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  1. Titre de l'album : (Dé)rangée tome 3 Scenariste de l'album : Manon Dessinateur de l'album : Greg Blondin Coloriste : Manon Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Et si la petite voix que vous avez dans la tête apparaissait devant vous ? Entre son travail très prenant, sa vie de couple et sa mère qui devient de plus en plus dépendante, Mia n'a pas une minute à elle. Mais ça lui va très bien, car Mia est une fille sérieuse et adulte. Peut-être trop ? C'est vrai qu'elle ne s'amuse pas beaucoup. Jamais pourrait-on dire... Jusqu'à ce que sa petite voix apparaisse. Une petite voix qui prend tout à la rigolade. Normal, elle n'a que 7 ans ! Mais il va lui falloir déployer un max d'effort pour amener Mia à lâcher prise et à profiter un peu plus de la vie. Critique : Réfléchir et imaginer un dialogue avec l'enfant/adolescent qu'on a été est un thème que j'aime beaucoup, qui me parler et qui m'interroge. Alors forcément cette opus de la série (Dé)rangées est un peu fait pour moi. Je n'avais pas lu les deux premiers, alors cette chronique ne pourra vous éclairer sur d'éventuelles redondances, ou sur un sentiment de répétition de l'ensemble, mais ces trois tomes pouvant être lus séparément et semblant traiter de traits de caractère différents, je pense que cela ne pose pas vraiment de soucis. Le dessin de Greg Blondin est très chaleureux et si l'on reste dans les canons du genre, style girly oblige, c'est un dessin et un style qui colle parfaitement au propos. Les personnages sont vite attachants et les émotions et sentiments transpirent vite du dessin. Côté histoire Manon nous offre une jolie tranche de vie, avec quelques réflexions liées au développement personnel mais sans en faire trop. Le dosage est bien, et on tourne les pages avec plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/derangee-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. The_PoP

    (Dé)rangée tome 3

    Réfléchir et imaginer un dialogue avec l'enfant/adolescent qu'on a été est un thème que j'aime beaucoup, qui me parler et qui m'interroge. Alors forcément cette opus de la série (Dé)rangées est un peu fait pour moi. Je n'avais pas lu les deux premiers, alors cette chronique ne pourra vous éclairer sur d'éventuelles redondances, ou sur un sentiment de répétition de l'ensemble, mais ces trois tomes pouvant être lus séparément et semblant traiter de traits de caractère différents, je pense que cela ne pose pas vraiment de soucis. Le dessin de Greg Blondin est très chaleureux et si l'on reste dans les canons du genre, style girly oblige, c'est un dessin et un style qui colle parfaitement au propos. Les personnages sont vite attachants et les émotions et sentiments transpirent vite du dessin. Côté histoire Manon nous offre une jolie tranche de vie, avec quelques réflexions liées au développement personnel mais sans en faire trop. Le dosage est bien, et on tourne les pages avec plaisir.
  3. The_PoP

    La force de vivre

    Titre de l'album : La force de vivre Scenariste de l'album : Laurent Astier Dessinateur de l'album : Laurent Astier Coloriste : Laurent Astier Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Dès leur rencontre, une amitié forte va naître entre Cyril et Laurent. De celles qui font grandir et changer pour le mieux. L'un, extraverti et solaire, est l'opposé de l'autre, timide et sombre. Le lien qui les unit est pourtant indicible et inexplicable. Laurent Astier raconte comment ce lien d'amitié perdure malgré la disparition de son ami emporté par la maladie. Critique : Il y a des bd qui vous parlent, qui vous attirent comme des aimants. La force de vivre m'a fait cet effet là. Je n'étais pas sensé la lire, et pourtant elle s'est imposée à moi dans une librairie. Grand bien m'en a fait. Hier @Kevin Nivek me demandait quelle était ma lecture de l'année, aujourd'hui en refermant La force de vivre, j'ai une nouvelle réponse à lui apporter. Entendons nous, malgré ses indéniables qualités ce n'est peut être pas le chef d'œuvre graphique, artistique ou narratif de l'année, mais j'ai pleuré en la refermant. Vraiment. Et cela ne m'arrive pas bien souvent dans ma vie. Parfois quand une bd vous émeut à ce point c'est qu'elle fait écho à votre propre vécu. Et ce n'est même pas vraiment le cas ici pour moi, si ce n'est peut être une histoire de génération et de vie dans lesquelles je peux reconnaitre une époque proche de celle que j'ai connu. Par contre la force de vivre nous parle de l'importance de l'amitié et de la vie en général. Beaucoup de chansons, de films, de livres majeurs sont dédiés aux grandes histoires d'amour. L'amitié, elle, a inspiré moins d'œuvres majeures. Et pourtant. En bref je ne sais pas vous dire pourquoi "La force de vivre" m'a autant marqué, mais ce que je sais avec certitude c'est que je ne serais pas le seul tant cette bd renferme une belle puissance évocatrice. Voilà, je connaissais le travail de Laurent Astier par sa série La Venin. Je trouve que sur la Force de vivre son dessin a franchi un énorme cap, plus empathique, plus émouvant. A la fin je ne peux que vous conseiller La force de vivre, surtout pour peu que vous aimiez l'amitié, la vie, les années 80-90 et voir de jeunes adultes se construire, se trouver. Cet ouvrage a été écrit avec les tripes, et il m'a profondément ému et marqué. Ce qui est frappant c'est que l'ensemble est plein de pudeur, de petites joies et de petites douleurs, d'instants remémorés. Pas d'excès, rien de surjoué, simplement souvent le mot juste. La multitude de thématiques rencontrées est aussi magnifique, car La force de vivre ne parle pas que d'un seul sujet mais de la vie en général, de la famille, des enfants, des amours. Les livres hommage sont souvent un peu lourds, un peu trop dans l'emphase, à appuyer sur les émotions et l'empathie, un peu trop dégoulinants. Ici rien de tout ça. Juste une impression de vrai, la vérité de Laurent Astier qui se met à nu. Alors merci M. Astier de m'avoir fait vivre ça, de m'avoir fait revivre des choses, de m'avoir donné autant d'émotions et de réflexions. Merci de nous avoir permis d'accéder à cela. Et merci à votre éditrice, qui a fait de l'excellent travail et dont je ne peux que confirmer la justesse de la direction qu'elle vous a permis de prendre, cela se ressent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-force-de-vivre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. The_PoP

    La force de vivre

    Il y a des bd qui vous parlent, qui vous attirent comme des aimants. La force de vivre m'a fait cet effet là. Je n'étais pas sensé la lire, et pourtant elle s'est imposée à moi dans une librairie. Grand bien m'en a fait. Hier @Kevin Nivek me demandait quelle était ma lecture de l'année, aujourd'hui en refermant La force de vivre, j'ai une nouvelle réponse à lui apporter. Entendons nous, malgré ses indéniables qualités ce n'est peut être pas le chef d'œuvre graphique, artistique ou narratif de l'année, mais j'ai pleuré en la refermant. Vraiment. Et cela ne m'arrive pas bien souvent dans ma vie. Parfois quand une bd vous émeut à ce point c'est qu'elle fait écho à votre propre vécu. Et ce n'est même pas vraiment le cas ici pour moi, si ce n'est peut être une histoire de génération et de vie dans lesquelles je peux reconnaitre une époque proche de celle que j'ai connu. Par contre la force de vivre nous parle de l'importance de l'amitié et de la vie en général. Beaucoup de chansons, de films, de livres majeurs sont dédiés aux grandes histoires d'amour. L'amitié, elle, a inspiré moins d'œuvres majeures. Et pourtant. En bref je ne sais pas vous dire pourquoi "La force de vivre" m'a autant marqué, mais ce que je sais avec certitude c'est que je ne serais pas le seul tant cette bd renferme une belle puissance évocatrice. Voilà, je connaissais le travail de Laurent Astier par sa série La Venin. Je trouve que sur la Force de vivre son dessin a franchi un énorme cap, plus empathique, plus émouvant. A la fin je ne peux que vous conseiller La force de vivre, surtout pour peu que vous aimiez l'amitié, la vie, les années 80-90 et voir de jeunes adultes se construire, se trouver. Cet ouvrage a été écrit avec les tripes, et il m'a profondément ému et marqué. Ce qui est frappant c'est que l'ensemble est plein de pudeur, de petites joies et de petites douleurs, d'instants remémorés. Pas d'excès, rien de surjoué, simplement souvent le mot juste. La multitude de thématiques rencontrées est aussi magnifique, car La force de vivre ne parle pas que d'un seul sujet mais de la vie en général, de la famille, des enfants, des amours. Les livres hommage sont souvent un peu lourds, un peu trop dans l'emphase, à appuyer sur les émotions et l'empathie, un peu trop dégoulinants. Ici rien de tout ça. Juste une impression de vrai, la vérité de Laurent Astier qui se met à nu. Alors merci M. Astier de m'avoir fait vivre ça, de m'avoir fait revivre des choses, de m'avoir donné autant d'émotions et de réflexions. Merci de nous avoir permis d'accéder à cela. Et merci à votre éditrice, qui a fait de l'excellent travail et dont je ne peux que confirmer la justesse de la direction qu'elle vous a permis de prendre, cela se ressent.
  5. Titre de l'album : Son odeur après la pluie Scenariste de l'album : Jose Luis Munuera Dessinateur de l'album : Jose Luis Munuera Coloriste : Jose Luis Munuera Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : C'est une histoire d'amour, de vie et de mort, entre un homme, Cédric, et son chien, Ubac, un bouvier bernois dont la présence devient vite essentielle. Mais le vrai héros, c'est leur lien : unique, universel, dépassant bien des relations humaines. Pendant treize ans, ils partagent rires, inquiétudes et moments fugaces d'intensité, jusqu'à ce que la mort impose son absence. Véritable ode à la vie, ce récit explore l'amour inconditionnel, la vie qui file trop vite, et ces souvenirs persistants, comme une odeur aimée qui reste gravée, même après la pluie. Critique : Gardez bien en tête 4 points important quand à l'auteur de cette chronique, à savoir moi : 1. J'ai un chien 2. J'aime la montagne. 3. Je n'avais jamais lu le roman. 4. J'adore les dessins de Jose Luis Munuera C'est important, car le point 1 conditionne beaucoup le sensibilité que l'on aura à la lecture de cet ouvrage, tous comme dans une moindre mesure j'imagine les points suivants. Gardez donc cela en tête en lisant ce qui suit. Je n'étais pas particulièrement emballé à la lecture de cet ouvrage, que je redoutais trop mélencolique/introspectif pour ma soif d'aventures dessinées actuelle. Comme quoi même au bout de plus de trente ans d'amour de la bd, on continue de penser des bêtises. Et oui, évidemment, sous estimer Jose Luis Munuera est une Monumentale erreur ! Son dessin est encore une fois sublime, plus réaliste que sur certaines de ces dernières sorties, plus contemplatif aussi, on sent qu'il a lui aussi été contaminé par ce récit, mais aussi par ces paysages, ce Vercors, et ces Alpes que l'on aime tant. L'histoire elle est plus classique, plus convenue, mais elle est racontée avec une belle pudeur, avec plus de détails que de grandes philosophies, ce qui la rend riche de ce qui n'est pas écrit ou dit. Les personnages sont tous sublimes et travaillés, vivants, et nous inspirant vite une forte empathie. Les émotions sont présentes, mais adoucies par la montagne, par la pudeur des auteurs. Et puis il y a cette ode à la nature, à la liberté, et à la fuite qui résonne en douceur en arrière plan. C'est une très belle bd, de celle qui provoque des émotions, et que vous pourrez rouvrir un jour juste pour la contempler. Ne passez à côté que si vous êtes vraiment allergique aux animaux. Et merci M. Munuera. Autres infos : D'après le roman de Cédric Sapin-Defour Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/son-odeur-apres-la-pluie/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. The_PoP

    Après l'orage

    Titre de l'album : Après l'orage Scenariste de l'album : Jean Cremers Dessinateur de l'album : Jean Cremers Coloriste : Jean Cremers Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Tandis que le niveau de l'eau monte dangereusement, Hélène se retrouve prisonnière d'une maison pleine de silences et de souvenirs. Mais à mesure que l'orage gronde, c'est un autre combat qui se joue en elle : celui de briser les liens invisibles d'une vie qui l'étouffe. Critique : Encore un joli roman graphique aux éditions du lombard pour moi, j'ai de la chance. En plus cette fournée de Printemps est de qualité, et ce Après l'orage ne déroge pas à la règle. Cette fois-ci on va aborder des thèmes un peu plus lourds dans ce huis clos assez contemplatif aux ambiances réussies. Si le but n'est clairement pas de pousser les grandes réflexions sur la vie très loin, j'ai aimé les interactions simples et réels et la relation parents/enfants si bien écrite. Les personnages sont tous bien campés, et les dialogues font vraiment mouche. Les dessins de Jean Cremers sortent un petit peu des choses habituelles en roman graphique "tranche de vie - drame" notamment sur certains visages. A noter que c'est l'auteur de Vague de froid que nous avions déjà beaucoup aimé ici. Après l'orage est encore une belle réussite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/apres-l-orage-9782808215053/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Son odeur après la pluie

    Gardez bien en tête 4 points important quand à l'auteur de cette chronique, à savoir moi : 1. J'ai un chien 2. J'aime la montagne. 3. Je n'avais jamais lu le roman. 4. J'adore les dessins de Jose Luis Munuera C'est important, car le point 1 conditionne beaucoup le sensibilité que l'on aura à la lecture de cet ouvrage, tous comme dans une moindre mesure j'imagine les points suivants. Gardez donc cela en tête en lisant ce qui suit. Je n'étais pas particulièrement emballé à la lecture de cet ouvrage, que je redoutais trop mélencolique/introspectif pour ma soif d'aventures dessinées actuelle. Comme quoi même au bout de plus de trente ans d'amour de la bd, on continue de penser des bêtises. Et oui, évidemment, sous estimer Jose Luis Munuera est une Monumentale erreur ! Son dessin est encore une fois sublime, plus réaliste que sur certaines de ces dernières sorties, plus contemplatif aussi, on sent qu'il a lui aussi été contaminé par ce récit, mais aussi par ces paysages, ce Vercors, et ces Alpes que l'on aime tant. L'histoire elle est plus classique, plus convenue, mais elle est racontée avec une belle pudeur, avec plus de détails que de grandes philosophies, ce qui la rend riche de ce qui n'est pas écrit ou dit. Les personnages sont tous sublimes et travaillés, vivants, et nous inspirant vite une forte empathie. Les émotions sont présentes, mais adoucies par la montagne, par la pudeur des auteurs. Et puis il y a cette ode à la nature, à la liberté, et à la fuite qui résonne en douceur en arrière plan. C'est une très belle bd, de celle qui provoque des émotions, et que vous pourrez rouvrir un jour juste pour la contempler. Ne passez à côté que si vous êtes vraiment allergique aux animaux. Et merci M. Munuera.
  8. The_PoP

    Après l'orage

    Encore un joli roman graphique aux éditions du lombard pour moi, j'ai de la chance. En plus cette fournée de Printemps est de qualité, et ce Après l'orage ne déroge pas à la règle. Cette fois-ci on va aborder des thèmes un peu plus lourds dans ce huis clos assez contemplatif aux ambiances réussies. Si le but n'est clairement pas de pousser les grandes réflexions sur la vie très loin, j'ai aimé les interactions simples et réels et la relation parents/enfants si bien écrite. Les personnages sont tous bien campés, et les dialogues font vraiment mouche. Les dessins de Jean Cremers sortent un petit peu des choses habituelles en roman graphique "tranche de vie - drame" notamment sur certains visages. A noter que c'est l'auteur de Vague de froid que nous avions déjà beaucoup aimé ici. Après l'orage est encore une belle réussite.
  9. The_PoP

    Tu ne marcheras jamais seule

    C'est peu dire que j'ai beaucoup aimé les dernières parutions de l'homme étoilé. Sa façon d'évoquer la mort, la maladie et la fin de vie, pleine d'humanité, de tendresse, et qui semble tellement ancré dans le réel m'avait touché. Ici il nous revient en sortant un petit peu de son univers de prédilection à travers cette tranche de vie et ce drame assez intelligent. Seul bémol, le twist utilisé est un peu grossier et visible, cela a déjà été fait au cinéma ou en bd récemment alors forcément, si l'on a vu l'un de ces films ou lu l'une de ces bd, on le verra venir ce qui affaiblit un peu le plaisir de lire. Mais je vais essayer de ne rien vous divulger/gâcher. Mais c'est un léger bémol, car pour le reste on retrouve toute la justesse et la sensibilité qui le caractérise en tant qu'auteur. Les personnages sont bien réels, les dialogues font mouches, les atmosphères sont belles et on ressent tout de suite de l'empathie pour ces personnages. Bon ils manquent peut être un chouïa d'originalité graphiquement parlant. Mais je pinaille, c'est bien, c'est beau, et ça reste humain et positif malgré les drames. Une belle lecture, et définitivement un auteur à suivre, que j'aimerais voir s'essayer sur une thématique un peu plus éloignée la prochaine fois. Allez chiche !
  10. Titre de l'album : Tu ne marcheras jamais seule Scenariste de l'album : L'homme étoilé Dessinateur de l'album : L'homme étoilé Coloriste : L'homme étoilé Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Alors qu'elle attend un enfant, Clémentine sent son compagnon Simon s'éloigner… Dans sa quête pour le ramener, elle se heurte à un vide qu'elle peine à comprendre. Par une intrigue bouleversante, L'homme étoilé parvient à nous faire explorer les méandres de la solitude avec délicatesse et sensibilité. Critique : C'est peu dire que j'ai beaucoup aimé les dernières parutions de l'homme étoilé. Sa façon d'évoquer la mort, la maladie et la fin de vie, pleine d'humanité, de tendresse, et qui semble tellement ancré dans le réel m'avait touché. Ici il nous revient en sortant un petit peu de son univers de prédilection à travers cette tranche de vie et ce drame assez intelligent. Seul bémol, le twist utilisé est un peu grossier et visible, cela a déjà été fait au cinéma ou en bd récemment alors forcément, si l'on a vu l'un de ces films ou lu l'une de ces bd, on le verra venir ce qui affaiblit un peu le plaisir de lire. Mais je vais essayer de ne rien vous divulger/gâcher. Mais c'est un léger bémol, car pour le reste on retrouve toute la justesse et la sensibilité qui le caractérise en tant qu'auteur. Les personnages sont bien réels, les dialogues font mouches, les atmosphères sont belles et on ressent tout de suite de l'empathie pour ces personnages. Bon ils manquent peut être un chouïa d'originalité graphiquement parlant. Mais je pinaille, c'est bien, c'est beau, et ça reste humain et positif malgré les drames. Une belle lecture, et définitivement un auteur à suivre, que j'aimerais voir s'essayer sur une thématique un peu plus éloignée la prochaine fois. Allez chiche ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tu-ne-marcheras-jamais-seule/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Les nageuses de Minuit Scenariste de l'album : Valentina Grande Dessinateur de l'album : Francesco Dibattista Coloriste : Francesco Dibattista Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Il y a des événements qui changent la vie. C'est ce qui arrive à Vik, une enseignante qui vit seule dans son appartement new-yorkais. Elle a le sentiment de ne pas être arrivée là où elle le voulait. Est-ce qu'elle a fait les mauvais choix ? Lorsqu'un jour elle entre par hasard dans une piscine publique, elle est attirée par une équipe de natation synchronisée, en plein ballet aquatique. Quelle est l'histoire de ces femmes plus âgées, qui semblent se mouvoir dans l'eau avec une telle aisance ? Vik, elle, ne sait pas nager. Mais elle n'est pas la seule à cacher un secret et ces nouvelles amitiés la mèneront plus loin qu'elle ne l'imagine... car c'est peut-être le moment d'affronter ses peurs et de faire le grand saut ? Critique : Voilà un joli roman graphique comme je les aime. Des sujets lourds mais pas improbables, des destins mêlés sans être trop pleins de dramaturgies, avec surtout beaucoup des petits rien qui constituent la vie. Des incompréhensions, des injustices, tout ce avec quoi on se construit et sur lequel on doit vivre. Et surtout cette belle amitié naissante entre femmes, entre battantes qui présentent le féminisme comme une lutte presque contre soi, contre son regard avant même d'être une lutte contre une société ou les hommes. Il se dégage de cette bd une belle force et une belle atmosphère. J'ai bien aimé le fait que les personnages semblent réels, sans fausses pudeurs, sans être tous beaux, regardant leurs propres défauts, y compris corporels en face. Bref, une BD sur de vrais gens, avant même d'être une bd sur l'émancipation ou les combats raciaux. C'est fin et intelligent. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-nageuses-de-minuit/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant.
  13. Titre de l'album : Dans le premier train du matin tome 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : Yûgo Aosaki Dessinateur de l'album : Shirohiko Yamada Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Il est censé n'y avoir personne dans le premier train du matin... Pourtant, elle est là. Une fille de ma classe d'ordinaire peu bavarde. La raison de notre présence dans ce train ? Telle est la question. Découvrez cette histoire et bien d'autres qui mettent en scène toute la complexité de l'esprit à l'adolescence ! Critique : Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-premier-train-du-matin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Les nageuses de Minuit

    Voilà un joli roman graphique comme je les aime. Des sujets lourds mais pas improbables, des destins mêlés sans être trop pleins de dramaturgies, avec surtout beaucoup des petits rien qui constituent la vie. Des incompréhensions, des injustices, tout ce avec quoi on se construit et sur lequel on doit vivre. Et surtout cette belle amitié naissante entre femmes, entre battantes qui présentent le féminisme comme une lutte presque contre soi, contre son regard avant même d'être une lutte contre une société ou les hommes. Il se dégage de cette bd une belle force et une belle atmosphère. J'ai bien aimé le fait que les personnages semblent réels, sans fausses pudeurs, sans être tous beaux, regardant leurs propres défauts, y compris corporels en face. Bref, une BD sur de vrais gens, avant même d'être une bd sur l'émancipation ou les combats raciaux. C'est fin et intelligent.
  15. Titre de l'album : Zia Zinzin - Retour en Corse Scenariste de l'album : Caroline Nasica Dessinateur de l'album : Caroline Nasica Coloriste : Caroline Nasica Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après une rupture, Caroline retourne en Corse pour retrouver son île, sa famille, sa mamie, ses zie (ses tantes) et son village. Mais, à son arrivée, le choc est rude. Le village est désert, la famille a vieilli, et ceux qui restent regrettent l'avant. Les octogénaires qui demeurent portent les souvenirs d'une jeunesse passée, de villages vivants, d'une langue qui se perd mais aussi des histoires comiques, des récits folkloriques et pittoresques, incarnés par des personnages réels totalement zinzins. "Zia Zinzin", c'est une bande dessinée qui parle de retour aux sources, d'un été au village, d'identité et de légendes familiales. Critique : Pour commencer, je dois vous avouer que je n'ai jamais mis les pieds en Corse. trop de monde y va l'été et ca a tendance à me faire fuir. Je ne pourrais donc absolument pas vous dire si le récit de Caroline Nasica reflète la vie Corse. Je ne peux que lui faire confiance. Mais ce qui est sur c'est que cette tranche de vie reflète un retour aux origines qui est transposable dans toutes les régions. Un retour aux origines qui peu s'avérer salutaire et que l'on a tous fait. Un retour le temps d'un été. Propice aux bons souvenirs des temps insouciants de la jeunesse. Un retour aux sources qui prend ici un petit coté dépaysant avec le franc-parler Corse mais qui nous rappelle que faire un break pour se ressourcer est toujours une bonne chose. Cela permet de dédramatiser mais aussi de se vider la tête. Un album qui prend son temps et réussi à nous embarquer dans sa décompression, nous rappelant, nous aussi, à nos aventures de jeunesses. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zia-zinzin-retour-en-corse?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Zia Zinzin - Retour en Corse

    Pour commencer, je dois vous avouer que je n'ai jamais mis les pieds en Corse. trop de monde y va l'été et ca a tendance à me faire fuir. Je ne pourrais donc absolument pas vous dire si le récit de Caroline Nasica reflète la vie Corse. Je ne peux que lui faire confiance. Mais ce qui est sur c'est que cette tranche de vie reflète un retour aux origines qui est transposable dans toutes les régions. Un retour aux origines qui peu s'avérer salutaire et que l'on a tous fait. Un retour le temps d'un été. Propice aux bons souvenirs des temps insouciants de la jeunesse. Un retour aux sources qui prend ici un petit coté dépaysant avec le franc-parler Corse mais qui nous rappelle que faire un break pour se ressourcer est toujours une bonne chose. Cela permet de dédramatiser mais aussi de se vider la tête. Un album qui prend son temps et réussi à nous embarquer dans sa décompression, nous rappelant, nous aussi, à nos aventures de jeunesses.
  17. poseidon2

    The song about green tome 1 & 2

    Qu'est-ce que c'est beau. Dans tous les sens du terme. Graphiquement, et n'en déplaise à l'auteure, à en croire ces dires en fin d'histoire, c'est superbe. Les émotions sont d'un naturel rare dans les mangas courant et les paysages subliment. Mais il n'y a pas que graphiquement que c'est beau. L'histoire elle-même l'est tout aussi. Elle respire la vérité. Pas de surenchère de sentiment, pas d'étalage de sentiment... rien de plus que les premiers émois d'une jeune fille timide et sa découverte d'un musicien , part sa musique, l'aide à sortir de sa coquille et à s'assumer. Rien de grandiloquent. Rien d'extravagant. Juste la vie d'une jeune fille à un âge compliqué. Rien de plus. Mais ce n'était pas nécessaire. Une très belle histoire qui se s'apprécie et se lisant !
  18. Titre de l'album : The song about green tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Yan Gao Dessinateur de l'album : Yan Gao Coloriste : Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : À Taïwan, Lu et Nanjun se rencontrent au sortir de l’adolescence autour de leur passion commune pour la culture japonaise, de Haruki Murakami aux grandes figures de la pop. Subtile chronique douce-amère d’un premier amour qui vibre entre Taïwan et Tokyo, The Song about Green séduit par sa maturité graphique et sa justesse. Critique : Qu'est-ce que c'est beau. Dans tous les sens du terme. Graphiquement, et n'en déplaise à l'auteure, à en croire ces dires en fin d'histoire, c'est superbe. Les émotions sont d'un naturel rare dans les mangas courant et les paysages subliment. Mais il n'y a pas que graphiquement que c'est beau. L'histoire elle-même l'est tout aussi. Elle respire la vérité. Pas de surenchère de sentiment, pas d'étalage de sentiment... rien de plus que les premiers émois d'une jeune fille timide et sa découverte d'un musicien , part sa musique, l'aide à sortir de sa coquille et à s'assumer. Rien de grandiloquent. Rien d'extravagant. Juste la vie d'une jeune fille à un âge compliqué. Rien de plus. Mais ce n'était pas nécessaire. Une très belle histoire qui se s'apprécie et se lisant ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/song-about-green-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Zoé Carrington - Tome 2 Scenariste de l'album : Jim Dessinateur de l'album : Jim & Rémi Torregrossa Coloriste : Delphine Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : C'étaient vos années d'études à Londres. Vous rêviez tous de devenir des rois de la finance. Et puis, tu as rencontré Zoé... Tu te souviens des rues bondées, des pubs bruyants de Covent Garden, des rires qui claquaient au rythme des shooters, et des nuits qui duraient quarante-huit heures. Aujourd'hui, les visages familiers ont changé, et certains ne reviendront plus. Aujourd'hui, c'est une fête insensée dans un manoir, c'est le bruit des retrouvailles, et l'ombre du deuil qui plane sur ceux qui s'imaginaient invincibles. C'est l'histoire de trois amis. C'est l'histoire d'une seule personne. Elle.Zoé Carrington.Après le succès d'Une nuit à Rome, Zoé Carrington est le nouveau récit-phare de Jim. Une histoire bouleversante, traversée de personnages forts et inoubliables. Critique : Ce tome 2 est la conclusion du nouveau diptyque de Jim sur le modèle de son best seller "Une nuit à Rome". Si les lecteurs ne se retrouveront pas trop dépaysés, il faut bien reconnaitre qu'il y a pourtant de nombreuses divergences, et qu'il réussit à nous livrer un récit vraiment différent. La fin est parfois un peu abracadabrantesque mais elle reste très réussie, ne cédant pas à la facilité et respectant ses personnages. Jim nous livre d'ailleurs comment son récit a su évoluer au fil du temps. Comme à son habitude les thèmes de l'amour, de la mort, de la jeunesse et de nos illusions perdues sont omniprésents. Les personnages restent très réussis, et l'ambiance est globalement bien rendue. Côté dessin, Jim se fait aider de Rémi Torregrossa pour les décors et de Delphine pour les couleurs, et le résultat est réussi, dans la lignée d'Une nuit à Rome. Pas de révolution de ce côté là. A noter quelques cases aux colorisations très marquées pour dépeindre un univers onirique et qui rendent vraiment bien. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zoe-carrington-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. The_PoP

    Zoé Carrington - Tome 2

    Ce tome 2 est la conclusion du nouveau diptyque de Jim sur le modèle de son best seller "Une nuit à Rome". Si les lecteurs ne se retrouveront pas trop dépaysés, il faut bien reconnaitre qu'il y a pourtant de nombreuses divergences, et qu'il réussit à nous livrer un récit vraiment différent. La fin est parfois un peu abracadabrantesque mais elle reste très réussie, ne cédant pas à la facilité et respectant ses personnages. Jim nous livre d'ailleurs comment son récit a su évoluer au fil du temps. Comme à son habitude les thèmes de l'amour, de la mort, de la jeunesse et de nos illusions perdues sont omniprésents. Les personnages restent très réussis, et l'ambiance est globalement bien rendue. Côté dessin, Jim se fait aider de Rémi Torregrossa pour les décors et de Delphine pour les couleurs, et le résultat est réussi, dans la lignée d'Une nuit à Rome. Pas de révolution de ce côté là. A noter quelques cases aux colorisations très marquées pour dépeindre un univers onirique et qui rendent vraiment bien.
  21. Titre de l'album : L'histoire de papa, papa et moi tome 1 Scenariste de l'album : Roji Dessinateur de l'album : Roji Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Maintenant que le mariage homosexuel a été légalisé, Nao et Ai, qui sortent ensemble depuis l'université, décident de sceller leur union et d'adopter un petit garçon nommé Hiro. Nao est un jeune homme sensible qui pleure facilement, tandis qu'Ai est plus du genre à tout prendre à la légère. Leurs différences les aideront-elles dans cette grande aventure qu'est la parentalité ? Comment vont-ils gérer les premiers grands moments de la vie de leur fils ? Critique : Après leur mariage, Nao et Ai, un couple homosexuel décide de franchir un nouveau cap en adoptant un enfant. S’ils apprennent à devenir parent au fur et à mesure en découvrant les petits bonheurs et inconvénients de leur nouvelle responsabilité, ils doivent aussi faire face au regard des autres plus aiguisé pour eux dans un pays qui n’est pas encore habitué à une parentalité homosexuelle. Quand on devient parent, on se pose beaucoup de questions, il y a une grosse responsabilité à élever un enfant. Est-ce que je fais bien les choses ? Comment faire pour protéger mon enfant ? Le rendre heureux ? Suis-je à la hauteur ?... En même temps, chacun doit trouver sa place dans la famille et il y a forcément des contraintes à prendre en compte même si on le fait avec plaisir et sans compter !! Mais cette introspection renvoie également à notre propre enfance, aux relations que nous avons eues avec nos parents. C’est ainsi que Nao doit affronter les fantômes de son passé notamment l’absence de sa mère. Si cette histoire est parfois mignonne, elle est aussi très terre-à-terre. Elle nous met en face de réalités concrètes auxquelles tout parent doit faire face. Même si c’est nécessaire pour la compréhension, c’est un peu trop verbal à mon goût et le tout manque un peu d’entrain. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-histoire-de-papa-papa-et-moi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Après leur mariage, Nao et Ai, un couple homosexuel décide de franchir un nouveau cap en adoptant un enfant. S’ils apprennent à devenir parent au fur et à mesure en découvrant les petits bonheurs et inconvénients de leur nouvelle responsabilité, ils doivent aussi faire face au regard des autres plus aiguisé pour eux dans un pays qui n’est pas encore habitué à une parentalité homosexuelle. Quand on devient parent, on se pose beaucoup de questions, il y a une grosse responsabilité à élever un enfant. Est-ce que je fais bien les choses ? Comment faire pour protéger mon enfant ? Le rendre heureux ? Suis-je à la hauteur ?... En même temps, chacun doit trouver sa place dans la famille et il y a forcément des contraintes à prendre en compte même si on le fait avec plaisir et sans compter !! Mais cette introspection renvoie également à notre propre enfance, aux relations que nous avons eues avec nos parents. C’est ainsi que Nao doit affronter les fantômes de son passé notamment l’absence de sa mère. Si cette histoire est parfois mignonne, elle est aussi très terre-à-terre. Elle nous met en face de réalités concrètes auxquelles tout parent doit faire face. Même si c’est nécessaire pour la compréhension, c’est un peu trop verbal à mon goût et le tout manque un peu d’entrain.
  23. Nickad

    Barakamon tome 19

    Chaque tome de Barakamon est un petit plaisir, c’est une bouffée d’oxygène, un bol d’air frais et de bonne humeur ! Ce n’est pas un manga qui va faire la révolution ni qui va vous laisser perplexe ou extasié, c’est juste une histoire feel good, une pause agréable dans votre quotidien, un pur moment de détente et de bonheur. Ce tome 19 est dans la lignée des précédents, on retrouve les différents personnages dans leur vie de tous les jours. Handa est pris au piège d’achats compulsifs en ligne, le Bolet continue à se moquer de lui, Hiroshi travaille dans un restaurant en poursuivant son apprentissage, il croise souvent Kawafuji et Kôsuke, et la jeune Naru doit rendre un devoir pour l’école portant sur son futur métier et à part devenir maitre Handa, elle n’a pas d’autre idée !! A lire sans modération !
  24. Nickad

    Barakamon tome 19

    Titre de l'album : Barakamon tome 19 Scenariste de l'album : Satsuki Yoshino Dessinateur de l'album : Satsuki Yoshino Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Un manga rayon de soleil ! À Nanatsutake, une petite idée trotte dans la tête de Naru : offrir à maître Handa une occasion d'exercer son art, au-delà de son rôle de professeur. Tout le village s'organise pour qu'il puisse réaliser une calligraphie géante, afin de lui rappeler l'émotion de tracer sa vision sur le papier... Le hameau, tout comme Seishû, connaît quelques changements : après le départ de Hiroshi, le père de Miwa décide de fermer sa boutique pour aller pêcher au long cours, l'école du calligraphe accueille deux nouveaux élèves... Le jeune homme s'ancre de plus en plus dans le quotidien de l'île, entre la culture de son potager et l'achat de nouveaux meubles ! Et évidemment, Naru n'est jamais très loin... Critique : Chaque tome de Barakamon est un petit plaisir, c’est une bouffée d’oxygène, un bol d’air frais et de bonne humeur ! Ce n’est pas un manga qui va faire la révolution ni qui va vous laisser perplexe ou extasié, c’est juste une histoire feel good, une pause agréable dans votre quotidien, un pur moment de détente et de bonheur. Ce tome 19 est dans la lignée des précédents, on retrouve les différents personnages dans leur vie de tous les jours. Handa est pris au piège d’achats compulsifs en ligne, le Bolet continue à se moquer de lui, Hiroshi travaille dans un restaurant en poursuivant son apprentissage, il croise souvent Kawafuji et Kôsuke, et la jeune Naru doit rendre un devoir pour l’école portant sur son futur métier et à part devenir maitre Handa, elle n’a pas d’autre idée !! A lire sans modération ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/barakamon-tome-19?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Mon meilleur terrain Scenariste de l'album : Stéphane Piatzczek Dessinateur de l'album : Emilie Beaud Coloriste : Emilie Beaud Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Une forêt dense et mystérieuse qui cache un trésor d'ingéniosité. En plein confinement, Simon décide de braver la loi et de pénétrer, avec ses nombreux animaux, dans la forêt interdite au public qui jouxte sa propriété. Après s'être perdu dans la végétation, il découvre un vaste trou qui débouche sur une étrange construction ressemblant aux vestiges d'une ancienne piste de VTT. Avec l'aide de Guillaume, un jeune policier, il décide de défricher la forêt pour restaurer ce terrain oublié. Mais une question l'obsède : quel est l'esprit génial qui a pu concevoir cet étonnant bike park ? Critique : Rarement un scénario m'aura autant déboussolé que celui-ci. Non pas car il serait torturé ou tortueux non mais plutôt pour son côté improbable et étonnant. Il est peu probable que vous ayez l'impression d'avoir déjà lu cette histoire. Ceci étant dit, Stéphane Piatzczek nous livre une galerie de personnages originaux mais crédibles et humains et déroule son chemin tranquillement. On s'interroge, puis on s'étonne puis on profite simplement du dépaysement et du calme que cette lecture nous apporte. C'est un bol d'air bien servi par les dessins chaleureux mais détaillés d'Emilie Beaud dont on avait pu apercevoir un peu du talent avec ses collaborations sur les séries Catamount et Wiloucha. On sent bien les inspirations du cinéma d'animation dans son trait mais il faut bien reconnaitre que ses couleurs hyper lumineuses font merveille sur les décors de forêts et font du bien aux yeux et au moral. Bravo et on a hâte de vous revoir aux crayons ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-meilleur-terrain-9791041100989/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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