoup d'originalité à l'histoire mais l'on pourra regretter que le récit ne développe pas assez ce concept. Il reste très plaisant de suivre les aventures du détective avec toutes ses déductions qui ont fait son succès. La partie graphique est réalisée par Rafael Albuquerque très en forme sur cette histoire. Les planches sont de qualité avec une ambiance bien sombre comme on peut l'attendre d'un tel récit. Pour parfaire l'ensemble, Dave Stewart assure les couleurs. Avec Une étude en émeraude, les auteurs rendent de nombreux hommages comme vous pourrez le découvrir à des références de la littératures de cette époque, comme le docteur Jekyll et mister Hyde ou Dracula avec Vlad Tepes. Autres infos : Edition Black River Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/une-etude-en-emeraude?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Chapeau bas à M. Runberg pour nous proposer sur ce tome d'Optic Squad un vrai scénario bien foutu, complexe, avec de mutliples intérêts et intrigues croisées. Le rythme est bon, très soutenu, et les enjeux finissent pas être clairs. C'est un plaisir de lire M. Runberg quand il est à ce niveau là. C'est un grand oui, cet Optic Squad commence sérieusement à se rapprocher de ce que Carmen Mc Callum a pu nous proposer. Alors comme c'est une sacrée référence, je vais quand même y apporter un bémol. Les dessins du tome 1 m'avaient laissé une belle impression, mais là en lisant ce tome 2 il y a quelque chose qui m'a un peu gêné. C'est beau, c'est bien fait, mais j'ai eu du mal à rentrer dans le dessin. Hors le dessinateur n'a pas changé et seul le coloriste à changé entre les deux tomes. J'aurais beaucoup de mal à vous expliquer quelles sont les différences qui m'ont embêté, même en ayant posé et ouvert les deux tomes côte à côte. Alors faites vous votre impression puisque pour moi ce dont je parle est déjà visible en comparant les deux couv'. Puis venez en discuter avec moi. Quoiqu'il en soit Optic Squad est une bonne série de science fiction que je ne peux que vous recommander.
  20. Titre de l'album : Optic Squad - Tome 2 - Mission Los Angeles Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Stéphane Bervas Coloriste : Stéphane Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Californie, le candidat favori Zak Demarest, est en campagne et brigue son deuxième mandat de Président des Western States. Tandis qu’il promeut son futur projet de santé publique d’Imunocard, la délégation est violemment attaquée par un groupe néofaciste, qui considère le programme social de Demarest comme une atteinte aux valeurs de la liberté. L’attentat fait plusieurs victimes dont l’un des agents des Optic Squad infiltrés dans le staff du candidat. Katryn est désignée pour poursuivre la mission d’infiltration avec Valdo. Suite à une série de décès assez obscurs au sein des sympathisants de Demarest, de forts soupçons de dangerosité et de manipulation pèsent sur la technologie envisagée. Les Optic Squad n’ont que les quelques jours qui les séparent des élections pour découvrir si les bonnes intentions du Président sont bien réelles. Critique : Chapeau bas à M. Runberg pour nous proposer sur ce tome d'Optic Squad un vrai scénario bien foutu, complexe, avec de mutliples intérêts et intrigues croisées. Le rythme est bon, très soutenu, et les enjeux finissent pas être clairs. C'est un plaisir de lire M. Runberg quand il est à ce niveau là. C'est un grand oui, cet Optic Squad commence sérieusement à se rapprocher de ce que Carmen Mc Callum a pu nous proposer. Alors comme c'est une sacrée référence, je vais quand même y apporter un bémol. Les dessins du tome 1 m'avaient laissé une belle impression, mais là en lisant ce tome 2 il y a quelque chose qui m'a un peu gêné. C'est beau, c'est bien fait, mais j'ai eu du mal à rentrer dans le dessin. Hors le dessinateur n'a pas changé et seul le coloriste à changé entre les deux tomes. J'aurais beaucoup de mal à vous expliquer quelles sont les différences qui m'ont embêté, même en ayant posé et ouvert les deux tomes côte à côte. Alors faites vous votre impression puisque pour moi ce dont je parle est déjà visible en comparant les deux couv'. Puis venez en discuter avec moi. Quoiqu'il en soit Optic Squad est une bonne série de science fiction que je ne peux que vous recommander. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/optic-squad-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
×
×
  • Créer...