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Titre de l'album : Absolute power tome 1 Scenariste de l'album : Mark Waid Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Dan Mora Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Peu d'être humains ont su tenir tête aux super-héros avec autant de zèle et de détermination qu'Amanda Waller. Après une carrière de machinations, et grâce à la puissance combinée de l'inarrêtable Failsafe et de la glaçante Reine Brainiac, Waller a finalement atteint son but : priver tous les héros et vilains de la planète Terre de leurs capacités métahumaines. Alors que le chaos inonde les rues et qu'une vaste campagne de désinformation fait basculer l'opinion publique de son côté, la fondatrice de la Suicide Squad déclenche une véritable guerre éclair pour faire tomber tous les super-héros, les uns après les autres. En ces heures sombres, une résistance se forme... mais ces héros impuissants peuvent-ils vraiment vaincre la Trinité du Mal et leurs implacables sbires ? Contenu vo : Green Arrow #13-14 + Absolute Power: Free Comic Book Day 2024 + Absolute Power: Ground Zero + Absolute Power #1-2 + Superman #16 + Batman #151 + Wonder Woman #11 + Absolute Power: Task Force VII #1-3 + Green Lantern #13 Critique : Et bien çà faisait longtemps que je n'avais pas apprécié un crossover comme celui-ci ! Déjà chapeau bas à Urban Comics et au travail de recueil effectué. C'est peut-être ce qui m'a procuré ce plaisir de lecture : Cette édition recueil les numéros servant au récit de.... de toutes les séries DC. De green Arrow, à Green Lanterne en passant par les Teen Titans. De façon refleuri et ordonné, les éditeurs d'Urban nous livre les morceaux nécessaires à faire une histoire cohérente et entière. Alors j'entends déjà certains : oui il faudra faire avec les changements de dessins sur les chapitres importés. Mais on a l'habitude et puis, sincèrement, ce n'est pas cher payé au regard d'une histoire dense et chronologique. Ce travail est tellement bien fait qu'il couvre un scénario au final assez classique. Une Amanda Waller qui Pete complètement une durite et va au bout de sa guerre anti superpuissant et réussi à les priver de leurs pouvoirs. Rien de forcement très nouveau ci de n'est que, cette fois-ci, il n'y a pas de menace Galactique. La menace est intérieure et la frappe chirurgicale. Mis à part ce point de départ peut être un peu trop standard, ce crossover a aussi pour lui la mise à niveau de tous nos personnages. En effet, la suppression des pouvoirs touche tout le monde (ou presque bien sur :p) mais Mark Waid a eu l'intelligence de ne PAS faire en sorte que les héros classiques soient épargnés. Il nous livre un premier tome dense, bien ordonné, mais aussi aisément compréhensible. Fini l'époque des run complexe au possible de monsieur Snyder (que j'ai apprecié hein !). Mark Waid fait des crossover "simple" et accessible, mais bien construit. De quoi rassembler les fans de tout l'univers DC ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/absolute-power-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Et bien çà faisait longtemps que je n'avais pas apprécié un crossover comme celui-ci ! Déjà chapeau bas à Urban Comics et au travail de recueil effectué. C'est peut-être ce qui m'a procuré ce plaisir de lecture : Cette édition recueil les numéros servant au récit de.... de toutes les séries DC. De green Arrow, à Green Lanterne en passant par les Teen Titans. De façon refleuri et ordonné, les éditeurs d'Urban nous livre les morceaux nécessaires à faire une histoire cohérente et entière. Alors j'entends déjà certains : oui il faudra faire avec les changements de dessins sur les chapitres importés. Mais on a l'habitude et puis, sincèrement, ce n'est pas cher payé au regard d'une histoire dense et chronologique. Ce travail est tellement bien fait qu'il couvre un scénario au final assez classique. Une Amanda Waller qui Pete complètement une durite et va au bout de sa guerre anti superpuissant et réussi à les priver de leurs pouvoirs. Rien de forcement très nouveau ci de n'est que, cette fois-ci, il n'y a pas de menace Galactique. La menace est intérieure et la frappe chirurgicale. Mis à part ce point de départ peut être un peu trop standard, ce crossover a aussi pour lui la mise à niveau de tous nos personnages. En effet, la suppression des pouvoirs touche tout le monde (ou presque bien sur :p) mais Mark Waid a eu l'intelligence de ne PAS faire en sorte que les héros classiques soient épargnés. Il nous livre un premier tome dense, bien ordonné, mais aussi aisément compréhensible. Fini l'époque des run complexe au possible de monsieur Snyder (que j'ai apprecié hein !). Mark Waid fait des crossover "simple" et accessible, mais bien construit. De quoi rassembler les fans de tout l'univers DC !
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Titre de l'album : Gone Scenariste de l'album : Jock Dessinateur de l'album : Jock Coloriste : Lee Loughridge Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : C'est exactement là que Abi, 13 ans, veut aller ! Mais la vie dans le cosmos est loin d'être ce dont elle avait rêvé. Défis et trahisons l'attendent au tournant, dans un voyage imprévisible qui va l'entrainer loin, très loin de chez elle... Jock (Snow Angels, Batman, Losers) nous entraîne dans un récit de science-fiction aux ambiances crades, proches de celles d'Alien 2, dans un futur qui n'a rien d'idyllique et de brillant… Critique : Plus besoin de présenter Jock, tant le travail de ce dessinateur est remarque sur de nombreuses séries, d'ailleurs il est très facile de reconnaitre son style graphique. Aujourd'hui, Jock revient en auteur complet avec l'écriture de ce one shot mélangeant action et science-fiction à bord d'un énorme vaisseau spatiale. On suit le parcours d'une adolescente prisonnier dans ce vaisseau alors qu'elle recherchait à voler de la nourriture avant son voyage de plusieurs années à l'autre bout de la galaxie. Elle se retrouvera en compagnie d'un groupe de saboteurs opérant sur le quotidien des riches voyageurs alternent phase de sommeil pour ne pas vieillir pendant que l'équipage travaille au bon fonctionnement de l'appareil. La partie graphique est une fois de plus remarquable avec des couleurs très sombres pour accompagner ce récit dans les profondeurs d'un vaisseau. L'album se termine sur de nombreuses illustrations et couvertures alternatives dont Jock à l'habitude de réaliser. A noter qu'une version édition Pulp's Comics est disponible avec une couverture différente pour les collectionneurs. Lee Loughridge seconde Jock pour les couleurs et la palette graphique. Avec Gone, on ne s'ennuie pas avec le superflue et les questionnements de la jeune héroïne. La lecture de Gone est légère et sans prise de tête. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gone/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Plus besoin de présenter Jock, tant le travail de ce dessinateur est remarque sur de nombreuses séries, d'ailleurs il est très facile de reconnaitre son style graphique. Aujourd'hui, Jock revient en auteur complet avec l'écriture de ce one shot mélangeant action et science-fiction à bord d'un énorme vaisseau spatiale. On suit le parcours d'une adolescente prisonnier dans ce vaisseau alors qu'elle recherchait à voler de la nourriture avant son voyage de plusieurs années à l'autre bout de la galaxie. Elle se retrouvera en compagnie d'un groupe de saboteurs opérant sur le quotidien des riches voyageurs alternent phase de sommeil pour ne pas vieillir pendant que l'équipage travaille au bon fonctionnement de l'appareil. La partie graphique est une fois de plus remarquable avec des couleurs très sombres pour accompagner ce récit dans les profondeurs d'un vaisseau. L'album se termine sur de nombreuses illustrations et couvertures alternatives dont Jock à l'habitude de réaliser. A noter qu'une version édition Pulp's Comics est disponible avec une couverture différente pour les collectionneurs. Lee Loughridge seconde Jock pour les couleurs et la palette graphique. Avec Gone, on ne s'ennuie pas avec le superflue et les questionnements de la jeune héroïne. La lecture de Gone est légère et sans prise de tête.
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Titre de l'album : W0rldtr33 tome 1 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Fernando Blanco Coloriste : Fernando Blanco Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : En 1999, Gabriel et ses amis ont découvert une architecture secrète sous le voile d'Internet : l'Undernet. Ils y ont répertorié leur exploration sur un forum qu'ils ont créé, et baptisé W0rldtr33. Puis ils en ont perdu le contrôle. Quelqu'un s'est introduit dans W0rldtr33, et a inondé l'Undernet de contenus hyperviolents, propageant son emprise néfaste comme une traînée de poudre sur quiconque y pose les yeux. Au prix de grands sacrifices personnels, Gabriel et les autres pensaient avoir définitivement scellé l'Undernet. Ils avaient tort. Et aujourd'hui leur plus grande peur à un nom : PH34R. Critique : En voilà une histoire surprenante. En effet au vu du résumé, je m'attendais à un thriller informatique ou à une dérive type "Terminator" mais je ne m'attendais pas à... un thriller horrifique. Et c'est pourtant bien ce que l'on a. Si le fond d'informatique et d'anticipation est bien présent, on a un bien un premier tome qui est essentiellement un tome qui ressort par l'angoisse qu'il procure. La folie meurtrière des gens "infectés" par l'undernet est super violente et bien mise en image. Notre tueuse en série a beau être nue, ce plus ses meurtres que son physique qui choque...Un vrai thriller ou le monde plonge dans l'horreur. Cette critique de la dérive extrémiste des réseaux sociaux, dont l'acquisition par Musk de twitter est le début, est assez frappante. Comme si James tyrion IV avait mixé orange mécanique et instagram, secoué le tout et voir ce qu'il pouvait en sortir comme horreur. Le récit est bien mené avec des courtes parties dans le futur qui ajoutent à notre questionnement autant qu'elles nous promettent un scenario plus ambitieux que celui imaginé en lisant le résumé. En bref un premier tome angoissant qui lance un thriller intriguant qui révéla l'ensemble de son potentiel dans les prochains tomes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/w0rldtr33-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Avant d'entrer dans la critique a proprement parler, autant être clair tout de suite : Cette histoire n'a rien (ou quasiment rien) à voir avec Sandman. Pas de Morphée, pas de Dream, pas de Gaiman non plus. Un léger soupçon de "Death" et des personnages issus d'une histoire parallèle d'une histoire parallèle de Sandman... N'espérez rien de ce côté-là. On pourrait même dire que ce one shot s'adresse quasiment plus aux fans de Fables. Graphiquement déjà, c'est avec plaisir que l'on retrouve Mark Buckingham pour la deuxième fois ce mois-ci après le spin off de Fables. Si l'univers n'est pas exactement le même, son trait correspond parfaitement à nos fantômes et à leur univers fantastique. Coté histoire, on a ici plusieurs histoires servant à présenter nos héros, mais aussi Crystal, qui sert de personnage central de cet album. Des histoires sympathiques qui ont le bon gout de toutes converger pour faire de ce one shot une véritable histoire finie, oscillant entre passé et présent, mais aussi entre royaume des morts et des vivants. Toby Litt manie bien deux niveaux de lectures permettant une lecture enfantine tout autant qu'une vision adultes de ce recit. Une lecture très sympa pour les vacances ! Attention, pour ceux qui auraient vu la saison 1 de la série, les personnages du comics sont ... des enfants. Ca n'enlève rien à l'histoire mais change par rapport aux jeunes adultes de la série.
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Titre de l'album : Sandman - Dead boy detectives Scenariste de l'album : Toby Litt Dessinateur de l'album : Mark Buckingham Coloriste : Mark Buckingham Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Edwin Paine et Charles Roland ont beaucoup en commun : ce sont tous deux des écoliers anglais qui adorent les romans policiers, et ils ont eux-mêmes été amenés à résoudre des énigmes. Ils sont également tous les deux morts, une condition qui s'est avérée moins gênante qu'on ne pourrait le croire. Les deux garçons retournent à l'internat de St. Hilarions, pour percer les mystères de cet internat tyrannique et y font la rencontre de Crystal, une limier technophile. Critique : Avant d'entrer dans la critique a proprement parler, autant être clair tout de suite : Cette histoire n'a rien (ou quasiment rien) à voir avec Sandman. Pas de Morphée, pas de Dream, pas de Gaiman non plus. Un léger soupçon de "Death" et des personnages issus d'une histoire parallèle d'une histoire parallèle de Sandman... N'espérez rien de ce côté-là. On pourrait même dire que ce one shot s'adresse quasiment plus aux fans de Fables. Graphiquement déjà, c'est avec plaisir que l'on retrouve Mark Buckingham pour la deuxième fois ce mois-ci après le spin off de Fables. Si l'univers n'est pas exactement le même, son trait correspond parfaitement à nos fantômes et à leur univers fantastique. Coté histoire, on a ici plusieurs histoires servant à présenter nos héros, mais aussi Crystal, qui sert de personnage central de cet album. Des histoires sympathiques qui ont le bon gout de toutes converger pour faire de ce one shot une véritable histoire finie, oscillant entre passé et présent, mais aussi entre royaume des morts et des vivants. Toby Litt manie bien deux niveaux de lectures permettant une lecture enfantine tout autant qu'une vision adultes de ce recit. Une lecture très sympa pour les vacances ! Attention, pour ceux qui auraient vu la saison 1 de la série, les personnages du comics sont ... des enfants. Ca n'enlève rien à l'histoire mais change par rapport aux jeunes adultes de la série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sandman-dead-boy-detectives?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : L'étrange créature du lac noir vit toujours Scenariste de l'album : Dan Watters | Ram V Dessinateur de l'album : Matthew Roberts Coloriste : Matthew Roberts Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Kate Marsden, une journaliste d'investigation tourmentée par son passé, est à la recherche d'un tueur en série qui se cacherait au coeur de la forêt Amazonienne. Mais en suivant la trace de ce dément, elle croise par accident la route d'une autre menace potentielle, une entité devenu un mythe dans la région : l'Etrange Créature du Lac Noir. Les Monstres Universal débarquent chez Urban ! Découvrez les plus grands mythes horrifiques du cinéma tels que Dracula, l'Etrange Créature du Lac Noir, Frankeinstein et bien d'autres, modernisés par les meilleurs auteurs de la scène comics moderne, dans des éditions grand format prestige ! Contenu vo : Universal Monsters: The Creature from the Black Lagoon Lives! #1-4. Critique : Urban comics continue sa diversification avec sa série sur les monstres. Apres Dracula, voici venir la créature du lac noir. Et avec elle un récit classique qui rend hommage au film des années 50. One shot intéressant nous montrant une histoire sombre et intrigante, mêlant le thriller avec la recherche, par notre héroïne du FBI, de son agresseur, tueur en série notable, avec du fantastique et de l'effrayant. Pour tout vous dire on à vraiment l'impression de voir un des épisodes "bis" de X-Files. Vous savez ces épisodes qui ne parlaient pas d'extraterrestre mais de fantastique. Et bien on est pile la dedans. C'est très sympa à lire mais un poil classique de mon point de vue. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/universal-monsters-l-etrange-creature-du-lac-noir-vit-toujours?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Urban comics continue sa diversification avec sa série sur les monstres. Apres Dracula, voici venir la créature du lac noir. Et avec elle un récit classique qui rend hommage au film des années 50. One shot intéressant nous montrant une histoire sombre et intrigante, mêlant le thriller avec la recherche, par notre héroïne du FBI, de son agresseur, tueur en série notable, avec du fantastique et de l'effrayant. Pour tout vous dire on à vraiment l'impression de voir un des épisodes "bis" de X-Files. Vous savez ces épisodes qui ne parlaient pas d'extraterrestre mais de fantastique. Et bien on est pile la dedans. C'est très sympa à lire mais un poil classique de mon point de vue.
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Titre de l'album : Retour sur Dawn of X (16 tomes) Scenariste de l'album : Collectif Supervisé par Hickman Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Après house of X, Charles Xavier a lu dans l'esprit de Moira Mc Tagart qu'il n'y avait qu'une solution pour que les mutants puissent survivre : S'isoler et créer leur propre nation. Et l'ile mutante Krakoa leur a donné cette possibilité. Tous les mutants du monde, et seulement eux, ont maintenant accès à une ile ou tout leur est offert, la paix et le pardon et la résurrection en cas de besoin. Seule condition : ne plus jamais tuer d'humain. Critique : Ca y est ! Je viens de terminer les 16 tome de Dawn of X. Je fais une petite pause avant d'attaquer les Swords of X et les Reign of X qui suivent. Pause qui me permet de faire un petit bilan sur Dawn of X. Un bilan que je vais commencer par le negatif : Le premier point étant assez simple : Ce n'est pas parce qu'il y a monsieur Hickman en tant que superviseur que c'est un gage de qualité absolu de toutes les histoires. Il est plus un gage de cohérence qu'un gage de qualité. Cela nous donne des séries très inégales. Il y en a de très bonne comme Helions ou Marauders et de bien moins intéressantes comme les anges déchus. Et bien sur cela ne permet pas de vraiment conclure Dawn of X. car il y a trop d'histoires en parallèles. Ce qui est un peu frustrant parce qu'on se doute bien qu'elles vont se mettre en pause durant Sword of X. Ensuite graphiquement, c'est forcément très hétéroclite avec de l'excellent et du très moyen. L'autre point que certain jugeront négatifs : ce Dawn of X n'est rien de moins qu'une très grande introduction et présentation de la très grande famille des mutants. Ce qui me permet de glisser sur les points positifs, car cette dernière phrase est pour moi un bon point, mais ne peut ne pas l'être pour beaucoup de lecteur. Hickman lance un vrai renouveau dans les mutants et nous présente un nombre impressionnant de mutants. Des classiques aux nouveaux mutants en passant par les méchants repentis, on voit des mutants partout et de toutes les couleurs. Moi, je dois vous avouez avoir retrouvé un parfum de Spécial Strange de quand j'étais petits. Tous ces héros qui vivent dans le même univers, ces histoires croisées, cet esprit de famille que dégage les X-Men et les mutants en général.... c'est tout ce qui fait que je préfère la famille mutante à l'univers Avengers. Si toutes les histoires ne sont pas aussi bonnes, la plupart sont intéressantes et permettent de découvrir des nouveaux visages. Ceux qui sont fan uniquement de l'équipe de bases seront déçus, car on ne les voit finalement pas beaucoup. Mais on apprend à connaitre les nouveaux mutants, mais surtout les anciens méchants omniprésents et qui n'ont pas forcément mit leurs méchancetés de côté. Cet ensemble prend de l'ampleur et nous livre un vrai univers complexe et bien pensé ou le monde entier est un nouveau terrain de jeu pour Hickman et ses scénaristes. Si la fin de l'aube des mutants est un poil décevante, la série nous aura quand même permis de nous remettre à jour niveau des X-Men et surtout nous aura permis de relancer une franchise globalement moribonde. Ce Dawn of X aura été un gros volume de lecture, mais un volume nécessaire pour bien entrer dans la famille mutante. A bientôt pour le retour sur la mini saga Sword of X. EdIt : il est, je trouve, impératif de lire les pages blanches des descriptions de conversation ou de mémo tout comme il est impératif de lire l'analyse faite par l'expert de panini en fin de volume. En effet, ces analyses reprennent l'historique des personnages principaux et donne énormément d'éléments de contexte Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dawn-of-x-tome-16?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Le mythe de l'ossuaire - Les résidents Scenariste de l'album : Jeff Lemire Dessinateur de l'album : Andrea Sorrentino Coloriste : Andrea Sorrentino Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : A la mort d'un de leurs voisins, dix habitants d'un HLM qui ne se connaissent que peu et que tout oppose devront coopérer alors que des phénomènes étranges surviennent autour d'eux. Invasion de mouches, baignoires remplies de sang, hallucinations glaçantes... le lugubre bâtiment cache une bien sombre histoire et un passage vers une dimension terrifiante, dans les tréfonds de laquelle ses résidents devront s'aventurer pour espérer en percer les mystères... et rester en vie. Contenu vo : The Bone Orchard Mythos: Tenement #1-10. Critique : Ceux qui nous suivent savent que je n'ai pas vraiment d'appétence pour les BDs d'horreur. J'ai eu du mal avec le dernier en date chez Urban d'ailleurs (le deviant). Et pourtant, pourtant.... ce mythe de l'ossuaire, comme les précédents, m'a scotché. Surement le talent de Jeff Lemire et la beauté du dessin d'Andrea Sorentino.... Surement le mélange des deux. Mais je mettrai le talent de Jeff Lemire un peu au-dessus. En effet il réussit, encore une fois, à trouver le juste milieu entre le récit d'angoisse et le récit d'aventure. Un mix savoureux à mi-chemin entre Sanctuaire et les mythes de Cthulhu. Lemire a créé une vraie mythologie sombre comme a pu le faire Lovecraft avec son géant vert. On a beau être mal à l'aise en le fermant.... on en redemande ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-mythe-de-l-ossuaire-les-residents?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Fables - La forêt noire Scenariste de l'album : Bill Willingham Dessinateur de l'album : Mark Buckingham Coloriste : Mark Buckingham Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : L'ultime bataille qui opposa Cendrillon à Frau Totenkinder se solda non seulement par la mort des deux adversaires, mais aussi par la révélation, pour les new-yorkais, de l'existence de Fableville, désormais visible des Communs. De nombreux habitants, dont Bigby Wolf, Blanche Neige et leurs enfants, ont donc fait le choix de quitter la ville clandestine pour refaire leur vie dans des royaumes légendaires épars. Tandis que Peter Pan et la fée Clochette assistent avec méfiance à ce grand bouleversement, à la morgue, un médecin légiste commence une autopsie des plus déroutantes. Cette habitante que tous croyaient disparue est visiblement bien vivante, et surtout déterminée à prendre sa revanche. Critique : Mes aïeux.... J'en verserai presque une larme tellement c'est exactement comme ca que j'aurais imaginé une suite à Fables. j'ai retrouvé tout ce qui m'avait charmé dans les précédents tomes de Fables, condensé en un seul tome : On a les enfants, un méchant, Bigby, Blanche, mais aussi une suite logique.... pffff franchement le terme est galvaudé car je lis beaucoup de super bd tout au long de l'année mais c'est la véritable surprise de cette année car je ne l'attendais pas. Je n'étais même pas au courant de sa sortie et pourtant elle coche toutes les cases.... On voit bien que les auteurs ont pris énormément de plaisir à faire ce nouveau tome. Les dessins sont tops, l'histoire est top, les "sous titres" si caractéristiques sont excellents.... Bref un retour dans le pays des comtes et un "spin off" parfait comme on le souhaite à toutes les séries !!! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/fables-la-foret-noire?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Mes aïeux.... J'en verserai presque une larme tellement c'est exactement comme ca que j'aurais imaginé une suite à Fables. j'ai retrouvé tout ce qui m'avait charmé dans les précédents tomes de Fables, condensé en un seul tome : On a les enfants, un méchant, Bigby, Blanche, mais aussi une suite logique.... pffff franchement le terme est galvaudé car je lis beaucoup de super bd tout au long de l'année mais c'est la véritable surprise de cette année car je ne l'attendais pas. Je n'étais même pas au courant de sa sortie et pourtant elle coche toutes les cases.... On voit bien que les auteurs ont pris énormément de plaisir à faire ce nouveau tome. Les dessins sont tops, l'histoire est top, les "sous titres" si caractéristiques sont excellents.... Bref un retour dans le pays des comtes et un "spin off" parfait comme on le souhaite à toutes les séries !!!
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Mmmmhhh tient donc, Urban reprend des titres de Glenat Comics. Ca peut promettre de belles choses. En tout cas, c'est dans un bien bel écrin que Urban nous livre cette réédition "intégrale" des aventures de Klaus par Grant Morisson et... surtout Dan Mora. Je dis surtout, car c'est quand même un des avantages premiers de cette série : Admirer le sublime trait de Dan Mora. Mais il n'y a pas que cela, surtout durant cette période de Noël. Grant Morisson nous livre une transposition du père Noel en tant que superhéros qui se transforme en super divertissement. L'histoire fantastico-moyennageuse se prête tout à fait aux légendes sur le père Noël. Le "méchant" en mode scrooge du moyennage renvoie bien au père Noël plein de pouvoir magique.... Enfin ca c'est pour la première moitié qui équivaut au tome 1. Ensuite s'en-suit.... des histoires courtes qui plongent vraiment dans le super-héroïsme. Et la, ca dépendra des gouts de chacun. En effet on a des histoires avec des extraterrestres, des entités magiques et d'autres.... Mais avec en fil rouge le vieillissement de notre Santa et son décalage grandissant avec la population d'un monde devenu moderne. Mais reste que cela fera un super bon cadeau de Noel pour tout amateur de comics "dynamique". A noter qu'il y a un super calendrier de l'avent avec 25 images sur la voie de Santa en fait de ce très beau recueil !
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Titre de l'album : Klaus - intégrale Scenariste de l'album : Grant Morrison Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Dan Mora Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Dans un monde médiéval fantastique, un trappeur itinérant du nom de Klaus entre dans l'enceinte de Grimsvig. Mais la ville a bien changé depuis sa dernière visite... Celle qui respirait la joie de vivre est désormais dirigée d'une main de fer par le tyran Magnus, qui a enrôlé de force tous les hommes valides pour travailler aux mines de charbon de la région. Et ce n'est pas tout : ses soldats sèment la terreur, interdisant la cérémonie du solstice d'hiver et sa traditionnelle remise de cadeaux. Sous ses airs taciturnes, Klaus sera-t-il l'homme capable de faire revenir le soleil dans le coeur des habitants ? Critique : Mmmmhhh tient donc, Urban reprend des titres de Glenat Comics. Ca peut promettre de belles choses. En tout cas, c'est dans un bien bel écrin que Urban nous livre cette réédition "intégrale" des aventures de Klaus par Grant Morisson et... surtout Dan Mora. Je dis surtout, car c'est quand même un des avantages premiers de cette série : Admirer le sublime trait de Dan Mora. Mais il n'y a pas que cela, surtout durant cette période de Noël. Grant Morisson nous livre une transposition du père Noel en tant que superhéros qui se transforme en super divertissement. L'histoire fantastico-moyennageuse se prête tout à fait aux légendes sur le père Noël. Le "méchant" en mode scrooge du moyennage renvoie bien au père Noël plein de pouvoir magique.... Enfin ca c'est pour la première moitié qui équivaut au tome 1. Ensuite s'en-suit.... des histoires courtes qui plongent vraiment dans le super-héroïsme. Et la, ca dépendra des gouts de chacun. En effet on a des histoires avec des extraterrestres, des entités magiques et d'autres.... Mais avec en fil rouge le vieillissement de notre Santa et son décalage grandissant avec la population d'un monde devenu moderne. Mais reste que cela fera un super bon cadeau de Noel pour tout amateur de comics "dynamique". A noter qu'il y a un super calendrier de l'avent avec 25 images sur la voie de Santa en fait de ce très beau recueil ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/klaus-histoire-pere-noel-integrale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Suite des mésaventures de l'impétueuse Red Sonja avec ce troisième tome : Le pardon des monstres. Après avoir délivré un empire sous le joug de son despote mégalo, la voici aux prises avec un magicien non loin d'un petit village. Dans son trépas, ce dernier maudit Red Sonja d'une phrase énigmatique : " Tu ne pourras point pardonner" . Le temps passe, le village libre des méfaits du sorcier peut s'en donner à coeur joie et offrir à l'aventurière ce qu'elle aime le plus, la bière et la bagatelle 🙂 . Cependant, un événement anodin va venir perturber cette fête, Red Sonja va tabasser copieusement un jeune homme suite à une banale altercation, incapable de passer outre et de le pardonner pour sa bévue. Les ennuis commencent, d'autant que le frère du sorcier défunt, lui aussi magicien de son état, se montre épris de vengeance. Rajoutez à cela les visions (ou pas 😉 ) du dernier maraudeur ayant assassiné sa famille, la guerrière hyrkanienne se retrouve au beau milieu d'une tempête d'événements la touchant de près et pour lesquels il faudra faire de nombreux sacrifices ! Un très bon scénario que nous livre Gail Simone, plus introspectif sur l'héroïne à la chevelure flamboyante. Elle exploite les failles de Red Sonja en la rendant plus humaine et responsable de ses actes. On ne s'ennuie pas une seconde, d'autant que le dessin de l'artiste brésilien Walter Geovani est propre, soigné et bien mis en lumière par les couleurs dynamiques de son compatriote Adriano Lucas. Si vous voulez découvrir une barbare vulnérable en proie à ses démons, ce troisième tome est fait pour vous, pour ma part, je pense qu'il s'agit du meilleur du run de Gail Simone. En fichier joint ci-dessous, découvrez les belles planches de Walter Geovani : Red Sonja.pdf
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Titre de l'album : Red Sonja tome 3 - Le pardon des monstres Scenariste de l'album : Gail Simone Dessinateur de l'album : Walter Geovani Coloriste : Adriano Lucas Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Alors que Red Sonja aide des villageois à lutter contre un odieux sorcier, elle tombe sur l'homme qu'elle hait le plus au monde : le dernier maraudeur qui a assassiné sa famille (Voir Red Sonja (1) : La Reine des Fléaux). En proie à une obsession vengeresse, la guerrière hyrkanienne pourra-t-elle sortir de cette noirceur qui envahit son âme ? Saura-t-elle vaincre son plus grand adversaire : elle-même ? Critique : Suite des mésaventures de l'impétueuse Red Sonja avec ce troisième tome : Le pardon des monstres. Après avoir délivré un empire sous le joug de son despote mégalo, la voici aux prises avec un magicien non loin d'un petit village. Dans son trépas, ce dernier maudit Red Sonja d'une phrase énigmatique : " Tu ne pourras point pardonner" . Le temps passe, le village libre des méfaits du sorcier peut s'en donner à coeur joie et offrir à l'aventurière ce qu'elle aime le plus, la bière et la bagatelle 🙂 . Cependant, un événement anodin va venir perturber cette fête, Red Sonja va tabasser copieusement un jeune homme suite à une banale altercation, incapable de passer outre et de le pardonner pour sa bévue. Les ennuis commencent, d'autant que le frère du sorcier défunt, lui aussi magicien de son état, se montre épris de vengeance. Rajoutez à cela les visions (ou pas 😉 ) du dernier maraudeur ayant assassiné sa famille, la guerrière hyrkanienne se retrouve au beau milieu d'une tempête d'événements la touchant de près et pour lesquels il faudra faire de nombreux sacrifices ! Un très bon scénario que nous livre Gail Simone, plus introspectif sur l'héroïne à la chevelure flamboyante. Elle exploite les failles de Red Sonja en la rendant plus humaine et responsable de ses actes. On ne s'ennuie pas une seconde, d'autant que le dessin de l'artiste brésilien Walter Geovani est propre, soigné et bien mis en lumière par les couleurs dynamiques de son compatriote Adriano Lucas. Si vous voulez découvrir une barbare vulnérable en proie à ses démons, ce troisième tome est fait pour vous, pour ma part, je pense qu'il s'agit du meilleur du run de Gail Simone. En fichier joint ci-dessous, découvrez les belles planches de Walter Geovani : Red Sonja.pdf Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-sonja-tome-3-le-pardon-des-monstres/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ceux qui nous suivent savent que je n'ai pas vraiment d'appétence pour les BDs d'horreur. J'ai eu du mal avec le dernier en date chez Urban d'ailleurs (le deviant). Et pourtant, pourtant.... ce mythe de l'ossuaire, comme les précédents, m'a scotché. Surement le talent de Jeff Lemire et la beauté du dessin d'Andrea Sorentino.... Surement le mélange des deux. Mais je mettrai le talent de Jeff Lemire un peu au-dessus. En effet il réussit, encore une fois, à trouver le juste milieu entre le récit d'angoisse et le récit d'aventure. Un mix savoureux à mi-chemin entre Sanctuaire et les mythes de Cthulhu. Lemire a créé une vraie mythologie sombre comme a pu le faire Lovecraft avec son géant vert. On a beau être mal à l'aise en le fermant.... on en redemande !
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Zoé Thorogood est l'une des autrices en vogue du comics actuel. Là elle s'attaque à une série que je ne connaissais pas : Hack/Slash. Bon attention aux yeux : comme la couverture le suggère fort peu subtilement : c'est trash, très trash, et complètement barré aussi. Vous voilà prévenu. L'univers présenté est particulièrement foutraque, la narration volontairement un poil opaque, mais allez savoir pourquoi, si l'histoire est finalement assez convenue en dehors du twist final, on prend quand même du plaisir à lire ce spin off même sans connaitre l'univers ou la série mère. Par contre, ce n'est évidemment pas pour les âmes sensibles, ni pour les lecteurs ayant besoin d'un peu de rationalité dans leur lecture. Ceci dit le dessin est finalement assez agréable et parfois même un peu fin notamment sur les visages et expression des personnages, malgré ses airs de comics d'horreur des années 80. A noter aussi que l'ambiance de l'école est assez réussie et vous fera immanquablement penser à d'autres lectures avec des passages dans des écoles initiatiques. Ce comics n'est pas à réserver aux initiés, mais mieux vaut quand même le feuilleter avant, et avoir envie de ce genre là 🙂
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Titre de l'album : Hack/Slash - Back to school Scenariste de l'album : Zoé Thorogood Dessinateur de l'album : Zoé Thorogood Coloriste : Sarah Mitrache & Zoé Thorogood Editeur de l'album : Hi-Graphics Note : Résumé de l'album : Hack/Slash : Back to School est le nouveau titre de l'autrice du moment : Zoe Thorogood. Zoe Thorogood reprend à son compte une série créée par Tim Seeley, qui narre les aventures de Cassie Hack, une adolescente qui rencontre quelques tourments dans son bahut. Sa mère, travaillant à la cantine du lycée, se lance dans une croisade vengeresse contre les lycéennes responsables du harcèlement de sa fille, en les supprimant purement et simplement, et en les proposant aux menus quotidiens du réfectoire. Quand elle apprend les actes de sa mère, Carrie décide d'éradiquer tous les tueurs en série de la planète. Elle est en cela accompagnée de Vlad, un être difforme rejeté de tous et à la force herculéenne. Dans cette reprise (spin off de la série d'origine), Zoe Thorogood retrouve Cassie au moment où elle fait la connaissance de Vlad. Tous deux se lancent à la poursuite d'une bande de créatures inquiétantes qui écume les lycées. Critique : Zoé Thorogood est l'une des autrices en vogue du comics actuel. Là elle s'attaque à une série que je ne connaissais pas : Hack/Slash. Bon attention aux yeux : comme la couverture le suggère fort peu subtilement : c'est trash, très trash, et complètement barré aussi. Vous voilà prévenu. L'univers présenté est particulièrement foutraque, la narration volontairement un poil opaque, mais allez savoir pourquoi, si l'histoire est finalement assez convenue en dehors du twist final, on prend quand même du plaisir à lire ce spin off même sans connaitre l'univers ou la série mère. Par contre, ce n'est évidemment pas pour les âmes sensibles, ni pour les lecteurs ayant besoin d'un peu de rationalité dans leur lecture. Ceci dit le dessin est finalement assez agréable et parfois même un peu fin notamment sur les visages et expression des personnages, malgré ses airs de comics d'horreur des années 80. A noter aussi que l'ambiance de l'école est assez réussie et vous fera immanquablement penser à d'autres lectures avec des passages dans des écoles initiatiques. Ce comics n'est pas à réserver aux initiés, mais mieux vaut quand même le feuilleter avant, et avoir envie de ce genre là 🙂 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hack-slash-back-to-school/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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James Tynion IV et Martin Simmonds ont commencé leur duo avec la série maintenant reconnu et nommé "The departement of truth". Au vu du résultat, j'avais vraiment envie de revoir ce duo dans un autre contexte. Et voici ce Dracula qui tombe. Qui de mieux que Martin Simmonds pour mettre en image Dracula, ses transformations et son regard ? Surement pas grand monde tellement ce Dracula est graphiquement un véritable réussite. Niveau scenario, on est dans une adaptation des plus corrects, mais sans véritable risque. On se retrouve avec un album dont la force est clairement la partie graphique... qu'il faut aimer avant tout !
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Titre de l'album : Dracula Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Martin Simmonds Coloriste : Martin Simmonds Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un nouveau patient vient d'arriver au sein de l'asile du Dr John Seward. Répondant au nom de Renfield, celui-ci raconte d'étranges histoires à propos d'un démon qui se serait installé non loin de là. Tandis que Seward essaie de comprendre et d'appliquer une logique à ces récits sans cohérence, sa fille succombe à l'influence d'un homme étrange... un certain Dracula. Contenu vo : Dracula #1-4. Critique : James Tynion IV et Martin Simmonds ont commencé leur duo avec la série maintenant reconnu et nommé "The departement of truth". Au vu du résultat, j'avais vraiment envie de revoir ce duo dans un autre contexte. Et voici ce Dracula qui tombe. Qui de mieux que Martin Simmonds pour mettre en image Dracula, ses transformations et son regard ? Surement pas grand monde tellement ce Dracula est graphiquement un véritable réussite. Niveau scenario, on est dans une adaptation des plus corrects, mais sans véritable risque. On se retrouve avec un album dont la force est clairement la partie graphique... qu'il faut aimer avant tout ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/universal-monsters-dracula-9791026812845?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : The Last Ronin - Lost Years Scenariste de l'album : Kevin Eastman & Tom Waltz Dessinateur de l'album : Gallant & Bishop & Coloriste : Luis Antonio Delgado Editeur de l'album : Hi-Graphics Note : Résumé de l'album : The Last Ronin : The Lost Years est une nouvelle étape cruciale dans la construction du « Ronin-verse » des Tortues Ninja. Il s'agit à la fois d'un préquel au hit The Last Ronin, expliquant ce que Michelangelo a fait durant les années qui ont suivi la mort de ses frères ; et d'une suite tournée vers l'avenir, qui montre l'arrivée d'une nouvelle génération de Tortues Ninja, qui aura fort à faire pour marcher dans les pas de leurs aînés. Critique : Pas évident de parler de ce Last Ronin Lost years parce qu'en dépit d'indéniables qualités il reste un peu bancal. Un pont entre le passé de The Last Ronin, et son futur. Sauf qu'entre les deux le grand écart est large et le lien pas si évident que cela. Quoiqu'il en soit, cet ouvrage est à réserver aux lecteurs et amateurs de The Last Ronin. Car pour les autres, même les habitués des Tortues Ninja, le saut dans l'inconnu sera trop grand. Et puis entre nous, les fans des tortues ont déjà tous lu et probablement déjà adoré The Last Ronin. Parlons donc à ces lecteurs qui comme moi ont lu et adoré le run de The Last Ronin. Ici on suit d'abord les traces de Michelangelo entre la disparition de sa famille et le début de The Last Ronin afin de mieux comprendre comment il en est arrivé là. Si ce n'est clairement pas indispensable, j'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver ce héros avec ses démons. Ceci étant dit, la quête et les affrontements qui lui sont proposé ne sont pas à la hauteur des enjeux habituels, cela ronronne un peu, et la conclusion finit un peu expédiée quand même. Ce récit est entrecoupé d'un saut dans le temps avec l'histoire qui continue après le dénouement de The Last Ronin. Cette partie là est aussi intéressante, car les tortues ninja ont toujours su faire la part belle aux personnages secondaires ici plus mis en avant. Par contre la mise en place de cet univers qui sera ensuite développé ne m'a guère intéressé car je ne vois pas bien ce que cela va pouvoir permettre d'apporter en plus. Graphiquement les dessins sont toujours très réussis avec un dessinateur pour chaque période spécifique, ce qui clarifie bien les choses. A part la couverture qui n'est je trouve pas très parlante, le reste est vraiment dans la lignée de l'excellence de The Last Ronin. En gros vous l'aurez compris on est sur un ouvrage à réserver aux fans qui veulent prolonger l'aventure de The Last Ronin. J'ai passé un bon moment de lecture sur ce Lost Years, mais son contenu reste dispensable car la multiplicité des périodes et histoires et la baisse des enjeux rend l'ensemble bien moins prenant aux tripes que son illustre ainé. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-the-last-ronin-the-lost-years?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Petits contes macabres est un receuil de quatre récits d'horreurs réalisés par une équipe d'auteurs de comics fantastiques tous très connus. Eric Powell est à l'origine du projet et ouvre les festivités en se mettant en scène avec ses trois compères auteurs autour d'un feu de cheminée pour se raconter à tour de rôle une histoire effrayante. Cette méthode lui permet d'introduire chaque récit et de les commenter avant d'enchainer avec un autre. Tous les auteurs sont scénaristes et dessinateurs sauf James Harren qui dessine une histoire de science-fiction de Powell avec une touche steampunk. Becky Cloonan est tendance actuellement puisqu'après Somna on la retrouve avec une histoire de fantômes. Mike Mignola nous offre une histoire propre à lui-même dans le style qu'on lui connait. Eric Powell termine le recueil avec une histoire de sorcellerie. Les dessins sont de grandes qualités sur toutes les histoires avec les styles de chacun et que l’on connait pour leur nombreux albums souvent édités aux éditions Delcourt. Dave Stewart colorise toutes les histoires sauf celle de Powell qui s’en charge. Avec les auteurs réputés, le recueil Petits contes macabres trouvera facilement son public et de nouveaux lecteurs pourront également découvrir ces auteurs du fantastique.
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Titre de l'album : Petits contes macabres Scenariste de l'album : Eric Powell, Becky Cloonan, Mike Mignola Dessinateur de l'album : Eric Powell, James Harren, Mike Mignola, Becky Cloonan Coloriste : Eric Powell, Dave Stewart Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : PETITS CONTES MACABRES est un projet initié par Eric ED GEIN et THE GOON POWELL qui adore les histoires qui font peur et que l'on se raconte au coin du feu lorsqu'il gèle à pierre fendre dehors... Il a invité trois compagnons de jeu - et pas n'importe lesquels ! - à le rejoindre afin de réaliser un livre de petits contes horrifiques baignant dans une atmosphère victorienne qui les met en scène. Critique : Petits contes macabres est un receuil de quatre récits d'horreurs réalisés par une équipe d'auteurs de comics fantastiques tous très connus. Eric Powell est à l'origine du projet et ouvre les festivités en se mettant en scène avec ses trois compères auteurs autour d'un feu de cheminée pour se raconter à tour de rôle une histoire effrayante. Cette méthode lui permet d'introduire chaque récit et de les commenter avant d'enchainer avec un autre. Tous les auteurs sont scénaristes et dessinateurs sauf James Harren qui dessine une histoire de science-fiction de Powell avec une touche steampunk. Becky Cloonan est tendance actuellement puisqu'après Somna on la retrouve avec une histoire de fantômes. Mike Mignola nous offre une histoire propre à lui-même dans le style qu'on lui connait. Eric Powell termine le recueil avec une histoire de sorcellerie. Les dessins sont de grandes qualités sur toutes les histoires avec les styles de chacun et que l’on connait pour leur nombreux albums souvent édités aux éditions Delcourt. Dave Stewart colorise toutes les histoires sauf celle de Powell qui s’en charge. Avec les auteurs réputés, le recueil Petits contes macabres trouvera facilement son public et de nouveaux lecteurs pourront également découvrir ces auteurs du fantastique. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/petits-contes-macabres/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement