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Vous avez un ado qui aime la magie ? Vous êtes vous-même amateur d'Harry potter and co ? Vous cherchez un volume de lecture imposant pour lire cet été ? Et bien ce Eclepsis est pour vous ! Eclepsis c'est 224 page d'aventure magique dans un premier tome joliment dessiné dans un style hybride empruntant des cœurs aux mangas, mais respectant la bd et la couleur (très belle d'ailleurs cette coloration), dynamique et plein de rebondissement. C'est aussi des personnages haut en couleur, aux caractères bien trempés et un contexte politique bien mis en place à défaut d'être complètement innovant. Pour ceux qui suivent les sorties Dupuis, c'est un peu le Hooky pour ado/Adultes. Franchement, on retrouve tout ce qui fait qu'on aime ce genre d'aventure. Que ce soit les différences de classe sociales, les pouvoirs cachés et les passés que tous les élèves cherchent à oublier, on à un ensemble qui fait de ce Eclepsis un tome parfait à mettre dans les valises de vos enfants pour cet été.... ou même dans la votre !
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Titre de l'album : Eclepsis tome 1 Scenariste de l'album : Aloïs Dessinateur de l'album : Aloïs Coloriste : Aloïs Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Au coeur de l'immense forêt de Gouès, Basile grandit en suivant l'apprentissage des sorcières. Né fille, il rêve de pouvoir vivre pleinement en tant que garçon, sans devoir pour autant renoncer à la magie, que seules les femmes peuvent pratiquer dans cette partie reculée du monde. Basile décide alors de tout quitter pour se rendre sur l'île d'Eclepsis, métropole prospère où vit une autre caste de magicien·ne·s, les Occultistes. En tentant d'intégrer leur prestigieuse Académie de magie, il fait la connaissance d'Albain et Madeleine avec qui il partagera ses rêves, ses doutes et ses secrets... Critique : Vous avez un ado qui aime la magie ? Vous êtes vous-même amateur d'Harry potter and co ? Vous cherchez un volume de lecture imposant pour lire cet été ? Et bien ce Eclepsis est pour vous ! Eclepsis c'est 224 page d'aventure magique dans un premier tome joliment dessiné dans un style hybride empruntant des cœurs aux mangas, mais respectant la bd et la couleur (très belle d'ailleurs cette coloration), dynamique et plein de rebondissement. C'est aussi des personnages haut en couleur, aux caractères bien trempés et un contexte politique bien mis en place à défaut d'être complètement innovant. Pour ceux qui suivent les sorties Dupuis, c'est un peu le Hooky pour ado/Adultes. Franchement, on retrouve tout ce qui fait qu'on aime ce genre d'aventure. Que ce soit les différences de classe sociales, les pouvoirs cachés et les passés que tous les élèves cherchent à oublier, on à un ensemble qui fait de ce Eclepsis un tome parfait à mettre dans les valises de vos enfants pour cet été.... ou même dans la votre ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/eclepsis-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Magilumière Co. Ltd. tome 5 Scenariste de l'album : Sekka Iwata Dessinateur de l'album : Yû Aoki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Kana est envoyée en mission en binôme avec Makino, en formation chez Magilumière. Elles se retrouvent en mauvaise posture, mais Koshigaya se précipite pour voler à leur secours... Par ailleurs, le « système Alice » de Magilumière est mis à l'ordre du jour lors d'une réunion à laquelle participent différents acteurs du secteur de la magie. Afin de faire reconnaître l'importance de son système et de le diffuser largement pour le bien des magical girls, Shigemoto envoie ses employées éliminer un monstre d'un genre nouveau, dont l'existence avait été jusque-là gardée secrète ! Critique : Bon allez après celui-là je vous laisse tranquille ! Si je n'ai pas réussi à vous convaincre que Magilumière est la meilleure shonen de ce début d'année, c'est .... que vous n'aimez pas le shonen 🙂 Blague à part, c'est vraiment rafraîchissant, l'histoire avance vite et nos personnages ne sont pas encore trop nombreux. Un shonen qui réussit pour l'instant à se contenir, ne nou noyant pas sur des nouveaux personnages ou de nouveau pouvoir, mais nous gardant en haleine autour du mystère du passé de Shigemoto et du lien entre magie et monstre. Alors peut etre que cela va finir par craquer comme souvent avec les shonen mais pour l'instant, c'est tout bon. Ce tome 5 en est le bon exemple avec un tome centré sur l'un des derniers personnages n'ayant pas été présenté (en termes de passé) : Koshigaya. Tome qui nous révèlera des liens entre cette fille et le monde de la magie sans oublier de nous livrer un nouveau challenge. Un excellent mix d'aventure et d'histoire, sans réel temps mort et sans lourdeur. Ce que l'on aime dans un shonen quoi ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magilumiere-co-ltd-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon allez après celui-là je vous laisse tranquille ! Si je n'ai pas réussi à vous convaincre que Magilumière est la meilleure shonen de ce début d'année, c'est .... que vous n'aimez pas le shonen 🙂 Blague à part, c'est vraiment rafraîchissant, l'histoire avance vite et nos personnages ne sont pas encore trop nombreux. Un shonen qui réussit pour l'instant à se contenir, ne nou noyant pas sur des nouveaux personnages ou de nouveau pouvoir, mais nous gardant en haleine autour du mystère du passé de Shigemoto et du lien entre magie et monstre. Alors peut etre que cela va finir par craquer comme souvent avec les shonen mais pour l'instant, c'est tout bon. Ce tome 5 en est le bon exemple avec un tome centré sur l'un des derniers personnages n'ayant pas été présenté (en termes de passé) : Koshigaya. Tome qui nous révèlera des liens entre cette fille et le monde de la magie sans oublier de nous livrer un nouveau challenge. Un excellent mix d'aventure et d'histoire, sans réel temps mort et sans lourdeur. Ce que l'on aime dans un shonen quoi !
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Titre de l'album : Monstres en vadrouille Scenariste de l'album : Kay Davault Dessinateur de l'album : Kay Davault Coloriste : Kay Davault Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Iris ne s'est jamais sentie à sa place dans le manoir de M. Halloway. Entre licornes, trolls et autres dragons, elle est pourtant bien entourée. Mais ce dont elle rêve, elle, c'est de liberté, et d'un véritable foyer. Jusqu'au jour où, par accident, un chasseur de monstres brise la magie qui scellait la porte de cette maison insolite. Pour la première fois, Iris et ses amis peuvent explorer la ville voisine : ses rues animées, ses lumières fascinantes, ses surprenants habitants...Une découverte de la beauté - et des dangers - du monde extérieur qui va déterrer un sombre secret... qui pourrait bien tout changer. Critique : Kay Davault imagine un monde où humains et monstres existent mais ne se côtoient pas, la faute à un imaginaire méfiant, en somme la peur de l'autre. On découvre Iris évoluant dans un manoir peuplé uniquement de monstres comme elle, sous l'oeil bienveillant de monsieur Halloway, un humain les protégeant. Iris n'est pas tout à fait comme les autres, elle rêve de liberté et ses envies d'ailleurs sont décuplées par le sentiment de ne pas être à sa place, aux côté de Halloway qui semble méfiant à son égard. Aussi, lors de la visite d'un intrus humain brisant le sceau d'inviolabilité magique du manoir et laissant la porte ouverte derrière lui, Iris sort et découvre un tout autre monde ! L'apprentissage de la vie, la méfiance des autres, de ce qu'on ne connait pas, le désir de liberté, Kay Davault insère de nombreux messages dans ce récit coloré et respirant de sincérité. Au fil des 300 pages, elle prend bien le temps de développer l'histoire avec la découverte des personnages et des nombreux secrets les liant. Le format "comics" offre peu de cases par pages et rend la lecture fluide et accessible pour les plus jeunes avec des dialogues courts. Le style "chibi" des protagonistes rend assez bien avec de l'originalité dans les faciès des petits monstres dotés d'une grande expressivité. Un sympathique one-shot à faire découvrir aux plus de 8 ans, avec un beau message de tolérance. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monstres-en-vadrouille/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Kay Davault imagine un monde où humains et monstres existent mais ne se côtoient pas, la faute à un imaginaire méfiant, en somme la peur de l'autre. On découvre Iris évoluant dans un manoir peuplé uniquement de monstres comme elle, sous l'oeil bienveillant de monsieur Halloway, un humain les protégeant. Iris n'est pas tout à fait comme les autres, elle rêve de liberté et ses envies d'ailleurs sont décuplées par le sentiment de ne pas être à sa place, aux côté de Halloway qui semble méfiant à son égard. Aussi, lors de la visite d'un intrus humain brisant le sceau d'inviolabilité magique du manoir et laissant la porte ouverte derrière lui, Iris sort et découvre un tout autre monde ! L'apprentissage de la vie, la méfiance des autres, de ce qu'on ne connait pas, le désir de liberté, Kay Davault insère de nombreux messages dans ce récit coloré et respirant de sincérité. Au fil des 300 pages, elle prend bien le temps de développer l'histoire avec la découverte des personnages et des nombreux secrets les liant. Le format "comics" offre peu de cases par pages et rend la lecture fluide et accessible pour les plus jeunes avec des dialogues courts. Le style "chibi" des protagonistes rend assez bien avec de l'originalité dans les faciès des petits monstres dotés d'une grande expressivité. Un sympathique one-shot à faire découvrir aux plus de 8 ans, avec un beau message de tolérance.
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Titre de l'album : Emma et les mauvais éléments Scenariste de l'album : Ariel Holzl Dessinateur de l'album : Alba Cardona Coloriste : Joël Odone, Alba Cardona Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Emma Lentier, 14 ans, passe des vacances paisibles chez son grand-père en Bretagne lorsque son pique-nique tourne à la catastrophe : elle est attaquée par d'étranges créatures aux dents acérées ! Une inconnue aux pouvoirs surnaturels la sauve in extremis et décèle chez Emma un don particulier. Elle l'invite alors à l'académie volante de Primeval où elle pourra découvrir son véritable potentiel d'élémancienne... Critique : Nouvelle parution jeunesse chez Jungle avec cette aventure fantastique mêlant plusieurs influences littéraires et un soupçon d'écologie. Tout commence en Bretagne, terre mystique s'il en est avec Emma Lentier en vacances chez son grand-père. Lors d'une excursion champêtre, elle tombe nez à nez avec des fées belliqueuses et ne doit son salut qu'à l'apparition soudaine d'une femme dotée de pouvoirs. Puis, tout s'enchaîne à grande vitesse, cette dernière découvre que Emma aurait des pouvoirs elle aussi, et décide de l'emmener dans une école bien particulière. En effet, dans cet établissement on dissocie les éléments (terre, eau, feu, air) de la magie vue comme aléatoire voire néfaste. Dans cet univers totalement inconnu, Emma va faire de nombreuses rencontres et découvrir son potentiel, il se pourrait même qu'au fil de sa scolarité elle en apprenne un peu plus sur son passé 😉 . De nombreuses thématiques sont abordées à travers son entrée à l'école, comme l'acceptation des autres et de soi-même, la tolérance envers la différence comme ces personnes non issues du moule scolaire bien établi ! Peu importe les écoles, on y rencontre les mêmes problèmes, avec en plus l'arrivée d'un petit nouveau. A ce chemin initiatique, le scénariste ajoute un brin de mystères avec de mystérieux individus envahissant l'école et un développement fantastique original portant sur ces pouvoirs élémentaires pouvant se combiner. La partie graphique est très agréable, avec un trait rond répondant aux codes des mangas et une palette de couleurs vives et dynamiques. Le lectorat jeune ciblé appréciera ces pages avec un dessin minutieux et un découpage bousculant parfois les codes du gaufrier. Emma et ses "mauvais éléments", vous découvrirez vite le double sens du titre, nous réserve encore des surprises pour le tome 2 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/emma-et-les-mauvais-elements/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Nouvelle parution jeunesse chez Jungle avec cette aventure fantastique mêlant plusieurs influences littéraires et un soupçon d'écologie. Tout commence en Bretagne, terre mystique s'il en est avec Emma Lentier en vacances chez son grand-père. Lors d'une excursion champêtre, elle tombe nez à nez avec des fées belliqueuses et ne doit son salut qu'à l'apparition soudaine d'une femme dotée de pouvoirs. Puis, tout s'enchaîne à grande vitesse, cette dernière découvre que Emma aurait des pouvoirs elle aussi, et décide de l'emmener dans une école bien particulière. En effet, dans cet établissement on dissocie les éléments (terre, eau, feu, air) de la magie vue comme aléatoire voire néfaste. Dans cet univers totalement inconnu, Emma va faire de nombreuses rencontres et découvrir son potentiel, il se pourrait même qu'au fil de sa scolarité elle en apprenne un peu plus sur son passé 😉 . De nombreuses thématiques sont abordées à travers son entrée à l'école, comme l'acceptation des autres et de soi-même, la tolérance envers la différence comme ces personnes non issues du moule scolaire bien établi ! Peu importe les écoles, on y rencontre les mêmes problèmes, avec en plus l'arrivée d'un petit nouveau. A ce chemin initiatique, le scénariste ajoute un brin de mystères avec de mystérieux individus envahissant l'école et un développement fantastique original portant sur ces pouvoirs élémentaires pouvant se combiner. La partie graphique est très agréable, avec un trait rond répondant aux codes des mangas et une palette de couleurs vives et dynamiques. Le lectorat jeune ciblé appréciera ces pages avec un dessin minutieux et un découpage bousculant parfois les codes du gaufrier. Emma et ses "mauvais éléments", vous découvrirez vite le double sens du titre, nous réserve encore des surprises pour le tome 2 😉
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Le tome 1 de Pax Elfica m'avait surpris et marqué, car on se sentait plus dans l'atmosphère d'un bon jeu de rôle que dans nos séries de Fantasy habituelles. Et c'était plutôt réussi, avec pour une fois les Elfes dans le rôle des vilains de service. Cette inversion traditionnelle mais pas si surprenante était bien réalisé, et l'intrigue à plusieurs niveaux n'avait pas empêché le premier tome de filer très vite. On retrouve donc la suite directe, sans temps morts ni temps de remise en place. Et les différents arcs narratifs se précisent, apportant réponses et avancées en nombre afin de satisfaire notre curiosité. C'est bien réalisé, même si la scène de bataille est peut être un brin confuse sur la fin. Au niveau du dessin, rien à redire, c'est très propre même si c'est peut être un poil plus statique à mon goût que la fantasy habituelle. Pax Elfica confirme être une bonne série de Fantasy destinée à ceux qui aiment le jeu de rôle ou qui ont l'impression d'avoir déjà tout lu dans ce genre.
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Titre de l'album : Pax elfica - Tome 2 - Le sang du drac Scenariste de l'album : Cédric Mayen Dessinateur de l'album : Pietrantonio Bruno Coloriste : Axel Gonzalbo Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Depuis qu'ils ont délivré le monde de la menace d'un Nécromancien, les Elfes ont instauré la Pax Elfica, un régime autoritaire qui interdit toute utilisation de la magie aux autres races. Mais le jeune Tano a grandi dans le petit monde multiculturel de l'auberge de son père Klaus, où se côtoient nains, halfelins, barbares et réfugiés. Alors pour lui, pas question d'obéir docilement aux maitres auto-proclamés de la ville : chaque nuit, sous la capuche de « La Flèche », il sabote leurs patrouilles et défie leur autorité. Jusqu'au soir où il se retrouve contaminé par une mystérieuse graine elfique. Critique : Le tome 1 de Pax Elfica m'avait surpris et marqué, car on se sentait plus dans l'atmosphère d'un bon jeu de rôle que dans nos séries de Fantasy habituelles. Et c'était plutôt réussi, avec pour une fois les Elfes dans le rôle des vilains de service. Cette inversion traditionnelle mais pas si surprenante était bien réalisé, et l'intrigue à plusieurs niveaux n'avait pas empêché le premier tome de filer très vite. On retrouve donc la suite directe, sans temps morts ni temps de remise en place. Et les différents arcs narratifs se précisent, apportant réponses et avancées en nombre afin de satisfaire notre curiosité. C'est bien réalisé, même si la scène de bataille est peut être un brin confuse sur la fin. Au niveau du dessin, rien à redire, c'est très propre même si c'est peut être un poil plus statique à mon goût que la fantasy habituelle. Pax Elfica confirme être une bonne série de Fantasy destinée à ceux qui aiment le jeu de rôle ou qui ont l'impression d'avoir déjà tout lu dans ce genre. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pax-elfica-tome-2-le-sang-du-drac/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voila une bien belle suite. J'avais globalement reproché au premier tome d'être un peu trop basé sur le dessin et d'avoir un scenario pas assez dense. Et bien ce deuxième tome résout ce souci avec une aventure résolument plus complexe que ce que nous pouvions imaginer. Plus complexe avec l'apparition d'un contexte fouillé sur les sorcières et sur la magie et son origine. Mais aussi par le nouveau rôle que se voit confier Melody dans une lutte qui la dépasse. Un scenario bien plus ambitieux, mais maitrisé toujours porté par un graphisme léché et coloré. Un super deuxième tome qui rehausse largement mon avis sur l'ensemble. Vivement le troisième et dernier tome.
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Titre de l'album : Melody tome 2 - La sorcière musicale Scenariste de l'album : Rosalía Armenteros Dessinateur de l'album : Rosalía Armenteros Coloriste : Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Melody se retrouve au chevet de Shanala, plongée dans le coma depuis plusieurs années. Son père, Arturo, lui révèle alors la sombre vérité sur le passé de sa fille. Son véritable nom est Ariane. Le viel homme explique alors pourquoi sa fille est dans le coma : elle a rencontré et combattu une créature énigmatique et redoutable, Zyla. Alliée de la mort, Zyla possède un don terrifiant : envoûter et manipuler les êtres humains grâce à la musique. Elle utilise ensuite leurs corps comme des enveloppes, lui permettant de se dissimuler sous une apparence humaine. Après le décès de sa mère Carmen, Ariane devint sorcière à son tour et consacra sa vie à traquer Zyla. Mais lorsqu'elle retrouva la créature, elle tomba à son tour sous son emprise. Arturo confie alors à Melody une mission capitale : affronter Zyla et l'anéantir une fois pour toutes. Pourtant, cette révélation plonge Melody dans le doute. Elle ne peut s'empêcher de réfléchir à sa propre connexion étrange avec la musique, qui semble la lier, d'une manière ou d'une autre, au pouvoir de Zyla... Critique : En voila une bien belle suite. J'avais globalement reproché au premier tome d'être un peu trop basé sur le dessin et d'avoir un scenario pas assez dense. Et bien ce deuxième tome résout ce souci avec une aventure résolument plus complexe que ce que nous pouvions imaginer. Plus complexe avec l'apparition d'un contexte fouillé sur les sorcières et sur la magie et son origine. Mais aussi par le nouveau rôle que se voit confier Melody dans une lutte qui la dépasse. Un scenario bien plus ambitieux, mais maitrisé toujours porté par un graphisme léché et coloré. Un super deuxième tome qui rehausse largement mon avis sur l'ensemble. Vivement le troisième et dernier tome. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/melody-tome-2-la-sorciere-musicale?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Le magicien d'Oz tome 2 - La méchante sorcière de l'ouest
Kevin Nivek a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Le magicien d'Oz tome 2 - La méchante sorcière de l'ouest Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier Dessinateur de l'album : Hélène Canac Coloriste : Hélène Canac Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Dorothée et ses amis rencontrent enfin le magicien d'Oz pour lui exposer leurs souhaits. Cependant, le sorcier, intraitable, leur impose d'éliminer la méchante sorcière de l'Ouest avant d'accéder à leurs désirs. De nouveau sur la route, Dorothée, le lion peureux, l'épouvantail sans cervelle et le bûcheron en fer blanc devront affronter de nombreux dangers et vivront des aventures qui changeront leur destin. Toutefois, pour Dorothée, le chemin est encore long avant de pouvoir retourner au Kansas... Un carnet rédigé et validé par des enseignants complète cet album. Critique : La troupe de Dorothée arrive enfin aux portes de la fabuleuse cité d'émeraude et espère rencontrer le grand magicien d'Oz ! Dorothée souhaite en effet retourner chez elle au Kansas et seul cet être mystérieux serait capable d'exaucer ce voeu. Un à un ils pénètrent dans l'antre du magicien et font leur demande. Une dernière requête d'Oz semble être l'unique solution pour accéder à leurs désirs, aussi ils se lancent dans cette entreprise au mépris des dangers ! Une fois de plus l'aventure vient à eux, mais ils font face en groupe par une grande solidarité et un peu d'aide extérieure 😉 . Les voici de retour en cité verte, le grand magicien tiendra t'il ses promesses ? Les apparences sont parfois trompeuses, même en pays d'Oz ! Une très jolie suite, fidèle au roman qui vient conclure ce diptyque riche en révélations. La lecture va de surprises en surprises et l'aventure prend des airs de chemin initiatique pour les membres du groupe. Chacun exprimera son talent et parviendra à se recréer grâce à un soupçon de magie mais pas que 😉 ! Ce monde magique est d'une grande diversité et fait toujours preuve d'un imaginaire débordant, plus de 120 ans après sa première édition aux Etats-Unis. Riche en symboles, il permet une double lecture, enfants et adultes y trouveront leur compte 🙂 . Le trait rond et doux de Hélène Canac est particulièrement réussi, idem pour ses couleurs donnant de la vivacité au récit. On parcourt ses pages avec le sourire et l'impression d'être cerné par la magie environnante, un beau voyage ! Des annexes avec des petits jeux et questions sur l'histoire complètent cette sympathique BD, pour ceux qui ne connaissent pas encore cette histoire presque éternelle ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-magicien-d-oz-tome-2-la-mechante-sorciere-de-l-ouest/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Le magicien d'Oz tome 2 - La méchante sorcière de l'ouest
Kevin Nivek a posté un enregistrement dans Critiques
La troupe de Dorothée arrive enfin aux portes de la fabuleuse cité d'émeraude et espère rencontrer le grand magicien d'Oz ! Dorothée souhaite en effet retourner chez elle au Kansas et seul cet être mystérieux serait capable d'exaucer ce voeu. Un à un ils pénètrent dans l'antre du magicien et font leur demande. Une dernière requête d'Oz semble être l'unique solution pour accéder à leurs désirs, aussi ils se lancent dans cette entreprise au mépris des dangers ! Une fois de plus l'aventure vient à eux, mais ils font face en groupe par une grande solidarité et un peu d'aide extérieure 😉 . Les voici de retour en cité verte, le grand magicien tiendra t'il ses promesses ? Les apparences sont parfois trompeuses, même en pays d'Oz ! Une très jolie suite, fidèle au roman qui vient conclure ce diptyque riche en révélations. La lecture va de surprises en surprises et l'aventure prend des airs de chemin initiatique pour les membres du groupe. Chacun exprimera son talent et parviendra à se recréer grâce à un soupçon de magie mais pas que 😉 ! Ce monde magique est d'une grande diversité et fait toujours preuve d'un imaginaire débordant, plus de 120 ans après sa première édition aux Etats-Unis. Riche en symboles, il permet une double lecture, enfants et adultes y trouveront leur compte 🙂 . Le trait rond et doux de Hélène Canac est particulièrement réussi, idem pour ses couleurs donnant de la vivacité au récit. On parcourt ses pages avec le sourire et l'impression d'être cerné par la magie environnante, un beau voyage ! Des annexes avec des petits jeux et questions sur l'histoire complètent cette sympathique BD, pour ceux qui ne connaissent pas encore cette histoire presque éternelle ! -
Décidément ce shonen n'est pas comme les autres. Il réussit encore et toujours à conserver son côté frais et décaler tout en devenant de plus en plus sérieux. En effet plus cela va, plus on connait nos personnages, plus les tomes avancent, plus on se dit que quelque chose de gros et de dangereux arrive. Quelque chose de bien pire que tout ce que l'on a vu jusqu'à présent. Et cette montée d'une tension en tache de fond se sent tout au long de la lecture de cet excellent 4ieme tome. En plus de la montée en puissance de Magilumière Ltd, nos auteurs réussissent à nous faire ressentir une urgence à venir. C'est très bon, très prenant et pourtant toujours aussi frais et divertissant !
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Titre de l'album : Magilumière Co. Ltd. tome 4 Scenariste de l'album : Sekka Iwata Dessinateur de l'album : Yû Aoki Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Kana rend visite à Ginji, une jeune ingénieure de génie, afin que cette dernière opère les réglages d'usage sur son balai. Percevant les qualités de Kana, Ginji décide de lui confectionner un nouveau balai multifonctionnel, qui est mis à profit par son utilisatrice dès la première occasion ! La technologie innovante de Magilumière, centre de toutes les attentions dans la profession, occasionne la venue d'une stagiaire, et c'est Kana qui est chargée de la former ! Critique : Décidément ce shonen n'est pas comme les autres. Il réussit encore et toujours à conserver son côté frais et décaler tout en devenant de plus en plus sérieux. En effet plus cela va, plus on connait nos personnages, plus les tomes avancent, plus on se dit que quelque chose de gros et de dangereux arrive. Quelque chose de bien pire que tout ce que l'on a vu jusqu'à présent. Et cette montée d'une tension en tache de fond se sent tout au long de la lecture de cet excellent 4ieme tome. En plus de la montée en puissance de Magilumière Ltd, nos auteurs réussissent à nous faire ressentir une urgence à venir. C'est très bon, très prenant et pourtant toujours aussi frais et divertissant ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/magilumiere-co-ltd-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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La première chose qui interpelle, c’est le titre : impossible de ne pas penser à The irregular at magic high school et bien, cela n’a rien à voir ! Enfin dans le sens où les deux séries ne sont pas liées et qu’il ne s’agit pas des mêmes auteurs. Car, sinon, il y a bien quelques points communs dans la mesure où cela va se passer dans un monde de fantasy et dans une école de magie : on peut aussi dire que le héros est un jeune homme aux cheveux noirs qui a des capacités non négligeables et dont le parcours sort de l’ordinaire. Orphelin, survivant tant bien que mal dans la rue, Ars est recueilli un jour par un homme qui va faire de lui son fils mais surtout un assassin hors pair, car malgré ses origines modestes, Ars est capable d’utiliser la magie normalement réservée aux aristocrates. Il serait en effet un descendant de « la lignée maudite ». Après dix ans, son père décide de l’envoyer à l’école afin qu’il obtienne une qualification officielle de sorcier, mais il se fait remarquer dès le premier jour ! Ars est l’outsider qui va apporter un souffle nouveau à l’académie. Entre magie, lutte de classes, monde souterrain, assassins, aventures et romance, ce manga a tous les éléments pour réussir ! Le scénario est fluide et bien construit, le personnage principal est captivant et les méchants sont bien énervants, comme on les aime ! Un seinen rythmé à lire.
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Titre de l'album : The irregular of the royal academy of magic tome 1 Scenariste de l'album : Yusura Kankitsu Dessinateur de l'album : Fumi Nagatsuki Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : La magie - un art réservé uniquement à ceux nés dans la noblesse, et dont seuls les membres peuvent utiliser. Un jour, Ars, un jeune garçon contraint de vivre une vie d'opprimé à cause de ses origines modestes, découvre ses origines de "sang maudit" et son don pour la magie. Recueilli par un assassin et formé comme un magicien de la pègre, Ars se voit offrir son entrée à l'Académie royale de magie l'année de ses 15 ans. Critique : La première chose qui interpelle, c’est le titre : impossible de ne pas penser à The irregular at magic high school et bien, cela n’a rien à voir ! Enfin dans le sens où les deux séries ne sont pas liées et qu’il ne s’agit pas des mêmes auteurs. Car, sinon, il y a bien quelques points communs dans la mesure où cela va se passer dans un monde de fantasy et dans une école de magie : on peut aussi dire que le héros est un jeune homme aux cheveux noirs qui a des capacités non négligeables et dont le parcours sort de l’ordinaire. Orphelin, survivant tant bien que mal dans la rue, Ars est recueilli un jour par un homme qui va faire de lui son fils mais surtout un assassin hors pair, car malgré ses origines modestes, Ars est capable d’utiliser la magie normalement réservée aux aristocrates. Il serait en effet un descendant de « la lignée maudite ». Après dix ans, son père décide de l’envoyer à l’école afin qu’il obtienne une qualification officielle de sorcier, mais il se fait remarquer dès le premier jour ! Ars est l’outsider qui va apporter un souffle nouveau à l’académie. Entre magie, lutte de classes, monde souterrain, assassins, aventures et romance, ce manga a tous les éléments pour réussir ! Le scénario est fluide et bien construit, le personnage principal est captivant et les méchants sont bien énervants, comme on les aime ! Un seinen rythmé à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-irregular-of-the-royal-academy-of-magic-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Nous voici enfin arrivés en terre promise du sud, l'Atlas que Bianca désirait tant rejoindre ! Nos héros sont usés après un tel périple et le repos bien mérité donné par le régent local, le Père, est salvateur. Les hauts murs protecteurs semblent inexpugnables et le Père si gentil. Mais Bianca va gratter le vernis au fil du récit et découvrir que les apparences sont trompeuses. Son compère Bridking mal en point en fin de tome 2 est sujet à de curieuses expériences au détriment de soins et Bianca est vite cantonnée à son rôle de forgeronne, missionnée par le Père sur un curieux projet d'arme liée à une lointaine prophétie. Pendant ce temps, le nécromant Aghul marche vers la ville forteresse ! Un début calme puis tout s'enchaîne très vite avec l'arrivée de l'armée "ennemie" et les différents choix que vont faire Bianca et Birdking. On retrouve alors le dynamisme des tomes précédents ainsi que la signature de Crom au dessin avec ces onomatopées et ce graphisme "sonore". Ces descriptions insérées permettent parfois de mieux saisir l'action des protagonistes. L'édition française est enrichie de pages annexes avec croquis et storyboards en noir et blanc. Tout est prêt pour le grand final dans le tome 4 à paraître dans 6 mois 😉
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- bd
- dark fantasy
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(et 2 en plus)
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Titre de l'album : Birdking tome 3 Scenariste de l'album : Daniel Freedman Dessinateur de l'album : Crom Coloriste : Crom Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Arrivée en Atlas, Bianca, la jeune sintaréenne, est séparée du Birdking et est faite prisonnière. Forcée de prêter allégeance au Père de tout elle devient sa forgeronne attitrée. Mais en explorant la bibliothèque du palais, Bianca fera de sombres découvertes, l'amenant à remettre en question le bien fondé du Royaume d'Atlas... Elle devra rejoindre le Birdking, avant que l'armée du roi nécromancien Aghul frappe au porte de la ville ! Critique : Nous voici enfin arrivés en terre promise du sud, l'Atlas que Bianca désirait tant rejoindre ! Nos héros sont usés après un tel périple et le repos bien mérité donné par le régent local, le Père, est salvateur. Les hauts murs protecteurs semblent inexpugnables et le Père si gentil. Mais Bianca va gratter le vernis au fil du récit et découvrir que les apparences sont trompeuses. Son compère Bridking mal en point en fin de tome 2 est sujet à de curieuses expériences au détriment de soins et Bianca est vite cantonnée à son rôle de forgeronne, missionnée par le Père sur un curieux projet d'arme liée à une lointaine prophétie. Pendant ce temps, le nécromant Aghul marche vers la ville forteresse ! Un début calme puis tout s'enchaîne très vite avec l'arrivée de l'armée "ennemie" et les différents choix que vont faire Bianca et Birdking. On retrouve alors le dynamisme des tomes précédents ainsi que la signature de Crom au dessin avec ces onomatopées et ce graphisme "sonore". Ces descriptions insérées permettent parfois de mieux saisir l'action des protagonistes. L'édition française est enrichie de pages annexes avec croquis et storyboards en noir et blanc. Tout est prêt pour le grand final dans le tome 4 à paraître dans 6 mois 😉 Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/birdking-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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- bd
- dark fantasy
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(et 2 en plus)
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Titre de l'album : Le Royaume d'après - Tome 2 - Le bois des maudits Scenariste de l'album : Marc Dubuisson Dessinateur de l'album : Margaux Saltel Coloriste : Margaux Saltel Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Toujours en quête de sa petite soeur Mary dans le Royaume d'Après, Christopher doit traverser le Bois des Maudits, une forêt mystérieuse et très dangereuse. Heureusement, il n'est pas seul dans ce périple ! Murphy, le petit spectre de malchance qui sait comment piéger ses ennemis, Cassie qui a plus d'un tour dans son sac, mais surtout l'étrange et fantasque Morrigan qui semble connaître les secrets de la magie interdite, l'accompagnent pour une aventure semée d'embûches. Vont-ils pouvoir éviter les dangers de cette forêt maudite ? Critique : Elle est bien cette histoire. Le sujet du deuil et de la perte des êtres qui nous sont chers est toujours délicat, et c'est l'un de ceux qui, je trouve, se prête le mieux au fantastique et à l'onirique. Cette mini série du Lombard est toute en finesse, en douceur et en intelligence, et j'aime beaucoup ça. Héros et personnages secondaires sont touchants, l'aventure a beau rester gentillette, on est embarqué en douceur avec. C'est vraiment une lecture que j e recommande les yeux fermés aux plus jeunes, douce mais avec du rythme et un fond intéressant. Les dessins de Margaux Saltel font merveille sur les visages et expression, mais j'avoue que j'aurais aimé un peu plus de décors, de détails et de paysages, car le fantastique c'est aussi cela. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-royaume-d-apres-tome-2-le-bois-des-maudits/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Elle est bien cette histoire. Le sujet du deuil et de la perte des êtres qui nous sont chers est toujours délicat, et c'est l'un de ceux qui, je trouve, se prête le mieux au fantastique et à l'onirique. Cette mini série du Lombard est toute en finesse, en douceur et en intelligence, et j'aime beaucoup ça. Héros et personnages secondaires sont touchants, l'aventure a beau rester gentillette, on est embarqué en douceur avec. C'est vraiment une lecture que j e recommande les yeux fermés aux plus jeunes, douce mais avec du rythme et un fond intéressant. Les dessins de Margaux Saltel font merveille sur les visages et expression, mais j'avoue que j'aurais aimé un peu plus de décors, de détails et de paysages, car le fantastique c'est aussi cela.
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Titre de l'album : Hard bargain Scenariste de l'album : Steven S. DeKnight Dessinateur de l'album : Leno Carvalho Coloriste : Bruno Hang Editeur de l'album : Les humanoides associés Note : Résumé de l'album : Franck Harding, détective privé spécialisé dans l'occulte, enquête sur des mystérieuses disparitions qui le mènent très vite à constat : il connaît toutes les victimes et semblent être le prochain sur la liste... Critique : Ah les ambiances de films noirs des années 40, ce parfum de Dahlia noir ou de Mickey Cohen, quel plaisir de s'immerger une nouvelle fois dans cet univers aux côtés du détective privé Franck Harding ! La différence dans ce très bel album est qu'un soupçon de fantastique vient s'immiscer dans une enquête où passé et présent sont mêlés dans une danse macabre. On ajoute donc une dose de Constantine l'anti-héros de DC aux traits de Franck qui aura bien besoin de surnaturel pour mener à bien cette mission touchant ses amis proches. Le pitch parle de "disparitions" mais il minimise bien le trait, ici on parle plutôt de mutilations affreuses commises par les victimes elles-mêmes ! Comment peut-on s'infliger pareilles souffrances ?? Un démon serait à l'oeuvre ? Le suspens est bien ménagé, l'investigation aux côtés du privé est immersive, on souffre avec lui de cette avancée vers une vérité que l'on redoute. Steven S. DeKnight est un showrunner ayant travaillé sur la série Spartacus, mais aussi la première saison de Daredevil sur Netflix, il sait donc jouer avec le lecteur et placer des fausses pistes. Que dire ensuite du talent de Leno Carvalho qui insuffle un réalisme incroyable aux planches ! Un trait minutieux, détaillé et magnifié par les couleurs chatoyantes de Bruno Hang. Les effets lumineux/spectraux sont du pus bel effet, la magie transpire des pages à chacune des apparitions démoniaques. Le découpage cinématographique raconte l'action crochets du droit après crochets du gauche, les femmes fatales aux longues robes fendues dégagent une élégance rare voire un soupçon d'érotisme, on est bel et bien dans une virtuosité graphique à la colorisation parfaite. Le seul hic vient du dénouement, pas que l'on s'y attende, mais il représente le "défaut" des polars, une fois que l'on connait la fin.... Ceci dit, se replonger dans ces dessins pour contempler !!!! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hard-bargain/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Ah les ambiances de films noirs des années 40, ce parfum de Dahlia noir ou de Mickey Cohen, quel plaisir de s'immerger une nouvelle fois dans cet univers aux côtés du détective privé Franck Harding ! La différence dans ce très bel album est qu'un soupçon de fantastique vient s'immiscer dans une enquête où passé et présent sont mêlés dans une danse macabre. On ajoute donc une dose de Constantine l'anti-héros de DC aux traits de Franck qui aura bien besoin de surnaturel pour mener à bien cette mission touchant ses amis proches. Le pitch parle de "disparitions" mais il minimise bien le trait, ici on parle plutôt de mutilations affreuses commises par les victimes elles-mêmes ! Comment peut-on s'infliger pareilles souffrances ?? Un démon serait à l'oeuvre ? Le suspens est bien ménagé, l'investigation aux côtés du privé est immersive, on souffre avec lui de cette avancée vers une vérité que l'on redoute. Steven S. DeKnight est un showrunner ayant travaillé sur la série Spartacus, mais aussi la première saison de Daredevil sur Netflix, il sait donc jouer avec le lecteur et placer des fausses pistes. Que dire ensuite du talent de Leno Carvalho qui insuffle un réalisme incroyable aux planches ! Un trait minutieux, détaillé et magnifié par les couleurs chatoyantes de Bruno Hang. Les effets lumineux/spectraux sont du pus bel effet, la magie transpire des pages à chacune des apparitions démoniaques. Le découpage cinématographique raconte l'action crochets du droit après crochets du gauche, les femmes fatales aux longues robes fendues dégagent une élégance rare voire un soupçon d'érotisme, on est bel et bien dans une virtuosité graphique à la colorisation parfaite. Le seul hic vient du dénouement, pas que l'on s'y attende, mais il représente le "défaut" des polars, une fois que l'on connait la fin.... Ceci dit, se replonger dans ces dessins pour contempler !!!!
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Nouvelle série jeunesse sur de jeunes sorcières avec Tristan Roulot (Le Convoyeur, La forêt du temps) au scénario et un dessin d'une auteure danoise non moins talentueuse : Sarah Conradsen. On entre ici dans une version largement féminisée d'Harry Potter, avec toutefois suffisamment de différence pour ne pas nous embêter. Le scénario déroule pour le moment facilement sa trame, mais prudence, depuis La forêt du temps et Le convoyeur, je fais confiance à Tristan Roulot pour nous amener sur des terrains que l'on imaginait pas au départ. Nul doute qu'une fois encore, il nous réserve des surprises. Bon le ton global de l'ouvrage est clairement orienté jeunesse, et se veut largement accessible même si les jeunes filles s'y immergeront probablement plus rapidement que nos jeunes garçons, question d'identification avec les premiers rôles féminins évidemment. Les dessins de Sarah Conradsen sont très propres et parfaitement adaptés au ton et au public de cette nouvelle série, pour ma part je trouve qu'il leur manque un petit quelque chose qui les distinguerait des autres productions actuelle du genre, mais je fais globalement la fine bouche car on est déjà sur quelque chose de très soigné et joli. Côté format on garde celui de "Elles" la précédente belle série à succès du Lombard sur la même cible, et c'est bien vu.