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  1. The_PoP

    Alpha - Tome 18 - Drones

    On retrouve Alpha plongé dans un complot centré sur l'usage de Drones meurtriers, de sociétés de sécurités privées, et de rivalité indo-pakistanaise... Autant vous dire que c'est plutôt très ancré dans notre monde actuel. Pas trop de sentimentalisme donc dans cet intrigue, excepté un peu sur le final, on est plutôt sur du techno thriller. Emmanuel Herzet gère bien son scénario et utilise à bon escient les facilités de son super hackeur pour faire avancer son scénario sans temps morts afin de presque boucler son enquête en 48 pages. Le dénouement poussera les amateurs de la série à attendre avec impatience le tome 19. Côté dessin, je trouve que c'est parfois encore un peu inégal avec pas mal de jolies planches, et quelques unes un peu fades avec des visages, des décors et des couleurs manquant un peu de finesse. Cela reste toutefois largement dans les standards habituels de la série, l'équipe aux commandes n'ayant pas changée depuis le tome précédent.
  2. Titre de l'album : Alpha - Tome 18 - Drones Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Alain Queireix Coloriste : Didier Ray Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Vingt-et-un drones livrés par la société américaine Blade Inc. disparaissent en Roumanie. Le coupable est tout trouvé : James Leitton, PDG d'Aerok, un concurrent malheureux que tout accuse. Dwight Tyler est donc dépêché sur place pour interroger Leitton. Une mission a priori simple... qui se complique rapidement quand il découvre l'homme d'affaire assassiné ! Alpha va devoir goûter l'hospitalité roumaine un peu plus longtemps que prévu... Critique : On retrouve Alpha plongé dans un complot centré sur l'usage de Drones meurtriers, de sociétés de sécurités privées, et de rivalité indo-pakistanaise... Autant vous dire que c'est plutôt très ancré dans notre monde actuel. Pas trop de sentimentalisme donc dans cet intrigue, excepté un peu sur le final, on est plutôt sur du techno thriller. Emmanuel Herzet gère bien son scénario et utilise à bon escient les facilités de son super hackeur pour faire avancer son scénario sans temps morts afin de presque boucler son enquête en 48 pages. Le dénouement poussera les amateurs de la série à attendre avec impatience le tome 19. Côté dessin, je trouve que c'est parfois encore un peu inégal avec pas mal de jolies planches, et quelques unes un peu fades avec des visages, des décors et des couleurs manquant un peu de finesse. Cela reste toutefois largement dans les standards habituels de la série, l'équipe aux commandes n'ayant pas changée depuis le tome précédent. Autres infos : D'après l'oeuvre créée par Jigounov et rENARD Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/alpha-tome-18-drones?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Titre de l'album : Au nom de la République - Tome 2 - Mission Buulo Maarer Scenariste de l'album : Jean-Claude Bartoll Dessinateur de l'album : Gabriel Guzman Coloriste : Silvia Fabris Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Denis Allex, un agent de la DGSE est kidnappé en Somalie. Quelques années plus tard, un commando tente de l'exfiltrer mais l'opération échoue : l'otage et deux membres du service action sont tués. Sur ordre du Président de la République, l'unité Gamma doit localiser et éliminer le chef des islamistes. Une course contre la montre s'engage afin de venger leurs camarades morts... Critique : Second tome pour nos barbouzes de la dgse, ces agents d'une cellule secrète chargée des basses oeuvres de la république française. Si les personnages paraissaient relativement froids dans le premier tome, il faut reconnaitre que dans ce tome-ci on les voit parfois moins professionnels qu'on n'aurait pu l'imaginer. Ici entre fiascos initiaux et tentatives de rattrapages, on suit la traque orchestrée par la France de l'un des leaders djihadistes à travers l'Afrique. Si pour les passionnés de ces affaires de barbouzes, de commandos, d'état et de lutte anti terroriste il y aura de la matière, pour les autres ce tome 2 d'au nom de la république risque de paraitre un peu fade. Entre une action réduite pour coller au réalisme de la bd, des dessins sérieux, peut être un brin austères malgré une mise en couleurs réussie de Silvia Fabris, et des personnages finalement peu enthousiasmants, cela risque d'être un peu rude pour le grand public de la bd. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-de-la-republique-tome-2-mission-buulo-maarer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Second tome pour nos barbouzes de la dgse, ces agents d'une cellule secrète chargée des basses oeuvres de la république française. Si les personnages paraissaient relativement froids dans le premier tome, il faut reconnaitre que dans ce tome-ci on les voit parfois moins professionnels qu'on n'aurait pu l'imaginer. Ici entre fiascos initiaux et tentatives de rattrapages, on suit la traque orchestrée par la France de l'un des leaders djihadistes à travers l'Afrique. Si pour les passionnés de ces affaires de barbouzes, de commandos, d'état et de lutte anti terroriste il y aura de la matière, pour les autres ce tome 2 d'au nom de la république risque de paraitre un peu fade. Entre une action réduite pour coller au réalisme de la bd, des dessins sérieux, peut être un brin austères malgré une mise en couleurs réussie de Silvia Fabris, et des personnages finalement peu enthousiasmants, cela risque d'être un peu rude pour le grand public de la bd.
  5. Titre de l'album : Tesla note t7 (fin) Scenariste de l'album : Tadayoshi Kubo / Masafumi Nishida / Dessinateur de l'album : Kota Sannomiya Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans ce volume, nos héros mettent leur vie en péril pour arrêter La Petite Maison, et nous en apprenons davantage sur l'objectif de l'organisation. Pendant que Kuruma et Mickey se battent contre leur ancien camarade, Botan part affronter Elmo ainsi que le chef de l'organisation de La Petite Maison et tente de récupérer les cristaux de Tesla. Dans ce final haut en émotion, nos héros parviendront-ils à mettre La Petite Maison hors d'état de nuire ? Critique : Dernier tome de la minisérie Tesla Note de chez Vega et excellent dernier tome qui finit une série qui fait un quasi sans faute. L'avant-dernier tome nous avait laissé sur un cliffhanger de folie..... cliffhanger qui mène à un retournement de situation inattendu qui relance l'histoire et permet une conclusion aussi intelligente que dynamique. La fin est belle, elle est intelligente et l'on ne rêve que de retrouver nos héros dans une autre série. Bravo à Vega pour la fin d'une de leur première série ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tesla-note-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Tesla note t7 (fin)

    Dernier tome de la minisérie Tesla Note de chez Vega et excellent dernier tome qui finit une série qui fait un quasi sans faute. L'avant-dernier tome nous avait laissé sur un cliffhanger de folie..... cliffhanger qui mène à un retournement de situation inattendu qui relance l'histoire et permet une conclusion aussi intelligente que dynamique. La fin est belle, elle est intelligente et l'on ne rêve que de retrouver nos héros dans une autre série. Bravo à Vega pour la fin d'une de leur première série !
  7. The_PoP

    Babylone - Tome 2 - L'évasion

    Bon soyons francs, je ne me suis pas régalé avec ce tome 2 de Babylone. La série a le mérite de présenter un tableau qui semble plutôt crédible et souvent nuancé des affaires d'état dans l'ancienne Françafrique, une aventure variée et quelques rebondissements bien amenés mais le dessin de Philippe Nicloux m'a paru un cran un cran en dessous de ce que la bd franco belge fait de bien dans ce type de polar vitaminés. Les visages sont un peu figés à mon goût et l'ensemble conjugué aux choix scénaristiques font que j'ai eu du mal à m'intéresser vraiment aux personnages. Max Ferlane est un héros assez particulier mais qui finalement nous laisse un brin indifférent, la vedette lui étant incontestablement volé par Dieudonné Kalimba et Dominik... Dommage, mais je suis passé à côté de cette série, ça arrive.
  8. Titre de l'album : Babylone - Tome 2 - L'évasion Scenariste de l'album : Laurent Galandon & Franck Giroud Dessinateur de l'album : Philippe Nicloux Coloriste : Denis Béchu Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Max Ferlane avait presque réussi à exfiltrer Dieudonné Kalimba d'un Kivu désormais contrôlé par les milices de son principal opposant. Mais l'ex-dictateur ne le suivra que si l'agence Babylone parvient à faire évader sa fille de la prison malaise où elle est retenue. La protection des petits secrets de la Françafrique contemporaine est à ce prix... Seul au milieu de l'enfer dans lequel il a plongé pour sauver une innocente, Ferlane est loin d'en avoir fini avec ses démons. Critique : Bon soyons francs, je ne me suis pas régalé avec ce tome 2 de Babylone. La série a le mérite de présenter un tableau qui semble plutôt crédible et souvent nuancé des affaires d'état dans l'ancienne Françafrique, une aventure variée et quelques rebondissements bien amenés mais le dessin de Philippe Nicloux m'a paru un cran un cran en dessous de ce que la bd franco belge fait de bien dans ce type de polar vitaminés. Les visages sont un peu figés à mon goût et l'ensemble conjugué aux choix scénaristiques font que j'ai eu du mal à m'intéresser vraiment aux personnages. Max Ferlane est un héros assez particulier mais qui finalement nous laisse un brin indifférent, la vedette lui étant incontestablement volé par Dieudonné Kalimba et Dominik... Dommage, mais je suis passé à côté de cette série, ça arrive. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/babylone-tome-2-l-evasion?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. poseidon2

    Mission: Yozakura family t9&10

    Fin de l'arc autour du combat contre le docteur Kawashita et ses expériences autour de la feuille de cerisier et son envie de libérer les fleurs sur le monde. Et fin d'arc aussi survitaminé qu'intéressant. En effet, en plus de batailles plus folles les unes que les autres, le tome 10 nous livre, lui, énormément d'informations sur l'histoire de la famille Yokarura, qui se révèle avoir une partie plus sombre qu'imaginé. Cette partie sur l'histoire de la famille rend cette fin d'arc intrigante et pas juste une bataille contre le méchant de service. Mais cette fin d'arc nous montre aussi une complicité plus que jamais établis entre Taiyô et Mutsumi. Une complicité que plus personne ne remet en doute et qui va donc passer au stade du dessus et qui nous apporte une dose de tendresse et de sentiment et tranquillise ce manga survitaminé. Un bon ensemble qui fait de ces deux tomes une excellente fin d'arc. Vivement le prochain !
  10. Titre de l'album : Mission: Yozakura family t9&10 Scenariste de l'album : Hitsuji Gondaira Dessinateur de l'album : Hitsuji Gondaira Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Les Yozakura ont pénétré dans la base de Tanpopo. Mais les Fleurs arc-en-ciel, les lieutenants ennemis, ont une force surhumaine grâce à la puissance de la Feuille de cerisier ! Alors que Shinzô se retrouve face à Kurosawa, Shion et Kengo doivent affronter Chacha et Aonuma ! Quel est donc le redoutable projet Semaille élaboré par Kawashita ? Critique : Fin de l'arc autour du combat contre le docteur Kawashita et ses expériences autour de la feuille de cerisier et son envie de libérer les fleurs sur le monde. Et fin d'arc aussi survitaminé qu'intéressant. En effet, en plus de batailles plus folles les unes que les autres, le tome 10 nous livre, lui, énormément d'informations sur l'histoire de la famille Yokarura, qui se révèle avoir une partie plus sombre qu'imaginé. Cette partie sur l'histoire de la famille rend cette fin d'arc intrigante et pas juste une bataille contre le méchant de service. Mais cette fin d'arc nous montre aussi une complicité plus que jamais établis entre Taiyô et Mutsumi. Une complicité que plus personne ne remet en doute et qui va donc passer au stade du dessus et qui nous apporte une dose de tendresse et de sentiment et tranquillise ce manga survitaminé. Un bon ensemble qui fait de ces deux tomes une excellente fin d'arc. Vivement le prochain ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mission-yozakura-family-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : La guerre invisible - Tome 3 - L'institut Scenariste de l'album : Franck Giroud & Laurent Galandon Dessinateur de l'album : Olivier Martin Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Le conflit technologique se poursuit entre les forces occidentales et soviétiques. Au centre de ce combat, le savant allemand Manfred Fürbringer et son expertise inégalée en armement qui donnerait l'avantage immédiat au camp qui saurait utiliser ses talents. Après une première fuite en Egypte ainsi qu'une extradition vers les Etats- Unis, celui-ci se retrouve contre son gré embarqué en direction de l'Argentine. Les agents responsables de cette nouvelle prise de contrôle du savant, cachés derrière leur identité soviétique, sont en fait des membres d'une autre organisation faisant son entrée en scène : le Mossad, qui vient ajouter une nouvelle pierre à la complexité de cette guerre invisible. Ce troisième volet vient clôturer la saga d'espionnage de Frank Giroud, Laurent Galandon et Olivier Martin, éclairage romancé mais réaliste d'un conflit souterrain qui aura duré près de 50 ans. Critique : Quelle étrange série d'espionnage avec ses 3 tomes aux ambiances, protagonistes et univers si différents. Ce tome 3 vient donc la clôturer en nous présentant sous un autre angle encore les protagonistes des enjeux des années après seconde guerre mondiale. Je dois bien reconnaitre que ce troisième tome m'a bien plus passionné que les deux premiers, les enjeux y étant plus troubles mais aussi plus personnels. D'un point de vue scénaristique l'ensemble est une réussite, mais au bout de 3 tomes je dois aussi dire que le dessin d'Olivier Martin ne m'a pas inspiré d'émotions particulières. C'est propre, assez neutre, et si je trouve que ce tome 3 a gagné en fluidité globalement, j'ai quand même eu du mal à m'attacher aux représentations des personnages. Dommage, cette histoire méritait peut être un parti pris graphique plus audacieux et libéré. Ceci étant dit, ce n'est évidemment qu'une affaire de goût car globalement le travail est indéniable et de qualité et les amateurs de bd franc belge ne seront pas en terres inconnues de ce point de vue là. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-guerre-invisible-tome-3-l-institut?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Quelle étrange série d'espionnage avec ses 3 tomes aux ambiances, protagonistes et univers si différents. Ce tome 3 vient donc la clôturer en nous présentant sous un autre angle encore les protagonistes des enjeux des années après seconde guerre mondiale. Je dois bien reconnaitre que ce troisième tome m'a bien plus passionné que les deux premiers, les enjeux y étant plus troubles mais aussi plus personnels. D'un point de vue scénaristique l'ensemble est une réussite, mais au bout de 3 tomes je dois aussi dire que le dessin d'Olivier Martin ne m'a pas inspiré d'émotions particulières. C'est propre, assez neutre, et si je trouve que ce tome 3 a gagné en fluidité globalement, j'ai quand même eu du mal à m'attacher aux représentations des personnages. Dommage, cette histoire méritait peut être un parti pris graphique plus audacieux et libéré. Ceci étant dit, ce n'est évidemment qu'une affaire de goût car globalement le travail est indéniable et de qualité et les amateurs de bd franc belge ne seront pas en terres inconnues de ce point de vue là.
  13. Soleil nous sort à son tour une série sur la lutte anti terroriste en France, cette fois-ci du point de vue de l'un des "Permis de tuer" de la DGSE. Prévue comme une série de one shot sans forcément de liens entre les tomes, Au nom de la république ambitionne de se faire une place au côté d'Alpha et des séries du genre déjà bien installées. Difficile donc mais pas impossible tant cette BD surprend par son sérieux. On est assez loin du romantisme habituel des bd d'espionnage et bien plus dans les rouages techniques. Ceci dit le fractionnement en one shot risque de nuire à notre attachement aux personnages comme souvent. Le scénario imaginé par Jean-Claude Bartoll semble cohérent, réaliste et terriblement actuel même s'il ne brille guère par son originalité. Le dessin de Guzman est très sérieux et appliqué, et s'il ne renouvelle clairement pas le genre, il en respecte les codes et nous livre une bd claire et lisible, même si certaines scènes semblent un brin statiques. Au nom de la république devrait ravir les passionnés de lutte anti terroriste, de la DGSE et de géopolitique en BD.
  14. Titre de l'album : Au nom de la république - Tome 1 - Mission Bosphore Scenariste de l'album : Jean-Claude Bartoll Dessinateur de l'album : Gabriel Guzman Coloriste : Silvia Fabris Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Octobre 2018. La Presse annonce que les commanditaires des attentats du 13 novembre 2015 auraient tous été éliminés par les forces spéciales. Tous, sauf un. Celui qui gérait et organisait les flux financiers depuis Raqqa. Le Renard va prendre cette mission à coeur afin d'éliminer ce jeune homme au profil atypique qui se terre en Turquie. Mais tout ne va pas forcément se dérouler comme prévu... Critique : Soleil nous sort à son tour une série sur la lutte anti terroriste en France, cette fois-ci du point de vue de l'un des "Permis de tuer" de la DGSE. Prévue comme une série de one shot sans forcément de liens entre les tomes, Au nom de la république ambitionne de se faire une place au côté d'Alpha et des séries du genre déjà bien installées. Difficile donc mais pas impossible tant cette BD surprend par son sérieux. On est assez loin du romantisme habituel des bd d'espionnage et bien plus dans les rouages techniques. Ceci dit le fractionnement en one shot risque de nuire à notre attachement aux personnages comme souvent. Le scénario imaginé par Jean-Claude Bartoll semble cohérent, réaliste et terriblement actuel même s'il ne brille guère par son originalité. Le dessin de Guzman est très sérieux et appliqué, et s'il ne renouvelle clairement pas le genre, il en respecte les codes et nous livre une bd claire et lisible, même si certaines scènes semblent un brin statiques. Au nom de la république devrait ravir les passionnés de lutte anti terroriste, de la DGSE et de géopolitique en BD. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-de-la-republique-tome-1-mission-bosphore?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Il n'y a pas à dire, le trait d'Olivier Martin nous rappelle dès les premières pages les belles heures de la ligne claire. Ce trait dénote clairement dans la production actuelle, mais nul doute que beaucoup y trouveront leur compte. Les planches sont très travaillées et la mise en couleur est soignée pour coller à l'ambiance de l'Egypte dans laquelle se déroule l'histoire. L'histoire elle est également originale puisqu'elle se déroule à l'aube de l'histoire des services secrets modernes, juste après la seconde guerre mondiale. L'enjeu de cette guerre secrète est claire, s'approprier les savoirs des savants allemands en fuite après l'armistice. Coups bas et manipulations vont alors se succéder jusqu'au twist final qui nous donnera plutôt envie de découvrir le tome 2. Au final la guerre invisible est une bonne BD d'espionnage, peut être un peu trop sage et classique dans sa forme et qui risque de gagner en audace dans le prochain tome au vu de la fin de ce tome.
  16. Titre de l'album : La guerre invisible - Tome 1 - L'agence Scenariste de l'album : Franck Giroud Dessinateur de l'album : Olivier Martin Coloriste : Gaetan Georges Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : 1951, EGYPTE. Manfred Fürbringer, un ancien ingénieur nazi spécialisé dans les systèmes de guidage des fusées V2, a été repéré vivant au Caire sous une fausse identité. En pleine guerre froide, son savoir-faire et son expertise sont des atouts inestimables pour les Etats-Unis. La CIA envoie donc deux de ses meilleurs agents pour "recruter" Fürbringer, de gré ou de force... ... car bien d'autres nations semblent intéressées par les services de l'ingénieur. Critique : Il n'y a pas à dire, le trait d'Olivier Martin nous rappelle dès les premières pages les belles heures de la ligne claire. Ce trait dénote clairement dans la production actuelle, mais nul doute que beaucoup y trouveront leur compte. Les planches sont très travaillées et la mise en couleur est soignée pour coller à l'ambiance de l'Egypte dans laquelle se déroule l'histoire. L'histoire elle est également originale puisqu'elle se déroule à l'aube de l'histoire des services secrets modernes, juste après la seconde guerre mondiale. L'enjeu de cette guerre secrète est claire, s'approprier les savoirs des savants allemands en fuite après l'armistice. Coups bas et manipulations vont alors se succéder jusqu'au twist final qui nous donnera plutôt envie de découvrir le tome 2. Au final la guerre invisible est une bonne BD d'espionnage, peut être un peu trop sage et classique dans sa forme et qui risque de gagner en audace dans le prochain tome au vu de la fin de ce tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-guerre-invisible-tome-1-l-agence?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. The_PoP

    SIsco - Tome 12 - Roulette russe

    Et voici la conclusion de la série phare en 12 tomes de Legrain et Bennec aux éditions du lombard. Ce polar geopolitique violent et sombre, ancré dans notre réalité nous a mis en scène un agent puis ex agent de la DGSPPR mêlé à des complots où amis et ennemis ne se distinguent pas toujours. Sans pitié, froid, dangereux, Sisco est un héros qui frôle parfois l'antihéros. Mais sur cette conclusion, il y a aura des coups échangés, des balles perdues, et tout le monde ne s'en sortira pas indemne. Le rythme est effréné donc avec l'aboutissement du complot démarré dans les derniers tomes, et surtout les derniers tours de piste de Sisco. Graphiquement on est sur la lancée de cette série propre et sans grande prétention, mais qui fait parfaitement le job : vous assurer la lecture agréable d'un polar parfois classique mais bien pensé dans les rouages de nos républiques. Mission accomplie agent Sisco.
  18. Titre de l'album : SIsco - Tome 12 - Roulette russe Scenariste de l'album : Benec Dessinateur de l'album : Thomas Legrain Coloriste : Elvire de Cock Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les ors de la République et son cortège de coups tordus. Derniers de la liste : des documents "gênants" à reprendre chez un ministre en déchéance pour les planquer en Belgique. Mais les Russes, mouillés dans l'affaire, n'envisagent pas de laisser passer cette occasion pour les récupérer... À peine réintégré, Sisco va devoir retrouver rapidement ses vieux réflexes pour éviter les balles. Critique : Et voici la conclusion de la série phare en 12 tomes de Legrain et Bennec aux éditions du lombard. Ce polar geopolitique violent et sombre, ancré dans notre réalité nous a mis en scène un agent puis ex agent de la DGSPPR mêlé à des complots où amis et ennemis ne se distinguent pas toujours. Sans pitié, froid, dangereux, Sisco est un héros qui frôle parfois l'antihéros. Mais sur cette conclusion, il y a aura des coups échangés, des balles perdues, et tout le monde ne s'en sortira pas indemne. Le rythme est effréné donc avec l'aboutissement du complot démarré dans les derniers tomes, et surtout les derniers tours de piste de Sisco. Graphiquement on est sur la lancée de cette série propre et sans grande prétention, mais qui fait parfaitement le job : vous assurer la lecture agréable d'un polar parfois classique mais bien pensé dans les rouages de nos républiques. Mission accomplie agent Sisco. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sisco-tome-12-roulette-russe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : L'épervier - Tome 10 - La princesse Indienne Scenariste de l'album : Patrice Pellerin Dessinateur de l'album : Patrice Pellerin Coloriste : Patrice Pellerin Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Parvenus entiers au fort de Louisbourg, l'Épervier et son équipage ne rencontrent pas l'apaisement espéré mais sont en proie aux agressions venues de tout bords ! À peine l'Épervier accoste-t-il à Louisbourg qu'il est agressé par le capitaine de Karrer. La tension de la traversée n'est pas près de s'apaiser. Cette mission royale devient chaque jour un peu plus difficile. Yann bout d'impatience d'ouvrir sa prochaine lettre de mission, ces ordres que le roi essaime tout au long du voyage pour en garantir le secret et l'issue. Quels dangers recèlent les vastes terres canadiennes inconnues du marin brestois ? Critique : Je tiens d'abord à souligner le travail titanesque abattu par l'auteur, Patrice Pellerin, sur sa série phare : l'Epervier, dont il nous livre déjà le tome 10. 10 tomes scénarisés, dessinés et colorisés tout seul. Sans compter les ouvrages parallèles à la série mère. Si l'on excepte d'ailleurs sa participation aux scénarios des 3 premiers tomes des Aigles décapités, et à deux tomes de Barbe-Rouge, il a consacré sa carrière à sa série principale jusqu'à présent. L'épervier est devenu au fil du temps une des références de la BD d'aventure franco-belge historique. Mettant en scène notamment la France et la Bretagne au XVIIIème siècle dans son premier cycle (Tomes 1 à 6), puis la Nouvelle-France et les problématiques diplomatiques et coloniales à travers son second cycle (Tome 7 à 11), les intrigues se nouent et se denouent dans un contexte historique rigoureux et passionnant. On sent le soucis du détail de l'auteur, qui une fois n'est pas coutume, nous adresse en plus de la présentation de presse, quelques mots afin de nous expliquer son travail et son angle d'attaque sur ce pan d'Histoire. Je me suis une nouvelle fois régalé devant ce travail admirable, ou certes l'action et l'aventure avancent à petit rythme comparées à des productions actuelles mais où chaque planche est réussie dans la tradition de la BD franco-belge. Pour moi qui suis né en 87, alors que l'épervier n'est né qu'en 91, cette série reste l'une de mes madeleines de Proust qui m'a fait découvrir la BD et l'Histoire, à travers un héros plein de panache et des intrigues soignées. Et une madeleine, ça ne se refuse pas. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-epervier-tome-10-la-princesse-indienne?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Je tiens d'abord à souligner le travail titanesque abattu par l'auteur, Patrice Pellerin, sur sa série phare : l'Epervier, dont il nous livre déjà le tome 10. 10 tomes scénarisés, dessinés et colorisés tout seul. Sans compter les ouvrages parallèles à la série mère. Si l'on excepte d'ailleurs sa participation aux scénarios des 3 premiers tomes des Aigles décapités, et à deux tomes de Barbe-Rouge, il a consacré sa carrière à sa série principale jusqu'à présent. L'épervier est devenu au fil du temps une des références de la BD d'aventure franco-belge historique. Mettant en scène notamment la France et la Bretagne au XVIIIème siècle dans son premier cycle (Tomes 1 à 6), puis la Nouvelle-France et les problématiques diplomatiques et coloniales à travers son second cycle (Tome 7 à 11), les intrigues se nouent et se denouent dans un contexte historique rigoureux et passionnant. On sent le soucis du détail de l'auteur, qui une fois n'est pas coutume, nous adresse en plus de la présentation de presse, quelques mots afin de nous expliquer son travail et son angle d'attaque sur ce pan d'Histoire. Je me suis une nouvelle fois régalé devant ce travail admirable, ou certes l'action et l'aventure avancent à petit rythme comparées à des productions actuelles mais où chaque planche est réussie dans la tradition de la BD franco-belge. Pour moi qui suis né en 87, alors que l'épervier n'est né qu'en 91, cette série reste l'une de mes madeleines de Proust qui m'a fait découvrir la BD et l'Histoire, à travers un héros plein de panache et des intrigues soignées. Et une madeleine, ça ne se refuse pas.
  21. The_PoP

    Alpha - Tome 15 - Roadies

    On l'avait quitté en bien fâcheuse posture, et pourtant voici Alpha relancé dans un nouveau cycle. Et ce n'est pas pour me déplaire, les relations entre les différents personnages étant assez sympatiques dans cet opus, le dépaysement étant assuré, et la partie action un poil moins présente. Ceci étant dit, la patte de Alain Queireix au dessin est toujours aussi sûre, et sans trop d'artifices ou de fioritures, il nous livre une bonne cuvée façon BD d'espionnage de son héros au long cours. Ce tome d'Alpha se lit vite, et avec intérêt, même pour les non passionnés de la série. Côté complots, on redémarre tranquillement avec une petite affaire pas si simple, mais qui va permettre à Alpha de solder une partie de ses comptes avec sa direction, et c'est tant mieux vu le second tome qui s'annonce.
  22. Titre de l'album : Alpha - Tome 15 - Roadies Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Alain Queireix Coloriste : Didier Ray Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Alors qu'Alpha est enfermé dans une prison haute sécurité, la CIA fait le vide total sur son passage à l'agence. Tout ce qui concerne l'agent Tyler doit disparaître. C'était sans compter sur les ressources de notre héros et surtout sur quelques noms, dates et numéros de dossiers bien utiles, gravés dans sa mémoire. En échange de la promesse de garder secrètes ces informations, Alpha contraint Irène Keller, nouveau cadre de l'agence, de le réintégrer. Keller accepte, mais à ses conditions. Hors de question de reprendre du service à l'agence. Alpha se retrouve muté à Mayotte, dans une antenne miteuse du service diplomatique. Alors qu'il dépérit d'ennui à jouer les employés modèles, la petite île devient le terrain d'une guerre feutrée entre différents services étrangers. Visiblement la région n'est pas qu'une destination de rêve pour touristes avides de soleil et de sable fin... Critique : On l'avait quitté en bien fâcheuse posture, et pourtant voici Alpha relancé dans un nouveau cycle. Et ce n'est pas pour me déplaire, les relations entre les différents personnages étant assez sympatiques dans cet opus, le dépaysement étant assuré, et la partie action un poil moins présente. Ceci étant dit, la patte de Alain Queireix au dessin est toujours aussi sûre, et sans trop d'artifices ou de fioritures, il nous livre une bonne cuvée façon BD d'espionnage de son héros au long cours. Ce tome d'Alpha se lit vite, et avec intérêt, même pour les non passionnés de la série. Côté complots, on redémarre tranquillement avec une petite affaire pas si simple, mais qui va permettre à Alpha de solder une partie de ses comptes avec sa direction, et c'est tant mieux vu le second tome qui s'annonce. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Et voilà une bonne surprise ! Elevé aux Buck Danny dans ma tendre enfance, puis émerveillé devant Le grand Duc plus tard, je m'étais un peu éloigné des BD traitant de l'aviation militaire. C'est donc avec un peu d'appréhension que j'ai remis le pied à l'étrier avec ce Tome 2 de Centaures. Alors disons le tout de suite clairement, oui les appareils volants militaires sont mis à l'honneur dans cette série, mais ce n'est clairement pas le seul intérêt de ce thriller explosif bourré de complots sur fond de guerre mêlant la France et une république d'Afrique en pleine guerre civile. et quelque part tant mieux. Tant mieux car cela donne l'occasion à Eric Loutte (aidé d'André Le Bras et de Gilles Laplagne) de nous prouver que s'il a un sens du détail essentiel pour les dessins d'avions et autres appareils et situations de combat, il est aussi à l'aise avec ses personnages et décors. Tant mieux car cela donne l'occasion à Emmanuel Herzet connu pour sa série Alpha mais surtout pour son travail sur l'inoubliable Chant du Cygne de nous redémontrer l'étendue de son talent pour les techno thriller façon Tom Clancy en BD. Au final on se retrouve avec une aventure qui passe bien, une lecture facile mais intéressante pour tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin à l'armée française actuelle et à la géopolitique mondiale.
  24. Titre de l'album : Centaures - Tome 2 - Cri de guerre Scenariste de l'album : Emmanuel Herzet Dessinateur de l'album : Eric Loutte & André Le Bras & Gilles Laplagne Coloriste : Nicolas Caniaux & Rémi Le Capon Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Les îles Amandine, ancien DOM-TOM situé au sud de la Réunion, connaissent une grave crise politique qui dégénère bientôt en guerre civile. Deux pilotes français sont contraints d'atterrir en territoire hostile. Le porte-avions Charles de Gaulle est immédiatement dépêché sur zone. À son bord se trouve le pilote Gil "Gecko" Morgan, tête brûlée et meilleur ami de TNT. Il est impatient d'en découdre. Il ne sera pas déçu... Critique : Et voilà une bonne surprise ! Elevé aux Buck Danny dans ma tendre enfance, puis émerveillé devant Le grand Duc plus tard, je m'étais un peu éloigné des BD traitant de l'aviation militaire. C'est donc avec un peu d'appréhension que j'ai remis le pied à l'étrier avec ce Tome 2 de Centaures. Alors disons le tout de suite clairement, oui les appareils volants militaires sont mis à l'honneur dans cette série, mais ce n'est clairement pas le seul intérêt de ce thriller explosif bourré de complots sur fond de guerre mêlant la France et une république d'Afrique en pleine guerre civile. et quelque part tant mieux. Tant mieux car cela donne l'occasion à Eric Loutte (aidé d'André Le Bras et de Gilles Laplagne) de nous prouver que s'il a un sens du détail essentiel pour les dessins d'avions et autres appareils et situations de combat, il est aussi à l'aise avec ses personnages et décors. Tant mieux car cela donne l'occasion à Emmanuel Herzet connu pour sa série Alpha mais surtout pour son travail sur l'inoubliable Chant du Cygne de nous redémontrer l'étendue de son talent pour les techno thriller façon Tom Clancy en BD. Au final on se retrouve avec une aventure qui passe bien, une lecture facile mais intéressante pour tous ceux qui s'intéressent de près ou de loin à l'armée française actuelle et à la géopolitique mondiale. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/centaures-tome-2-cri-de-guerre?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Titre de l'album : Sisco - Belgian Rhapsody - Tome 11 Scenariste de l'album : Thomas Legrain Dessinateur de l'album : Benec Editeur de l'album : Le Lombard Note de l'album : 3.5 Résumé de l'album : Les ors de la République et son cortège de coups tordus. Derniers de la liste : des documents "gênants" à reprendre chez un ministre en déchéance pour les planquer en Belgique. Mais les Russes, mouillés dans l'affaire, n'envisagent pas de laisser passer cette occasion pour les récupérer… À peine réintégré, et toujours obsédé par l'enlèvement de Manon, Sisco va devoir retrouver rapidement ses vieux réflexes pour éviter les balles. Critique : Et voilà une belle surprise également que ce tome 11 de Sisco. Bon la série ne se présente plus pour ceux qui la connaissent déjà, mais pour les autres, on est clairement plus proche d'un Largo Winch que d'un XIII même si notre héros est un barbouze heureusement plus débrouillard et flingueur que Largo. Le traitement graphique fera évidemment grincer des dents aux puristes de la bd, comme d'habitude sur ce genre de série. La faute à un traitement informatique des couleurs et des dessins très prononcé. Pour ceux que cela ne dérange pas, il est intéressant d'ouvrir ce tome 11 tant l'intrigue proposé est sympa, variée avec pas mal d'enjeux croisés et de quiproquos à venir. Si la couverture ne vous gène pas graphiquement, ouvrez donc ce tome 11 car même moi qui ne suit pas un grand spécialiste de la série j'ai pris beaucoup de plaisir à en découvrir l'intrigue tout en n'étant jamais vraiment largué. Il faut d'ailleurs reconnaître à Thomas Legrain le scénariste un vrai talent pour coller à nos actualités de ces dernières années. SIsco ne nous en semble que plus crédible, réaliste, et parfois flippant. Graphiquement, Benec connait désormais ses héros sur le bout des doigts, et les amateurs de la série ne seront pas dépaysés. C'est sobre et assez efficace. Bref ce Sisco se dévore d'une traite, propose une intrigue sympa et qui colle aux événements majeurs passés de notre pays et cela le rend plutot intéressant je trouve. Rajoutez un rythme soutenu et des scènes d'actions efficaces, et vous aurez à défaut d'un héros de la trempe d'un Bob Morane au moins une bonne série d'espionnage bien foutue. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sisco-tome-11-belgian-rhapsody?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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