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  1. The_PoP

    Meuf - Guide pour nos filles

    Au moment de la journée de la femme, Le Lombard a sorti cet ouvrage de Marie Dubois consacré à la place de la femme dans la société. Papa de deux filles, comment ne pas être intéressé et sensibilisé à cette lecture. Alors soyons transparent, ce n'est pas un procès contre le masculin, simplement une tentative de réhabilitation du féminin. Evidemment parfois cela manque un peu d'objectivité ou d'arguments contraires, mais l'intérêt de cette bd n'est pas là. Il s'agit avant tout d'un livre éducatif, à faire lire à nos filles pour leur ouvrir des portes, libérer du potentiel, et comprendre des enjeux. Pas forcément fun donc, rarement drôle, mais sujet de réflexion réussi, je ne peux que vous recommander d'y jeter un coup d'oeil, en tant que femme, ou papa, ou en tant que compagnon ou simplement en tant qu'hommes.
  2. Titre de l'album : Meuf - Guide pour nos filles Scenariste de l'album : Marie Dubois Dessinateur de l'album : Marie Dubois Coloriste : Marie Dubois Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : « Mais au fait, ça veut dire quoi, être une femme ? » À cette question super simple, il existe une myriade de réponses ! « Meuf » les décrypte avec humour en explorant les thématiques liées au corps, à l'orientation sexuelle, au (cyber)harcèlement ou encore au sexisme de la société. Dans cette enquête aux allures de quête fantastique, les jeunes aventurières apprennent à mener à bien leur vie de meuf vers le graal ultime ; une vie pour soi et bien dans sa peau ! Critique : Au moment de la journée de la femme, Le Lombard a sorti cet ouvrage de Marie Dubois consacré à la place de la femme dans la société. Papa de deux filles, comment ne pas être intéressé et sensibilisé à cette lecture. Alors soyons transparent, ce n'est pas un procès contre le masculin, simplement une tentative de réhabilitation du féminin. Evidemment parfois cela manque un peu d'objectivité ou d'arguments contraires, mais l'intérêt de cette bd n'est pas là. Il s'agit avant tout d'un livre éducatif, à faire lire à nos filles pour leur ouvrir des portes, libérer du potentiel, et comprendre des enjeux. Pas forcément fun donc, rarement drôle, mais sujet de réflexion réussi, je ne peux que vous recommander d'y jeter un coup d'oeil, en tant que femme, ou papa, ou en tant que compagnon ou simplement en tant qu'hommes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/meuf-guide-pour-nos-filles?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Kevin Nivek

    Simone de Beauvoir

    Après le très réussi Les matins doux (éditeur Steinkis) relatant la liaison passionnée de Simone de Beauvoir et Nelson Algren , le même éditeur nous propose une biographie au sens large du terme de cette grande femme du XXème siècle . Par le biais d'une interview avec une journaliste , en 1986 , peu de temps avant sa mort , ce duo d'autrices allemandes dévoile les grandes dates de cette vie riche et tellement avant-gardiste . De son enfance au sein d'une famille bourgeoise aux difficultés financières avec un père ancré sur un mode de vie patriarcal et une mère bien en retrait ; puis ses études où elle côtoie Sartre dans sa promo d'agrégation , ce qui sera le point de départ de leur relation , en passant par Algren pour finir sur ses combats politiques menés ; vous partagerez tous ces moments en sa compagnie . Ses questionnements sur la religion , la place des femmes en société , ses doutes , ses envies , tout est relaté avec une grande minutie . On sent une grande admiration de Julia Korbik envers "Castor" comme la nommait Jean-Paul Sartre , elle a d'ailleurs axé une grande partie de ses travaux de journaliste sur le féminisme et la philosophe romancière française . Pour illustrer cette biographie ,une fausse bichromie aux légères nuances de vert ou saumon a été réalisée avec soin . Les personnages sont reconnaissables et les autrices ajoutent parfois les noms au dessus des têtes . L'illustratrice Julia Bernhard met en avant les protagonistes à travers des cases épurées les situant au premier plan . Tout concourt vers une narration fluide au fil de la pensée évolutive de Simone de Beauvoir . On apprend , pas seulement sur elle , mais sur ce mode fonctionnement de la société d'époque , et on comprend mieux l'écho des pensées d'une telle femme , de nos jours avec un féminisme assumé et un mode de vie ayant bien changé , fort heureusement ! Cette grande dame a assurément posé les jalons de la liberté de la femme à disposer de son corps mais aussi de sa vie en général . Un autre atout de cette oeuvre repose sur la talent des auteures de ne pas tomber dans une critique acerbe des hommes au milieu du siècle dernier , tout en prônant un féminisme accru . A la place on lit les pensées et questions existentielles de Simone de Beauvoir , et on savoure .
  4. Titre de l'album : Simone de Beauvoir Scenariste de l'album : Julia Korbik Dessinateur de l'album : Julia Bernhard Coloriste : Julia Bernhard Editeur de l'album : Steinkis Note : Résumé de l'album : " J'aime avec passion la vie, j'abomine l'idée de devoir mourir. Je suis terriblement avide, aussi, je veux tout de la vie, être une femme et aussi un homme, avoir beaucoup d'amis, et aussi la solitude, travailler énormément, écrire de bons livres, et aussi voyager, m'amuser, être égoïste, et aussi généreuse... " Simone de Beauvoir. La femme qui a écrit ces mots est l'une des intellectuelles les plus influentes du XXe siècle. Toute sa vie, Simone de Beauvoir s'est battue pour pouvoir exister dans toute la diversité de son être. Et ceci, indépendamment des normes et des règles. Simone de Beauvoir a défié ses contemporains et a changé nos idées sur le couple et les relations entre les sexes avec ses oeuvres, sa philosophie et son mode de vie.? Une vie bien remplie, riche en connaissances, en douleur et en joie. La vie d'une femme qui a toujours été motivée par la curiosité d'elle-même et des autres. Elle s'est battue pour que toutes puissent exister, quels que soient leur classe sociale et le sexe, quelles que soient les normes et les règles.? Elle est aujourd'hui considérée comme l'une des penseuses les plus influentes du XXe siècle. Critique : Après le très réussi Les matins doux (éditeur Steinkis) relatant la liaison passionnée de Simone de Beauvoir et Nelson Algren , le même éditeur nous propose une biographie au sens large du terme de cette grande femme du XXème siècle . Par le biais d'une interview avec une journaliste , en 1986 , peu de temps avant sa mort , ce duo d'autrices allemandes dévoile les grandes dates de cette vie riche et tellement avant-gardiste . De son enfance au sein d'une famille bourgeoise aux difficultés financières avec un père ancré sur un mode de vie patriarcal et une mère bien en retrait ; puis ses études où elle côtoie Sartre dans sa promo d'agrégation , ce qui sera le point de départ de leur relation , en passant par Algren pour finir sur ses combats politiques menés ; vous partagerez tous ces moments en sa compagnie . Ses questionnements sur la religion , la place des femmes en société , ses doutes , ses envies , tout est relaté avec une grande minutie . On sent une grande admiration de Julia Korbik envers "Castor" comme la nommait Jean-Paul Sartre , elle a d'ailleurs axé une grande partie de ses travaux de journaliste sur le féminisme et la philosophe romancière française . Pour illustrer cette biographie ,une fausse bichromie aux légères nuances de vert ou saumon a été réalisée avec soin . Les personnages sont reconnaissables et les autrices ajoutent parfois les noms au dessus des têtes . L'illustratrice Julia Bernhard met en avant les protagonistes à travers des cases épurées les situant au premier plan . Tout concourt vers une narration fluide au fil de la pensée évolutive de Simone de Beauvoir . On apprend , pas seulement sur elle , mais sur ce mode fonctionnement de la société d'époque , et on comprend mieux l'écho des pensées d'une telle femme , de nos jours avec un féminisme assumé et un mode de vie ayant bien changé , fort heureusement ! Cette grande dame a assurément posé les jalons de la liberté de la femme à disposer de son corps mais aussi de sa vie en général . Un autre atout de cette oeuvre repose sur la talent des auteures de ne pas tomber dans une critique acerbe des hommes au milieu du siècle dernier , tout en prônant un féminisme accru . A la place on lit les pensées et questions existentielles de Simone de Beauvoir , et on savoure . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/simone-de-beauvoir?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Kevin Nivek

    Les filles de Sapphô

    Auteure complète , Ariana Melone a déjà sorti des oeuvres comme Gianna et Le bal des folles , avec à chaque fois une présence féminine forte . Elle continue son chemin en remontant le temps au VII et VI èmes siècles avant JC , en proposant un pan de la vie de Sapphô . Avec le peu d'écrits restants sur elle , Ariana Melone imagine la vie de cette femme , poétesse aux idées tellement contemporaines ! Sur l'île de Lesbos ( n'imaginez pas que le terme lesbien vient de là , il s'agit d'autre chose en lien avec cette île , à découvrir dans les annexes de fin d'album) , Sapphô est éducatrice pour les jeunes filles nobles . Elle les initie aux arts , le chant , la délicatesse , l'amour , les devoirs féminins au sein d'un couple , bref , tout le nécessaire devenir une épouse modèle . Mais ces formations peuvent prendre un caractère plus personnel lorsque Sapphô se met à dévoiler ses envies sentimentales voire plus ,envers des élèves ! Imaginez le contexte historique dans une Athènes toute puissante faisant la part belle aux couples hétéros . Toute promotion du féminisme voire d'homosexualité féminine est très vite mal perçue lorsqu'elle touche des nobles . Sapphô aura bien du mal à naviguer dans ces eaux troubles , d'autant qu'elle a sa propre famille avec d'autres sources d'ennuis ! De son trait doux crayonné , aux couleurs passées , "antiques" , Arian Melone expose la vie de cette femme tellement précurseure d'un idéal féminin et féministe , dans une reconstruction historique plutôt fidèle . Il subsiste cependant un manque de liant parfois , elle use d'ellipse fréquemment et cela peut nuire au déroulé de l'histoire , d'autant qu'elle est riche en personnages (pas toujours reconnaissables) . Cela reste néanmoins un vibrant hommage à cette poétesse incarnant par ses écrits une manière différente et plus libre de concevoir l'amour , en tant que femme . A noter une annexe particulièrement bien détaillée et explicative en fin d'album , très enrichissante d'un point de vue culturel .
  6. Titre de l'album : Les filles de Sapphô Scenariste de l'album : Arianna Melone Dessinateur de l'album : Arianna Melone Coloriste : Arianna Melone Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Que diront-ils de moi ? Que la beauté ne m'a jamais effleurée et que j'ai trouvé refuge dans la mort ? Qu'est-ce qui me rappelait l'apparence de la divine Aphrodite ? Que je fus l'icône de l'amour entre femmes, défenseur d'une justice féminine ? Ou que je fus si pudique que je ne pouvais écrire quelconque obscénités dans mes oeuvres ? Qui suis-je ? Qui est Sappho ?". Originaire de l'île de Lesbos, Sappho est éducatrice à la Maison des Muses, une confrérie de jeunes filles nobles, où l'on enseigne les arts, la délicatesse,... Critique : Auteure complète , Ariana Melone a déjà sorti des oeuvres comme Gianna et Le bal des folles , avec à chaque fois une présence féminine forte . Elle continue son chemin en remontant le temps au VII et VI èmes siècles avant JC , en proposant un pan de la vie de Sapphô . Avec le peu d'écrits restants sur elle , Ariana Melone imagine la vie de cette femme , poétesse aux idées tellement contemporaines ! Sur l'île de Lesbos ( n'imaginez pas que le terme lesbien vient de là , il s'agit d'autre chose en lien avec cette île , à découvrir dans les annexes de fin d'album) , Sapphô est éducatrice pour les jeunes filles nobles . Elle les initie aux arts , le chant , la délicatesse , l'amour , les devoirs féminins au sein d'un couple , bref , tout le nécessaire devenir une épouse modèle . Mais ces formations peuvent prendre un caractère plus personnel lorsque Sapphô se met à dévoiler ses envies sentimentales voire plus ,envers des élèves ! Imaginez le contexte historique dans une Athènes toute puissante faisant la part belle aux couples hétéros . Toute promotion du féminisme voire d'homosexualité féminine est très vite mal perçue lorsqu'elle touche des nobles . Sapphô aura bien du mal à naviguer dans ces eaux troubles , d'autant qu'elle a sa propre famille avec d'autres sources d'ennuis ! De son trait doux crayonné , aux couleurs passées , "antiques" , Arian Melone expose la vie de cette femme tellement précurseure d'un idéal féminin et féministe , dans une reconstruction historique plutôt fidèle . Il subsiste cependant un manque de liant parfois , elle use d'ellipse fréquemment et cela peut nuire au déroulé de l'histoire , d'autant qu'elle est riche en personnages (pas toujours reconnaissables) . Cela reste néanmoins un vibrant hommage à cette poétesse incarnant par ses écrits une manière différente et plus libre de concevoir l'amour , en tant que femme . A noter une annexe particulièrement bien détaillée et explicative en fin d'album , très enrichissante d'un point de vue culturel . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://graphzeppelin.com/mythologie-grecque/305-achille-3-la-chute-des-legendes.html/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. The_PoP

    Au nom de catherine

    Bon soyons francs, je n'avais pas plus que ça envie de lire Au nom de Catherine. D'abord la couverture ne m'a pas attirée, trop austère. Ensuite je n'ai pas lu la première adaptation intitulée La guerre de Catherine qui avait remporté le fauve jeunesse à Angoulême en 2018. Pour finir je n'étais pas sûr d'avoir envie de lire sur les thèmes abordés dans cette bd. Et puis bon, on est sérieux où on ne l'est pas, je l'ai donc ouverte. Et j'ai été happé littéralement. Je me suis régalé, c'est fluide, c'est fin. Les dessins sont parfaits, avec cette empathie naturelle de Mayaen Goust pour ses personnages qui se ressent dans son trait, un régal. Les dialogues sont ciselés, les émotions bien rendues, on est dans le combat et pas dans l'auto apitoiement. C'est beau c'est positif, c'est fort. C'est un très beau roman graphique. Je ne peux que vous en recommander la lecture. Et puis comme jeune papa d'une petite fille, ce roman graphique sera dans ma bibliothèque pour quand elle aura la curiosité de le lire. Une réussite donc. Les bonnes nouvelles se cumulant parfois, on va bientôt vous en faire gagner un exemplaire par concours !!!!
  8. Titre de l'album : Au nom de catherine Scenariste de l'album : Mayalen Goust Dessinateur de l'album : Mayalen Goust Coloriste : Mayalen Goust Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Après plusieurs mois passés aux côtés d'Étienne, Rachel Cohen décide de conserver Catherine Colin comme nouvelle identité et revient à Sèvres pleine d'incertitudes. Étienne lui suggère de s'accorder une année loin de lui pour réfléchir à ses sentiments, à ses aspirations comme photographe et à ses envies de femme adulte. Après en avoir discuté avec Goéland, Pingouin et son ami de toujours Jeannot, Catherine décide de se consacrer pleinement à son art et se lance comme photographe professionnelle pour gagner ainsi son indépendance. Entre la fête de l'Humanité, une utopique colonie de vacances franco-allemande et un sujet social qui va la conduire jusqu'aux Etats-Unis, elle connaît un début de carrière fulgurant. Toujours en proie avec les traumatismes de son passé, Catherine va néanmoins, à travers son art et les relations qu'elle noue, s'ouvrir au monde et s'affirmer comme femme dans une société encore marquée par la guerre et la domination masculine. Critique : Bon soyons francs, je n'avais pas plus que ça envie de lire Au nom de Catherine. D'abord la couverture ne m'a pas attirée, trop austère. Ensuite je n'ai pas lu la première adaptation intitulée La guerre de Catherine qui avait remporté le fauve jeunesse à Angoulême en 2018. Pour finir je n'étais pas sûr d'avoir envie de lire sur les thèmes abordés dans cette bd. Et puis bon, on est sérieux où on ne l'est pas, je l'ai donc ouverte. Et j'ai été happé littéralement. Je me suis régalé, c'est fluide, c'est fin. Les dessins sont parfaits, avec cette empathie naturelle de Mayaen Goust pour ses personnages qui se ressent dans son trait, un régal. Les dialogues sont ciselés, les émotions bien rendues, on est dans le combat et pas dans l'auto apitoiement. C'est beau c'est positif, c'est fort. C'est un très beau roman graphique. Je ne peux que vous en recommander la lecture. Et puis comme jeune papa d'une petite fille, ce roman graphique sera dans ma bibliothèque pour quand elle aura la curiosité de le lire. Une réussite donc. Les bonnes nouvelles se cumulant parfois, on va bientôt vous en faire gagner un exemplaire par concours !!!! Autres infos : D'après le roman de Julia Billet Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/au-nom-de-catherine?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Il en va de l'humour comme du goût, chacun a le sien. Et c'est probablement mieux ainsi. Vous l'aurez compris en lisant la note, je n'ai pas aimé cette bd. l'humour s'y veut corrosif et militant, et cela habituellement me plait. Là j'ai trouvé le trait trop grossier. L'humour peut servir à convaincre mais j'ai peur que sur cet ouvrage il fasse plus de mal que de bien, braquant les militants pro féministes comme les réfractaires. Mais il y a parfois du rire face à l'excès, las, malheureusement pour moi cela n'a pas fonctionné et ce n'est pas le dessin de Camille Besse qui m'a fait changer d'avis. J'ai eu un mal fou à finir cette bd. Je passe donc mon tour. Alors même qu'à la base je suis client de ces débats, de ces causes, et des bd d'humour. C'est peut être ce qui m'a le plus gêné in fine.
  10. Titre de l'album : Si les hommes avaient leurs règles Scenariste de l'album : Eric La Blanche & Camille Besse Dessinateur de l'album : Camille Besse Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Imaginez un monde où, non contents d'édicter les règles, les hommes les auraient ! Un monde où Dieu aurait décidé de partager la douleur pour laver le péché universel : aux femmes celles de l'enfantement, et aux hommes les menstrues. Alors, la face du monde en aurait-elle été changée ? Les rapports homme-femme inversés ? Hem... Comment vous dire... ? Les hommes seront toujours les hommes. Saigner serait vraisemblablement un motif de fierté, voire un marqueur de virilité... Après tout, célébrer les effusions de sang, ça les connaît ! "Si les hommes avaient leurs règles" propose une déconstruction étonnante et amusante des interdits liés au cycle menstruel, en revisitant dans la joie et la bonne humeur quelques grands moments de l'histoire du monde. Critique : Il en va de l'humour comme du goût, chacun a le sien. Et c'est probablement mieux ainsi. Vous l'aurez compris en lisant la note, je n'ai pas aimé cette bd. l'humour s'y veut corrosif et militant, et cela habituellement me plait. Là j'ai trouvé le trait trop grossier. L'humour peut servir à convaincre mais j'ai peur que sur cet ouvrage il fasse plus de mal que de bien, braquant les militants pro féministes comme les réfractaires. Mais il y a parfois du rire face à l'excès, las, malheureusement pour moi cela n'a pas fonctionné et ce n'est pas le dessin de Camille Besse qui m'a fait changer d'avis. J'ai eu un mal fou à finir cette bd. Je passe donc mon tour. Alors même qu'à la base je suis client de ces débats, de ces causes, et des bd d'humour. C'est peut être ce qui m'a le plus gêné in fine. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/si-les-hommes-avaient-leurs-regles/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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