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  1. Titre de l'album : L'homme le plus flippé du monde tome 2 - Tentatives d'adaptation Scenariste de l'album : Théo Grosjean Dessinateur de l'album : Théo Grosjean Coloriste : Théo Grosjean Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Phase 2 pour l'Homme le plus flippé du monde. Après avoir exposé quelques-unes de ses pires psychoses, il est temps de s'attaquer au coeur du problème. Fouilles dans le passé, révélations cathartiques sur son histoire familiale, écoutes intensives de musiques stimulantes ou même kinésithérapie... les techniques ne manquent pas, mais est-ce que le résultat suivra ? Critique : Deuxième tome des aventures de l’homme le plus flippé du monde qui n’est autre que l’auteur lui-même. Théo Grosjean doit gérer ses crises d’angoisses ou de paniques durant son quotidien. L’auteur a choisi de les mettre en image dans des histoires courtes et amusantes pour les lecteurs. Le personnage principal détourne tout ce qui l’entoure en problème ou inquiétude. Cette autodérision fonctionne bien puisque le premier tome a rencontré un certain succès et cette suite rempile avec la même formule sur deux planches avec la chute comique en fin. Ce deuxième tome commence avec la peur de la mort pour Théo Grosjean qui va la croiser d’ailleurs puisqu’il pense souvent à elle, comme elle le lui annonce. La partie graphique est assez minimalise comme souvent sur ce genre de registre avec l'utilisation de la couleur orange avec le noir et blanc. Les lecteurs ayant apprécié le premier tome devraient être conquis par cette suite et les autres découvriront un album plein d’humour sur l’anxiété de son auteur. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-homme-le-plus-flippe-du-monde-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Kurusan, le samuraï noir tout est dit dans le titre qui résume très bien l'histoire de cette nouvelle série. Thierry Gloris est devenu un peu le spécialiste des récits historiques aussi bien moyenâgeux avec plusieurs titres dans la collection des reines de sang ou d'autres époques. Avec Kurusan, Gloris s'inspire d’une histoire vraie pour nous plonger dans le Japon du 16 ème siècle. L'auteur nous donne un petit aperçu des tensions entre différents chefs de guerre près à en découdre pour la conquête. Oda Nobunaga est un puissant chef à la tête d'une grande armée. Ce dernier croise un esclave africain qui accompagne un jésuite dans ses voyages. Il l'achète avant de se lier d'amitié avec cet homme à la peau sombre. Je trouve que la couverture ne rend pas hommage au magnifique travaille d'Emiliano Zarcone sur les planches intérieures de Kurusan. Le dessinateur gère à merveille les décors et l'ambiance du Japon. Les scènes d'action sont parfaites comme les scènes de guerres. Ce premier tome démarre très bien une nouvelle série originale basée sur la réalité. Il se passe beaucoup de chose dans cette introduction entre Kuru l'esclave qui doit tout apprendre de la culture japonaise et les guerres à menées.
  3. Titre de l'album : Kurusan, le samuraï noir tome 1 - Yasuke Scenariste de l'album : Thierry Gloris Dessinateur de l'album : Emiliano Zarcone Coloriste : Bruno Tatti Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Yusuf est un esclave noir. Vendu comme un vulgaire bien, il devient sous le nom de Joseph le serviteur d'un jésuite italien. Ce dernier est chargé de visiter les établissements de son ordre en Asie. Avec Joseph, il débarque au Japon dans les années 1570. Oda Nobunaga, le fils d'un daimyo va rencontrer cet étranger à la peau d'ébène et, contre toute attente, se lier d'amitié avec notre héros. Critique : Kurusan, le samuraï noir tout est dit dans le titre qui résume très bien l'histoire de cette nouvelle série. Thierry Gloris est devenu un peu le spécialiste des récits historiques aussi bien moyenâgeux avec plusieurs titres dans la collection des reines de sang ou d'autres époques. Avec Kurusan, Gloris s'inspire d’une histoire vraie pour nous plonger dans le Japon du 16 ème siècle. L'auteur nous donne un petit aperçu des tensions entre différents chefs de guerre près à en découdre pour la conquête. Oda Nobunaga est un puissant chef à la tête d'une grande armée. Ce dernier croise un esclave africain qui accompagne un jésuite dans ses voyages. Il l'achète avant de se lier d'amitié avec cet homme à la peau sombre. Je trouve que la couverture ne rend pas hommage au magnifique travaille d'Emiliano Zarcone sur les planches intérieures de Kurusan. Le dessinateur gère à merveille les décors et l'ambiance du Japon. Les scènes d'action sont parfaites comme les scènes de guerres. Ce premier tome démarre très bien une nouvelle série originale basée sur la réalité. Il se passe beaucoup de chose dans cette introduction entre Kuru l'esclave qui doit tout apprendre de la culture japonaise et les guerres à menées. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kurusan-le-samourai-noir-tome-1-yasuke?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Fin du diptyque de Cedric Simon et Eric Stalner sur le Paris du début du vingtième siècle. Et une très belle fin qui me fait honnêtement regretter de ne pas avoir gardé le premier tome. Car ce tome ci est excellent. Excellent de maitrise graphique avec un Eric Stalner au sommet de sa forme. Mais surtout excellent au niveau de l'histoire. Tous les petits cailloux semés par Cedric Simon prennent leurs places. Même ceux qui pouvaient sembler négligeable dans le premier tome, comme l'histoire des animaux, se retrouve ici à une place bien precise dans une belle mise en scène d'Eugenie et de sa "famille". La grande Sarah Bernard en prends pour son grade mais on ne peut s'empecher de se dire que ce n'est que justice. La mise en scène de la petitef amille est vraiment surprenante et on se laisse agréablement suprendre par cette petite troupe. Les informations sont suffisament bien distillées pour que l'on ne rendent compte de rien jusqu'à quelques pages de la fin. Un super diptyque !
  5. Titre de l'album : l'oiseau rare t2 - la grande sarah Scenariste de l'album : Cedric Simon Dessinateur de l'album : Eric Stalner Coloriste : Eric Stalner Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Dans ce bidonville parisien, au milieu du petit peuple chass par la spculation immobilire, vit Eugnie et sa bande : le vieil Arthur, Tibor, lancien dompteur hongrois et les deux frres, Constantin et Lucien. Le ciment de cette famille, c'est Eugnie qui les entraîne dans son rêve fou de reconstruire L'Oiseau rare, le cabaret de son grand-pre. Pour cela, chanter dans les rues ne suffit pas. Cest un prtexte pour attirer les bourgeois aux bourses pleines. Vols et filouteries sont leurs vritables activits. Mais les combines de plus en plus risques, les problèmes avec les apaches et la police vont précipiter le petit groupe dans une spirale dangereuse. Critique : Fin du diptyque de Cedric Simon et Eric Stalner sur le Paris du début du vingtième siècle. Et une très belle fin qui me fait honnêtement regretter de ne pas avoir gardé le premier tome. Car ce tome ci est excellent. Excellent de maitrise graphique avec un Eric Stalner au sommet de sa forme. Mais surtout excellent au niveau de l'histoire. Tous les petits cailloux semés par Cedric Simon prennent leurs places. Même ceux qui pouvaient sembler négligeable dans le premier tome, comme l'histoire des animaux, se retrouve ici à une place bien precise dans une belle mise en scène d'Eugenie et de sa "famille". La grande Sarah Bernard en prends pour son grade mais on ne peut s'empecher de se dire que ce n'est que justice. La mise en scène de la petitef amille est vraiment surprenante et on se laisse agréablement suprendre par cette petite troupe. Les informations sont suffisament bien distillées pour que l'on ne rendent compte de rien jusqu'à quelques pages de la fin. Un super diptyque ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-oiseau-rare-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    l'école buissonière

    En voilà un sympathique one shot. Un one shot qui parle d'une frange de la population qui ne fait as les devant de l'histoire : les lycéens. Ces lycéens qui se sont vu devoir faire comme si de rien n'était durant l'occupation allemande. Lycéens qui sont plus que de grands enfants et commencent par penser par eux même, quitte à aller contre l'autorité parentale pour se rebeller contre l'occupant. L'analyse de l'esprit lycéen est vraiment bien retranscrite dans cet album. On ressent bien autant l'aspect bravache que la difficulté de s'affronter à la réalité. Du début à la fin on suit l'évolution des personnages avec intérêt. Entre ceux qui trouve de réelles convictions et ceux qui se retrouvent embarqués contraint et forcé, nos héros dépeignent bien tout l'éventail du changement d'enfant à adulte. Le graphisme et la coloration à l’aquarelle est bien trouvé, donnant un ton vieillis qui colle bien avec cette histoire historique. On pourra aussi soulever une fin très juste, sans trop en dire.
  7. Titre de l'album : l'école buissonière Scenariste de l'album : Patrice Ordas Dessinateur de l'album : Alain Mounier Coloriste : Alain Mounier Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Ils auraient dû avoir leur bac en 1943. Certains le passeront à la Libération. D'autres n'en auront jamais l'occasion... Décembre 1943. Pour Jacques, François et Jean, le baccalauréat est en ligne de mire. Mais une altercation avec un soldat allemand va bouleverser le cours de leur vie. D'autant que les racines juives de Jacques le mettent maintenant en grand danger. Accompagnés de Colette, cousine de François, et avec ce sentiment qu'un étau se resserre inexorablement sur eux, ils fuient vers la Corrèze. Là-bas, leur seule échappatoire est d'intégrer le maquis, et de résister. Critique : En voilà un sympathique one shot. Un one shot qui parle d'une frange de la population qui ne fait as les devant de l'histoire : les lycéens. Ces lycéens qui se sont vu devoir faire comme si de rien n'était durant l'occupation allemande. Lycéens qui sont plus que de grands enfants et commencent par penser par eux même, quitte à aller contre l'autorité parentale pour se rebeller contre l'occupant. L'analyse de l'esprit lycéen est vraiment bien retranscrite dans cet album. On ressent bien autant l'aspect bravache que la difficulté de s'affronter à la réalité. Du début à la fin on suit l'évolution des personnages avec intérêt. Entre ceux qui trouve de réelles convictions et ceux qui se retrouvent embarqués contraint et forcé, nos héros dépeignent bien tout l'éventail du changement d'enfant à adulte. Le graphisme et la coloration à l’aquarelle est bien trouvé, donnant un ton vieillis qui colle bien avec cette histoire historique. On pourra aussi soulever une fin très juste, sans trop en dire. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-ecole-buissonniere-histoire-complete?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. alx23

    Mobius tome 1 - Les fils du vent

    Avec Mobius, Jean-Pierre Pecau nous livre un scénario de science-fiction avec la présentation d'un multivers où des agents pourchassent un tueur en série de femmes. Pecau prend le temps d'introduire le concept du voyage avec la bague pour bien comprendre le contexte de l'histoire lors du briefing du héros amnésique. Avec cette méthode narrative, on peut rentrer dans le vif du sujet avec des voyages dans des mondes parallèles pas forcément peuplés par des humains. Depuis Nous, les morts, Igor Kordey enchaine les titres aux éditions Delcourt avec Marshal Bass, Colt & Pepper ou encore des tomes pour la saga Jour J. Le dessinateur est vraiment très productif et son travail reste qualitatif sur ces titres que j'ai eu l'occasion de lire. On reconnait facilement son trait proche de celui de Richard Corben une référence dans le monde des comics. Avec Mobius, l'auteur nous livre des versions différentes de la terre avec tous les mondes parallèles ou certain voyageur peuvent circuler. Igor Kordey supervise les couleurs avec Anubis, un coloriste avec lequel il a déjà travaillé sur Colt & Pepper. Cette introduction est très prenante avec des scènes d’action musclées et des voyages sur différents mondes pour le plus grand plaisir des lecteurs.
  9. Titre de l'album : Mobius tome 1 - Les fils du vent Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pecau Dessinateur de l'album : Igor Kordey Coloriste : Anubis Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Lorsqu'on meurt, on passe dans un autre monde, et il y a, selon la théorie quantique, une infinité de mondes. Si le choc nous fait oublier, certains êtres humains, les Voyageurs, se souviennent de leurs vies antérieures. C'est le cas de Berg, un ancien agent du Mont. Mais on ne démissionne pas du Mont. Et Berg est recruté pour une nouvelle mission : traquer un autre Voyageur, tueur en série. Critique : Avec Mobius, Jean-Pierre Pecau nous livre un scénario de science-fiction avec la présentation d'un multivers où des agents pourchassent un tueur en série de femmes. Pecau prend le temps d'introduire le concept du voyage avec la bague pour bien comprendre le contexte de l'histoire lors du briefing du héros amnésique. Avec cette méthode narrative, on peut rentrer dans le vif du sujet avec des voyages dans des mondes parallèles pas forcément peuplés par des humains. Depuis Nous, les morts, Igor Kordey enchaine les titres aux éditions Delcourt avec Marshal Bass, Colt & Pepper ou encore des tomes pour la saga Jour J. Le dessinateur est vraiment très productif et son travail reste qualitatif sur ces titres que j'ai eu l'occasion de lire. On reconnait facilement son trait proche de celui de Richard Corben une référence dans le monde des comics. Avec Mobius, l'auteur nous livre des versions différentes de la terre avec tous les mondes parallèles ou certain voyageur peuvent circuler. Igor Kordey supervise les couleurs avec Anubis, un coloriste avec lequel il a déjà travaillé sur Colt & Pepper. Cette introduction est très prenante avec des scènes d’action musclées et des voyages sur différents mondes pour le plus grand plaisir des lecteurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mobius-tome-1-les-fils-du-vent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. poseidon2

    La pierre du chaos t2

    J'avais mis en avant, sur le premier tome, que l'on voyait vraiment sur cette série l'apport d'un romancier. Et cela ne change pas sur ce tome 2. Voir même c'est encore plus présent sur ce tome 2. Car dieu que ce tome est dense ! Il se passe encore énormément de chose. De l'invasion, en passant par le rôle de la sorcière, l'arrivée de la femme de l'un des personnages principaux et la montée en puissance de notre appelé aux pouvoirs magiques, il y a tellement de contenu que ce tome ... ressemble quasiment à une mise en bouche pour le livre qui en est tiré. C'est le seul défaut de ce tome 2 : il donne envie d'en savoir plus ! On se passionne pour cette guerre et l'évolution de tous nos personnages mais on a l'impression de n'avoir que l'essentiel de l'histoire et que l'on pourrait creuser bien plus les relations entre les personnages ou avoir plus informations sur le déroulée de la guerre. Par ce que tour le reste c'est tout bon. On a un super graphisme avec un très gros travail de Stéphane Créty sur le bestiaire pour nous livrer une qualité globale impressionnante et bien nous faire ressentir le poids de l'histoire. Une vraie bonne histoire d'héroic fantasy qui fera une bonne trilogie à n'en pas douter.... mais pour laquelle on aurait presque aimé 6 tomes.
  11. Titre de l'album : La pierre du chaos t2 Scenariste de l'album : Gabriel Katz Dessinateur de l'album : Stephane Crety Coloriste : Stephane Crety Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Dans un univers de dark fantasy teintée d'antiquité romaine, ce deuxième tome de la Pierre du chaos voit basculer une paisible province impériale dans une guerre sanglante. C'est l'histoire d'un face à face inévitable entre un jeune appelé devenu machine de guerre, et un chef barbare à la réputation effroyable. Dans l'enfer de la débâcle, de jeunes appelés, une femme enceinte et une sorcière surdouée vont devoir survivre... Critique : J'avais mis en avant, sur le premier tome, que l'on voyait vraiment sur cette série l'apport d'un romancier. Et cela ne change pas sur ce tome 2. Voir même c'est encore plus présent sur ce tome 2. Car dieu que ce tome est dense ! Il se passe encore énormément de chose. De l'invasion, en passant par le rôle de la sorcière, l'arrivée de la femme de l'un des personnages principaux et la montée en puissance de notre appelé aux pouvoirs magiques, il y a tellement de contenu que ce tome ... ressemble quasiment à une mise en bouche pour le livre qui en est tiré. C'est le seul défaut de ce tome 2 : il donne envie d'en savoir plus ! On se passionne pour cette guerre et l'évolution de tous nos personnages mais on a l'impression de n'avoir que l'essentiel de l'histoire et que l'on pourrait creuser bien plus les relations entre les personnages ou avoir plus informations sur le déroulée de la guerre. Par ce que tour le reste c'est tout bon. On a un super graphisme avec un très gros travail de Stéphane Créty sur le bestiaire pour nous livrer une qualité globale impressionnante et bien nous faire ressentir le poids de l'histoire. Une vraie bonne histoire d'héroic fantasy qui fera une bonne trilogie à n'en pas douter.... mais pour laquelle on aurait presque aimé 6 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-pierre-du-chaos-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. alx23

    Les déracinés

    Les déracinés est l'adaptation du roman de Catherine Bardon en bande dessinée aux éditions Philéas. Catherine Bardon se charge de cette adaptation pour conserver essentiellement les moments forts et intenses du roman pour tenir dans une bande dessinée d'une centaine de page. L'histoire commence à Vienne durant l'entre-deux guerres avec la montée du parti nazi en Allemagne et leur politique antisémite. On suit la destinée d'Almah et Wilhelm un jeune couple qui va subir les persécutions nazies avant de fuir leur pays dans un voyage interminable jusqu'en République dominicaine. Ce drame est inspiré de faits réels pour retranscrire au plus proche le calvaire du peuple juif à cette époque troublée en Europe. La bande dessinée est divisée en quatre chapitres qui coïncide avec les moments importants de la vie du couple de héros et le lieu où ils vivent. Le dessinateur Winoc réalise la partie graphique avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. La mise en scène est classique mais convient au récit historique avec des planches plus originale qui dynamisent l'ensemble pour marquer les moments forts. Les éditions Philéas se sont spécialises dans les adaptations de Romans à succès avec Gravé dans le sable de Michel Bussi ou le syndrome [e] de Franck Thilliez et maintenant les déracinés. Ces adaptations sont très réussies et restent fidèles aux romans comme on peut encore le voir avec les déracinés. Alx23
  13. alx23

    Les déracinés

    Titre de l'album : Les déracinés Scenariste de l'album : Catherine Bardon Dessinateur de l'album : Winoc Coloriste : Winoc Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : Des cafés viennois des années trente aux plages des Caraïbes, laissez-vous transporter par cette histoire d'amour et d'exil et le destin exceptionnel d'Almah et Wilhelm. Après l’Anschluss, le climat de plus en plus hostile aux juifs pousse Almah et Wilhelm à s’exiler avant qu’il ne soit trop tard. Ils n’ont d’autre choix que de partir en République dominicaine, où le dictateur promet 100 000 visas aux juifs d’Europe. Critique : Les déracinés est l'adaptation du roman de Catherine Bardon en bande dessinée aux éditions Philéas. Catherine Bardon se charge de cette adaptation pour conserver essentiellement les moments forts et intenses du roman pour tenir dans une bande dessinée d'une centaine de page. L'histoire commence à Vienne durant l'entre-deux guerres avec la montée du parti nazi en Allemagne et leur politique antisémite. On suit la destinée d'Almah et Wilhelm un jeune couple qui va subir les persécutions nazies avant de fuir leur pays dans un voyage interminable jusqu'en République dominicaine. Ce drame est inspiré de faits réels pour retranscrire au plus proche le calvaire du peuple juif à cette époque troublée en Europe. La bande dessinée est divisée en quatre chapitres qui coïncide avec les moments importants de la vie du couple de héros et le lieu où ils vivent. Le dessinateur Winoc réalise la partie graphique avec beaucoup de maitrise dans un style réaliste. La mise en scène est classique mais convient au récit historique avec des planches plus originale qui dynamisent l'ensemble pour marquer les moments forts. Les éditions Philéas se sont spécialises dans les adaptations de Romans à succès avec Gravé dans le sable de Michel Bussi ou le syndrome [e] de Franck Thilliez et maintenant les déracinés. Ces adaptations sont très réussies et restent fidèles aux romans comme on peut encore le voir avec les déracinés. Alx23 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-deracines?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    Le plongeon

    Il y a des BDs difficiles. Certaines difficiles par leirs réalisations et d'autres, comme celle ci, difficiles par leur thème comme celle ci qui nous projette vers ce que l'on cherche tous à éloigner : la vieillesse et la fin de vie. Et cette répulsion, viscéralement ancrée en chacun de nous, nous fait en oublier que nos anciens, qui sont eux déjà vieux, ont besoin de notre soutient et sont des personnes qui méritent de continuer à vivre comme tout un chacun. Ce qui est dure dans cette BD c'est qu'elle nous montre ce plongeon, ou cette chute, et ce depuis le début. Début qui vient souvent des enfants et petits enfants qui juge que "cela sera mieux pour mamie de ne plus être toute seule". SI ce jugement théorique est vrai dans 80% des cas, il est souvent prit sans tenir compte de ce que peut representer de refaire sa vie à plus de 75 ans. une vie deja remplie de souvenir que l'on a pas envie d'oublier. Ce que Severine Vidal fait superbement bien dans ce "Plongeon" c'est qu'elle ne cherche pas à cacher les moments de profondes tristesses mais elle ne cherche pas non plus nous apitoyer outre mesure. Et cela reussit car on s'imagine bien qu'Yvonne pourrait etre notre grande mère.... ou qu'elle pourrait etre nous dans pas si longtemps que cela... et c'est cette realité de la vie en Ephad et la vraisemblance du changement de la vie solitaire à la vie à plusieurs qui rend cette BD difficile. Car on ne peut s'empecher de se dire que c'est ce qui nous arrivera un jour.... Mais cela nous met aussi une piqure de rappel et, même si nous avons des vies de bordées de choses d'importances discutables, nous encourage à prendre le temps qu'il faut pour pour profiter de nos anciens tant qu'il est encore temps.
  15. poseidon2

    Le plongeon

    Titre de l'album : Le plongeon Scenariste de l'album : Severine Vidal Dessinateur de l'album : Victor Lorenzo Pinel Coloriste : Victor Lorenzo Pinel Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : En fermant une dernière fois les volets de sa maison, Yvonne, 80 ans, abandonne 40 ans de vie pour intégrer un EHPAD. Le changement est rude pour cette femme indépendante, d’autant qu’elle a encore toute sa tête. Elle a du mal à s’acclimater à cette nouvelle vie, qui la rapproche douloureusement de la mort. Prise dans le tourbillon inéluctable de la vie, l’octogénaire décide de s’offrir une dernière parenthèse enchantée. Critique : Il y a des BDs difficiles. Certaines difficiles par leirs réalisations et d'autres, comme celle ci, difficiles par leur thème comme celle ci qui nous projette vers ce que l'on cherche tous à éloigner : la vieillesse et la fin de vie. Et cette répulsion, viscéralement ancrée en chacun de nous, nous fait en oublier que nos anciens, qui sont eux déjà vieux, ont besoin de notre soutient et sont des personnes qui méritent de continuer à vivre comme tout un chacun. Ce qui est dure dans cette BD c'est qu'elle nous montre ce plongeon, ou cette chute, et ce depuis le début. Début qui vient souvent des enfants et petits enfants qui juge que "cela sera mieux pour mamie de ne plus être toute seule". SI ce jugement théorique est vrai dans 80% des cas, il est souvent prit sans tenir compte de ce que peut representer de refaire sa vie à plus de 75 ans. une vie deja remplie de souvenir que l'on a pas envie d'oublier. Ce que Severine Vidal fait superbement bien dans ce "Plongeon" c'est qu'elle ne cherche pas à cacher les moments de profondes tristesses mais elle ne cherche pas non plus nous apitoyer outre mesure. Et cela reussit car on s'imagine bien qu'Yvonne pourrait etre notre grande mère.... ou qu'elle pourrait etre nous dans pas si longtemps que cela... et c'est cette realité de la vie en Ephad et la vraisemblance du changement de la vie solitaire à la vie à plusieurs qui rend cette BD difficile. Car on ne peut s'empecher de se dire que c'est ce qui nous arrivera un jour.... Mais cela nous met aussi une piqure de rappel et, même si nous avons des vies de bordées de choses d'importances discutables, nous encourage à prendre le temps qu'il faut pour pour profiter de nos anciens tant qu'il est encore temps. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-plongeon-histoire-complete?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. poseidon2

    Blanc autour

    Lupano est de retour aux affaires sérieuses. Si j'adore le Lupano en mode "deconnade", il est tout aussi bon et surprenant dans ces histoires "classiques". Et celle-ci est encore une fois particulièrement fois foutu. Moins étonnant que certains de ces titres précédents, du fait de la véracité historique, mais vraiment immersif. Lupano réussit la mission première d'un scénariste lors de la production d'un "biographique" : se faire oublier. Et là il réussit magnifiquement cela pour laisser la grande place aux superbes dessins de Stéphane Fert et à la difficulté de l'histoire. Et quels dessins ! Quelle histoire ! En tant qu'européen n'ayant jamais entendu parler de cet épisode d'histoire, j'ai été bluffé autant par le courage de institutrice que par la faculté des blanc de se trouver des excuses et des justifications. Si on connait la globalité de l'histoire, on nous parle très souvent des "méchants du sud" et des gentils abolitionnistes du nord. On ne nous présente pas vraiment comment cela se passait avec les gentils du nord. Et cette présentation nous explique encore plus le pourquoi des problématiques actuelles aux USA et comme quoi les blancs du nord, tout abolitionnistes qu'ils pouvaient être, préféraient quand même que le "problème noir" reste au sud. Historiquement intéressant et graphiquement magnifique, une histoire à faire lire au plus grand nombre !
  17. poseidon2

    Blanc autour

    Titre de l'album : Blanc autour Scenariste de l'album : Wilfrid Lupano Dessinateur de l'album : Stéphane Fert Coloriste : Stéphane Fert Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : 1832, Canterbury. Dans cette petite ville du Connecticut, l'institutrice Prudence Crandall s'occupe d'une école pour filles. Un jour, elle accueille dans sa classe une jeune noire, Sarah. La population blanche locale voit immédiatement cette " exception " comme une menace. Même si l'esclavage n'est plus pratiqué dans la plupart des Etats du Nord, l'Amérique blanche reste hantée par le spectre de Nat Turner : un an plus tôt, en Virginie, cet esclave noir qui savait lire et écrire a pris la tête d'une révolte sanglante. Pour les habitants de Canterbury, instruction rime désormais avec insurrection. Ils menacent de retirer leurs filles de l'école si la jeune Sarah reste admise.Prudence Crandall les prend au mot et l'école devient la première école pour jeunes filles noires des Etats-Unis, trente ans avant l'abolition de l'esclavage. Nassées au coeur d'une communauté ultra-hostile, quelques jeunes filles noires venues d'un peu partout pour étudier vont prendre conscience malgré elles du danger qu'elles incarnent et de la haine qu'elles suscitent dès lors qu'elles ont le culot de vouloir s'élever au-dessus de leur condition. La contre-attaque de la bonne société sera menée par le juge Judson, qui portera l'affaire devant les tribunaux du Connecticut. Prudence Crandall, accusée d'avoir violé la loi, sera emprisonnée...La douceur du trait et des couleurs de Stéphane Fert sert à merveille ce scénario de Wilfrid Lupano (Les Vieux Fourneaux), qui s'est inspiré de faits réels pour raconter cette histoire de solidarité et de sororité du point de vue des élèves noires. Critique : Lupano est de retour aux affaires sérieuses. Si j'adore le Lupano en mode "deconnade", il est tout aussi bon et surprenant dans ces histoires "classiques". Et celle-ci est encore une fois particulièrement fois foutu. Moins étonnant que certains de ces titres précédents, du fait de la véracité historique, mais vraiment immersif. Lupano réussit la mission première d'un scénariste lors de la production d'un "biographique" : se faire oublier. Et là il réussit magnifiquement cela pour laisser la grande place aux superbes dessins de Stéphane Fert et à la difficulté de l'histoire. Et quels dessins ! Quelle histoire ! En tant qu'européen n'ayant jamais entendu parler de cet épisode d'histoire, j'ai été bluffé autant par le courage de institutrice que par la faculté des blanc de se trouver des excuses et des justifications. Si on connait la globalité de l'histoire, on nous parle très souvent des "méchants du sud" et des gentils abolitionnistes du nord. On ne nous présente pas vraiment comment cela se passait avec les gentils du nord. Et cette présentation nous explique encore plus le pourquoi des problématiques actuelles aux USA et comme quoi les blancs du nord, tout abolitionnistes qu'ils pouvaient être, préféraient quand même que le "problème noir" reste au sud. Historiquement intéressant et graphiquement magnifique, une histoire à faire lire au plus grand nombre ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/blanc-autour?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. La réédition des albums de Requiem chevalier vampire reprend avec ce huitième tome. Les premiers lecteurs attendent toujours avec impatience de pouvoir lire les épisodes inédits du vampire, arrivé à Résurrection. Dans cet épisode, le spectre de Requiem est sorti de son corps pour venir en aide à Rebecca retenue prisonnière par Otto, un vampire sadique. Alors qu'il est au plus mal dans le combat, Requiem rejoint son corps pour affronter d'autres problèmes urgents. L'histoire de Pat Mills conserve tous les éléments démoniaques pour servir au mieux le scénario dark de cette série. La partie graphique d'Olivier Ledroit est absolument fabuleuse dans un registre très sombre. L'auteur réussi à donner une ambiance originale grâce à ses planches très fournies et détaillées. Les rééditions de Requiem sont accompagnées de cahier graphique qui terminent les albums avec des esquisses de Ledroit, des textes explicatifs sur des personnages secondaires ou qui apparaitront dans les prochains tomes. Le tome neuf est déjà programmé pour le 10 février en espérant que le retard soit rattrapé pour lire la fin des aventures de Requiem.
  19. Titre de l'album : Requiem tome 8 : La reine des âmes mortes Scenariste de l'album : Pat Mills Dessinateur de l'album : Olivier Ledroit Coloriste : Olivier Ledroit Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : « La guerre a ramené la lie au sommet. Et vous, monsieur, vous êtes cette lie ! » Profitant de la panique créée par l’attaque du couvent de sang, Requiem se rend dans le donjon d’Otto pour libérer sa douce Rebecca. Mais le puissant chevalier vampire ne l’entend pas de cette oreille et un combat s’engage entre les deux anciens amis. Alors que l’affrontement tourne rapidement en la défaveur de Requiem, Rebecca profite de leur inattention pour dérober une arme de l’arsenal d’Otto et prêter main forte à son amant. Arrivera-t-elle à le sauver à temps ? Critique : La réédition des albums de Requiem chevalier vampire reprend avec ce huitième tome. Les premiers lecteurs attendent toujours avec impatience de pouvoir lire les épisodes inédits du vampire, arrivé à Résurrection. Dans cet épisode, le spectre de Requiem est sorti de son corps pour venir en aide à Rebecca retenue prisonnière par Otto, un vampire sadique. Alors qu'il est au plus mal dans le combat, Requiem rejoint son corps pour affronter d'autres problèmes urgents. L'histoire de Pat Mills conserve tous les éléments démoniaques pour servir au mieux le scénario dark de cette série. La partie graphique d'Olivier Ledroit est absolument fabuleuse dans un registre très sombre. L'auteur réussi à donner une ambiance originale grâce à ses planches très fournies et détaillées. Les rééditions de Requiem sont accompagnées de cahier graphique qui terminent les albums avec des esquisses de Ledroit, des textes explicatifs sur des personnages secondaires ou qui apparaitront dans les prochains tomes. Le tome neuf est déjà programmé pour le 10 février en espérant que le retard soit rattrapé pour lire la fin des aventures de Requiem. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/requiem-tome-08?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. poseidon2

    Photo de famille recomposee

    Je ne devrais pas aimer cette BD. En effet à entendre mes enfants cela semble bizarre que nous ne soyons pas une famille recomposée. La norme change..... Donc je devrais me lever vent debout contre cette apologie du couple recomposé.... mais en fait c'est beaucoup trop drôle pour que je dise quoi que ce soit. C'est ce qui est bien dans cette bd : ce qui est mis en avant sont les petites difficultés du quotidien. Les difficultés qui attendent un couple recomposée. Mais nos auteurs ne sont pas fatalistes : une bonne dose de self contrôle et beaucoup d'amour suffisent à dépasser les situations les plus difficiles. Porté par des enfants espiègles et des parents très amoureux, ces histoires drôles s’enchaînent sans jamais (et dieux que c'est rare dans les bds d'humour me concernant) nous lasser. Le bilan étant qu'une famille recomposée est avant tout une famille, peu importe les qu’en dira-t-on. Et ce bilan là je l'approuve Amusez-vous bien ;)
  21. Titre de l'album : Photo de famille recomposee Scenariste de l'album : Sti Dessinateur de l'album : Armelle Drouin Coloriste : Armelle Drouin Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Toi + moi... + tous les enfants aussi ! La vie de famille recomposée génère parfois des conflits difficiles à gérer, mais elle apporte son lot de bonheur XXL. Ronan et Ségolène le découvrent quand ils emménagent ensemble, avec chacun leurs cartons... et leurs enfants ! À eux les difficultés, les disputes, les éclats de colère, mais aussi la joie multipliée, les rires amplifiés et l'amour en grand...Une série pour positiver sur une situation de plus en plus répandue dans laquelle beaucoup d'enfants et d'adultes se retrouveront : il s'agit de la vie de l'auteur et des siens, ça sent donc le vécu... Critique : Je ne devrais pas aimer cette BD. En effet à entendre mes enfants cela semble bizarre que nous ne soyons pas une famille recomposée. La norme change..... Donc je devrais me lever vent debout contre cette apologie du couple recomposé.... mais en fait c'est beaucoup trop drôle pour que je dise quoi que ce soit. C'est ce qui est bien dans cette bd : ce qui est mis en avant sont les petites difficultés du quotidien. Les difficultés qui attendent un couple recomposée. Mais nos auteurs ne sont pas fatalistes : une bonne dose de self contrôle et beaucoup d'amour suffisent à dépasser les situations les plus difficiles. Porté par des enfants espiègles et des parents très amoureux, ces histoires drôles s’enchaînent sans jamais (et dieux que c'est rare dans les bds d'humour me concernant) nous lasser. Le bilan étant qu'une famille recomposée est avant tout une famille, peu importe les qu’en dira-t-on. Et ce bilan là je l'approuve Amusez-vous bien ;) Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/photo-de-famille-recomposee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. alx23

    Doggybags - Trenchfoot

    Le scénariste Mud a déjà participé à plusieurs récits courts de la série principale Doggybags avant de travailler sur ce one shot Trenchfoot. Au niveau de l'histoire, on retrouve bien l'ambiance de certaines histoires de Doggybags avec des Rednecks très abrutis comme ils sont souvent décrit dans les BD ou dans les films. Cette population habite souvent en marge des grandes villes, dans les campagnes profondes ou le bayou. Le personne principal est un stéréotype même du redneck, privé d'intelligence, sans rêve, sans ambition. Il fait partie d'une brochette de losers au centre d'un récit improbable ou qui a du mal à prendre. Pour les dessins, Nicolas Ghisalberti réalise sa première bande dessinée avec Trenchfoot. Le trait du dessinateur convient très bien au style de Doggybags. L'histoire ne m'a pas emporté lors de la lecture comme je n'arrivais pas à me faire au personnage principal. Quelques dialogues sont amusants mais sans plus. Trenchfoot m'a beaucoup rappelé Bayou Bastardise de mémoire chez le même éditeur. Un univers original mais difficilement exploitable pour en faire une histoire intéressante.
  23. Titre de l'album : Doggybags - Trenchfoot Scenariste de l'album : Mud Dessinateur de l'album : Nicolas Ghisalberti Coloriste : Nicolas Ghisalberti Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : « Qu'est-ce qu'on ferait de tout ce fric si, du jour au lendemain, on devenait millionnaire ? » Tout le monde s'est déjà posé cette question. Se payer une maison ? La caisse de nos rêves ? Un voyage autour du monde... ? « Rien de tout ça », répondrait Sid Widow. Car ce type est un connard, et ça, tout l'or du monde ne pourrait rien y changer. Critique : Le scénariste Mud a déjà participé à plusieurs récits courts de la série principale Doggybags avant de travailler sur ce one shot Trenchfoot. Au niveau de l'histoire, on retrouve bien l'ambiance de certaines histoires de Doggybags avec des Rednecks très abrutis comme ils sont souvent décrit dans les BD ou dans les films. Cette population habite souvent en marge des grandes villes, dans les campagnes profondes ou le bayou. Le personne principal est un stéréotype même du redneck, privé d'intelligence, sans rêve, sans ambition. Il fait partie d'une brochette de losers au centre d'un récit improbable ou qui a du mal à prendre. Pour les dessins, Nicolas Ghisalberti réalise sa première bande dessinée avec Trenchfoot. Le trait du dessinateur convient très bien au style de Doggybags. L'histoire ne m'a pas emporté lors de la lecture comme je n'arrivais pas à me faire au personnage principal. Quelques dialogues sont amusants mais sans plus. Trenchfoot m'a beaucoup rappelé Bayou Bastardise de mémoire chez le même éditeur. Un univers original mais difficilement exploitable pour en faire une histoire intéressante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/doggybags-trenchfoot?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Après Darnand ou Kersten médecin d'Hitler, on retrouve les deux mêmes auteurs sur une nouvelle trilogie, dans un registre différent avec une série B qui mélange humour, action et fantastique. Valhalla hotel est une idée originale de Fabien Bedouel, d'ailleurs le dessinateur travaille également sur le scénario en compagnie de Pat Perna. L'introduction nous plonge dans l'ambiance des année 70 dans un bled perdu des Etats-Unis avec un shérif très étrange. Les dialogues amusants nous mettent sur la voie de ce qui va nous attendre durant tout l'album. La galerie des personnages est assez improbable entre le pongiste muet, d'anciens nazis éleveurs de porcs, un shérif déjanté, son adjointe sexy, d'anciens soldats et l'entraineur à l'humour décampant. La couverture de l'album qui rappelle un peu celle de il faut flinguer Ramirez résume très bien ce premier volume avec des flingues, des bolides de courses. Les dessins de Fabien Bedouel sont parfaits, très dynamiques dans les courses poursuites ou fusillades. Depuis l'or et le sang, le trait de Bedouel m'a toujours convaincu et davantage sur ce titre comme c'est une fiction plus légère que les récits de guerre sur lesquels il a l'habitude de travailler. Ce premier tome démarre très bien ce thriller avec une fin intrigante qui donne envie de poursuivre la lecture.
  25. Titre de l'album : Valhalla hotel Tome 1 : Bite the bullet Scenariste de l'album : Pat Perna et Fabien Bedouel Dessinateur de l'album : Fabien Bedouel Coloriste : Fabien Bedouel Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Le seul endroit où l'on vous promet un repos... éternel. Tandis qu'ils se rendent à la finale régionale du championnat de tennis de table d'Albuquerque, Lemmy et son inénarrable mentor, le coach Malone, tombent en panne avec leur Fiat 500 sur la 380. À quelques miles de là : Flatstone, petite bourgade improbable en plein coeur du Nouveau-Mexique, et son shérif homophobe et buté, leur tendent les bras.Quelques « tracasseries administratives » plus tard, ils trouvent finalement refuge dans le seul motel du coin, le Valhalla Hotel, tenu par une femme pour le moins intrigante, Frau Vinkler. Au petit matin, Lemmy a disparu. Malone part évidemment à sa recherche... Critique : Après Darnand ou Kersten médecin d'Hitler, on retrouve les deux mêmes auteurs sur une nouvelle trilogie, dans un registre différent avec une série B qui mélange humour, action et fantastique. Valhalla hotel est une idée originale de Fabien Bedouel, d'ailleurs le dessinateur travaille également sur le scénario en compagnie de Pat Perna. L'introduction nous plonge dans l'ambiance des année 70 dans un bled perdu des Etats-Unis avec un shérif très étrange. Les dialogues amusants nous mettent sur la voie de ce qui va nous attendre durant tout l'album. La galerie des personnages est assez improbable entre le pongiste muet, d'anciens nazis éleveurs de porcs, un shérif déjanté, son adjointe sexy, d'anciens soldats et l'entraineur à l'humour décampant. La couverture de l'album qui rappelle un peu celle de il faut flinguer Ramirez résume très bien ce premier volume avec des flingues, des bolides de courses. Les dessins de Fabien Bedouel sont parfaits, très dynamiques dans les courses poursuites ou fusillades. Depuis l'or et le sang, le trait de Bedouel m'a toujours convaincu et davantage sur ce titre comme c'est une fiction plus légère que les récits de guerre sur lesquels il a l'habitude de travailler. Ce premier tome démarre très bien ce thriller avec une fin intrigante qui donne envie de poursuivre la lecture. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/valhalla-hotel-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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