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  1. poseidon2

    Hiver, à l'opéra

    Après l'automne en baie de somme, l'une des très belles surprises de l'année dernière, voici nos deux auteurs qui reviennent pour une "suite" qui se trouve être un album "dans le même univers" plus qu'une suite et... c'est presque dommage. Parce que cette histoire ne dégage pas le même charme que le premier tome. Je ne saurais trop dire pourquoi, mais le charme n'a pas pris. Je n'ai pas retrouvé la mélancolie du premier tome. L'enquête est moins prenante avec une coupable trop vite révélée et des crimes un peu trop mis en scène. La partie avec le double jeu de notre enquêteur est peut-être de trop et n'a pas permis de bien prendre son temps comme ce fut le cas sur le premier. Graphiquement le dessin est par contre toujours très bon avec des planches superbes. Une lecture dont j'attendais peu être un peu trop
  2. Titre de l'album : Mécanique céleste - La source Scenariste de l'album : Merwan Chabane Dessinateur de l'album : Merwan Chabane Coloriste : Merwan Chabane Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Après leur victoire contre Fortuna à la Mécanique Céleste, Aster et l'équipe de Pan fuient la cité et trouvent refuge dans une ancienne usine désaffectée. Ils y rencontrent une étrange communauté recluse, La Source, qui prône la neutralité envers Fortuna et Cérès. Mais la paix ne dure qu'un temps et les émissaires de Fortuna débarquent dans l'usine, bien décidés à mettre la main sur les responsables d'un attentat contre leurs dispositifs technologiques qui s'y seraient réfugiés. S'ensuit une véritable course-poursuite entre faux terroristes, vrais espions et au milieu de ce bazar, Aster et son équipe de bras cassés ! Un récit à l'énergie, à la générosité et à la bonne humeur communicative qui reprend tous les éléments qui ont fait le succès de "Mécanique Céleste" ! Critique : Bon alors si vous êtes comme moi, c'est-à-dire fan de la mécanique céleste et fan de Merwan, vous aurez surement été surpris de ce tome deux de la mécanique céleste. En effet, le tome un état excellent et se suffisaient à lui-même. Pourquoi prendre le risque d'en faire une suite ? Eh bien tout simplement parce que Merwan avait encore (et à toujours je pense) des choses à dire sur son univers si particulier. Si ce deuxième tome n'a plus rien à voir (malheureusement) avec la mécanique céleste et ce fameux combat de..... balle au prisonnier qui faisait la fraicheur du tome un, Merwan nous montre que son univers ne se résume pas à ce jeu mais est bien plus vaste et complexe. Ce deuxième tome nous permet de mieux comprendre les forces en présences, tout en nous livrant une course poursuite haletante. Un bon deuxième tome dans un univers qui se densifie et offre de belle possibilité pour la suite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mecanique-celeste-la-source?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Bon, je vous avoue que je suis déçu. Quand on voit une série Fantasy de chez Soleil, en 8 tomes, scénarisée par Arleston, on a pas mal de références qui nous viennent en tête, car que l'on aime ou pas, il faut reconnaître que ce duo a plutôt produit des choses sympas par le passé. Las, ici on approche le tome 4 et cela ne décolle pas vraiment. Les dessins de Vergani sont biens mais peu marquants, et surtout un cran en dessous je trouve des autres productions Soleil - Arleston, et le scénario de Christophe Arleston est finalement assez plat avec cette histoire de vengeance pour le moment bien triste. Les personnages eux même ne sont guère développés d'ailleurs et l'héroïne est finalement trop seule en piste... Même le dilemme moral instauré dans cet opus là est vite évacué par la tournure des évènements choisis par notre scénariste, comme si l'excès de nuances ou l'absence de dichotomie l'embarrassait finalement. Dommage, car l'ensemble n'est pas mauvais, loin de là mais au final on ne retient qu'une héroïne un peu trop lisse, un humour à rebours et un dessin trop neutre qui forme un début de série trop quelconque pour nous embarquer sur 8 tomes.
  4. Titre de l'album : Sangre - Tome 4 - Donnadion le Béat Scenariste de l'album : Christophe Arleston Dessinateur de l'album : Stefano Vergani Coloriste : Stefano Vergani & Gloria Vezzaro Editeur de l'album : Soleil - Metamorphoses Note : Résumé de l'album : Après plusieurs semaines d'enquête dans la cité de Thériasme, Sangre trouve un marin qui la guide jusqu'à un archipel perdu au coeur de la mangrove, un repaire d'esclaves évadés. Donnadion y vit en ermite, prêchant la non-violence. Mais comment imaginer ce terrible écumeur en saint homme, héros d'une libération pacifique des esclaves ? La vengeance aurait-elle un sens face à un homme en pleine rédemption ? Critique : Bon, je vous avoue que je suis déçu. Quand on voit une série Fantasy de chez Soleil, en 8 tomes, scénarisée par Arleston, on a pas mal de références qui nous viennent en tête, car que l'on aime ou pas, il faut reconnaître que ce duo a plutôt produit des choses sympas par le passé. Las, ici on approche le tome 4 et cela ne décolle pas vraiment. Les dessins de Vergani sont biens mais peu marquants, et surtout un cran en dessous je trouve des autres productions Soleil - Arleston, et le scénario de Christophe Arleston est finalement assez plat avec cette histoire de vengeance pour le moment bien triste. Les personnages eux même ne sont guère développés d'ailleurs et l'héroïne est finalement trop seule en piste... Même le dilemme moral instauré dans cet opus là est vite évacué par la tournure des évènements choisis par notre scénariste, comme si l'excès de nuances ou l'absence de dichotomie l'embarrassait finalement. Dommage, car l'ensemble n'est pas mauvais, loin de là mais au final on ne retient qu'une héroïne un peu trop lisse, un humour à rebours et un dessin trop neutre qui forme un début de série trop quelconque pour nous embarquer sur 8 tomes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sangre-tome-4-donnadion-le-beat?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Le serpent et la lance tome 3 - Cinq-fleurs Scenariste de l'album : Hub Dessinateur de l'album : Hub Coloriste : Li Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le conseiller du souverain informe son fils sur son lit de mort qu'il doit se tenir prêt à reprendre cette fonction honorifique. Mais cette lourde charge ne souffre pas de passer au second plan. Or, ce fils recherche sa fille disparue, Deux-Fleurs, et plus de quarante momies ont été retrouvées aux quatre coins du royaume. Le tueur de jeunes filles court toujours... Critique : On arrive à la moitié de cette excellente série se déroulant au temps de la glorieuse civilisation aztèque, pour résoudre une série de meurtres énigmatiques puisque les cadavres des jeunes femmes sont momifiés et tous tournée vers Tenochtitlan. Deux ennemis de longue date sont mandatés pour enquêter, ils préfèrent oublier leur querelle pour mettre toute leur énergie sur cette affaire. Un troisième ami reste dans l'ombre mais suit de près le déroulement de l'enquête. Comme pour les deux premiers tomes, on suit deux époques différentes durant la jeunesse des héros et une fois adulte. Ils utilisent également quelques mixtures à base de peyotl pour voyager dans le temps et se rappeler des souvenirs du passé pouvant avoir un lien avec le présent. La partie graphique de Hub est magnifique, l'auteur gère à merveille les ambiances et la cité de Tenochtitlan semble vivante avec tous les détails et les personnages présents sur les planches. Un album noir et blanc sort en parallèle pour les lecteurs voulant profiter du trait de l'auteur. Le serpent et la lance est une série prenante avec une enquête durant l'époque de l'empire aztèque. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-serpent-et-la-lance-acte-3-cinq-fleurs/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. On arrive à la moitié de cette excellente série se déroulant au temps de la glorieuse civilisation aztèque, pour résoudre une série de meurtres énigmatiques puisque les cadavres des jeunes femmes sont momifiés et tous tournée vers Tenochtitlan. Deux ennemis de longue date sont mandatés pour enquêter, ils préfèrent oublier leur querelle pour mettre toute leur énergie sur cette affaire. Un troisième ami reste dans l'ombre mais suit de près le déroulement de l'enquête. Comme pour les deux premiers tomes, on suit deux époques différentes durant la jeunesse des héros et une fois adulte. Ils utilisent également quelques mixtures à base de peyotl pour voyager dans le temps et se rappeler des souvenirs du passé pouvant avoir un lien avec le présent. La partie graphique de Hub est magnifique, l'auteur gère à merveille les ambiances et la cité de Tenochtitlan semble vivante avec tous les détails et les personnages présents sur les planches. Un album noir et blanc sort en parallèle pour les lecteurs voulant profiter du trait de l'auteur. Le serpent et la lance est une série prenante avec une enquête durant l'époque de l'empire aztèque.
  7. Titre de l'album : In memoriam tome 2 - Adam Scenariste de l'album : Mathieu Salvia Dessinateur de l'album : Stéphane Robert Coloriste : Stéphane Robert Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Adam, l'ancien sorcier engagé par Joseph pour retrouver sa filleule, est en mauvaise posture depuis son affrontement avec la Mafia des Chats. Tandis que de leurs côtés, Manon et Shi sont pris au piège dans la laverie en flammes, privés de l'artefact de téléportation qui a décidé de rendre l'âme au plus mauvais moment... L'enquête se resserre autour de la mystérieuse Line. Pourquoi Calvin et Carl, les deux seuls sorciers qui semblent encore posséder leurs pouvoirs, cherchent-ils à lui mettre la main dessus ? Quel est le lien entre ces deux tueurs, Mila et Line ? Se pourrait-il que cette dernière ait une connexion avec la Grande Déchirure, cette explosion ayant ravagé Paris, comme ses dessins d'enfant semblent le suggérer ? Si chacun semble animé par ses propres intérêts, tous les chemins convergent définitivement vers Line et son Chat titanesque. Retrouvez nos héros dans le tome 2 d'In Memoriam, consacré à Adam et à son passé trouble, et levez encore un peu plus le voile sur le mystère qui semble lier Line, Calvin, Carl, Mia et la Grande Déchirure. Critique : À j'attendais cette suite avec impatience ! Le premier tome avait été une de mes plus belles surprises de l'année précédente. Une belle claque graphique et dynamique qui nous avait laissé sur le cul en fin de premier tome. Et bien je peux rassurer les fans du tome un, ce tome deux est excellent ! Graphiquement, c'est toujours aussi bon et dynamique, mais cela, on pouvait l'attendre. Pour l'histoire par contre, on monte d'un cran dans l'imbroglio et ce n'est pas pour nous déplaire. Fini l'introduction, on entre ici dans le dur et voit les possibilités qu'offre cet univers. Entre mafia magique, enfant que tous veulent retrouver, retour hypothétique de la magie, révélation sur les artefacts et piste sur la grande déchirure..... il y avait de quoi faire et nos auteurs ne fuient aucun sujet. On a hâte de lire la suite ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/in-memoriam-tome-2-adam?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. poseidon2

    In memoriam tome 2 - Adam

    À j'attendais cette suite avec impatience ! Le premier tome avait été une de mes plus belles surprises de l'année précédente. Une belle claque graphique et dynamique qui nous avait laissé sur le cul en fin de premier tome. Et bien je peux rassurer les fans du tome un, ce tome deux est excellent ! Graphiquement, c'est toujours aussi bon et dynamique, mais cela, on pouvait l'attendre. Pour l'histoire par contre, on monte d'un cran dans l'imbroglio et ce n'est pas pour nous déplaire. Fini l'introduction, on entre ici dans le dur et voit les possibilités qu'offre cet univers. Entre mafia magique, enfant que tous veulent retrouver, retour hypothétique de la magie, révélation sur les artefacts et piste sur la grande déchirure..... il y avait de quoi faire et nos auteurs ne fuient aucun sujet. On a hâte de lire la suite !
  9. Titre de l'album : Murdervale , tome 1 Scenariste de l'album : Vicente Cifuentes Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Vicente Cifuentes Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Et si un voyage dans l'horreur pouvait ressouder un couple ? Victor et Sara traversent une période difficile et sur les conseils de leur psy, décident de partir quelques jours ensemble. Sans véritable destination en tête, ils prennent la route. En chemin, ils entendent parler d'un village si perdu qu'il ne figure même pas sur la carte : Murdervale. Ils décident de s'y rendre et d'y prendre une chambre d'hôtel. Mais durant la nuit, Victor a des hallucinations. Est-ce son traitement ou la malédiction dont cette vieille femme leur a parlé ? En voulant fuir l'enfer du quotidien, Victor et Sara semblent être tombés dans un enfer bien pire. Bien plus que sauver leur couple, ils vont devoir sauver leur vie ! Critique : Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/murdervale-tome-1-le-vol-du-corbeau?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Kevin Nivek

    Murdervale , tome 1

    Vicente Cifuentes délaisse le monde animalier du sympathique Whodunnit? paru aux éditions Graph Zeppelin , pour une saga horrifique en 3 tomes . Il change par ailleurs de style graphique pour adopter un trait plus réaliste , car ici , il est question d'humains , voire de revenants ! Un univers plus sombre , avec son lot de mystères . Tout commence avec la présentation des protagonistes principaux , un couple à la dérive , qui décide de prendre quelques jours de congés pour redonner une chance à leur relation . Le hasard les mène à Murdervale , un nom bien lugubre , pour une ville qui ne l'est pas moins . Leurs premiers moments de détente et de plaisir vont très vite être gâchés par des événements surprenants autour d'eux , voire pire lorsque l'on va s'en prendre à Sara la femme de Victor ! Dans leur quête respective , ils vont plonger dans les entrailles de la ville et de ses souvenirs avec une possible malédiction persistante à ce jour . L'auteur installe bien un climat d'anxiété et il n'est pas rare au hasard de cases de tomber sur des yeux espionnant la scène , ou sur une ombre menaçante dans un coin . Ce qui ne va pas c'est l'enchainement du fil narratif , les pages se tournent et l'on découvre un contexte différent sans vraiment comprendre comment en est-on arrivé là ! Certains dialogues paraissent un peu mièvres au regard des situations rencontrées , erreurs de traduction possible ? Ces petits défauts laissent un sentiment étrange en fin de lecture , d'autant que la fin vous laisse sur un cliffhanger inquiétant . A suivre dans le tome 2 😉
  11. Telle Morrigane et son parapluie , il est nécessaire de sauter à pieds joints dans cette aventure fantastique . La romancière Jessica Townsend a bâti un monde magique avec son vocabulaire et sa culture propre en empruntant ça et là des idées . On sent l'influence de Peter Pan ,Harry Potter et autres Chroniques de Narnia dans cet univers . Ce n'est pas pour nous déplaire car ce monde est cohérent , il demande juste au lecteur un peu d'attention pour assimiler ces nouveaux mots et coutumes locales . Par exemple, la jeune héroïne Morrigane Crow doit mourir le soir du Merveillon à l'aube de ses 12 ans . Elle le sait , sa famille le sait aussi car elle est une enfant maudite . Le pourquoi , je vous laisse le découvrir 😉 Tout se déroule normalement jusqu'à ce fameux soir , mais un événement inattendu va bouleverser l'ordre établi . En effet , un étranger venu d'une lointaine contrée vient la sauver de façon rocambolesque et son destin funeste va prendre une toute autre tournure . L'adaptation de cette saga de romans est fidèle et réussie , l'immersion se fait naturellement , les explications arrivent de façon propice au fil de la lecture . Thomas Labourot livre des planches remarquables dans son style bien à lui , avec un dessin détaillé , dynamique et pourvu d'une coloration sans failles . On est clairement adapté au public ado friand de cette patte graphique transpirant la lumière . Partez à la découverte de ce nouveau monde aux côtés de Morrigane dans ce premier tome prometteur . La saga littéraire est composée de 4 livres , les nombreux secrets de cet univers auront le temps d'être révélés 😉
  12. Kevin Nivek

    Le grand bug tome 1

    Nouvelle parution pour l'ancien prof d'économie Jean-Christophe Tixier , qui travaille aussi sur des romans et autres fictions radiophoniques ! Dans un futur proche , un grand bug informatique a surgi et engendré un grand désordre au quotidien . Les transports en commun autonomes deviennent des engins de morts incontrôlables . Le petit groupe de jeunes composé de Léna , Lou , Tom et Gabriel se lance dans l'aventure avec différentes missions de sauvetages et réparations de ces engins désorientés . Le rythme est soutenu tel un train lancé à pleine vitesse , la tension est palpable lors des missions avec beaucoup de suspens . La question du grand bug n'est pas encore posée , mais gageons que dans des tomes futures , elle sera abordée . Le dessin est assuré par Roberta Pierpaoli ayant fait ses marques dans les dessins animés , et cela se voit à travers ses cases et son style semi-réaliste , tout en rondeurs . Cela devrait accrocher une population jeune sans peine . Ils représentent la cible évidente de ce genre de BD , un dessin accessible , une narration fluide et un rythme de lecture rapide .
  13. Titre de l'album : Thorgal - Tome 41 - Mille Yeux Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : F. Vignaux Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Mordu par une vipère rouge au fond d'un véritable labyrinthe souterrain alors qu'il venait enfin de découvrir la légendaire roche aux mille yeux de la déesse Skaedi, Thorgal doit pourtant parvenir à extraire et à ramener un fragment de cette mystérieuse pierre tombée d'Asgard, s'il veut sauver Jolan et Boréale. L'aide d'une jeune chasseuse de serpents ne sera pas de trop pour notre « enfant des étoiles », s'il veut avoir une chance de triompher sur l'échiquier d'Odin ! Critique : Bon le tome 40 aurait pu être une conclusion à cette série que j'aime tant. Mais ce n'est pas le cas et cette série va désormais de plus en plus lorgner sur l'Odyssée dans le destin qu'elle réserve à Thorgal. Nouveau naufrage, nouveaux dangers, nouvelles croyances et divinités à combattre. et nouveau chef viking tyrannique. Il n'en faut guère plus pour voir notre Thorgal préféré venir défendre une nouvelle fois la veuve et l'orphelin tout en secouant au passage sa famille. Il est désormais plus à cheval que jamais sur ses principes, toujours aussi courageux et inventif, même s'il semble avoir lui aussi vieilli.... Toutefois il faut bien reconnaitre que l'ensemble s'essouffle franchement et donne une grosse impression de déjà lu mille fois dans les épisodes précédents. La fin laisse présager un nouveau cycle peut être prometteur, mais je vous avoue que j'ai un doute sur le fait que ce tome 41 reste bien longtemps dans nos mémoires. Graphiquement, F. Vignaux maitrise pleinement son sujet et l'héritage de Rosinski et il sera difficile de lui faire des reproches honnêtes. L'ensemble est je crois aussi réussi graphiquement qu'il peut l'être sans dénaturer ses origines. Ce tome 41 n'est pas un mauvais cru, mais il trahi tout de même un sérieux manque de fraicheur je trouve. La série aurait probablement gagnée à enclencher un dernier cycle épique pour finir en apothéose, préservant ainsi le mythe d'une édulcoration palpable et libérant la place aux Thorgal Saga pour venir nous conter d'autres de ses aventures. Mais ce n'est que mon simple ami d'amoureux de Thorgal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-41-mille-yeux?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. The_PoP

    Thorgal - Tome 41 - Mille Yeux

    Bon le tome 40 aurait pu être une conclusion à cette série que j'aime tant. Mais ce n'est pas le cas et cette série va désormais de plus en plus lorgner sur l'Odyssée dans le destin qu'elle réserve à Thorgal. Nouveau naufrage, nouveaux dangers, nouvelles croyances et divinités à combattre. et nouveau chef viking tyrannique. Il n'en faut guère plus pour voir notre Thorgal préféré venir défendre une nouvelle fois la veuve et l'orphelin tout en secouant au passage sa famille. Il est désormais plus à cheval que jamais sur ses principes, toujours aussi courageux et inventif, même s'il semble avoir lui aussi vieilli.... Toutefois il faut bien reconnaitre que l'ensemble s'essouffle franchement et donne une grosse impression de déjà lu mille fois dans les épisodes précédents. La fin laisse présager un nouveau cycle peut être prometteur, mais je vous avoue que j'ai un doute sur le fait que ce tome 41 reste bien longtemps dans nos mémoires. Graphiquement, F. Vignaux maitrise pleinement son sujet et l'héritage de Rosinski et il sera difficile de lui faire des reproches honnêtes. L'ensemble est je crois aussi réussi graphiquement qu'il peut l'être sans dénaturer ses origines. Ce tome 41 n'est pas un mauvais cru, mais il trahi tout de même un sérieux manque de fraicheur je trouve. La série aurait probablement gagnée à enclencher un dernier cycle épique pour finir en apothéose, préservant ainsi le mythe d'une édulcoration palpable et libérant la place aux Thorgal Saga pour venir nous conter d'autres de ses aventures. Mais ce n'est que mon simple ami d'amoureux de Thorgal.
  15. Titre de l'album : Whodunnit ? Question de flair ! Scenariste de l'album : El Torres Dessinateur de l'album : Vicente Cifuentes Coloriste : Ulises Arreola Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Dorry Quirrel aime l'aventure, mais a promis à sa tante d'être plus raisonnable. Un jour, elle est engagée comme domestique par la maison Strutter, l'une des familles les plus riches du pays. Mais dès son arrivée, un meurtre se produit et la victime n'est autre que Lord Strutter lui-même. L'inspecteur en chef de Scotland Yard, Forrester, flanqué de l'inspecteur Wallcroft sont chargés de l'enquête. Mais qui a bien pu occire le maître des lieux ? Et quel sombre secret cache la maison Strutter. Critique : Il est peu dire que le genre "whodunnit?" a le vent en poupe avec les adaptations de Agatha Christie au cinéma et autres A couteaux tirés sur les plateformes de visionnage ! Il n'échappe pas au monde du 9ème art avec les éditions Graph Zepellin publiant cette histoire policière aux accents animaliers . Blacksad n'est pas loin , mais ici le registre est un peu moins sombre et plus "Disney" . Le dessin tout en rondeur et élégance de Vicente Cifuentes tranche avec ceux du chat noir bien connu des amateurs de BD . Les cases sont plus colorées , certes numériquement , mais cela permet des effets visuels intéressants et une belle mise en page . C'est une lecture agréable ponctuée d'un scénario in fine assez convenu . La surprise du dénouement final reste présente , mais c'est la façon dont elle est amenée qui pêche un peu . L'enquête prend son temps avec son lot de surprises et autres révélations données au compte gouttes , puis tout s'enchaine trop rapidement dans un déluge de divulgations opportunes . Mais ne boudons pas le plaisir car il s'agit là du seul défaut de ce livre , le dessin est remarquable , les protagonistes rappellent d'illustres personnages (noms , postures et habitudes) , ils sont bien écrits et les clins d'oeil sont légions , même le nom de la famille Strutter ( pour Usher 😉 ) . Si vous aimez le genre Blacksad , alors vous lirez avec bonheur ces dialogues ciselés et ces êtres anthropomorphes évoluant dans le monde Victorien tellement propice aux créations artistiques . De petites notes d'humour distillées ça et là rendent aussi la lecture agréable . On attend , on espère une nouvelle aventure de nos héros animaliers ! PS: attention aux coquilles dans les bulles monsieur l'éditeur 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/whodunnit-question-de-flair/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Il est peu dire que le genre "whodunnit?" a le vent en poupe avec les adaptations de Agatha Christie au cinéma et autres A couteaux tirés sur les plateformes de visionnage ! Il n'échappe pas au monde du 9ème art avec les éditions Graph Zepellin publiant cette histoire policière aux accents animaliers . Blacksad n'est pas loin , mais ici le registre est un peu moins sombre et plus "Disney" . Le dessin tout en rondeur et élégance de Vicente Cifuentes tranche avec ceux du chat noir bien connu des amateurs de BD . Les cases sont plus colorées , certes numériquement , mais cela permet des effets visuels intéressants et une belle mise en page . C'est une lecture agréable ponctuée d'un scénario in fine assez convenu . La surprise du dénouement final reste présente , mais c'est la façon dont elle est amenée qui pêche un peu . L'enquête prend son temps avec son lot de surprises et autres révélations données au compte gouttes , puis tout s'enchaine trop rapidement dans un déluge de divulgations opportunes . Mais ne boudons pas le plaisir car il s'agit là du seul défaut de ce livre , le dessin est remarquable , les protagonistes rappellent d'illustres personnages (noms , postures et habitudes) , ils sont bien écrits et les clins d'oeil sont légions , même le nom de la famille Strutter ( pour Usher 😉 ) . Si vous aimez le genre Blacksad , alors vous lirez avec bonheur ces dialogues ciselés et ces êtres anthropomorphes évoluant dans le monde Victorien tellement propice aux créations artistiques . De petites notes d'humour distillées ça et là rendent aussi la lecture agréable . On attend , on espère une nouvelle aventure de nos héros animaliers ! PS: attention aux coquilles dans les bulles monsieur l'éditeur 😉
  17. poseidon2

    Droit au but tome 20

    Le vingtième album de droit au but fête son anniversaire en nous livrant un album spécial sur les différents maillots de l'OM à travers les ages. Pour rendre la lecture intéressante, nos auteurs ajoutent la signature de Nino en tant que professionnel mais aussi l'histoire du grand-père de Nino, que l'on découvre ancien "internationale" italien. Un album encore une fois très sympa avec un Nino qui continu de grandir et va donc bientôt entrer dans le grand monde des joueurs professionnels. Les fans de l'OM et de Nino seront ravis !
  18. Titre de l'album : Droit au but tome 20 Scenariste de l'album : Thierry Agnello | Jean-Luc Garrera Dessinateur de l'album : Pedro J. Colombo Coloriste : Pedro J. Colombo Editeur de l'album : Hugo bd Note : Résumé de l'album : L'AMOUR DU MAILLOT Le 20ème épisode des aventures de Nino. Chaque mercredi après-midi, Nino rend visite à son grand-père pour l'écouter parler de sa jeunesse napolitaine et évoquer ses attachements de supporter pour le Napoli et l'OM. Un jour, il retrouve dans les affaires du vieil homme un maillot porté par... Alain Giresse. Pour satisfaire la curiosité de son petit-fils, celui-ci lui dévoile son « trésor de guerre » : une valise remplie de maillots ayant appartenu aux légendes du club marseillais. Mais, au grand dam de l'ex-contôleur du Vélo-drome, la collection est incomplète : il manque le maillot de Maradona, remis au Pibe del Oro lors des tractations engagées par Bernard Tapie et Michel Hidalgo pour l'accueillir à Marseille au tournant des années 1990. Nino va alors tenter de mettre la main sur ce « collector », remontant l'histoire du club et celle de son grand-père, allant de France en Italie pour découvrir le passé de joueur d'Alfio. Critique : Le vingtième album de droit au but fête son anniversaire en nous livrant un album spécial sur les différents maillots de l'OM à travers les ages. Pour rendre la lecture intéressante, nos auteurs ajoutent la signature de Nino en tant que professionnel mais aussi l'histoire du grand-père de Nino, que l'on découvre ancien "internationale" italien. Un album encore une fois très sympa avec un Nino qui continu de grandir et va donc bientôt entrer dans le grand monde des joueurs professionnels. Les fans de l'OM et de Nino seront ravis ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/droit-au-but-tome-20?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : Les 9 vies extraordinaires de la princesse Gaya Scenariste de l'album : Collectif Dessinateur de l'album : Régis Lejonc Coloriste : Régis Lejonc Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Victime d'un terrible sortilège, l'innocente enfant meurt, et ce bien trop tôt. De siècle en siècle, de la Bavière médiévale qui l'a vue naître aux confins du Mexique, de la Chine impériale aux forêts oubliées de la Grèce ottomane, Gaya va connaître, sous d'autres noms et à différents âges, neuf vies extraordinaires... car tel est le destin de la princesse qui sut attendrir la mort. Critique : Attention, Gaya n'est pas une BD. C'est un livre illustré par Regis Lejonc. Un livre illustré par une personne mais neuf histoires par neuf scénaristes différents. Neufs scénaristes qui nous racontent en 5-10 pages, les 9 vies de Gaya. Gaya est une fille qui a été offerte à la mort dans notre première histoire et dont la mère a obtenu en échange neuf vies. Neuf vies qui auront lieu à neuf époques et seront radicalement différentes. Toutes intéressantes, elles sont surtout illustrées par de sublimes planches de Régis Lejonc qui réussit son pari. Une belle lecture reposante et bien illustrée. Un livre offert dans un supergrand format luxueux avec un toilage noir très joli. Un format "Urban Limited" pour ceux qui connaissent. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-9-vies-extraordinaires-de-la-princesse-gaya?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Attention, Gaya n'est pas une BD. C'est un livre illustré par Regis Lejonc. Un livre illustré par une personne mais neuf histoires par neuf scénaristes différents. Neufs scénaristes qui nous racontent en 5-10 pages, les 9 vies de Gaya. Gaya est une fille qui a été offerte à la mort dans notre première histoire et dont la mère a obtenu en échange neuf vies. Neuf vies qui auront lieu à neuf époques et seront radicalement différentes. Toutes intéressantes, elles sont surtout illustrées par de sublimes planches de Régis Lejonc qui réussit son pari. Une belle lecture reposante et bien illustrée. Un livre offert dans un supergrand format luxueux avec un toilage noir très joli. Un format "Urban Limited" pour ceux qui connaissent.
  21. poseidon2

    Padre Sicario

    Titre de l'album : Padre Sicario Scenariste de l'album : Stéphane Marchetti | Thomas Dandois Dessinateur de l'album : Vladimiro Merino Coloriste : Vladimiro Merino Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Salva était le plus grand tueur à gages de Cali. Son nom faisait trembler les plus grand. Mais en prison, il a embrassé la religion et est devenu pasteur évangéliste. À sa sortie, il se donne pour mission de construire un temple en plein coeur de Siloé, le quartier où il a grandi.Le projet n'est pas du goût de Victor, son ami d'enfance qui contrôle désormais le trafic de drogue dans le barrio.Padre Sicario, est un récit d'action sur la violence et la rédemption. L'histoire racontée à hauteur d'hommes, est très librement inspirée de faits réels et d'expériences vécues Critique : Deuxième BD d'Albin Michel après Adieu Birkenau en peu de temps pour un éditeur pas très prolifique et deuxième tome de même qualité que le premier. Basée sur une histoire vraie, cette histoire est surtout une histoire forte et dure. Une histoire d'un homme qui a décidé de croire en ses rêves peu importe son passé et peu importe ce que pensent les autres, même si ces autres sont de trafiquants de drogues. Notre histoire est poignante et notre personnage principale tellement charismatique qu'on croit en son rêve super rapidement ce qui nous fait dévorer la BD à toute vitesse. Une histoire superbement bien dessinée, dure et forte. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/padre-sicario?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. poseidon2

    Padre Sicario

    Deuxième BD d'Albin Michel après Adieu Birkenau en peu de temps pour un éditeur pas très prolifique et deuxième tome de même qualité que le premier. Basée sur une histoire vraie, cette histoire est surtout une histoire forte et dure. Une histoire d'un homme qui a décidé de croire en ses rêves peu importe son passé et peu importe ce que pensent les autres, même si ces autres sont de trafiquants de drogues. Notre histoire est poignante et notre personnage principale tellement charismatique qu'on croit en son rêve super rapidement ce qui nous fait dévorer la BD à toute vitesse. Une histoire superbement bien dessinée, dure et forte.
  23. Titre de l'album : L'incal - Capitaine Kaiman Scenariste de l'album : Dan Watter Dessinateur de l'album : Jon Davis Hunt Coloriste : Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : À bord de son vaisseau pirate, entouré des fantômes de son équipage disparu, le capitaine Kaïmann cherche à se délivrer de la malédiction qui le transforme lentement en reptile. Alors qu'il parcourt l'univers à la recherche d'un remède contre sa mutation, il trouve l'amour auprès de la mystérieuse Aurora, une femme toute droit venue d'un futur condamné à une destruction quasi-certaine. Critique : A la lecture de ce one-shot centré sur ce personnage énigmatique de l'univers L'incal , on sent le respect total des auteurs pour Moëbius et Jodorowsky . Insérer les thématiques universelles comme l'amour , la musique, la violence et la religion dans un space-opéra , dans le paysage actuel de BD de science-fiction , il fallait oser le faire ! Ne manque que la poésie et les amputations pour être au niveau de Alejandro 🙂 Encore que , ce capitaine Kaïmann portant si bien son nom avec sa problématique de mutation , est dans une quête d'humanisation de sa personne , ce qui peut engendrer l'exérèse de sa queue ! Je rassure cependant les personnes étant allergique à l'univers du torturé auteur chilien , cette histoire est nettement plus "accessible" et moins foutraque que ce qu'il a pu écrire dans le passé (et encore de nos jours ) . Dans cette aventure , l'amour avec un grand A passe les frontières du temps et de l'espace , entre Kaïmann et Aurora membre d'une secte religieuse . Le capitaine pirate est seul avec un équipage d'hologrammes et elle , lutte contre un génocide prévu à l'encontre de sa planète sans que sa religion ne rejette cela . La musique d'un instrument bien particulier va les rapprocher à travers l'espace-temps . Ce duo d'auteurs britanniques réalise un travail remarquable de respect et complément de l'oeuvre "incalienne" . Un trait réaliste et élégant que Moëbius n'aurait pas renié , accompagné de la petite dose de folie scénaristique de Jodorowsky ; c'est en somme une histoire récente qui aurait pu trouver sa place aux débuts de la création de L'incal ! J'ajoute que la problématique de voyage dans le temps est très bien menée avec une narration limpide et un suspens présent jusqu'à la dernière page 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-incal-capitaine-kaiman/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Kevin Nivek

    L'incal - Capitaine Kaiman

    A la lecture de ce one-shot centré sur ce personnage énigmatique de l'univers L'incal , on sent le respect total des auteurs pour Moëbius et Jodorowsky . Insérer les thématiques universelles comme l'amour , la musique, la violence et la religion dans un space-opéra , dans le paysage actuel de BD de science-fiction , il fallait oser le faire ! Ne manque que la poésie et les amputations pour être au niveau de Alejandro 🙂 Encore que , ce capitaine Kaïmann portant si bien son nom avec sa problématique de mutation , est dans une quête d'humanisation de sa personne , ce qui peut engendrer l'exérèse de sa queue ! Je rassure cependant les personnes étant allergique à l'univers du torturé auteur chilien , cette histoire est nettement plus "accessible" et moins foutraque que ce qu'il a pu écrire dans le passé (et encore de nos jours ) . Dans cette aventure , l'amour avec un grand A passe les frontières du temps et de l'espace , entre Kaïmann et Aurora membre d'une secte religieuse . Le capitaine pirate est seul avec un équipage d'hologrammes et elle , lutte contre un génocide prévu à l'encontre de sa planète sans que sa religion ne rejette cela . La musique d'un instrument bien particulier va les rapprocher à travers l'espace-temps . Ce duo d'auteurs britanniques réalise un travail remarquable de respect et complément de l'oeuvre "incalienne" . Un trait réaliste et élégant que Moëbius n'aurait pas renié , accompagné de la petite dose de folie scénaristique de Jodorowsky ; c'est en somme une histoire récente qui aurait pu trouver sa place aux débuts de la création de L'incal ! J'ajoute que la problématique de voyage dans le temps est très bien menée avec une narration limpide et un suspens présent jusqu'à la dernière page 😉
  25. Kevin Nivek

    Mongolia

    Titre de l'album : Mongolia Scenariste de l'album : Lele Vianello Dessinateur de l'album : Lele Vianello Coloriste : Editeur de l'album : Mosquito Note : Résumé de l'album : En 1920, le baron von Ungern-Sternberg s'avance dans les montagnes avec quelques cosaques de sa garde rapprochée, il revient seul... Quelques années plus tard, une mission archéologique menée par un aventurier français se rend au Tibet à la recherche du trésor disparu de von Ungern... Critique : Assistant d'Hugo Pratt , Lele Vianello a imaginé une histoire avec ce personnage célèbre , rencontré dans Corto Maltese en Sibérie : Le baron Von Ungern-Sternberg , surnommé "le baron fou" . Il rêvait de créer une Asie unifiée , en mesure de lutter à armes égales avec l'Europe . Aussi , il commença par libérer la Mongolie de l'occupant chinois en 1921 , puis mis sur le trône le Koutouktou , équivalent mongol du Dalaï-Lama . Ce qui tranche avec le personnage romancé que l'on découvre dans Corto Maltese puis cet opus , le présentant comme un fou sanguinaire paranoïaque . Ainsi , dans cette hsitoire , Lele Vianello imagine le baron enterrant un trésor de guerre dans un coin de steppes et assassinant tous les témoins de cet emplacement . Puis , 10 plus tard , une expédition scientifique subit une avalanche sur les contreforts de l'Himalaya . Un seul survivant , un européen est recueilli dans un monastère tibétain , puis invité à utiliser ses compétences d'ingénieur pour retrouver le trésor du baron fou . Car ce dernier , avant de mourir fusillé par les russes , avait pris soin d'envoyer sa carte au trésor au monastère , en pratiquant bouddhiste qu'il était . L'histoire commence donc pour Gordon , accompagné de Dobs-dobs , des moines guerriers , parcourant les montagnes himalayennes jusqu'aux vastes étendues des steppes mongoles . De l'aventure avec un grand A pour ce premier tome , qui est vraiment prometteur . On attend la suite rapidement , tant le ton donné , et l'histoire , sont prenants . Ajoutez un dessin en noir et blanc , avec des visages expressifs et des paysages "encrés" assez réduits mais tellement évocateurs ! On sent l'ombre du maître Pratt planer sur ce récit . Inutile de dire que j'attends le tome 2 avec impatience 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mongolia/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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