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Après Cosplay (le Lombard), l'artiste espagnole Maribel Conejero se lance en solo dans une aventure post-apocalyptique nerveuse et écologique ! Son trait qui n'est pas sans rappeler celui d'un compatriote, Oscar Martin lui aussi dans un créneau "post-apo" avec Solo (Delcourt) dépeint un futur où désert et forêt sont en guerre ! Pour se protéger des (mauvaises) actions de l'homme, la forêt s'est peu à peu renfermée sur elle même et a développé des barrières protectrices avec notamment l'avènement d'une nouvelle espèce, les Planthäis, sorte de végétaux vivants. Ruby l'héroïne découvre ces habitants au cours d'une excursion à la recherche de sa grand-mère disparue et semblant cacher de lourds secrets. La faction dont dépend Ruby, toujours en guise de volonté d'expansion souhaite étendre ses actions dans la forêt inexpugnable, au risque de déclencher une guerre. L'auteure mêle fantastique et fable écologique dans un univers violent et triste, mais avec un trait rond et doux. Il n'est pas simple de s'immerger dans cet univers aux ramifications vastes, doté d'une belle galerie de personnages, mais peu à peu, au fil de la lecture, les révélations tombent et éclairent le lecteur. Les nombreuses phases d'action sont un peu brouillonnes et mériteraient un peu de clarté et un découpage approprié. On sent du potentiel dans cette jeune auteure, qui devrait s'améliorer dans le tome 2 😉
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- bd
- post apocalyptique
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Titre de l'album : Woods Scenariste de l'album : Maribel Conejero Dessinateur de l'album : Maribel Conejero Coloriste : Maribel Conejero Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Forcée d'entrer dans la forêt, alors qu'elle cherche sa grand-mère, Ruby Redhood découvre une nouvelle espèce intelligente, mi-homme, mi-plante : les Planthäis. Leur existence, ainsi que les ressources abritées par la forêt attisent bientôt les convoitises de la faction mercenaire Alpha X. Cette faction tente alors de neutraliser Ruby, les Planthäis et d'atteindre le coeur de la forêt. Ruby parviendra-t-elle à reprendre le contrôle de la forêt et proposer un nouvel espoir pour ce qui reste de l'humanité ? Critique : Après Cosplay (le Lombard), l'artiste espagnole Maribel Conejero se lance en solo dans une aventure post-apocalyptique nerveuse et écologique ! Son trait qui n'est pas sans rappeler celui d'un compatriote, Oscar Martin lui aussi dans un créneau "post-apo" avec Solo (Delcourt) dépeint un futur où désert et forêt sont en guerre ! Pour se protéger des (mauvaises) actions de l'homme, la forêt s'est peu à peu renfermée sur elle même et a développé des barrières protectrices avec notamment l'avènement d'une nouvelle espèce, les Planthäis, sorte de végétaux vivants. Ruby l'héroïne découvre ces habitants au cours d'une excursion à la recherche de sa grand-mère disparue et semblant cacher de lourds secrets. La faction dont dépend Ruby, toujours en guise de volonté d'expansion souhaite étendre ses actions dans la forêt inexpugnable, au risque de déclencher une guerre. L'auteure mêle fantastique et fable écologique dans un univers violent et triste, mais avec un trait rond et doux. Il n'est pas simple de s'immerger dans cet univers aux ramifications vastes, doté d'une belle galerie de personnages, mais peu à peu, au fil de la lecture, les révélations tombent et éclairent le lecteur. Les nombreuses phases d'action sont un peu brouillonnes et mériteraient un peu de clarté et un découpage approprié. On sent du potentiel dans cette jeune auteure, qui devrait s'améliorer dans le tome 2 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/woods-9782731695014/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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- bd
- post apocalyptique
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Seulement quatre mois après la parution du premier tome de l'adaptation du webtoon de Natacha Ratto, nous avons déjà droit à la suite des aventures des étudiants. On reprend la continuité de l'histoire entre les soirées d'étudiant à Paris et les relations amoureuses souvent désastreuses. Le premier chapitre nous emmène en Normandie dans une maison de vacances des parents d'Alex, devenu l'ennemi de tous mais dont tout le monde veut profiter du climat en période de canicule. Après un passage rapide estivale, les jeunes reprennent les cours où le titre trouve son importance avec la consommation plus importante d'alcool, de drogue et de sexe. L'humour est léger dans certaine situation mais Natacha Ratto se penche davantage sur les relations d'une bande de jeunes ami ou pas, suivant les moments. La partie graphique reste silmpliste mais convient bien au genre. Sex drugs and RER trouvera son public auprès des jeunes comprenant mieux les tranches de vie des étudiants d'aujourd'hui.
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Titre de l'album : Sex drugs and RER tome 2 - Perturbations sur toute la ligne Scenariste de l'album : Natacha Ratto Dessinateur de l'album : Natacha Ratto Coloriste : Natacha Ratto Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Léon, interrompt son quotidien de RER, cours à la fac, et fêtes entre ami.e.s pour retourner dans son aquitaine natale lors de la coupure estivale. Il y fait la découverte d'une terrible trahison qui le blesse (littéralement), et décide de partir rejoindre Félix et ses potes à la mer. Peut-être que l'air marin lui fera du bien, et qu'il y trouvera le courage pour déclarer sa flamme à Clara ? Critique : Seulement quatre mois après la parution du premier tome de l'adaptation du webtoon de Natacha Ratto, nous avons déjà droit à la suite des aventures des étudiants. On reprend la continuité de l'histoire entre les soirées d'étudiant à Paris et les relations amoureuses souvent désastreuses. Le premier chapitre nous emmène en Normandie dans une maison de vacances des parents d'Alex, devenu l'ennemi de tous mais dont tout le monde veut profiter du climat en période de canicule. Après un passage rapide estivale, les jeunes reprennent les cours où le titre trouve son importance avec la consommation plus importante d'alcool, de drogue et de sexe. L'humour est léger dans certaine situation mais Natacha Ratto se penche davantage sur les relations d'une bande de jeunes ami ou pas, suivant les moments. La partie graphique reste silmpliste mais convient bien au genre. Sex drugs and RER trouvera son public auprès des jeunes comprenant mieux les tranches de vie des étudiants d'aujourd'hui. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : http://www.bdfugue.com/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et hop encore un Western old school pour Bibi ! Merci les éditions du Lombard qui ont décidé de nous relancer le personnage de Ringo. Certes ce n'est pas le plus célèbre de nos aventuriers du grand ouest, mais il a eu sa propre série de 3 albums qui a couru sur presque une décennie à l'époque. Et quand votre papa n'est rien de moins que William Vance, il y a de pires héritages. C'était finalement assez logique d'aller chercher Roman Surzhenko pour reprendre le style de William Vance car après tout quand on a déjà repris l'héritage de Swolfs (Durango) et de Rosinksi ( Thorgal saga - shaigan) on peut bien s'attaquer au papa de XIII. Ceci étant dit il fallait un peu dépoussiérer le mythe, car la série originale fait ses 50 ans et en terme de narration, la bd franco belge nous a délivré des séries de Western plus vivantes. C'est chose faite avec ce tome 1 qui va nous placer notre Ringo dans la quête habituelle du héros : aller secourir sa fiancée prisonnière 🙂. Bref, j'ai passé un joli moment de lecture, et si Roman Surzhenko ne réitère pas tout à fait l'excellence graphique de son adaptation de Thorgal, je le trouve un petit peu plus à l'aise sur le style de Ringo que sur ses débuts sur Durango. Mais ne nous leurrons pas, la tâche d'Eric Corbeyran au scénario est d'ampleur : comment nous livrer une histoire moderne ou intemporelle tout en respectant les codes de Ringo (série de Cowboy finalement assez tranquille) ? Attention car aujourd'hui comme hier la concurrence est féroce, et il faudra peut être que Ringo sorte de son costume de Boy Scout ou que l'intrigue se fasse plus dure ou sombre pour nous surprendre et nous prendre au jeu. La suite nous le dira...
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Titre de l'album : Ray Ringo - Tome 1 - La porte du diable Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Roman Surzhenko Coloriste : Roman Surzhenko Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Ray Ringo, le courageux convoyeur de la Wells Fargo, doit sauver Lean, sa fiancée, traquée par sa famille mormone prête à tout pour la récupérer. Entre courses poursuites endiablées et plaines arides de l'Ouest, Ringo s'engage dans une aventure riche en action et en rebondissements, où chaque décision peut tout changer. Le grand retour de Ringo, le héros de western créé par William Vance. Critique : Et hop encore un Western old school pour Bibi ! Merci les éditions du Lombard qui ont décidé de nous relancer le personnage de Ringo. Certes ce n'est pas le plus célèbre de nos aventuriers du grand ouest, mais il a eu sa propre série de 3 albums qui a couru sur presque une décennie à l'époque. Et quand votre papa n'est rien de moins que William Vance, il y a de pires héritages. C'était finalement assez logique d'aller chercher Roman Surzhenko pour reprendre le style de William Vance car après tout quand on a déjà repris l'héritage de Swolfs (Durango) et de Rosinksi ( Thorgal saga - shaigan) on peut bien s'attaquer au papa de XIII. Ceci étant dit il fallait un peu dépoussiérer le mythe, car la série originale fait ses 50 ans et en terme de narration, la bd franco belge nous a délivré des séries de Western plus vivantes. C'est chose faite avec ce tome 1 qui va nous placer notre Ringo dans la quête habituelle du héros : aller secourir sa fiancée prisonnière 🙂. Bref, j'ai passé un joli moment de lecture, et si Roman Surzhenko ne réitère pas tout à fait l'excellence graphique de son adaptation de Thorgal, je le trouve un petit peu plus à l'aise sur le style de Ringo que sur ses débuts sur Durango. Mais ne nous leurrons pas, la tâche d'Eric Corbeyran au scénario est d'ampleur : comment nous livrer une histoire moderne ou intemporelle tout en respectant les codes de Ringo (série de Cowboy finalement assez tranquille) ? Attention car aujourd'hui comme hier la concurrence est féroce, et il faudra peut être que Ringo sorte de son costume de Boy Scout ou que l'intrigue se fasse plus dure ou sombre pour nous surprendre et nous prendre au jeu. La suite nous le dira... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ray-ringo-tome-1-la-porte-du-diable/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Sherlock Holmes contre Arsène Lupin - Tome 1 - La quête d'éternité
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Titre de l'album : Sherlock Holmes contre Arsène Lupin - Tome 1 - La quête d'éternité Scenariste de l'album : Denis-Pierre Filippi Dessinateur de l'album : Roger Vidal Coloriste : Roger Vidal et Léa Chrétien Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Deux génies, deux méthodes, une confrontation explosive. Sherlock Holmes, le détective logique et implacable, et Arsène Lupin, le gentleman cambrioleur audacieux, se retrouvent face à face dans une course effrénée. À travers mystères et trahisons, les deux rivaux sont contraints de s'allier pour suivre la trace d'une organisation se réclamant de Moriarty. Entre l'intelligence froide de Holmes et l'ingéniosité flamboyante de Lupin, qui sortira vainqueur de ce duel où chaque geste, chaque mot, chaque coup est un défi lancé à l'autre ? Critique : Elle fait plaisir cette BD. D'abord parce que j'ai été un très très grand amateur de M. Lupin dans ma jeunesse, puis j'ai aimé Sherlock Holmes aussi. Ensuite parce qu'elle est fun. Une intrigue relativement simple avec un peu de mysticisme, un duo qui fonctionne très bien avec deux gros egos en rivalité, de l'action, de l'aventure, des adversaires plus qu'au niveau et surtout des dialogues réussis. Par contre que cela soit entendu le titre aurait plutôt du être Arsène Lupin Et Sherlock Holmes 🙂 mais c'est moins accrocheur. Toujours est-il que cette intrigue menée tambour battante m'a réjoui et certes cela ne suffira peut être pas à tenir dans le temps, mais pour un début c'est largement plus qu'il ne m'en faut côté histoire. Et quand le dessin se met au diapason pour nous livrer de belles planches, de beaux héros et adversaires, et des décors variés, et bien, il n'y a plus qu'à profiter. Petit bémol, je trouve l'intérieur plus réussi graphiquement que la couverture... Mais il vaut mieux ça que l'inverse ! Ce Arsène Lupin et Sherlock Holmes n'est peut être pas la bd de l'année, mais moi j'ai pris énormément de plaisir à lire cette aventure et j'attendrais la suite avec bonheur ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sherlock-holmes-contre-arsene-lupin-tome-1-la-quete-d-eternite/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Elle fait plaisir cette BD. D'abord parce que j'ai été un très très grand amateur de M. Lupin dans ma jeunesse, puis j'ai aimé Sherlock Holmes aussi. Ensuite parce qu'elle est fun. Une intrigue relativement simple avec un peu de mysticisme, un duo qui fonctionne très bien avec deux gros egos en rivalité, de l'action, de l'aventure, des adversaires plus qu'au niveau et surtout des dialogues réussis. Par contre que cela soit entendu le titre aurait plutôt du être Arsène Lupin Et Sherlock Holmes 🙂 mais c'est moins accrocheur. Toujours est-il que cette intrigue menée tambour battante m'a réjoui et certes cela ne suffira peut être pas à tenir dans le temps, mais pour un début c'est largement plus qu'il ne m'en faut côté histoire. Et quand le dessin se met au diapason pour nous livrer de belles planches, de beaux héros et adversaires, et des décors variés, et bien, il n'y a plus qu'à profiter. Petit bémol, je trouve l'intérieur plus réussi graphiquement que la couverture... Mais il vaut mieux ça que l'inverse ! Ce Arsène Lupin et Sherlock Holmes n'est peut être pas la bd de l'année, mais moi j'ai pris énormément de plaisir à lire cette aventure et j'attendrais la suite avec bonheur !
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Titre de l'album : L'or du spectre Scenariste de l'album : Matz Dessinateur de l'album : Philippe Xavier Coloriste : Jérôme Maffre Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Nouveau-Mexique, 1970. Chuck sort de taule, retrouve Kat, sa partenaire, qui l'a gentiment attendu. Ensemble, ils vont récupérer le magot que Chuck a planqué dans une bourgade abandonnée au milieu de nulle part, et à eux la grande vie ! Mais rien ne se passe comme prévu. Beaucoup trop de gens s'intéressent à cet argent, sans parler du spectre d'un vieux cow-boy à la gâchette facile qui hante la ville fantôme... Un polar sans concession par le duo qui vous a donné LE SERPENT ET LE COYOTE. Critique : Alors d'abord rétablissons les choses, ce n'est plus vraiment un duo mais plutôt un trio tant les couleurs de Jérôme Maffre font partie de l'univers de Philippe Xavier et son compère Matz, aussi bien sur Le Serpent et le coyote que sur leur série Tango. Bon si je cite la série Tango, et le one shot Le serpent et le Coyote c'est que L'or du spectre est exactement dans la même veine. Mi polar, mi western, des personnages charismatiques, de l'argent, des femmes et des flingues, le tout mélangé dans de chouettes décors. Voilà les ingrédients que ces trois compères nous offrent sur leurs dernières collaboration et sur cet opus. Il peut se lire indépendamment du Serpent et du coyote, mais entre nous, pour mieux l'apprécier, autant l'avoir lu avant. Surtout que si vous aimez l'un vous aimerez probablement l'autre. L'inverse étant tout aussi vrai. C'est le point fort et la faiblesse de cet opus, qui ne prend finalement pas trop de risques, et qui reproduit une recette qui a trouvé largement son public. Moi j'en suis, et cela me va très bien, mais on est obligé de reconnaitre que la recette semble parfois bien familière cette fois-ci. Pour les habitués, on notera pourtant que Matz nous a concocté un scénario à rebondissements, sans vraiment de héros, et accordant au passage un très bel hommage à La mine de l'Allemand perdu. Vous me connaissez, c'est le genre d'hommage dont je ne peux que me délecter tant cet album a été marquant. Ajoutons en plus un découpage par chapitre, façon Tarantino au cinéma qui rajoute un petit peu de piquant à la lecture. Philippe Xavier et Jérôme Maffre eux, répètent la maestria à laquelle on s'habitue presque désormais, dans la pure tradition franco belge, et dans l'héritage direct du Serpent et du Coyote, voir même de Tango. On sent que l'affaire est rodée, les ambiances réussies au gré du découpage en chapitres, et les personnages parfaitement réalisés. Allez messieurs, merci pour ce nouveau tour de piste, et j'ai un, vœu pieu, peut-être un poil plus d'originalité et/ou de prise de risque sur les prochains tomes (Tango ?) ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-or-du-spectre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : La révolution des algues Scenariste de l'album : Étienne Lécroart Dessinateur de l'album : Étienne Lécroart Coloriste : Étienne Lécroart Editeur de l'album : Futuropolis Note : Résumé de l'album : Qui sait que les algues ne se résument pas aux algues vertes sur les plages bretonnes ou aux sargasses aux Caraïbes ? Que leur multiplication est souvent une réponse à la pollution des sols due à une agriculture déraisonnée et à l'activité humaine ? Qui sait qu'au contraire les algues permettent de réparer les écosystèmes océaniques en rétablissant les équilibres et en contribuant à la biodiversité ? Qui sait surtout que les algues absorbent beaucoup plus de carbone que n'importe quelle forêt terrestre ? Qui sait qu'elles ont nourri les humains durant des dizaines de milliers d'années ? Qu'homo sapiens n'aurait pas ces capacités cognitives si les algues n'avaient pas été un produit courant de son alimentation ? Qui sait qu'une algoculture raisonnée pourrait permettre de répondre très efficacement à la crise alimentaire mondiale ? Que le nori ou la dulse ont des taux de protéines équivalents au soja ? En Europe, la Bretagne est au top de l'innovation liée aux algues. Si la culture mondiale des algues se développe, elle pourrait jouer un rôle essentiel dans la lutte contre la crise climatique, la réparation des écosystèmes marins et la réduction de la crise alimentaire mondiale. Face aux défis écologiques, alimentaires et médicaux, les algues multiplient les bénéfices : oasis de biodiversité, puits de carbone, alternative au plastique, biostimulant agricole, bienfaits nutritifs, création d'emplois... Ce livre est adapté de l'essai de Vincent Doumeizel, conseiller principal pour les océans à l'ONU et fondateur avec le CNRS d'une coalition mondiale des acteurs de algues. L'ouvrage parait au coeur de «L'année de la mer» et alors que la France organisera la troisième Conférence des Nations Unies sur l'Océan (UNOC 3) à Nice du 9 au 13 juin 2025. Critique : C'est fou comme, en vieillissant, on croit savoir ce qu'il faut savoir et comment s'informer pour se tenir au courant. Et c'est fou comme sur un certain nombre de sujet on a...tort. Et cette révolution des algues est là pour nous le montrer. C'est hyper intéressant. Du début à la fin. Bien construit avec des dessins très parlants et des "images" compréhensibles par n'importe qui, c'est surtout plein d'information sur les utilisations possibles des algues. Des utilisations que je n'imaginais même pas et surtout des exemples d'endroits dans le monde ou cela se fait déjà. C'est fou de se dire que, à cause de lobbys bien implantés, on passe à côté d'utilisation qui pourrait aider le plus grand nombre. Si cette critique arrive un peu tard, c'est en partie par ce que la lecture m'a fait un peu peur au début, donc j'ai un peu repoussé, et qu'ensuite, j'ai été conquis, mais le volume de lecture est tel que la lecture a été longue (et en plusieurs fois). Je vous encourage donc a passé outre le premier "feuilletage" qui nous donne l'impression d'avoir plus de lecture que dans un Dan Brown et de vous lancer dans ce documentaire pour découvrir un bienfait méconnu de ce que beaucoup considèrent juste comme un polluant naturel. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-revolution-des-algues?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C'est fou comme, en vieillissant, on croit savoir ce qu'il faut savoir et comment s'informer pour se tenir au courant. Et c'est fou comme sur un certain nombre de sujet on a...tort. Et cette révolution des algues est là pour nous le montrer. C'est hyper intéressant. Du début à la fin. Bien construit avec des dessins très parlants et des "images" compréhensibles par n'importe qui, c'est surtout plein d'information sur les utilisations possibles des algues. Des utilisations que je n'imaginais même pas et surtout des exemples d'endroits dans le monde ou cela se fait déjà. C'est fou de se dire que, à cause de lobbys bien implantés, on passe à côté d'utilisation qui pourrait aider le plus grand nombre. Si cette critique arrive un peu tard, c'est en partie par ce que la lecture m'a fait un peu peur au début, donc j'ai un peu repoussé, et qu'ensuite, j'ai été conquis, mais le volume de lecture est tel que la lecture a été longue (et en plusieurs fois). Je vous encourage donc a passé outre le premier "feuilletage" qui nous donne l'impression d'avoir plus de lecture que dans un Dan Brown et de vous lancer dans ce documentaire pour découvrir un bienfait méconnu de ce que beaucoup considèrent juste comme un polluant naturel.
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La collection coup de tête nous présente tous les grands moments du sport avec plusieurs sportifs mis en avant, avec Fastnet, les auteurs reviennent sur la course du Fastnet de 1979. Cette course permet à tous types de participants de s'inscrire pour courir cette épreuves avec des professionnels ou des amateurs en quête de sensation. L'album retrace le parcours mouvement avec l'équipage de Jacques Caraës. Les navires sont nombreux à partir avec 303 équipages sur la ligne de départ. Le scénariste Stéphane Melchior nous propose de suivre cette course réputée tournant au carnage en 1979. Les conditions météos ne sont pas plus catastrophiques que d'habitudes mais les vents et les énormes vagues font des ravages auprès de plusieurs skippers avec pour résultat 15 morts, 139 personnes secourues. L'auteur met en avant les conditions n'étaient pas les mêmes à l'époque au niveau du matériels techniques pour connaitre la météo ou protéger les marins mais également les ordinateurs pour suivre tous les participants. Renaud Garreta livre des planches de grandes qualité surtout durant la tempête en pleine mer. Fasnet est une course de navigation à la voile en équipage et sans escale qui se poursuit encore aujourd’hui, les auteurs ont choisi de mettre en avant le côté dramatique avec cette année tragique. La lecture de Fastnet conviendra aux lecteurs avec des connaissances et du vocabulaire de marin.
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Titre de l'album : Le Fastnet 1979 - Un ouragan sur la course Scenariste de l'album : Stéphane Melchior Dessinateur de l'album : Renaud Garreta Coloriste : Renaud Garreta Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Récit documenté grâce à l'équipage du français Jacques Caraës, Stéphane Melchior relate ces 3 jours de course tel un survival haletant, à une époque où les navires n'embarquaient pas d'électronique. Renaud Garreta met en scène de façon spectaculaire la plus grande opération de secours en mer par la Royal Navy. Critique : La collection coup de tête nous présente tous les grands moments du sport avec plusieurs sportifs mis en avant, avec Fastnet, les auteurs reviennent sur la course du Fastnet de 1979. Cette course permet à tous types de participants de s'inscrire pour courir cette épreuves avec des professionnels ou des amateurs en quête de sensation. L'album retrace le parcours mouvement avec l'équipage de Jacques Caraës. Les navires sont nombreux à partir avec 303 équipages sur la ligne de départ. Le scénariste Stéphane Melchior nous propose de suivre cette course réputée tournant au carnage en 1979. Les conditions météos ne sont pas plus catastrophiques que d'habitudes mais les vents et les énormes vagues font des ravages auprès de plusieurs skippers avec pour résultat 15 morts, 139 personnes secourues. L'auteur met en avant les conditions n'étaient pas les mêmes à l'époque au niveau du matériels techniques pour connaitre la météo ou protéger les marins mais également les ordinateurs pour suivre tous les participants. Renaud Garreta livre des planches de grandes qualité surtout durant la tempête en pleine mer. Fasnet est une course de navigation à la voile en équipage et sans escale qui se poursuit encore aujourd’hui, les auteurs ont choisi de mettre en avant le côté dramatique avec cette année tragique. La lecture de Fastnet conviendra aux lecteurs avec des connaissances et du vocabulaire de marin. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-fastnet-1979-un-ouragan-sur-la-course/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Second tome aux éditions Kalopsia, décidément prolifiques en cette fin d'année de cette série de Fantasy menée par Blaede et Vukic. Et si on connait tout le talent de Vukic (Les élus de Swarga, orcs et gobelins, mages, elfes, merlin, etc...) il me reste sur cette série un point qui me titille, pourquoi les visages de ses deux héros semblent ils si rigides, comme figés. C'était déjà mon ressenti sur le tome 1 et ce tome 2 m'a renvoyé la même impression. Attention, l'ensemble est de bonne tenue, et c'est de la fantasy agréable pour les yeux. Mais ce point de détail continue de me chiffonner car je ne l'ai pas remarqué sur les élus de Swargapar exemple du même auteur.... Et surtout cela ne concerne essentiellement que les deux visages des héros (voir la couverture par exemple)... M'enfin on passe vite au dessus et cela ne dérange pas vraiment. Pour le reste, l'intrigue prend de l'ampleur, et sans rien vous en dévoiler, sachez juste que même si l'histoire narrée a parfois des airs qui ne semblent pas inconnus, à la fin on aimerait bien lire la suite rapidement. Et comme d'habitude, ça c'est bon signe. Ce tome 2 nous fait voyager, à la rencontre de villes imaginaires, de personnages secondaires bien pensés, et nous distille de bons rebondissements en plus de quelques éléments de contexte. Bref, si vous avez aimé le premier tome, ne boudez donc pas votre plaisir.
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Titre de l'album : Seeds of Wars - Tome 2 - La reine corsaire Scenariste de l'album : Blaede Dessinateur de l'album : Bojan Vukic Coloriste : Erwan Seure Le Bihan Editeur de l'album : Kalopsia Note : Résumé de l'album : Second tome aux éditions Kalopsia, décidément prolifiques en cette fin d'année de cette série de Fantasy menée par Blaede et Vukic. Et si on connait tout le talent de Vukic, il me reste sur cette série un point qui me titille, pourquoi ses visages de ses deux héros semblent ils si statiques, comme figés. C'était déjà mon ressenti sur le tome 1 et ce tome 2 m'a renvoyé la même impression. Attention, l'ensemble est de bonne tenue, et c'est de la fantasy agréable pour les yeux. Mais ce point de détail continue de me chiffonner. Pour le reste, l'intrigue prend de l'ampleur, et sans rien vous en dévoiler, sachez juste que même si l'histoire narrée a parfois des airs bien connus, à la fin on aimerait bien lire la suite rapidement. Et comme d'habitude, ça c'est bon signe. Critique : Second tome aux éditions Kalopsia, décidément prolifiques en cette fin d'année de cette série de Fantasy menée par Blaede et Vukic. Et si on connait tout le talent de Vukic (Les élus de Swarga, orcs et gobelins, mages, elfes, merlin, etc...) il me reste sur cette série un point qui me titille, pourquoi les visages de ses deux héros semblent ils si rigides, comme figés. C'était déjà mon ressenti sur le tome 1 et ce tome 2 m'a renvoyé la même impression. Attention, l'ensemble est de bonne tenue, et c'est de la fantasy agréable pour les yeux. Mais ce point de détail continue de me chiffonner car je ne l'ai pas remarqué sur les élus de Swargapar exemple du même auteur.... Et surtout cela ne concerne essentiellement que les deux visages des héros (voir la couverture par exemple)... M'enfin on passe vite au dessus et cela ne dérange pas vraiment. Pour le reste, l'intrigue prend de l'ampleur, et sans rien vous en dévoiler, sachez juste que même si l'histoire narrée a parfois des airs qui ne semblent pas inconnus, à la fin on aimerait bien lire la suite rapidement. Et comme d'habitude, ça c'est bon signe. Ce tome 2 nous fait voyager, à la rencontre de villes imaginaires, de personnages secondaires bien pensés, et nous distille de bons rebondissements en plus de quelques éléments de contexte. Bref, si vous avez aimé le premier tome, ne boudez donc pas votre plaisir. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/seeds-of-wars-la-reine-corsaire/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Zoé Carrington tome 1 Scenariste de l'album : Jim Dessinateur de l'album : Jim Coloriste : Jim Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : C'étaient vos années d'études à Londres. Vous rêviez tous de devenir des rois de la finance. Et puis, tu as rencontré Zoé... Tu as oublié les soirées alcoolisées mémorables, le temps où rencontrer des filles était ta priorité. Tu as oublié le plaisir de parler à des inconnus comme à des amis de longue date, et de partager ensemble les grands rêves, les petits secrets. Tu as oublié l'amphithéâtre, les cours et les examens, les nuits dans les pubs et ces copains qui étaient toute ta vie. Comment ils s'appelaient déjà ? Rotthenberg ? JP ? Et tous les autres ? Tu as tout oublié. Tout. Sauf Zoé Carrington.Après le succès d'Une nuit à Rome, Zoé Carrington est le nouveau récit-phare de Jim. Un album ambitieux, où l'apparente légèreté se teinte d'une force profonde. C'étaient vos années d'études à Londres. Vous rêviez tous de devenir des rois de la finance. Et puis, tu as rencontré Zoé... Critique : Bon alors la je n'ai jamais vu... une interview post album aussi nécessaire. En effet, cette interview aurait dû être mise au début. Pourquoi ? Parce que sans cela, ce Zoe Carrington donne l'impression, sur les 2/3 de la BD, d'être un copier-coller de "Une nuit à Rome". Alors qu'en lisant l'interview on se rend compte que... c'est voulu car ce Zoe Carrignton est un album que Jim a souhaité comme le dernier tome d'une trilogie axée autour des rapports amoureux chez les adultes. Et une fois que l'on sait cela, on apprécie bien plus l'album, cherchant les nuances, les clins d'oeil, les relations entre les uns et les autres et les comparaisons avec l'illustre succès de Jim. L'ensemble forme une bd qui plaira tous ceux qui ne viennent pas de finir "Une Nuit à Rome" et qui aiment se remettre en question quel que soit l'age. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/zoe-carrington-tome-1-9782818989098?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Les Gorilles du Général tome 1 - Septembre 59 Scenariste de l'album : Xavier Dorison Dessinateur de l'album : Julien Telo Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Casterman Note : Résumé de l'album : 1959. Alors que les cercueils de jeunes appelés arrivent en nombre d'Algérie, les attentats se multiplient en métropole sous l'égide du FLN. Dans ce contexte politique délétère, le Général de Gaulle est rappelé au pouvoir afin de résoudre « la crise algérienne ». Il devient alors l'un des dirigeants les plus menacés de la planète. Pour sa protection, il compte sur quatre hommes, qui resteront tout au long de son mandat ses seuls gardes du corps. On les surnomme les gorilles du Général. Critique : Xavier Dorison multiplie les événements à chacune de ses sorties et s'impose comme l'un des scénaristes les plus en vue depuis plus de 10 ans. Après son magnifique Ulysse et Cyrano (Casterman) et le final grandiose de 1629 (Glénat), il reste dans l'histoire avec un grand H en nous remémorant la situation politique de la France en 1959. Situation de crise avec la guerre d'Algérie, le rappel du Général de Gaulle, un pays en plein redressement post seconde guerre mondiale et donc un contexte délicat qui impose au président une garde rapprochée de premier ordre. Dans ce tome introductif, les auteurs nous présentent les principaux protagonistes, en l'occurrence les quatre gardes du corps ou "gorilles" comme ils se surnomment. Chacun est lié à un passé et un présent qui va venir bouleverser la grande histoire en marche. A la manière d'un Dumas, le scénariste utilise les faits historiques établis en y ajoutant un soupçon de fiction et cela fonctionne à merveille. On s'attache aux personnages, les dialogues sont savoureux, la tension palpable malgré l'apparente bonhommie du Général. Julien Telo délaisse Elric (Glénat) pour embrasser le monde réel de son trait réaliste superbe. Il nous plonge dans cette époque avec nombre de références (pubs, voitures etc...) et une précision du détail incroyable. Son découpage dynamique apporte structure et vitesse au récit, on lit le quotidien de ces 4 hommes comme un polar mêlé d'un soupçon d'espionnage. A l'heure du SAC et du SDECE dirigé par Monsieur "Francafrique" entre autres j'ai nommé Jacques Foccart, les murs ont des oreilles et les renseignements tournent à plein régime ! Un très bon premier tome qui peut gagner en épaisseur avec la suite, cette histoire étant prévue en trilogie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-gorilles-du-general-septembre-59/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : I.R.$ - Tome 25 - Trente milliards de dollars Scenariste de l'album : Stephen Desberg Dessinateur de l'album : Carlos Rafael Duarte Coloriste : Marquebreucq Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Larry Max, ex-sénateur et ancien agent de l'IRS, est contacté pour gérer l'héritage de 30 milliards de dollars d'un milliardaire gravement malade. Mais pour obtenir le contrôle de cette fortune, Larry doit tirer son épingle du jeu dans une compétition mortelle avec les autres candidats, issus du crime organisé et des élites. Et une telle somme d'argent éveille les appétits des plus grands prédateurs. Pris dans une spirale de manipulations, Larry devra naviguer entre meurtres et corruption pour sauver sa peau et révéler la vérité. Critique : Larry B. Max en est déjà au tome 25 de ses aventures. Le pendant de Largo Winch imaginé Vrancken et Desberg continue son bonhomme de chemin. Et si logiquement les enjeux sont pas mal retombés d'un cran depuis le dernier tome qui voyait Larry subir drames sur drames, on le retrouve de nouveau mêlé malgré lui à une sombre affaire. L'occasion une nouvelle fois pour Stephen Desberg de nous brosser un portrait de notre monde cynique, sans concession et peu reluisant derrière les fausses allures de golden boy et de haute finance. Malgré la baisse de rythme évidente d'un tome de transition, les ingrédients habituels sont pourtant toujours là, charme, action, milliards et crimes... Reste à savoir désormais quelle direction va prendre Larry ? Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/irs-tome-25-trente-milliards-de-dollars/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Pluma - Tome 2 - Santa Pluma Scenariste de l'album : Nicolas Antona Dessinateur de l'album : Michel Espinosa Coloriste : Digikore Studios Editeur de l'album : Kalopsia Note : Résumé de l'album : Les assassins de la famille Zaldivar tombent les uns après les autresâeuros Rien ne semble pouvoir arrêter la soif de vengeance de Paz et ses soeurs de combat de la P.L.U.M.A ! La dernière partie de leur plan se profile, mais elle est aussi la plus risquée. Paz, Laura, Uma, Maria, Asunción, le père Gabiâeuros le chemin de la rédemption est sinueux et maculé de sang. Les dernières cartes vont s'abattre et de l'ombre sortira la vérité. Mais les jeunes filles de la P.L.U.M.A. sont-elles prêtes à s'y confronter ? Critique : Voici le tome 2 qui vient conclure cette mini série de polar se déroulant au Mexique dans l'univers du crime organisé et des Narco. Notre groupe de femmes est bien décidé à obtenir vengeance, et cela les emmènera plus loin qu'elles ne l'espéraient au départ. L'action est sans temps morts, les rebondissements s'enchainent, et si les dessins sont parfois un peu sommaires et qu'ils peuvent manquer de détails, l'histoire reste facilement lisible avec plaisir. Pour du polar indépendant c'est plutôt très correct en fait, et c'est vraiment agréable que cette histoire trouve sa conclusion. On aurait peut être aimé que certains personnages et relations soient un peu plus étoffés, et la fin est rapide, mais cela permet à ces deux albums de nous présenter une histoire complète dynamique dans l'univers du crime organisé au Mexique. Parfois on n'a pas besoin de plus 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pluma-tome-2-santa-pluma/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon alors la c'est sûr, les responsables de Dupuis ont trouvé un filon coté jeunesse. J'irai même jusqu'à avancer qu'ils ont mis le doigt sur le chainon manquant entre le manga et la BD. Attention, loin de moi l'idée de dire que cette Famille Tango n'est pas une BD. C'est juste que le format souple, le nombre de pages très important (192), la densité de l'histoire et la facilité de lecture ressemblent à ce qui fait le succès des Webtoon et autres mangas pour jeunes lecteurs. Et c'est surtout super efficace. J'ai chez moi une lectrice de 10 ans qui oscille entre BD et manga et cette "famille tango", avec Holly Moly, Hooky et les autres, la passionne autant qu'une shonen de base. Et je comprends. On retrouve une aventure avec un petit coté onirique. Une héroïne au fort caractère et un lien familiale fort. Tout ce qui permet à un jeune lecteur de se reconnaitre dans une héroïne et dans une histoire. Si cette famille tango n'est pas la plus originale des sorties, elle entérine un format qui plait et, pour moi, un bon moyen de ramener les jeunes lecteurs vers la bd européenne.
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Titre de l'album : La famille Tango tome 1 Scenariste de l'album : Karim Alliane Dessinateur de l'album : Henri Calais Coloriste : Henri Calais Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Caramba : la vie de Tina Tango, une collégienne mexicaine aussi cool que studieuse, est super compliquée ! Bien sûr, elle vit chez sa mamie, mais c'est parce que Sueños, sa maman, a mystérieusement disparu ! Et puis, il y a son père remarié, avec qui les relations sont un peu tendue. Sans parler de Kim, sa BEF (Best Enemy forever), qui lui a volé le carnet de sa mère, son dernier souvenir d'elle ! Mais lorsque le carnet révèle son étrange pouvoir - il met en images ce qui arrive dans la vie de son lecteur - les deux jeunes filles sont soudain pourchassées par le « Grand Zéro », un cruel dieu-chat souhaitant effacer de la mémoire des hommes leurs contes, légendes et histoires, afin d'imposer son règne à lui... Tina, Mamie et Kim vont devoir lutter, en compagnie de la « Section U », une organisation secrète où œuvraient peut-être certains membres de la famille Tango... Un récit totalement fou et trépidant, rencontre improbable de James Bond et Coco ! Critique : Bon alors la c'est sûr, les responsables de Dupuis ont trouvé un filon coté jeunesse. J'irai même jusqu'à avancer qu'ils ont mis le doigt sur le chainon manquant entre le manga et la BD. Attention, loin de moi l'idée de dire que cette Famille Tango n'est pas une BD. C'est juste que le format souple, le nombre de pages très important (192), la densité de l'histoire et la facilité de lecture ressemblent à ce qui fait le succès des Webtoon et autres mangas pour jeunes lecteurs. Et c'est surtout super efficace. J'ai chez moi une lectrice de 10 ans qui oscille entre BD et manga et cette "famille tango", avec Holly Moly, Hooky et les autres, la passionne autant qu'une shonen de base. Et je comprends. On retrouve une aventure avec un petit coté onirique. Une héroïne au fort caractère et un lien familiale fort. Tout ce qui permet à un jeune lecteur de se reconnaitre dans une héroïne et dans une histoire. Si cette famille tango n'est pas la plus originale des sorties, elle entérine un format qui plait et, pour moi, un bon moyen de ramener les jeunes lecteurs vers la bd européenne. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-famille-tango-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Les maîtres de guerre - Patton Scenariste de l'album : Jean-Pierre Pécau Dessinateur de l'album : Mauro Salvatori & Fabrizio Faina Coloriste : Valeria Romanazzi Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : "On ne gagne pas une guerre en mourant pour sa patrie ; on gagne une guerre en faisant ce qu'il faut pour que ce soit le fils de pute d'en face qui meure pour sa patrie !" George Patton. George S. Patton doté d'un sens inné du commandement et d'une incroyable habileté tactique. Patton combattra sans relâche depuis la Tunisie jusqu'en Allemagne, en passant par la Sicile, la Normandie, la Lorraine et les Ardennes. Critique : Les maîtres de guerre est une nouvelle série historique qui débute avec un premier tome autour du général Patton. Chaque tome sera un one shot pour présenter les faits d'armes des grands personnages ayant marqués l'histoire lors de grandes batailles ou de guerres. Le premier tome présente George Patton, un général charismatique de la deuxième guerre mondiale. Il a prouvé à de nombreuses reprises qu'il faut de l'audace dans la stratégie pour venir à bout des ennemis. Cet album commence en 1944, nous suivons le général avec sa compagnie de chars d'assaut en direction de Berlin et attaquant les dernières troupes allemandes déjà en défaite. Le scénario de Jean-Pierre Pécau est efficace, il n'oublie pas d'ajouter toutes les citations du général lors de moments clés. Les phases d'action lors des combats apportent du contenu au discours de Patton. Les deux dessinateurs livrent un travail de qualité pour dépeindre cette époque de guerre. Un cahier historique termine l'album pour donner davantage d'information sur le personnage. Deux autres tomes sont déjà annoncés avec Attila et Laurence d'Arabie. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-maitres-de-guerre-patton/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Les maîtres de guerre est une nouvelle série historique qui débute avec un premier tome autour du général Patton. Chaque tome sera un one shot pour présenter les faits d'armes des grands personnages ayant marqués l'histoire lors de grandes batailles ou de guerres. Le premier tome présente George Patton, un général charismatique de la deuxième guerre mondiale. Il a prouvé à de nombreuses reprises qu'il faut de l'audace dans la stratégie pour venir à bout des ennemis. Cet album commence en 1944, nous suivons le général avec sa compagnie de chars d'assaut en direction de Berlin et attaquant les dernières troupes allemandes déjà en défaite. Le scénario de Jean-Pierre Pécau est efficace, il n'oublie pas d'ajouter toutes les citations du général lors de moments clés. Les phases d'action lors des combats apportent du contenu au discours de Patton. Les deux dessinateurs livrent un travail de qualité pour dépeindre cette époque de guerre. Un cahier historique termine l'album pour donner davantage d'information sur le personnage. Deux autres tomes sont déjà annoncés avec Attila et Laurence d'Arabie.
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Larry B. Max en est déjà au tome 25 de ses aventures. Le pendant de Largo Winch imaginé Vrancken et Desberg continue son bonhomme de chemin. Et si logiquement les enjeux sont pas mal retombés d'un cran depuis le dernier tome qui voyait Larry subir drames sur drames, on le retrouve de nouveau mêlé malgré lui à une sombre affaire. L'occasion une nouvelle fois pour Stephen Desberg de nous brosser un portrait de notre monde cynique, sans concession et peu reluisant derrière les fausses allures de golden boy et de haute finance. Malgré la baisse de rythme évidente d'un tome de transition, les ingrédients habituels sont pourtant toujours là, charme, action, milliards et crimes... Reste à savoir désormais quelle direction va prendre Larry ?
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Voici le tome 2 qui vient conclure cette mini série de polar se déroulant au Mexique dans l'univers du crime organisé et des Narco. Notre groupe de femmes est bien décidé à obtenir vengeance, et cela les emmènera plus loin qu'elles ne l'espéraient au départ. L'action est sans temps morts, les rebondissements s'enchainent, et si les dessins sont parfois un peu sommaires et qu'ils peuvent manquer de détails, l'histoire reste facilement lisible avec plaisir. Pour du polar indépendant c'est plutôt très correct en fait, et c'est vraiment agréable que cette histoire trouve sa conclusion. On aurait peut être aimé que certains personnages et relations soient un peu plus étoffés, et la fin est rapide, mais cela permet à ces deux albums de nous présenter une histoire complète dynamique dans l'univers du crime organisé au Mexique. Parfois on n'a pas besoin de plus 🙂