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Titre de l'album : Le corps est un vêtement que l'on quitte Scenariste de l'album : LIBERGE Eric Dessinateur de l'album : LIBERGE Eric Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Approcher la mort. Découvrir la vérité. À 15 ans, alors qu'il intègre le prestigieux club de rugby de Bordeaux, Julien voit son avenir devant lui tout tracé : il sera rugbyman professionnel. Mais une violente chute au cours d'un match lui fait perdre connaissance et vivre une expérience de mort imminente (EMI : sensation de décorporation suivie d'un état modifié de conscience, parfois consécutive à un état de mort clinique) qui le met sur la piste d'un lourd secret de famille. Revenu de cette expérience bouleversante aux frontières de la vie, il demande à ses proches qui est l'homme qui l'a accueilli au seuil de la mort. Ce dernier dit s'appeler Paul et lui livre un glaçant secret de famille. Entre l'incrédulité des soignants, qui ne voient là qu'un simple épisode hallucinatoire, et le violent déni que ses proches lui opposent, Julien entreprend de soulever une chape de plomb que son père - tyran domestique - maintenait hermétiquement fermée sur le clan familial depuis des années. Lorsque l'Invisible frappe à notre porte il a le pouvoir de faire éclater la vérité, nous rendre notre intégrité et nous réinventer. En associant habilement le drame familial à la thématique des expériences de mort imminente, Eric Liberge signe en solo un puissant et passionnant récit. Une fiction dans laquelle les recherches pointues sur les effets médicaux et psychanalytiques des EMI servent une histoire captivante. Critique : Avant tout sachez que je ne suis pas une spécialiste de Liberge, n’en déplaise à certains car je sais qu’il est très apprécié sur ce site. J’ai hésité à faire cette critique car j’ai vu que les avis étaient très positifs un peu partout. Je vous rassure, je ne vais pas la descendre, loin de là ! mais j’aimerai y apporter quelques nuances. Graphiquement parlant, c’est très beau, des dessins très travaillés et détaillés, des rendus colores recherchés notamment pour souligner le rendu mystique et un changement radical dans la dernière partie pour aborder l’épilogue de l’histoire. Le seul détail qui m’a dérangé c’est la représentation du personnage principal car même s’il a une carrure carrée (c’est un rugbyman), il fait nettement plus que son âge, à 19 ans on croirait qu’il en a 35 !! Bien sûr ce n’est qu’un détail car cela ne change rien au sujet de l’histoire. Concernant le sujet, on entre ici dans des considérations mystiques : l’expérience de la mort et de son retour. On sent que Liberge a bien étudié le sujet, il s’est appuyé sur des témoignages, sur des œuvres dont celle de Jérôme Bosch et sa série de tableaux du voyage vers l’au-delà. Que l’on y croit ou pas n’est pas important, ici, on nous dit qu’il existe des événements qui dépassent l’entendement, que la mort n’est pas une fin. Je regrette que la partie « secret de famille » ne soit pas plus approfondie, je pensais d’après le résumé que cela allait avoir une part importante mais c’est surtout autour des EMI (expérience de mort imminente) que l’histoire s’articule : quelles sont les conséquences directes et comment cela va influencer la vie du personnage principal. Si le sujet vous intéresse, vous aimerez surement cette bd, après, je la conseillerai plus pour un public adulte, du fait de toute la partie ésotérique. Et concernant son potentiel de relecture, je m’interroge, ce n’est pas le genre d’ouvrage que l’on relit régulièrement. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-corps-est-un-vetement-que-l-on-quitte?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Attention les super héroïnes made in France débarquent !! Enfin made in France pour enfant. Rainbow girls c'est une espèce de Pyjamasque pour les plus grands mais pas vraiment plus grands. Ce premier tome nous présente nos héroïnes et nous montre comment elles deviennent Rainbow Girls. L'originalité de ce tome est de faire en sorte que notre bande de 3 soit en fait une bande de 2+1. En effet l'une des filles n'est pas vraiment l'amies des deux autres, au début tout du moins. Que ce soit l'aventure ou l'apparition des pouvoirs, tout est bien calibré et marche plutôt pas mal. Pourquoi une note moyenne me direz-vous donc ? Et bien parce que ce comic à la française s'adresse avant tout a de très jeune lecteur. En effet ma fille de 12 n'a même pas regardé l'album. Mais fille de 6 oui. Son graphisme très enfantin cible particulièrement un public très jeune. Alors pourquoi complexifier l'histoire en mettant nos héroïnes au lycée et non pas en primaire ou au collège ? C'est un peu dommage car les petites filles qui commencent à lire qui sont la cible de l'album ne s'identifie pas à ces "grands". Et donc cela ne fait que perdre un peu le lectorat cible..... Dommage ca sinon ca aurait été la lecture parfaite pour les petites filles.
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Titre de l'album : Rainbow girls t1 : Sauvons Lulu ! Scenariste de l'album : Carbone Dessinateur de l'album : Hélène Canac Coloriste : Hélène Canac Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : A la sortie du collège, Gwen, Lisa et Mel se retrouvent. Elles ont un exposé d'histoire à préparer, mais quand elles arrivent chez Gwen, sa grande soeur Lulu a disparu ! La cage de Razmote, le rat domestique, est ouverte et il a l'air terrifié. La jeune étudiante a laissé son ordinateur et surtout son smartphone dont elle ne se sépare jamais. C'est sûr, il lui est arrivé quelque chose ! Il faut mener l'enquête. Bravant le danger, les trois ados se lancent avec Razmote dans une aventure trépidante qui les conduira à Lulu mais aussi à une serre de plantes carnivores et un savant fou, bien décidé à finaliser un terrible dessein... à l'origine de leurs super-pouvoirs. Découvrez comment les Rainbow Girls sont nées ! Critique : Attention les super héroïnes made in France débarquent !! Enfin made in France pour enfant. Rainbow girls c'est une espèce de Pyjamasque pour les plus grands mais pas vraiment plus grands. Ce premier tome nous présente nos héroïnes et nous montre comment elles deviennent Rainbow Girls. L'originalité de ce tome est de faire en sorte que notre bande de 3 soit en fait une bande de 2+1. En effet l'une des filles n'est pas vraiment l'amies des deux autres, au début tout du moins. Que ce soit l'aventure ou l'apparition des pouvoirs, tout est bien calibré et marche plutôt pas mal. Pourquoi une note moyenne me direz-vous donc ? Et bien parce que ce comic à la française s'adresse avant tout a de très jeune lecteur. En effet ma fille de 12 n'a même pas regardé l'album. Mais fille de 6 oui. Son graphisme très enfantin cible particulièrement un public très jeune. Alors pourquoi complexifier l'histoire en mettant nos héroïnes au lycée et non pas en primaire ou au collège ? C'est un peu dommage car les petites filles qui commencent à lire qui sont la cible de l'album ne s'identifie pas à ces "grands". Et donc cela ne fait que perdre un peu le lectorat cible..... Dommage ca sinon ca aurait été la lecture parfaite pour les petites filles. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rainbow-girls-tome-1-sauvons-lulu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Deux destinés vont se croiser pour se briser dans un polar rondement mené par l'écriture de Gilles Rochier. On suit d'un côté un ouvrier modèle avec de nombreuses médailles pour son travail et de l'autre un jeune paumé ne vivant que dans la violence. Les dialogues sont bien pensés d'ailleurs au moment des transitions d'un personnage à l'autre, c'est l'ouvrier qui répond au jeune alors qu'ils parlent à d'autres personnes et inversement. Le récit est bien ancré dans notre société actuelle, l'auteur ajoute une partie psychologique pour mieux comprendre le personnage du jeune. On est bien dans un polar au sens propre du terme mais les personnages ne sont pas des tueurs ou des victimes. Ils sont seulement présents au mauvais moment dans une situation qui dégénère. A la lecture, on devine vite le rapprochement des deux personnages et même du troisième mais l'on souhaite connaitre la finalité. Les dessins de Deloupy sont sobres mais reflète bien notre époque. Impact est un polar bien ficelé qui devrait trouver son public entre amateur de polar et amateur de drame social.
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Titre de l'album : Impact Scenariste de l'album : Gilles Rochier Dessinateur de l'album : Deloupy Coloriste : Deloupy Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : Agé d'une quarantaine d'années, Dany vit en marge de la société. Aux prises avec la justice, abimé par un trauma qu'il cache, il se voit obligé d'aller consulter une psychanalyste... Jean est un ouvrier à la retraire. Il vit dans un Ephad et se sait condamné par la maladie. Lui aussi va raconter son histoire... Il y a des années. Une nuit. Une course poursuite. Des coups de feu. Critique : Deux destinés vont se croiser pour se briser dans un polar rondement mené par l'écriture de Gilles Rochier. On suit d'un côté un ouvrier modèle avec de nombreuses médailles pour son travail et de l'autre un jeune paumé ne vivant que dans la violence. Les dialogues sont bien pensés d'ailleurs au moment des transitions d'un personnage à l'autre, c'est l'ouvrier qui répond au jeune alors qu'ils parlent à d'autres personnes et inversement. Le récit est bien ancré dans notre société actuelle, l'auteur ajoute une partie psychologique pour mieux comprendre le personnage du jeune. On est bien dans un polar au sens propre du terme mais les personnages ne sont pas des tueurs ou des victimes. Ils sont seulement présents au mauvais moment dans une situation qui dégénère. A la lecture, on devine vite le rapprochement des deux personnages et même du troisième mais l'on souhaite connaitre la finalité. Les dessins de Deloupy sont sobres mais reflète bien notre époque. Impact est un polar bien ficelé qui devrait trouver son public entre amateur de polar et amateur de drame social. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/impact?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le scénariste Roberto Recchioni décide de débuter une mini-série indépendant de la série principale pour revenir sur les débuts de Dylan Dog et ses enquêtes sur le paranormal. Ainsi les nouveaux lecteurs désireux de commencer la série pourront comprendre le pourquoi du comment des aventures de Dylan Dog. Ce premier tome de l'aube noire est assez conséquent avec une centaine de planche de bande dessinée. L'auteur installe son histoire avec le virus qui transforme les morts en zombies mais aussi de présenter tous les personnages et leur histoire commune comme l'ex-femme de Dylan, son père ou son fidèle compagnon. Ce premier tome est une réussite puisque l'on retrouve l'ambiance fantastique avec une touche d'humour qui sont les caractéristiques de cette série où les monstres légendaires vivent parmi les humains. Pour mettre en image la série 666, Corrado Roi assure des planches magnifiques dans un style très réaliste. L'ensemble est en noir et blanc comme souvent avec cet auteur dont le travail est exceptionnel comme sur la série UT. L'aube noire est une très bonne introduction à l'univers de Dylan Dog similaire à celui de Criminal macabre en version comics américaine pour les lecteurs qui connaissent.
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Titre de l'album : Dylan Dog : L'aube noire Scenariste de l'album : Roberto Recchioni Dessinateur de l'album : Corrado Roi Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : Le scénariste Roberto Recchioni a entamé une mini série dans laquelle il nous présente les débuts du jeune Dylan Dog comme détective du paranormal. Nous apprendrons quel fut sa jeunesse et l'origine des liens entre le jeune homme et le surintendant Bloch de Scotland Yard, le tout avec son lot de zombies et de charmantes créatures. Dylan Dog est au début de sa carrière de détective du paranormal, avec son assistant Gnap-Gnap. Pour son premier cas, il reçoit Sybil Browning. Elle veut que Dylan découvre ce qui est arrivé à son mari, mort d'un mystérieux virus et revenu étrangement à la vie. Critique : Le scénariste Roberto Recchioni décide de débuter une mini-série indépendant de la série principale pour revenir sur les débuts de Dylan Dog et ses enquêtes sur le paranormal. Ainsi les nouveaux lecteurs désireux de commencer la série pourront comprendre le pourquoi du comment des aventures de Dylan Dog. Ce premier tome de l'aube noire est assez conséquent avec une centaine de planche de bande dessinée. L'auteur installe son histoire avec le virus qui transforme les morts en zombies mais aussi de présenter tous les personnages et leur histoire commune comme l'ex-femme de Dylan, son père ou son fidèle compagnon. Ce premier tome est une réussite puisque l'on retrouve l'ambiance fantastique avec une touche d'humour qui sont les caractéristiques de cette série où les monstres légendaires vivent parmi les humains. Pour mettre en image la série 666, Corrado Roi assure des planches magnifiques dans un style très réaliste. L'ensemble est en noir et blanc comme souvent avec cet auteur dont le travail est exceptionnel comme sur la série UT. L'aube noire est une très bonne introduction à l'univers de Dylan Dog similaire à celui de Criminal macabre en version comics américaine pour les lecteurs qui connaissent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dylan-dog-l-aube-noire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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La collection Métamorphose est décidément pleine de belles découvertes et d'originalités. Ce Livre des Merveilles ne fait pas exception à cette règle notamment grâce au travail graphique de Vincent Froissard très original qui met particulièrement en valeur les paysages et les ambiances de cet Orient fantasmé de Marco Polo. L'histoire elle nous réserve quelques belles surprises et nous fera voyager dans l'imaginaire avec tendresse et bienveillance.
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Titre de l'album : Le livre des Merveilles Scenariste de l'album : Etienne Le Roux Dessinateur de l'album : Vincent Froissard Coloriste : Vincent Froissard Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Le Livre des merveilles raconte la rencontre fortuite entre un jeune vagabond et un vieil homme qui se révèle être Marco Polo. À travers les confidences de l'explorateur, le jeune homme va s'immerger dans le récit de son incroyable épopée en Chine, et comprendre ce qui a motivé son voyage... Critique : La collection Métamorphose est décidément pleine de belles découvertes et d'originalités. Ce Livre des Merveilles ne fait pas exception à cette règle notamment grâce au travail graphique de Vincent Froissard très original qui met particulièrement en valeur les paysages et les ambiances de cet Orient fantasmé de Marco Polo. L'histoire elle nous réserve quelques belles surprises et nous fera voyager dans l'imaginaire avec tendresse et bienveillance. Autres infos : Librement adapté des récits de Marco Polo Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-livre-des-merveilles-la-vie-et-les-voyages-de-marco-polo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Voici le tome 9 de cette série spinn off de l'u nivers de Thorgal consacrée à la jeunesse de Thorgal. Et il faut reconnaitre que cette série est bien pensée pour les amateurs de l'univers qui ne se seraient pas encore lassés de notre héros viking pas comme les autres. Roman Surzhenko assure une partie graphique toujours aussi soignée et maîtrisée faisant la part belle aux personnages. Difficile cependant de s'extasier sur les paysages et décors, l'histoire de ce tome 9 ne s'y prêtant guère. Côté scénario et dialogues, Yann nous livre une prestation maîtrisée même j'avoue avoir eu un peu de mal avec "l'actualisation D'Aaricia", ses revendications dans l'air du temps me semblant un poil sortis de nulle part. Le personnage d'Aaricia est un personnage hautement féministe depuis le début, et le remettre dans l'air du temps ne me semble pas bête. Ceci dit dans l'histoire, la ficelle est un peu grosse, surtout qu'elle est encore une enfant plus jeune que Thorgal. De mémoire, son traitement m'avait déjà un peu chagriné dans les précédents tomes. Dommage, mais je fais un peu la fine bouche, ce Thorgal restant une lecture agréable présentant comme toujours une réflexion intéressante. Pour ceux qui ont lâché l'affaire depuis longtemps, pas sûr cependant que la recette très classique de ce tome leur fasse changer d'avis.
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Titre de l'album : La jeunesse de Thorgal - Tome 9 - Les larmes de Hel Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Roman Surzhenko Coloriste : Roman Surzhenko Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Sur le drakkar de Sveyn, Thorgal et Aaricia tentent d'échapper à la vengeance du cruel roi Harald. Mais leur navire fait naufrage, obligeant Thorgal et ses compagnons à aborder sur une île étrange. En quête d'eau potable, ils décident d'explorer les sous-sols d'une cité en ruine. Sans le savoir, ils se jettent au-devant d'un danger encore plus redoutable que celui qu'ils fuient. Critique : Voici le tome 9 de cette série spinn off de l'u nivers de Thorgal consacrée à la jeunesse de Thorgal. Et il faut reconnaitre que cette série est bien pensée pour les amateurs de l'univers qui ne se seraient pas encore lassés de notre héros viking pas comme les autres. Roman Surzhenko assure une partie graphique toujours aussi soignée et maîtrisée faisant la part belle aux personnages. Difficile cependant de s'extasier sur les paysages et décors, l'histoire de ce tome 9 ne s'y prêtant guère. Côté scénario et dialogues, Yann nous livre une prestation maîtrisée même j'avoue avoir eu un peu de mal avec "l'actualisation D'Aaricia", ses revendications dans l'air du temps me semblant un poil sortis de nulle part. Le personnage d'Aaricia est un personnage hautement féministe depuis le début, et le remettre dans l'air du temps ne me semble pas bête. Ceci dit dans l'histoire, la ficelle est un peu grosse, surtout qu'elle est encore une enfant plus jeune que Thorgal. De mémoire, son traitement m'avait déjà un peu chagriné dans les précédents tomes. Dommage, mais je fais un peu la fine bouche, ce Thorgal restant une lecture agréable présentant comme toujours une réflexion intéressante. Pour ceux qui ont lâché l'affaire depuis longtemps, pas sûr cependant que la recette très classique de ce tome leur fasse changer d'avis. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-jeunesse-de-thorgal-tome-9-les-larmes-de-hel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Un nouveau Serge le Tendre c'est encore une BD attendue. Surtout depuis l'excellent Reveil du tigre. Et surtout depuis qu'il a arrété de vouloir rester dans le giron de la quête de l'oiseau du temps. Et ici il se démarque avec un sujet très sympa. A moitié entre une histoire de savant fou et une quête de normalité d'un malade, cette histoire se démarque par une évolution très progressive des caractères des personnages. En effet notre héros passe par tous les stades et toutes les émotions pour essayer de reprendre une vie normale en rentrant de la guerre. mais chaque évolution est bien pensée et bien réalisée. Le Tendre manie vraiment bien le secret et le dessous de son histoire. Si on pense savoir , à la fin, les dessous de l'histoire on n'a au final aucune certitude. Mais meme si notre intuition se trouve justifiée, cela ne fait que renforcer l'envie de lecture pour savoir comment Le Tendre va se sortir de son histoire. Bref un bon premier tome qui formera, à n'en point douter, un bon diptyque qui ira parfaitement dans cette collection "Grand Angle"
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Titre de l'album : La peau de l'autre t1 Scenariste de l'album : Serge Le Tendre Dessinateur de l'album : Gaël Séjourné Coloriste : Gaël Séjourné Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : New York, 1940 - Ross et Harvey sont deux musiciens qui rêvent de devenir célèbres à Broadway. Mais la guerre éclate et Harvey part se battre en Europe. Quand il revient, totalement défiguré par ses blessures, Il découvre le triomphe de son ami avec leur comédie musicale dont Ross s’est attribué la seule paternité. Un chirurgien spécialiste de la greffe de peau avec qui il a vécu les combats propose alors à Harvey d’être son cobaye. Il lui offre un nouveau visage qui pourrait devenir l’instrument de sa vengeance… Critique : Un nouveau Serge le Tendre c'est encore une BD attendue. Surtout depuis l'excellent Reveil du tigre. Et surtout depuis qu'il a arrété de vouloir rester dans le giron de la quête de l'oiseau du temps. Et ici il se démarque avec un sujet très sympa. A moitié entre une histoire de savant fou et une quête de normalité d'un malade, cette histoire se démarque par une évolution très progressive des caractères des personnages. En effet notre héros passe par tous les stades et toutes les émotions pour essayer de reprendre une vie normale en rentrant de la guerre. mais chaque évolution est bien pensée et bien réalisée. Le Tendre manie vraiment bien le secret et le dessous de son histoire. Si on pense savoir , à la fin, les dessous de l'histoire on n'a au final aucune certitude. Mais meme si notre intuition se trouve justifiée, cela ne fait que renforcer l'envie de lecture pour savoir comment Le Tendre va se sortir de son histoire. Bref un bon premier tome qui formera, à n'en point douter, un bon diptyque qui ira parfaitement dans cette collection "Grand Angle" Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-peau-de-l-autre-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Juliette Ihler nous livre une analyse intéressante sur les sorcières et pourquoi on les a jugés de sorcière à cette époque. En faisant le parallèle entre le monde actuel et le monde du XV siècle, Juliette Ihler explique la position de la femme dans les deux sociétés. Ce roman graphique est très bien documenté avec de nombreuses références et explications sur les situations. L'histoire se focalise sur quatre jeunes femmes dont on retrouve la tête sur la couverture. Elles vont subir la folie des bourreaux et le jugement des habitants de leur village. Les accusations ne reposent sur rien de concret et la folie de la chasse aux sorcières est démesurée avec des tortures et mise à mort sur le bucher. L'une des quatre femmes donnait des soins ce qui ne plaisait pas aux docteurs sortis des universités, l'autre prédisait l'avenir, une autre n'était pas mariée...Les dessins sont classiques avec seulement quelques déformations étranges de corps. On perd un peu en fluidité lors des transitions ou des pages sans cases. Ce léger défaut ne gâche en rien la qualité de Sorcières ! disent-ils.
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Titre de l'album : Sorcières ! disent-ils Scenariste de l'album : Juliette Ihler Dessinateur de l'album : Singeon Coloriste : Singeon Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Qui étaient les sorcières ? A travers le récit de "coupables" emblématiques - la guérisseuse, la paysanne, la magicienne, la femme âgée ou indépendante -, se révèle l'histoire d'une misogynie millénaire et d'un système patriarcal renforcé par l'émergence du capitalisme. Aujourd'hui, c'est pour se réapproprier leur puissance que des féministes réhabilitent ces figures émancipatrices. Critique : Juliette Ihler nous livre une analyse intéressante sur les sorcières et pourquoi on les a jugés de sorcière à cette époque. En faisant le parallèle entre le monde actuel et le monde du XV siècle, Juliette Ihler explique la position de la femme dans les deux sociétés. Ce roman graphique est très bien documenté avec de nombreuses références et explications sur les situations. L'histoire se focalise sur quatre jeunes femmes dont on retrouve la tête sur la couverture. Elles vont subir la folie des bourreaux et le jugement des habitants de leur village. Les accusations ne reposent sur rien de concret et la folie de la chasse aux sorcières est démesurée avec des tortures et mise à mort sur le bucher. L'une des quatre femmes donnait des soins ce qui ne plaisait pas aux docteurs sortis des universités, l'autre prédisait l'avenir, une autre n'était pas mariée...Les dessins sont classiques avec seulement quelques déformations étranges de corps. On perd un peu en fluidité lors des transitions ou des pages sans cases. Ce léger défaut ne gâche en rien la qualité de Sorcières ! disent-ils. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sorcieres-disent-ils?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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N'en croyez pas le résumé de l'éditeur. Ce Lorrraine Coeur d'acier n'est pas un livre sur les radios libres. C'est livre sur une époque. Une époque que beaucoup d'entre nous n'ont pas connu. Une époque ou beaucoup de choses ont basculé. Une époque de tous les possibles et de toutes les peurs : les années 70. En effet les années 70 marque la fin des trentes glorieuses. Elle marque la fin du plein emploi et le début d'un marasme dans lequel nous sommes encore : la prise de pouvoir de l'économie de marché sur le monde. La mondialisation et la course au toujours moins cher et au toujours plus. Une course qui nous parait naturelle mais une course qui ne l'était pas dans les années 70, 1968 en est la preuve. A cette époque on pouvait encore dire ce qu'on voulait à radio sans se faire jeter des cailloux virtuels par les bienpensants du web. Une époque ou, si l'on était pas d'accord, on ne retrouvait pas 1000 idiots cachés derrière leur écrans qui pensent comme vous et vous donnent l'impression d'etre dans votre bon droit. Une époque ou une radio a décidé de laisser parler les gens, contre un gourvernement en quête de régulation de l'information (ca aussi c'est entré dans les moeurs) et surtout pour permettre à tous de décrire leurs vies, leurs misères et leurs désespoirs. Une époque qui ne rêvait que d'une chose : d'un emploi digne pour chacun et qui pensait pouvoir changer l'avenir... Une époque que je n'ai pas connu mais que l'album a réussi à me faire vivre au point d'en être nostalgique. Si ca ce n'est pas la preuve d'un album réussit je ne sais pas ce que c'est.
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Titre de l'album : Lorraine Coeur d'acier Scenariste de l'album : Tristan Thil Dessinateur de l'album : Vincent Bailly Coloriste : Vincent Bailly Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : C'est l'histoire d'une radio pirate qui défie le pouvoir : il y a quarante ans, Lorraine Coeur d'Acier posait, pour toujours, un jalon essentiel dans l'histoire des luttes et des radios libres. Une radio populaire qui libère la parole d'une population tout entière. Lorraine Coeur d'Acier ? Le 12 décembre 1978, sous la présidence de Valéry Giscard d'Estaing, est annoncé le plan Davignon qui va liquider la sidérurgie dans le bassin lorrain. Début mars 1979 débarquent à Longwy les journalistes Marcel Trillat et Jacques Dupont : à l'instigation de la CGT, les deux journalistes vont animer des mois durant ce qui allait devenir une radio à nulle autre pareille, une radio de lutte, une radio illégale défiant le pouvoir giscardien, mais aussi une radio « libre », au sens plein de ce terme. Une radio ouverte à tous. « Y compris aux gauchistes et à la droite ? », s'étrangle Eugène. C'est juré, il n'y mettra jamais les pieds. Camille, à rebours de son père, la fréquentera chaque jour, et pas seulement pour la belle voix de Mathilde... Critique : N'en croyez pas le résumé de l'éditeur. Ce Lorrraine Coeur d'acier n'est pas un livre sur les radios libres. C'est livre sur une époque. Une époque que beaucoup d'entre nous n'ont pas connu. Une époque ou beaucoup de choses ont basculé. Une époque de tous les possibles et de toutes les peurs : les années 70. En effet les années 70 marque la fin des trentes glorieuses. Elle marque la fin du plein emploi et le début d'un marasme dans lequel nous sommes encore : la prise de pouvoir de l'économie de marché sur le monde. La mondialisation et la course au toujours moins cher et au toujours plus. Une course qui nous parait naturelle mais une course qui ne l'était pas dans les années 70, 1968 en est la preuve. A cette époque on pouvait encore dire ce qu'on voulait à radio sans se faire jeter des cailloux virtuels par les bienpensants du web. Une époque ou, si l'on était pas d'accord, on ne retrouvait pas 1000 idiots cachés derrière leur écrans qui pensent comme vous et vous donnent l'impression d'etre dans votre bon droit. Une époque ou une radio a décidé de laisser parler les gens, contre un gourvernement en quête de régulation de l'information (ca aussi c'est entré dans les moeurs) et surtout pour permettre à tous de décrire leurs vies, leurs misères et leurs désespoirs. Une époque qui ne rêvait que d'une chose : d'un emploi digne pour chacun et qui pensait pouvoir changer l'avenir... Une époque que je n'ai pas connu mais que l'album a réussi à me faire vivre au point d'en être nostalgique. Si ca ce n'est pas la preuve d'un album réussit je ne sais pas ce que c'est. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lorraine-coeur-d-acier?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Grimoire noir c’est à la fois une histoire de magie mais aussi une enquête. Dès les premières pages, on plonge dans une ambiance assez sombre et énigmatique, les dessins sont sublimes, l’utilisation des couleurs est judicieuse : au milieu d’une palette noire, marron, bleu, certaines touches ponctuelles mettent en évidence un détail et attirent l’attention. Dans la ville de Blackwell, les femmes ont des pouvoirs, les hommes non. Il y a des lois qui protègent les « ensorcelées » mais ces mêmes lois les privent aussi de liberté car les filles sont bloquées dans la ville jusqu’à leurs 18 ans. C’est dans ce contexte que Bucky va chercher sa petite sœur qui a disparu. Seulement, il va devoir être discret, car non seulement il n’a pas de pouvoir mais en plus, les règles de cette ville particulière l’empêchent d’enquêter au grand jour. Au cours de son périple, on va rencontrer tout un tas de personnages, tous semblent avoir des secrets, les pièces du puzzle vont s’assembler au fur et à mesure. Rien n’est prévisible dans cette histoire, il est impossible d’anticiper la fin. Au travers de ce récit, des thèmes importants sont abordés : l’attitude humaine vis-à-vis d’une minorité, la dénonciation des préjugés, des a priori : Bucky part bille en tête, il juge et accuse avant de savoir. Une très belle BD, graphiquement superbe entre poésie et mélancolie gothique, soutenue par une édition de qualité.
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Titre de l'album : Grimoire noir Scenariste de l'album : GREENTEA Vera Dessinateur de l'album : BOGATCH Yana Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : « Tu n'es pas un sorcier Bucky ! ». Nous sommes aux États-Unis à une époque proche de la nôtre. La commune de Blackwell est la seule de tout le pays à ne pas considérer la sorcellerie comme un acte criminel. Cela n'empêche cependant pas certaines sorcières à abuser de leur magie... Dans cette petite ville, Bucky Orson est un peu morose - qui ne l'est pas, à 15 ans ? Alors que sa meilleure amie l'a quitté pour traîner avec des gens bien plus cool, sa jeune sœur vient d'être kidnappée dans des circonstances troubles. Et face à l'impuissance de son père, shérif de la ville, Bucky décide de mener lui-même l'enquête. Finira-t-il par percer les mystères de la magie de Blackwell ? Dans cet univers fantastique où les larmes font pleuvoir et où les plumes modifient les ombres, revient ce thème de la chasse aux sorcières. D'un romantisme gothique somptueux que ne renierait pas Yslaire, Grimoire Noir s'annonce également comme la révélation d'une jeune dessinatrice à suivre : Yana Bogatch, véritable star d'Instagram. Critique : Grimoire noir c’est à la fois une histoire de magie mais aussi une enquête. Dès les premières pages, on plonge dans une ambiance assez sombre et énigmatique, les dessins sont sublimes, l’utilisation des couleurs est judicieuse : au milieu d’une palette noire, marron, bleu, certaines touches ponctuelles mettent en évidence un détail et attirent l’attention. Dans la ville de Blackwell, les femmes ont des pouvoirs, les hommes non. Il y a des lois qui protègent les « ensorcelées » mais ces mêmes lois les privent aussi de liberté car les filles sont bloquées dans la ville jusqu’à leurs 18 ans. C’est dans ce contexte que Bucky va chercher sa petite sœur qui a disparu. Seulement, il va devoir être discret, car non seulement il n’a pas de pouvoir mais en plus, les règles de cette ville particulière l’empêchent d’enquêter au grand jour. Au cours de son périple, on va rencontrer tout un tas de personnages, tous semblent avoir des secrets, les pièces du puzzle vont s’assembler au fur et à mesure. Rien n’est prévisible dans cette histoire, il est impossible d’anticiper la fin. Au travers de ce récit, des thèmes importants sont abordés : l’attitude humaine vis-à-vis d’une minorité, la dénonciation des préjugés, des a priori : Bucky part bille en tête, il juge et accuse avant de savoir. Une très belle BD, graphiquement superbe entre poésie et mélancolie gothique, soutenue par une édition de qualité. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/grimoire-noir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je me range dans la catégorie des gens qui n'avaient aucune idée de ce que pouvaient être Marblegen avant d'avoir cette bd dans les mains. Après recherche il s'avère qu'il s'agit d'une série télévisée diffusée en france par TF1, ce qui explique probablement son adaptation en cours en mangas, mais aussi en bd comme ici. Pour ceux qui ignoraient donc tout de cet univers, il s'agit clairement d'un erzatz de Pokémon, pas si mal amené que cela et qui va mettre aux prises une équipe de jeunes héros aventuriers dans un univers coloré et sympathique. Le dessin est à l'image de la production de la série de dessins animés. Reste que ce n'est absolument pas à destination des adultes, et que l'intérêt de cette BD dépendra exclusivement de l'intérêt qu'ont déjà vos enfants/jeunes ados pour la série TV. Parce que c'est quand même bien pensé pour vendre du jouet cette série...
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Titre de l'album : Marblegen - Tome 2 - le vénérable Tanzang Scenariste de l'album : Sylvain Dos Santos & Antoine Maurel Dessinateur de l'album : Noé Monin Coloriste : Linda-Laure Greff Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Comme tous les enfants d'Olympia, Luna, Cosmo et Sam ont grandi en lisant les aventures de Cagliostro, un alchimiste légendaire ! Luna est même persuadée qu'il a vraiment existé. Lorsqu'elle apprend cela, Aïssa ne peut s'empêcher de sourire. Vexée, Luna embarque Sam dans une dangereuse quête pour prouver qu'elle a raison. Et maintenant, c'est à Aïssa et Cosmo de les sortir de là à l'aide de leurs Marblegens ! Critique : Je me range dans la catégorie des gens qui n'avaient aucune idée de ce que pouvaient être Marblegen avant d'avoir cette bd dans les mains. Après recherche il s'avère qu'il s'agit d'une série télévisée diffusée en france par TF1, ce qui explique probablement son adaptation en cours en mangas, mais aussi en bd comme ici. Pour ceux qui ignoraient donc tout de cet univers, il s'agit clairement d'un erzatz de Pokémon, pas si mal amené que cela et qui va mettre aux prises une équipe de jeunes héros aventuriers dans un univers coloré et sympathique. Le dessin est à l'image de la production de la série de dessins animés. Reste que ce n'est absolument pas à destination des adultes, et que l'intérêt de cette BD dépendra exclusivement de l'intérêt qu'ont déjà vos enfants/jeunes ados pour la série TV. Parce que c'est quand même bien pensé pour vendre du jouet cette série... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/margleben-marblegen-tome-2-le-venerable-tanzang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Julie Doohan retape le saloon familial pour reprendre la suite avec vente d'alcool en temps de prohibition aux Etats-Unis. Plusieurs clans se font la guerre pour obtenir la suprématie du marché, les italiens avec la mafia et les irlandais. Entre les deux grosses organisations, on trouve le Wild Mustang Saloon de Julie Doohan. Cette dernière propose un alcool de qualité fait maison par un ami chimiste de la famille. Dans cette série Thierry Cailleteau imagine un western moderne basé sur de l'action comme vous pourrez le voir avec les différentes réactions des personnages. Les morts sont nombreux et l'alcool coule à flot. On peut dire que le scénariste ne se soucie pas des détails avec une histoire classique et beaucoup d’exagérations. Luc Brahy dessine ce western dans un style semi-réaliste. Les planches sont détaillées mais quelques personnages ont des positions et proportions étranges. Toutes les problématiques se résolvent à coup de fusil ou de bagarre dans cette série qui veut un divertissement sans se prise de tête pour le lecteur mais aussi sans grande réflexion. Julie Doohan est une femme qui sait s’imposer dans ce monde ou les truands sont des hommes endurcis.
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Titre de l'album : Julie Doohan tome 2 - Wild mustang saloon Scenariste de l'album : Thierry Cailleteau Dessinateur de l'album : Luc Brahy Coloriste : Simon Champelovier Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Arizona, 1926. Quatre ans après la reprise de la distillerie clandestine de son père, Julie possède aujourd'hui une bonne réserve de bourbon de qualité. Elle compte sur ce trésor pour soutenir la réouverture du Wild Mustang Saloon. Une concurrence insupportable pour Jack Mozza, qui est prêt à tout pour ruiner l'entreprise de Julie et interférer une nouvelle fois dans sa vie... la fois de trop. Critique : Julie Doohan retape le saloon familial pour reprendre la suite avec vente d'alcool en temps de prohibition aux Etats-Unis. Plusieurs clans se font la guerre pour obtenir la suprématie du marché, les italiens avec la mafia et les irlandais. Entre les deux grosses organisations, on trouve le Wild Mustang Saloon de Julie Doohan. Cette dernière propose un alcool de qualité fait maison par un ami chimiste de la famille. Dans cette série Thierry Cailleteau imagine un western moderne basé sur de l'action comme vous pourrez le voir avec les différentes réactions des personnages. Les morts sont nombreux et l'alcool coule à flot. On peut dire que le scénariste ne se soucie pas des détails avec une histoire classique et beaucoup d’exagérations. Luc Brahy dessine ce western dans un style semi-réaliste. Les planches sont détaillées mais quelques personnages ont des positions et proportions étranges. Toutes les problématiques se résolvent à coup de fusil ou de bagarre dans cette série qui veut un divertissement sans se prise de tête pour le lecteur mais aussi sans grande réflexion. Julie Doohan est une femme qui sait s’imposer dans ce monde ou les truands sont des hommes endurcis. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/julie-doohan-tome-2-wild-mustang-saloon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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J'aime bien ces BD de guerre. Car c'est plus une description de la guerre plus qu'une vrai BD de guerre. Et ce tome la est particulièrement représentatif car il nous montre la création des bérets verts Français au sein des force anglaises. Création uniquement due à la volonté de Philippe Kieffer. On découvre en effet cet homme qui n'avait rien pour devenir commandant mais que sa force de volonté a permis de vaincre de nombreux obstacles dont celui de l'âge. Un homme qui a choisi de résister dès le début contrairement à beaucoup. Une scène montre d'ailleurs que peu avaient choisi de résister quand le choix leur avait été donné. Entre une vie très humaine avec ses différents enfants et une vie militaire impliquée avec une vraie volonté de montrer que la France était encore vivante et non juste une extension de l'Allemagne. Un destin qui montre que la détermination d'un homme lui permet de franchir des montagnes. Un destin hors du commun comme tous ces compagnons de la libération.
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Titre de l'album : Les compagnons de la Libération - Philippe Kieffer Scenariste de l'album : Jean-Yves Le Naour Dessinateur de l'album : Frédéric Blier Coloriste : Sébastien Bouët Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Ce dandy des Antilles n’a même pas fait son service militaire, dispensé comme Français de l’étranger. Pourtant, le jour de la déclaration des hostilités, en septembre 1939, il s’engage comme matelot. Refusant la défaite de juin 1940, il répond à l’appel du général de Gaulle et intègre les Forces françaises libres. Impressionné par les méthodes des commandos britanniques, il intègre les prestigieux Bérets verts et constitue en 1942, avec une vingtaine de volontaires, ce qui deviendra les « Commandos Kieffer ». Son but : participer au grand débarquement qui doit libérer la France. Critique : J'aime bien ces BD de guerre. Car c'est plus une description de la guerre plus qu'une vrai BD de guerre. Et ce tome la est particulièrement représentatif car il nous montre la création des bérets verts Français au sein des force anglaises. Création uniquement due à la volonté de Philippe Kieffer. On découvre en effet cet homme qui n'avait rien pour devenir commandant mais que sa force de volonté a permis de vaincre de nombreux obstacles dont celui de l'âge. Un homme qui a choisi de résister dès le début contrairement à beaucoup. Une scène montre d'ailleurs que peu avaient choisi de résister quand le choix leur avait été donné. Entre une vie très humaine avec ses différents enfants et une vie militaire impliquée avec une vraie volonté de montrer que la France était encore vivante et non juste une extension de l'Allemagne. Un destin qui montre que la détermination d'un homme lui permet de franchir des montagnes. Un destin hors du commun comme tous ces compagnons de la libération. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-compagnons-de-la-liberation-philippe-kieffer?ref=44 Voir la totalité de enregistrement