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  1. The_PoP

    Leave them alone

    Titre de l'album : Leave them alone Scenariste de l'album : Roger Seiter Dessinateur de l'album : Chris Regnault Coloriste : Chris Regnault Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Laissez-les tranquilles ! 1874. L'Ouest américain est une zone de non-droit. Les voyageurs et les migrants sont des proies faciles pour les bandits et les pillards. La vie des habitants, et des femmes en particulier, est plus cruelle que jamais. Au paisible relais de Dead Indian Peak, tenu par la vieille Marian Potter et la jeune Elfie, nul ne se doute de l'arrivée imminente d'une femme aux abois, d'un mystérieux cavalier, ainsi que d'une bande de tueurs. Et dans leur sillage, le convoi d'une malle remplie d'argent... Critique : Je ne vais pas y aller par 4 chemins, ce Leave Them Alone est l'un des meilleurs Western de la rentrée. Par contre attention on est dans la tradition du Western, violent, âpre, proche parfois du huis clos et pourtant au milieu d'une nature sauvage. Inutile donc de trop s'attacher à certains personnages, ni de croire tout le monde sur parole. La narration est suffisamment roublarde pour nous surprendre sur un thème pourtant éculé. Moi je me suis régalé avec ce one shot et le talent aux crayons de Chris Regnault n'y est pas pour rien. Sa Colorisation est au diapason d'un coup de crayon âpre magnifiant les "gueules" de ses personnages, qu'ils soient monstrueux ou beaux. Les découpages sont soignés et les mises en scènes cinématographiques. Je vous le dis on est dans la tradition. Avec pourtant quelques ajouts et nouveautés bienvenues. Je recommande donc aux amateurs du genre ce one shot puissant et percutant qu'on prendra plaisir à relire pour les belles planches qu'il contient. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/leave-them-alone/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Nickad

    M is for Monster

    Titre de l'album : M is for Monster Scenariste de l'album : Talia Dutton Dessinateur de l'album : Talia Dutton Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Frances et Maura sont des jumelles inséparables depuis toujours, une de leur passion commune se trouve être les sciences. Alors quand Maura décède d'un tragique accident, Frances n'a qu'une idée en tête : la ramener à la vie coûte que coûte. Après de nombreux échecs et beaucoup de larmes, un miracle se produit enfin. Frances nage dans le bonheur de retrouver sa soeur, mais le doute s'installe peu à peu... Est-ce vraiment Maura ? Critique : Inspiré librement de Frankenstein, M is for Monster nous met en présence de Maura, revenue à la vie suite à un accident lors d’une expérience qu’elle menait avec sa sœur Frankie. Maura, recousue de partout, n’a aucun souvenir de sa vie passée et ses goûts semblent avoir changés du tout au tout. Ici, la créature n’est pas un vrai monstre, les expériences sont acceptées naturellement et les voisins acceptent bras ouverts, Maura la revenante. Le propos et l’intérêt du livre se trouve ailleurs, dans la nature même de l’âme. Est-ce la même personne ou non ? Et Frankie pourrait-elle accepter cette sœur qui est différente ? On a à la fois une recherche d’identité et un questionnement sur l’acceptation de soi et des autres ainsi qu’une réflexion sur le deuil. Une histoire déclinée en tons monochromes comme les images d’un vieux film. À découvrir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/m-is-for-monster?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    M is for Monster

    Inspiré librement de Frankenstein, M is for Monster nous met en présence de Maura, revenue à la vie suite à un accident lors d’une expérience qu’elle menait avec sa sœur Frankie. Maura, recousue de partout, n’a aucun souvenir de sa vie passée et ses goûts semblent avoir changés du tout au tout. Ici, la créature n’est pas un vrai monstre, les expériences sont acceptées naturellement et les voisins acceptent bras ouverts, Maura la revenante. Le propos et l’intérêt du livre se trouve ailleurs, dans la nature même de l’âme. Est-ce la même personne ou non ? Et Frankie pourrait-elle accepter cette sœur qui est différente ? On a à la fois une recherche d’identité et un questionnement sur l’acceptation de soi et des autres ainsi qu’une réflexion sur le deuil. Une histoire déclinée en tons monochromes comme les images d’un vieux film. À découvrir.
  4. poseidon2

    Spectateurs

    Titre de l'album : Spectateurs Scenariste de l'album : Brian K. Vaughan Dessinateur de l'album : Niko Henrichon Coloriste : Niko Henrichon Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Val a quarante ans. Fan de soap-opéras et de films pornographiques, elle se rend au cinéma. Là, elle est sauvagement abattue de plusieurs balles dans le corps. Val se retrouve alors bloquée dans un état spectral, sans comprendre ce qui vient de lui arriver. Elle découvre bien vite qu'elle peut hanter le monde des vivants avant de décider de partir vers le monde d'après. En tant que fantôme, elle ne peut entrer en contact avec les vivants, mais il est une chose qu'elle peut faire à volonté : observer. Critique : Attention, en préambule je dois vous dire que le sticker "public avertit" et le fait que l'œuvre soit sous blister est "normale". En effet, Vaughan nous livre un scenario ouvertement sexualisé et Niko Henrichon les superbes illustrations qui vont avec... Vous êtes prévenus. Pour le reste, on a là une œuvre d'anticipation pas comme les autres. Une œuvre qui nous parle autant de la peur de l'inconnu, de la mort que du futur que Vaughan nous montre repartis entre deux catégories de personnes, les trop connectés et ceux qui rejettent cette connexion au profit de rapports charnels intense. En suivant nos fantômes cherchant à observer la bonne partie de jambes en l'air, on traverse une époque qui n'est qu'une amplification de la nôtre, une époque où le risque ne vient pas tant des tyrans à la tête de chaque nation, mais plus des gens qui cherchent à imiter et dépasser ce qu'ils ont vu sur les réseaux. Vaughan nous livre deux personnages qui cherchent à comprendre pourquoi ils sont coincés ici et profite de leur status de Spectateurs pour faire leur introspection et essayer de comprendre ce qui leur a manqué dans leur vie et découvrir ce qui leur manque pur passer à l'étape d'après. Entre récit d'anticipation apocalyptique sexy et réflexion sur la vie et la mort, Vaughan réussi un mélange étonnant porté par un dessin très "parlant" de Niko Henrichon Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/spectateurs?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Titre de l'album : Derrière la porte Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Gavin Fullerton Coloriste : Gavin Fullerton Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Thom décide de s'installer, lui et sa famille, à l'autre bout du pays, laissant tout derrière eux... ou du moins, c'est ce qu'il croit. Alors qu'il traverse les Etats-Unis avec son fils Jamie, celui-ci continue d'affirmer voir un horrible monstre sortir du placard. Thom tente de le rassurer, l'assurant que le monstre ne les suivra pas. Mais certains secrets ne restent jamais enfermés, et le monstre ne semble pas en avoir fini avec Jamie. Critique : J'ai lu des retours très mitigés sur ce one shot de James Tynion IV alors même que c'est un scénariste que je tiens plutôt en haute estime. Il fallait donc que je me fasse mon propre avis sur la question. Et après lecture, je pense avoir compris : Malgré la mise en page et le design choisit, cet album n'est pas une histoire horrifique. Enfin pas une classique pour adulte. Car cela reste une histoire horriblement vécue par un enfant. Et une critique moderne de la parentalité pour les adultes. Attention, la suite de la critique vous aiguillera sur le pourquoi du monstre du placard ! Mais pour nous autre adulte, c'est surtout l'histoire d'un parent qui ne se rend pas compte de l'impact de son comportement sur son fils. Un adulte comme on en croise beaucoup, qui par égoïsme, ne s'est jamais rendu compte que ses errances de grands pouvaient avoir un impact sur l'imaginaire des tout petits. Un grand qui pense qu'un enfant ne comprend rien et que les inventions du cerveau de son fils n'ont rien à voir avec lui. James Tynion IV nous livre ici une très belle critique sociétale nous montrant que l'horreur et les cauchemars des enfants ont toujours une source réelle et bien souvent provenant des parents ou de l'entourage. Et le découpage du récit est aussi très inspiré, nous laissant longtemps imaginer une véritable cause surnaturelle rendant la découverte de la véritable raison encore plus puissante. Le choix de la mise en page sous forme 'horrifique" est aussi pertinent car il matérialise la vision de l'enfant de cette histoire d'adulte, montrant bien le choc et l'impact ressentit par un petit garçon de 4 ans. En tant que parent, cette lecture a été une lecture très prenante, oscillant entre peur pour le petit et dégout de l'agissement des grands. Une lecture plus marquante que ne laissaient imaginer les critiques que j'avais pu lire par ailleurs ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/derriere-la-porte-9791026825944?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. poseidon2

    Derrière la porte

    J'ai lu des retours très mitigés sur ce one shot de James Tynion IV alors même que c'est un scénariste que je tiens plutôt en haute estime. Il fallait donc que je me fasse mon propre avis sur la question. Et après lecture, je pense avoir compris : Malgré la mise en page et le design choisit, cet album n'est pas une histoire horrifique. Enfin pas une classique pour adulte. Car cela reste une histoire horriblement vécue par un enfant. Et une critique moderne de la parentalité pour les adultes. Attention, la suite de la critique vous aiguillera sur le pourquoi du monstre du placard ! Mais pour nous autre adulte, c'est surtout l'histoire d'un parent qui ne se rend pas compte de l'impact de son comportement sur son fils. Un adulte comme on en croise beaucoup, qui par égoïsme, ne s'est jamais rendu compte que ses errances de grands pouvaient avoir un impact sur l'imaginaire des tout petits. Un grand qui pense qu'un enfant ne comprend rien et que les inventions du cerveau de son fils n'ont rien à voir avec lui. James Tynion IV nous livre ici une très belle critique sociétale nous montrant que l'horreur et les cauchemars des enfants ont toujours une source réelle et bien souvent provenant des parents ou de l'entourage. Et le découpage du récit est aussi très inspiré, nous laissant longtemps imaginer une véritable cause surnaturelle rendant la découverte de la véritable raison encore plus puissante. Le choix de la mise en page sous forme 'horrifique" est aussi pertinent car il matérialise la vision de l'enfant de cette histoire d'adulte, montrant bien le choc et l'impact ressentit par un petit garçon de 4 ans. En tant que parent, cette lecture a été une lecture très prenante, oscillant entre peur pour le petit et dégout de l'agissement des grands. Une lecture plus marquante que ne laissaient imaginer les critiques que j'avais pu lire par ailleurs !
  7. poseidon2

    Spectateurs

    Attention, en préambule je dois vous dire que le sticker "public avertit" et le fait que l'œuvre soit sous blister est "normale". En effet, Vaughan nous livre un scenario ouvertement sexualisé et Niko Henrichon les superbes illustrations qui vont avec... Vous êtes prévenus. Pour le reste, on a là une œuvre d'anticipation pas comme les autres. Une œuvre qui nous parle autant de la peur de l'inconnu, de la mort que du futur que Vaughan nous montre repartis entre deux catégories de personnes, les trop connectés et ceux qui rejettent cette connexion au profit de rapports charnels intense. En suivant nos fantômes cherchant à observer la bonne partie de jambes en l'air, on traverse une époque qui n'est qu'une amplification de la nôtre, une époque où le risque ne vient pas tant des tyrans à la tête de chaque nation, mais plus des gens qui cherchent à imiter et dépasser ce qu'ils ont vu sur les réseaux. Vaughan nous livre deux personnages qui cherchent à comprendre pourquoi ils sont coincés ici et profite de leur status de Spectateurs pour faire leur introspection et essayer de comprendre ce qui leur a manqué dans leur vie et découvrir ce qui leur manque pur passer à l'étape d'après. Entre récit d'anticipation apocalyptique sexy et réflexion sur la vie et la mort, Vaughan réussi un mélange étonnant porté par un dessin très "parlant" de Niko Henrichon
  8. poseidon2

    Frankenstein

    Étonnante adaptation de Frankenstein par Michael Walsh. Étonnante car quasiment trop fidèle à l'original. On retrouve l'histoire de Frankenstein comme on s'en souvient, comme on se souvient du film et.... un peu trop en fait. L'histoire est bien faite, bien dessinée et toujours intéressante mais on a une véritable impression de déjà-vu/lu. Et cela sans réelle touche personnelle qui pourrait nous rendre le récit un peu différent. Les fans apprécieront l'hommage fait par Michael Walsh mais ceux qui sont justes amateurs et connaissent déjà l'histoire ou ont déjà vu le film... risque de ne pas rentrer dedans.
  9. poseidon2

    Frankenstein

    Titre de l'album : Frankenstein Scenariste de l'album : Michael Walsh Dessinateur de l'album : Michael Walsh Coloriste : Michael Walsh Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Avant de donner vie à sa créature, le docteur Henry Frankenstein a profané bien des tombes, exhumé bien des cadavres, rassemblé bien des membres. De ces dépouilles est né un nouvel être, mais celui-ci est-il véritablement nouveau ? Se pourrait-il que ces jambes, ces bras, ces mains se souviennent de leur ancien propriétaire, des individus qui ont, sans le vouloir, contribué à la création du monstre de Frankenstein ? Critique : Étonnante adaptation de Frankenstein par Michael Walsh. Étonnante car quasiment trop fidèle à l'original. On retrouve l'histoire de Frankenstein comme on s'en souvient, comme on se souvient du film et.... un peu trop en fait. L'histoire est bien faite, bien dessinée et toujours intéressante mais on a une véritable impression de déjà-vu/lu. Et cela sans réelle touche personnelle qui pourrait nous rendre le récit un peu différent. Les fans apprécieront l'hommage fait par Michael Walsh mais ceux qui sont justes amateurs et connaissent déjà l'histoire ou ont déjà vu le film... risque de ne pas rentrer dedans. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/universal-monsters-frankenstein/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. The_PoP

    Leave them alone

    Je ne vais pas y aller par 4 chemins, ce Leave Them Alone est l'un des meilleurs Western de la rentrée. Par contre attention on est dans la tradition du Western, violent, âpre, proche parfois du huis clos et pourtant au milieu d'une nature sauvage. Inutile donc de trop s'attacher à certains personnages, ni de croire tout le monde sur parole. La narration est suffisamment roublarde pour nous surprendre sur un thème pourtant éculé. Moi je me suis régalé avec ce one shot et le talent aux crayons de Chris Regnault n'y est pas pour rien. Sa Colorisation est au diapason d'un coup de crayon âpre magnifiant les "gueules" de ses personnages, qu'ils soient monstrueux ou beaux. Les découpages sont soignés et les mises en scènes cinématographiques. Je vous le dis on est dans la tradition. Avec pourtant quelques ajouts et nouveautés bienvenues. Je recommande donc aux amateurs du genre ce one shot puissant et percutant qu'on prendra plaisir à relire pour les belles planches qu'il contient.
  11. poseidon2

    New gods tome 1

    Titre de l'album : New gods tome 1 Scenariste de l'album : Ram V Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un dieu est mort, et les répercussions de son décès se font sentir dans tout l'univers, déclenchant un conflit intergalactique et réveillant les pouvoirs latents d'un mystérieux enfant sur Terre. Mais tout cela a été prophétisé par la Source et transmis sous forme d'images énigmatiques à son agent, Metron. Alors que ce dernier annonce aux habitants de Néo-Genesis et d'Apokolips leur funeste destin, les deux mondes sont plongés dans le chaos et la guerre. Sur Terre, Scott Free et Barda ne sont pas conscients du chaos qui s'annonce alors qu'ils sont accaparés par leur tâche la plus intimidante : devenir parents. Contenu vo : The New Gods #1-6. Critique : Ram V commence à se faire un nom dans le petit monde du comics. Depuis "Toutes les morts de Laila Star", il a enchainé les succès avec Dawrunner, le dernier festin de Rubin ou encore Batman Nocturne. Alors quand il décide de rebooter l'une des parties les plus obscures de l'univers DC, il donne envie. ET encore plus quand il est suivi (globalement) par le dessinateur de Dawnrunner. Je dis globalement car il dessine la moitié "contemporaine" de l'histoire, les flashbacks et autres étant donné à d'autres dessinateurs. Et c'est, sur ce premier tome en tout cas, une belle réussite pour moi. Plutôt qu'un reboot pur et dure, il nous présente l'après Darkseid. La mort du tyran a rompu un équilibre millénaire qui va provoquer la chute des néo-dieux. Ce tome d'intro a le bon gout de ne pas faire que nous raconter l'histoire des Néo-dieux. Il se focalise aussi sur Scott Free (alias Mister Miracle), sa femme (la géante barda) et... leur fille. Ce faisant, Ram V garde un pied dans la continuité DC, ce qui plaira aux amateurs de DC. Si la note n'est pas maximale sur ce premier tome, c'est avant tout car (et c'est un petit spoiler), Ram V ne nous livre pas une histoire uniquement centrée sur les Neo-dieux. Alors que pour une fois j'aurais préféré... En effet le dernier chapitre voit apparaitre les héros de la terre pour se mêler à une histoire pour l'instant uniquement entre les habitants de New Genesis. J'ai un peu peur que la présence de ces super héros, avec leur trop bonne morale, ne dénature un peu un récit partie pour être sérieux et dense. On verra si le tome 2 me donne tort. Je l'espère du fond du cœur, car les Neo Dieux font parti des rares personnages de DC que je ne maitrise que trop peu. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/new-gods-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. poseidon2

    New gods tome 1

    Ram V commence à se faire un nom dans le petit monde du comics. Depuis "Toutes les morts de Laila Star", il a enchainé les succès avec Dawrunner, le dernier festin de Rubin ou encore Batman Nocturne. Alors quand il décide de rebooter l'une des parties les plus obscures de l'univers DC, il donne envie. ET encore plus quand il est suivi (globalement) par le dessinateur de Dawnrunner. Je dis globalement car il dessine la moitié "contemporaine" de l'histoire, les flashbacks et autres étant donné à d'autres dessinateurs. Et c'est, sur ce premier tome en tout cas, une belle réussite pour moi. Plutôt qu'un reboot pur et dure, il nous présente l'après Darkseid. La mort du tyran a rompu un équilibre millénaire qui va provoquer la chute des néo-dieux. Ce tome d'intro a le bon gout de ne pas faire que nous raconter l'histoire des Néo-dieux. Il se focalise aussi sur Scott Free (alias Mister Miracle), sa femme (la géante barda) et... leur fille. Ce faisant, Ram V garde un pied dans la continuité DC, ce qui plaira aux amateurs de DC. Si la note n'est pas maximale sur ce premier tome, c'est avant tout car (et c'est un petit spoiler), Ram V ne nous livre pas une histoire uniquement centrée sur les Neo-dieux. Alors que pour une fois j'aurais préféré... En effet le dernier chapitre voit apparaitre les héros de la terre pour se mêler à une histoire pour l'instant uniquement entre les habitants de New Genesis. J'ai un peu peur que la présence de ces super héros, avec leur trop bonne morale, ne dénature un peu un récit partie pour être sérieux et dense. On verra si le tome 2 me donne tort. Je l'espère du fond du cœur, car les Neo Dieux font parti des rares personnages de DC que je ne maitrise que trop peu.
  13. Titre de l'album : The crow édition définitive Scenariste de l'album : James O'Barr Dessinateur de l'album : James O'Barr Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Éric et Shelly sont follement amoureux et sur le point de se marier. Rien ne semble pouvoir troubler leur bonheur, jusqu'à ce soir d'horreur où ils sont arrêtés par un gang de truands. Éric reçoit une balle mortelle, qui lui laisse juste le temps d'assister au calvaire de sa compagne. Un an après son décès, Éric revient parmi les vivants pour venger Shelly. Critique : The crow édition définitive propose une trentaine de planches supplémentaires d’époque avec un nouveau chapitre final et des scènes spécialement réalisées pour cette version. James O’Barr explique lui-même en introduction les choix de ces changements après tant d’années comme la première édition était sortie en version originale au début des années 80. Cette nouvelle mouture est l’occasion pour nous de faire découvrir ou redécouvrir ce comics culte dont beaucoup connaissent par le biais de son adaptation en film très réussi avec Brandon Lee dans le rôle principal. Les dessins entièrement réalisés par James O’Barr sont de grande qualités avec plusieurs styles différents selon les scènes d’action ou sentimentales. L'auteur dessine avec beaucoup de talent en utilisant essentiellement du noir et blanc avec des nuances de gris pour faire ressortir la noirceur de l'histoire. Les scènes d’action sont bien découpées avec beaucoup de violence visuelle durant les affrontements avec The crow. De nombreuses séquences ont été retravaillée pour cette édition définitive et plusieurs illustrations terminent l’album dont certaines en couleur correspondant aux couvertures. Ce récit très sombre retrace la vengeance d’un homme revenue de la vie grâce à un corbeau qui le ramène du monde des morts. James O’Barr signe avec The crow l’œuvre de sa vie qui nous est proposé dans une édition cartonnée définitive. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/the-crow-9782413080107/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. poseidon2

    La guerre

    Titre de l'album : La guerre Scenariste de l'album : Garth Ennis Dessinateur de l'album : Becky Cloonan Coloriste : Becky Cloonan Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : New York. Huit amis réunis autour d'un verre échangent vivement sur l'actualité, les décisions prises par les puissants de ce monde et les rumeurs plus ou moins complotistes qui circulent sur les réseaux sociaux. Chacun y va de ses spéculations, les plus optimistes comme les plus alarmistes, sans se douter que le danger n'est désormais plus une crainte abstraite, mais bien un danger imminent venu frapper sur leur sol. L'apocalypse, c'est pour maintenant. Critique : Bon alors autant vous le dire tout de suite, je n'ai pas aimé. Du tout. Je n'ai pas aimé cette histoire... mais c'est surement parce qu'elle est super bien faite. Tellement bien faite et tellement réaliste qu'elle m'a fait froid dans le dos. En fait, ce "La Guerre" de Garth Ennis n'est, pour moi, rien de moins que le préquel à "La route" mais un préquel qui prend comme base et déclencheur.... la guerre en Ukraine. Oui oui vous avez bien vu. Ennis nous présente le scenario du pire. Le pire du pire, mais surtout la possibilité que personne ne veut imaginer. Et c'est tellement bien fait et tellement réaliste que ça m'a empêché de dormir, me ramenant aux premiers temps de la guerre... Et ca... ce n'est pas le genre de lecture que je recherche. Mais cela ne m'empêche pas de savoir reconnaitre une BD sacrement bien faite. Je vous laisserai donc vous décider sur votre appétence au thème.... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/la-guerre-9791026827689?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. poseidon2

    La guerre

    Bon alors autant vous le dire tout de suite, je n'ai pas aimé. Du tout. Je n'ai pas aimé cette histoire... mais c'est surement parce qu'elle est super bien faite. Tellement bien faite et tellement réaliste qu'elle m'a fait froid dans le dos. En fait, ce "La Guerre" de Garth Ennis n'est, pour moi, rien de moins que le préquel à "La route" mais un préquel qui prend comme base et déclencheur.... la guerre en Ukraine. Oui oui vous avez bien vu. Ennis nous présente le scenario du pire. Le pire du pire, mais surtout la possibilité que personne ne veut imaginer. Et c'est tellement bien fait et tellement réaliste que ça m'a empêché de dormir, me ramenant aux premiers temps de la guerre... Et ca... ce n'est pas le genre de lecture que je recherche. Mais cela ne m'empêche pas de savoir reconnaitre une BD sacrement bien faite. Je vous laisserai donc vous décider sur votre appétence au thème....
  16. Titre de l'album : Absolute Wonder Woman tome 1 Scenariste de l'album : Kelly Thompson Dessinateur de l'album : Hayden Sherman Coloriste : Hayden Sherman Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Depuis des millénaires, les Amazones ont protégé l'humanité dans l'ombre au fil de son développement, empêchant les incursions de monstres venus d'ailleurs. Mais quand les dieux leur tournent le dos, la Princesse des Amazones, Diana, est exilée aux Enfers et le nom même des Amazones est rayé de l'histoire... Sans île du Paradis, sans la sororité qui l'a forgée en tant qu'héroïne, et sans même son rôle d'émissaire de paix... Diana reste Wonder Woman ! Critique : C'est partit pour un nouveau schisme dans l'univers DC avec un nouvel univers nommé Absolute. Un univers hors continuité qui redéfinit nos héros les plus populaires. Et on commence avec Wonder Woman (mais ne vous inquiétez pas, les deux autres arrivent) et le moins que l'on puisse dire c'est que ce n'est pas "juste" un relooking. Les changements sont profonds. La naissance de Wonder Woman n'est pas du tout la même, tout comme son histoire et surtout les ennemis qu'elle affronte. Pour tout vous dire on est ici, ni plus ni moins, que dans un récit mythologique ! Déplacé au 21 siècle, mais un récit mythologique. Avec naissance dans la terre glaise, vie aux enfer et combat contre des démons en volant sur le dos du Pegase mort sorti des enfers ! On retrouve quand même les grandes lignes, avec le caporal Trevor, la façon dont ils se rencontrent, le fouet et la misogynie des militaires. Mais tout est orienté autour de la mythologie grecque. C'est super rafraichissant pour tout vous dire. Il faut voir comment l'histoire va évoluer et si cet aspect mythologique va pouvoir se percuter aux autres reboot des autres héros...mais pour l'instant c'est un petit bonbon savoureux au gout intriguant. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/absolute-wonder-woman-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Docteur Wertham - L'homme qui étudia les tueurs en série (et faillit tuer l'industrie de la BD) Scenariste de l'album : Eric Powell & Harold Schechter Dessinateur de l'album : Eric Powell Coloriste : Eric Powell Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Cet ultra-conservateur est l'auteur de Seduction of the Innocent, un ouvrage dans lequel il dénonce l'influence néfaste de la BD sur le comportement des enfants, ce qui amena la création du Comics Code Authority (comité d'auto-censure). Aujourd'hui reconnu comme un fanatique, qui cherchait à assurer son auto-promotion, il fut paradoxalement plutôt progressiste en ouvrant par exemple une clinique pour les défavorisés à Harlem. Critique : Eric Powell et Harold Schechter collaborent de nouveau ensemble après l'album sur Ed Gein, autopsie d'un tueur en série. L'album est bien documenté par les deux auteurs scénaristes, avec beaucoup de dialogues et d'informations sur le docteur, mais aussi ses patients et autres tueurs en série dont il suivait et analysait la psychologie. Avec le Docteur Wertham, on reste dans le même genre avec ce psychiatre en guerre contre l'industrie des comics aux États-Unis en annonçant qu'ils favorisaient l'émergence de la violence parmi les lecteurs dans les années 1950. Il lança une campagne contre les comics et particulièrement EC comics pour leur bd d'horreur. En contrepartie, il a beaucoup œuvré pour des causes plus justes, comme l'ouverture d'une clinique pour la population afro américaine mis à l'écart à cette époque. La partie graphique est gérée par Eric Powell dans un style réaliste en noir et blanc. Il est d'ailleurs amusant de voir les différents styles quand il illustre les comics de l'époque. Cet album complet revient sur ce personnage peu connu en France qui a mis très mal la culture comics aux États-Unis. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/docteur-wertham-l-homme-qui-etudia-les-tueurs-en-serie-et-faillit-tuer-l-industrie-de-la-bd#ref=13/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. alx23

    Ultramega tome 2

    Titre de l'album : Ultramega tome 2 Scenariste de l'album : James Harren Dessinateur de l'album : James Harren Coloriste : Dave Stewart Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un fléau cosmique s'est propagé, transformant les gens ordinaires en kaiju hyper-violents et monstrueux. Seuls les UltraMegas, trois individus dotés de pouvoirs incroyables, peuvent faire front face à cette déferlante de destruction. Leurs batailles détruisent des villes et sèment une horreur indicible dans leur sillage. Mais est-ce une guerre qu'ils peuvent gagner? Critique : James Harren est connu pour son travail de dessinateur sur plusieurs séries emblématiques comme le B. P. R. D. ou encore Conan le barbare. Avec Ultramega, l'auteur débute dans l'écriture avec un scénario assez original et beaucoup de profondeur qui ne laisse paraitre. Je vous conseille de replonger dans le premier tome car le démarrage est très rapide avec tous ces personnes étranges au design bien particulier. De plus le rythme de l’histoire est soutenu et on saute sur plusieurs planètes en peu de temps. Ensuite, on se laisse porter par la lecture et surtout par le travail soigné sur les planches. Il est vrai que le titre SF est basé sur de l'action pure et dure avec des monstres aux multiples transformations pour des combats intenses. Il ne faut oublier que l'on est dans une histoire de kaijus. Dave Stewart gère les couleurs parfaites comme d'habitude. Ce tome 2 apporte la conclusion à cette mini-série, imposante par sa pagination et ses chapitres énormes. Après trois années d’attentes, les lecteurs pourront enfin continuer et terminer cette série. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/ultramega-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. alx23

    Ultramega tome 2

    James Harren est connu pour son travail de dessinateur sur plusieurs séries emblématiques comme le B. P. R. D. ou encore Conan le barbare. Avec Ultramega, l'auteur débute dans l'écriture avec un scénario assez original et beaucoup de profondeur qui ne laisse paraitre. Je vous conseille de replonger dans le premier tome car le démarrage est très rapide avec tous ces personnes étranges au design bien particulier. De plus le rythme de l’histoire est soutenu et on saute sur plusieurs planètes en peu de temps. Ensuite, on se laisse porter par la lecture et surtout par le travail soigné sur les planches. Il est vrai que le titre SF est basé sur de l'action pure et dure avec des monstres aux multiples transformations pour des combats intenses. Il ne faut oublier que l'on est dans une histoire de kaijus. Dave Stewart gère les couleurs parfaites comme d'habitude. Ce tome 2 apporte la conclusion à cette mini-série, imposante par sa pagination et ses chapitres énormes. Après trois années d’attentes, les lecteurs pourront enfin continuer et terminer cette série.
  20. Sylvain Runberg est le premier à inaugurer la collaboration entre Urban Comics et les meilleurs auteurs européens pour leur permettre de rendre hommage à leurs personnages préférés. Bon ok il y a déjà eu un précédent avec Batman....mais c'était un one shot. La Urban/Dc entend lancer une vraie collection. C'est toujours difficile de passer en premier. Savoir où mettre le curseur... Je ne sais pas si c'est ca, ou alors l'habitude de lire des comics fait par les américains, mais j'ai trouvé que, si l'histoire était plutôt pas mal, l'ensemble manquait de rythme et d'envolée lyrique. Les super héros sont aimés grâce à leur aura qui vient souvent de leur positionnement héroïque issue de punch line, qui oscillent entre émotion et le devoir de sacrifice. Bref des héros super charismatique qui éclipse presque trop l'histoire. Ici j'ai trouvé Wonder Woman un peu transparente. Harley Quinn et son caractère bien trempé sont bien retranscrits. Mais j'ai trouvé Wonder Woman un peu quelconque. C'est peut-être ce que recherchait Runberg, montrer que WW était une amazone comme une autre, mais c'est un peu trop poussé, éclipsant le personnage au profit des auteurs amazones. Et en ça on n'est pas vraiment vraiment dans du comics de super héros.
  21. Titre de l'album : Wonder Woman/Harley Quinn - La souffrance et le don Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Miki Montlló Coloriste : Miki Montlló Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : La sérénité de l'île de Themyscira est compromise. Au moment où la cohésion des Amazones est mise à l'épreuve par la grossesse de l'une des leurs, elles doivent également faire face à une requête pour le moins surprenante : Harley Quinn, ex-compagne du sinistre Joker, craint pour sa vie et demande asile et protection auprès des soeurs guerrières. La sororité survivra-t-elle à cette double crise ? Et quel sera le rôle de Wonder Woman dans sa résolution ? Critique : Sylvain Runberg est le premier à inaugurer la collaboration entre Urban Comics et les meilleurs auteurs européens pour leur permettre de rendre hommage à leurs personnages préférés. Bon ok il y a déjà eu un précédent avec Batman....mais c'était un one shot. La Urban/Dc entend lancer une vraie collection. C'est toujours difficile de passer en premier. Savoir où mettre le curseur... Je ne sais pas si c'est ca, ou alors l'habitude de lire des comics fait par les américains, mais j'ai trouvé que, si l'histoire était plutôt pas mal, l'ensemble manquait de rythme et d'envolée lyrique. Les super héros sont aimés grâce à leur aura qui vient souvent de leur positionnement héroïque issue de punch line, qui oscillent entre émotion et le devoir de sacrifice. Bref des héros super charismatique qui éclipse presque trop l'histoire. Ici j'ai trouvé Wonder Woman un peu transparente. Harley Quinn et son caractère bien trempé sont bien retranscrits. Mais j'ai trouvé Wonder Woman un peu quelconque. C'est peut-être ce que recherchait Runberg, montrer que WW était une amazone comme une autre, mais c'est un peu trop poussé, éclipsant le personnage au profit des auteurs amazones. Et en ça on n'est pas vraiment vraiment dans du comics de super héros. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/dc-creation-wonder-woman-harley-quinn-la-souffrance-et-le-don?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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    The crow édition définitive

    The crow édition définitive propose une trentaine de planches supplémentaires d’époque avec un nouveau chapitre final et des scènes spécialement réalisées pour cette version. James O’Barr explique lui-même en introduction les choix de ces changements après tant d’années comme la première édition était sortie en version originale au début des années 80. Cette nouvelle mouture est l’occasion pour nous de faire découvrir ou redécouvrir ce comics culte dont beaucoup connaissent par le biais de son adaptation en film très réussi avec Brandon Lee dans le rôle principal. Les dessins entièrement réalisés par James O’Barr sont de grande qualités avec plusieurs styles différents selon les scènes d’action ou sentimentales. L'auteur dessine avec beaucoup de talent en utilisant essentiellement du noir et blanc avec des nuances de gris pour faire ressortir la noirceur de l'histoire. Les scènes d’action sont bien découpées avec beaucoup de violence visuelle durant les affrontements avec The crow. De nombreuses séquences ont été retravaillée pour cette édition définitive et plusieurs illustrations terminent l’album dont certaines en couleur correspondant aux couvertures. Ce récit très sombre retrace la vengeance d’un homme revenue de la vie grâce à un corbeau qui le ramène du monde des morts. James O’Barr signe avec The crow l’œuvre de sa vie qui nous est proposé dans une édition cartonnée définitive.
  23. Titre de l'album : teenage Mutant Ninja Turtles - Les tortues Ninja - Tome 1 - Retour à New York Scenariste de l'album : Jason Aaron Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Hi-Graphics Note : Résumé de l'album : Nouveau départ pour les Tortues Ninja ! Après l'incroyable run de Tom Waltz (TMNT Intégrale) et Sophie Campbell (TMNT Reborn), le scénariste superstar Jason Aaron (Thor, Scalped) s'empare des Tortues pour les emmener dans une nouvelle direction. Au départ, les quatre Tortues sont séparées et quatre artistes parmi les plus talentueux de l'industrie s'occupent de raconter leur nouveau statu-quo. La porte d'entrée idéale, à l'heure du 40e anniversaire des Tortues, pour découvrir cet univers ! Critique : Bon il va d'abord falloir faire une mise au point pour tous ceux qui ne suivent pas vraiment les tortues Ninja. Il y a la série de comics historique, publiée en france par hi comics sous le nom de tortues ninja classique. Il y a ensuite la série principale scénarisée par Waltz et Eastmann qui s'est finie il y a peu et fais l'objet de la parution d'intégrales en ce moment. Bien foutoir par moment, les enjeux et les personnages secondaires, arcs narratifs se sont multipliés en cours de route, mais une grosse conclusion. Cette série a été poursuivie désormais par une série TMNT Reborn, qui prend la suite directe. Sur un ton léger qui reste assez foutoir, et avec toujours de l'humour. Cette série est en cours. Il y a eu le one shot Tortues Ninja Last Ronin : se déroulant bien après la fin de la série de Eastman et Waltz, nous présente un univers plus futuriste façon Batman return. Désormais il existe un préquel à ce Last ronin, et... une suite... Oui vous m'avez bien lu. Et voici donc ... heu TMNT - tome 1 : oui comme la série de Waltz et Eastman mais cette fois-ci scénarisée par Jason Aaron et qui prend donc place.... heu.... après la série de Eastman je dirais. Donc c'est une alternative à TMNT Reborn... Bon, j'imagien que pour vous ce sera pas bien plus clair mais j'ai essayé. Reprenons donc : les tortues ont affronté le clan foot et Schredder, l'ont probablement plus ou moins vaincu, Maitre Splinter a été tué et l'unité des 4 frangins mutants a explosé suite à des dissensions/évènements internes qu'on ne connait pas précisément. Alors attention les yeux parce que pour moi, c'est un super tome de super héros. Un très bon premier tome de série, avec un scénario clair et limpide, des enjeux faciles à appréhender, suffisamment de questions en suspens pour nous intéresser sans nous perdre, et surtout une énorme refonte graphique. C'est simple, le dessin est vraiment bon alors même que les dessinateurs se multiplient au fil des chapitres. Par contre le ton est résolument plus dur, ça saigne, ça tue, et c'est un univers noir que Batman ne renierait pas. On est loin des pizzas et des vannes habituelles entre deux combats contre des extraterrestres. C'est pour moi un excellent tome. Et pas juste l'un des meilleurs tomes des Tortues Ninja mais un bon moyen de rentrer dans la série même pour les néophytes tant les enjeux et les personnages sont simplifiés. A ranger précieusement à côté de Last Ronin donc. A noter la fin dantesque qui nous laisse clairement sur notre faim. Très franchement j'étais au bord de l'overdose et pourtant j'ai passé un beau moment de lecture. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-tome-1-retour-a-new-york/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Encore une fois... merci Urban Comics. Je vais avoir l'air d'un lèche botte mais je suis obligé de mettre en avant le respect du lecteur de la part des éditions Urban Comics. En effet, après plus de 5 années d'attente, certain aurait sauté le pas pour n'imprimer que l'intégral. Urban, comme à son habitude, à la classe d'éditer le tome 3 au même format que les autres en parallèle de la sortie de l'intégrale. Cela permet aux anciens lecteurs de compléter leurs collections et au nouveau d'avoir directement un intégral et donc un très bon one shot d'aventure. Car c'est ce qui est bien dans ce Weatherman : Un space opera dense et dynamique ayant un début, un gros cliffhanger et.... une bonne fin. Et c'est cette fin qui nous intéresse ici. Sans spoiler ceux qui n'aurait pas du tout lu the Weatherman, le gros cliffhanger du tome deux est super bien géré. Notre scénariste gère bien le côté "dédoublement", réussissant à le justifier par d'intéressants flash-backs, et nous fait comprendre le pourquoi des changements de notre héros. Porté par un dessin très correct et une coloration dynamique, ce tome 3 de the Weatherman ne marquera pas la fin de la meilleure histoire du comics indépendant mais bien la fin d'un space opera aventureux qui passionnera les amateurs de science-fiction rythmée... comme moi. Amateur de Carmen et autres séries B de sf, franchissez donc le Rubicon du comics !!
  25. Titre de l'album : The weatherman tome 3 (fin) - et intégral Scenariste de l'album : Jody LeHeup Dessinateur de l'album : Nathan Fox Coloriste : Nathan Fox Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Nathan Bright avait tout pour lui : une superbe petite amie, un chien attachant et le poste le plus en vue de Mars, celui de présentateur météo. Son quotidien va cependant prendre un tour inédit lorsqu'on l'accuse d'être à l'origine de l'attaque terroriste qui raya dix-huit milliards d'individus de la surface de la Terre. Est-il cependant vraiment responsable d'un tel crime ? Sa tête mise à prix, le présumé coupable trouvera protection auprès de l'agent Amanda Cross... si celle-ci parvient à maîtriser son envie de lui coller une balle dans la tête. Critique : Encore une fois... merci Urban Comics. Je vais avoir l'air d'un lèche botte mais je suis obligé de mettre en avant le respect du lecteur de la part des éditions Urban Comics. En effet, après plus de 5 années d'attente, certain aurait sauté le pas pour n'imprimer que l'intégral. Urban, comme à son habitude, à la classe d'éditer le tome 3 au même format que les autres en parallèle de la sortie de l'intégrale. Cela permet aux anciens lecteurs de compléter leurs collections et au nouveau d'avoir directement un intégral et donc un très bon one shot d'aventure. Car c'est ce qui est bien dans ce Weatherman : Un space opera dense et dynamique ayant un début, un gros cliffhanger et.... une bonne fin. Et c'est cette fin qui nous intéresse ici. Sans spoiler ceux qui n'aurait pas du tout lu the Weatherman, le gros cliffhanger du tome deux est super bien géré. Notre scénariste gère bien le côté "dédoublement", réussissant à le justifier par d'intéressants flash-backs, et nous fait comprendre le pourquoi des changements de notre héros. Porté par un dessin très correct et une coloration dynamique, ce tome 3 de the Weatherman ne marquera pas la fin de la meilleure histoire du comics indépendant mais bien la fin d'un space opera aventureux qui passionnera les amateurs de science-fiction rythmée... comme moi. Amateur de Carmen et autres séries B de sf, franchissez donc le Rubicon du comics !! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien Partenaire : https://www.bdfugue.com/the-weatherman-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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