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Titre de l'album : Lawmen of the west Scenariste de l'album : Tiburce Oger Dessinateur de l'album : Collectif Coloriste : Collectif Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Le parcours implacable et violent des hommes de loi de la conquête de l'Ouest. Un western à l'ombre des potences. En quatorze histoires, Lawmen of the West retrace les destins authentiques, célèbres ou méconnus, de représentants de l'ordre dans l'Ouest américain de 1813 à 1902. Minutemen, chasseurs de primes, shérifs et marshals, juges et bourreaux imposent peu à peu les lois de l'Homme blanc dans les contrées sauvages à l'ouest du Mississipi Au dessin dans le collectif on retrouve : Dimitri ARMAND, Jef, Paul GASTINE, Ronan TOULHOAT, Chris Regnault, Laurent ASTIER, Laurent HIRN, Corentin ROUGE, Dominique BERTAIL, Richard GUERINEAU, Mario MILANO, Alain, MOUNIER, CARAMALI SRL Ralph MEYER, Xavier BES Critique : Grand Angle et Tiburce Oger ne lésine pas sur cette série de one shot des "Of the West". Après Go West young man, Indians, et Gunmen, voici désormais Lawmen. La recette est toujours la même, Tiburce Oger nous livre une série d'histoires courtes sur des évènements historiques de la conquête de l'Ouest Américaine à l'aide d'une pléthore de dessinateurs tous plus talentueux les uns que les autres. J'ai été d'ailleurs très surpris par le style et les planches de Jef qu'on avait vu dans un style bien différent sur ses propres one shots ces dernières années. Le problème de ce genre d'albums, c'est que le format d'histoires courtes est très frustrant, surtout que le niveau d'intérêt des anecdotes choisies par Tiburce Oger reste assez variable. On sait que Tiburce Oger est plus que passionné par le sujet et que c'est un formidable conteur, mais honnêtement mon intérêt s'amenuise désormais à chaque tome de cette série, que l'on oublie finalement un peu vite. Pour les passionnés de Western comme moi cela reste une belle lecture, mais qui ne va plus titiller les ténors du genre. Graphiquement par contre, il y a encore une fois du très très beau. Certaines planches sont juste magnifiques. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lawmen-of-the-west?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Grand Angle et Tiburce Oger ne lésine pas sur cette série de one shot des "Of the West". Après Go West young man, Indians, et Gunmen, voici désormais Lawmen. La recette est toujours la même, Tiburce Oger nous livre une série d'histoires courtes sur des évènements historiques de la conquête de l'Ouest Américaine à l'aide d'une pléthore de dessinateurs tous plus talentueux les uns que les autres. J'ai été d'ailleurs très surpris par le style et les planches de Jef qu'on avait vu dans un style bien différent sur ses propres one shots ces dernières années. Le problème de ce genre d'albums, c'est que le format d'histoires courtes est très frustrant, surtout que le niveau d'intérêt des anecdotes choisies par Tiburce Oger reste assez variable. On sait que Tiburce Oger est plus que passionné par le sujet et que c'est un formidable conteur, mais honnêtement mon intérêt s'amenuise désormais à chaque tome de cette série, que l'on oublie finalement un peu vite. Pour les passionnés de Western comme moi cela reste une belle lecture, mais qui ne va plus titiller les ténors du genre. Graphiquement par contre, il y a encore une fois du très très beau. Certaines planches sont juste magnifiques.
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Titre de l'album : Survival - Aparecida Prison Scenariste de l'album : Christophe Bec Dessinateur de l'album : Mirko Colak puis Diego Bonesso Coloriste : Simon Champelovier Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Bienvenue dans la prison la plus violente du Brésil où sont enfermés les criminels les plus dangereux du pays. Affrontements entre bandes rivales sont le quotidien des matons qui tentent d'y faire régner un semblant de loi. Des membres de la commission humanitaire vont se retrouver piégés et menacés par des émeutiers assoiffés de sa ng, que seul un flic infiltré pourra peut-être contrer... Critique : Bon il faut le dire d'emblée pour évacuer le sujet : oui il y a bien deux dessinateurs différents sur ce tome : Mirko Colak sur les 33 premières pages puis Diego Bonesso sur la fin. Mais la transition entre les deux est bien faite, et si l'on remarque bien quelques différences, elles ne sont pas gênantes et pas forcément visible au premier lecteur. Pas de soucis de ce côté là donc. Survival c'est la nouvelle série de one shot sans lien les uns avec les autres, basé sur le principe de survie en milieu hostile et scénarisés par Christophe Bec. Si le premier nous avait emmené en forêt puis en haute montagne, celui-ci nous emmènera dans les bas fonds d'une prison brésilienne. Soyons factuels, ces deux premiers épisodes tournent vite au jeu de massacre, celui-ci venant dans la droite ligne du précédent comme on peut s'y attendre en prison. La bd n'est clairement pas à mettre entre toutes les mains, la violence y étant sur représentée, gore à souhait, et parfois franchement un brin dérangeante. Ceci étant dit, c'est en partie lié au sujet donc ce n'est pas hors de propos. Si le scénario de Christophe Bec était un peu linéaire et simpliste sur le premier tome malgré un joli twist final, ce tome-ci est plus complexe, et pour tout dire plus intéressant. Seul bémol, et c'est mon dada du moment, en 64 pages, Christophe Bec se débrouille pour laisser d'immenses zones d'ombres et certains personnages très très très obscurs. Alors si j'aime bien quand le scénariste ne nous pose pas tout tout cuit sous les yeux, là c'est un péché de gourmandise, cela n'apporte rien, et quand il faut aller lire le résumé au dos pour en apprendre plus sur l'un des personnages principaux, cela fait quand même bizarre... Les dessins ne sont pas ce qui se fait de mieux en bd, mais ils rendent à merveille la brutalité et la sauvagerie de cet univers carcéral. Ce tome 2 réhausse mon intérêt pour cette série de one shot et je ne peux que vous le conseiller si vous n'êtes pas allergiques à l'ultra violence. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/survival-aparecida-prison/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon il faut le dire d'emblée pour évacuer le sujet : oui il y a bien deux dessinateurs différents sur ce tome : Mirko Colak sur les 33 premières pages puis Diego Bonesso sur la fin. Mais la transition entre les deux est bien faite, et si l'on remarque bien quelques différences, elles ne sont pas gênantes et pas forcément visible au premier lecteur. Pas de soucis de ce côté là donc. Survival c'est la nouvelle série de one shot sans lien les uns avec les autres, basé sur le principe de survie en milieu hostile et scénarisés par Christophe Bec. Si le premier nous avait emmené en forêt puis en haute montagne, celui-ci nous emmènera dans les bas fonds d'une prison brésilienne. Soyons factuels, ces deux premiers épisodes tournent vite au jeu de massacre, celui-ci venant dans la droite ligne du précédent comme on peut s'y attendre en prison. La bd n'est clairement pas à mettre entre toutes les mains, la violence y étant sur représentée, gore à souhait, et parfois franchement un brin dérangeante. Ceci étant dit, c'est en partie lié au sujet donc ce n'est pas hors de propos. Si le scénario de Christophe Bec était un peu linéaire et simpliste sur le premier tome malgré un joli twist final, ce tome-ci est plus complexe, et pour tout dire plus intéressant. Seul bémol, et c'est mon dada du moment, en 64 pages, Christophe Bec se débrouille pour laisser d'immenses zones d'ombres et certains personnages très très très obscurs. Alors si j'aime bien quand le scénariste ne nous pose pas tout tout cuit sous les yeux, là c'est un péché de gourmandise, cela n'apporte rien, et quand il faut aller lire le résumé au dos pour en apprendre plus sur l'un des personnages principaux, cela fait quand même bizarre... Les dessins ne sont pas ce qui se fait de mieux en bd, mais ils rendent à merveille la brutalité et la sauvagerie de cet univers carcéral. Ce tome 2 réhausse mon intérêt pour cette série de one shot et je ne peux que vous le conseiller si vous n'êtes pas allergiques à l'ultra violence.
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Titre de l'album : Bat-man - First knight Scenariste de l'album : Mike Perrins Dessinateur de l'album : Dan Jurgens Coloriste : Dan Jurgens Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : 1939, le fascisme monte au lendemain de la Grande Dépression, alors qu'un Batman débutant arpente les rues de Gotham. Enquêtant sur une série de crimes, Batman réalise que chacun de ses suspects est en réalité mort et enterré. Avec pour seul allié James Gordon, enquêteur au GCPD, le Chevalier Noir va devoir lever le voile sur ces «criminels réanimés» et trouver le moyen de les arrêter... Critique : C'est parti pour un nouveau tome sur les origines de Batman. Si cela semble un peu trop répétitif avec un nombre conséquent de "premier combat", celui ci se démarque par la temporalité de son action : Il se place véritablement au début du comics avec une action qui prend place dans le Gotham de la fin des années 30, entre grande dépression, montée de l'antisémitisme et menace d'une nouvelle guerre mondiale. Notre Bat-man se bat avec les outils de l'époque et affronte des méchants que l'époque peut lui apporter : des gangsters. Mais la ou nos auteurs tire leur épingle du jeu, c'est qu'ils réunissent, via une habile utilisation de "morts-vivants" à insérer une couche de fantastique dans ces années très souvent dédiées à ces seuls gangsters. Un one shot sombre, mais très en accord avec l'époque décrite. Une bonne histoire de Bat-Man qui, à défaut d'être super original sur les personnages principaux, sait nous attirer dans son ambiance année 30 ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/bat-man-first-knight?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C'est parti pour un nouveau tome sur les origines de Batman. Si cela semble un peu trop répétitif avec un nombre conséquent de "premier combat", celui ci se démarque par la temporalité de son action : Il se place véritablement au début du comics avec une action qui prend place dans le Gotham de la fin des années 30, entre grande dépression, montée de l'antisémitisme et menace d'une nouvelle guerre mondiale. Notre Bat-man se bat avec les outils de l'époque et affronte des méchants que l'époque peut lui apporter : des gangsters. Mais la ou nos auteurs tire leur épingle du jeu, c'est qu'ils réunissent, via une habile utilisation de "morts-vivants" à insérer une couche de fantastique dans ces années très souvent dédiées à ces seuls gangsters. Un one shot sombre, mais très en accord avec l'époque décrite. Une bonne histoire de Bat-Man qui, à défaut d'être super original sur les personnages principaux, sait nous attirer dans son ambiance année 30 !
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Premier roman graphique de Sophie Leullier et une première réussite avec ce one shot graphiquement très beau nous présente une histoire de vengeance et de deuil, le tout teinté de mysticisme et d'obscurantisme. Un one shot globalement très prenant. L'histoire globalement centrée sur Tarik nous montre un jeune qui cherche tout ce qu'il peut se faire pardonner une mort à laquelle il ne pouvait rien. On comprend facilement ce qui pousse notre jeune Tarik et c'est globalement bien pensé. Mais ce qui fait le sel de cette bd c'est surtout le coté mystique, porté par la mère, accusée de sorcellerie mais que tout le monde vient voir. Un mysticisme qui, avec la mort prématuré du frère et une malédiction, relève une histoire qui avait tout dû déjà vu. On se retrouve avec une histoire plus sympathique à lire porté par une très belle coloration
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Titre de l'album : Ce que les corbeaux nous laissent Scenariste de l'album : Sophie Leullier Dessinateur de l'album : Sophie Leullier Coloriste : Sophie Leullier Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Dans les contrées normandes du IXe siècle, Tarik et Adalrik grandissent aux côtés de leur maman Galwinthe. Lorsque qu'Adalrik est assassiné, Tarik se mure dans le silence. Hanté par le fantôme de son frère, il grandit à la recherche d'une vengeance qu'il espère salvatrice. Noyant son chagrin dans l'alcool et les arnaques, il est convaincu que retrouver les coupables l'aidera à faire son deuil. Bercée par les croyances celtes et vikings, Galwinthe se réfugie dans l'étude de parchemins pour trouver comment guider Adalrik dans le royaume des morts. Ensemble, ils vont découvrir que le sort d'Adalrik était scellé depuis des années. Depuis un événement dramatique lié à Galwinthe... Ce que les corbeaux nous laissent, premier roman graphique de Sophie Leullier, est un récit puissant et orageux qui convoque un riche folklore médiéval pour raconter les différentes phases d'un deuil. Critique : Premier roman graphique de Sophie Leullier et une première réussite avec ce one shot graphiquement très beau nous présente une histoire de vengeance et de deuil, le tout teinté de mysticisme et d'obscurantisme. Un one shot globalement très prenant. L'histoire globalement centrée sur Tarik nous montre un jeune qui cherche tout ce qu'il peut se faire pardonner une mort à laquelle il ne pouvait rien. On comprend facilement ce qui pousse notre jeune Tarik et c'est globalement bien pensé. Mais ce qui fait le sel de cette bd c'est surtout le coté mystique, porté par la mère, accusée de sorcellerie mais que tout le monde vient voir. Un mysticisme qui, avec la mort prématuré du frère et une malédiction, relève une histoire qui avait tout dû déjà vu. On se retrouve avec une histoire plus sympathique à lire porté par une très belle coloration Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ce-que-les-corbeaux-nous-laissent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Danger street Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Jorge Fornés Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Starman, Metamorpho et Warlord souhaitent intégrer la Justice League à tout prix. Pour prouver qu'ils en sont dignes, ils ont la brillante idée d'invoquer et d'affronter l'un de ses plus redoutables ennemis : Darkseid. Sans grande surprise, les conséquences sont terribles pour le monde, qui se dirige bien vite vers une crise sans précédent. Le voyage pour tenter de rattraper leur bévue sera périlleux, et l'aide de Manhunter, Lady Cop, Creeper ou encore la Green Team ne sera pas de trop ! Critique : Je ne cache pas mon amour pour Tom King et la façon dont il raconte les histoires. Alors quand il nous sort un nouveau one shot, qui est présente comme LE one shot de super héros pour ceux qui n'en lisent pas, je me suis frotté les mains... Un peu trop vite peut être. En effet j'ai été moyennement convaincu par ce one shot. Alors certes, la narration "à la King" est là, toujours aussi efficace. Certes les dessins sont bien et les mêmes du début à la fin. Certes le pitch n'est pas mensonger : vous ne connaitrez pas les héros comme les méchants de cet album, sauf très grosse culture comics des années 80.... Mais la mayonnaise à du mal à prendre. Malgré une intelligente narration par le casque de Docteur Fate (bon ok lui, vous connaissez), la première partie de l'histoire est poussive. Les cases s'imbriquent tellement doucement qu'on a du mal à accrocher. Ce début "lent" est une des marques de fabrique de King, mais elle est habitude compensée par un personnage principale très charismatique. Là, on n'a aucune accroche avec les personnages donc ce démarrage lent est..... vraiment trop lent. Alors oui une fois qu'on a passé les 2/3 de la lecture (sur un beau 376 pages quand même), la fin est bien foutue et prenante. Oui on est content de voir Darkseid et les nouveaux dieux pointer le bout de leur nez, vu que eux, on les connait un peu.... Mais l'ensemble est très long à lire pour une intrigue qui peine à en valoir le coup. Alors peut-être que je lis trop de comics... ou peut etre que pour une fois l'essai n'est pas vraiment transformé... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/danger-street?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je ne cache pas mon amour pour Tom King et la façon dont il raconte les histoires. Alors quand il nous sort un nouveau one shot, qui est présente comme LE one shot de super héros pour ceux qui n'en lisent pas, je me suis frotté les mains... Un peu trop vite peut être. En effet j'ai été moyennement convaincu par ce one shot. Alors certes, la narration "à la King" est là, toujours aussi efficace. Certes les dessins sont bien et les mêmes du début à la fin. Certes le pitch n'est pas mensonger : vous ne connaitrez pas les héros comme les méchants de cet album, sauf très grosse culture comics des années 80.... Mais la mayonnaise à du mal à prendre. Malgré une intelligente narration par le casque de Docteur Fate (bon ok lui, vous connaissez), la première partie de l'histoire est poussive. Les cases s'imbriquent tellement doucement qu'on a du mal à accrocher. Ce début "lent" est une des marques de fabrique de King, mais elle est habitude compensée par un personnage principale très charismatique. Là, on n'a aucune accroche avec les personnages donc ce démarrage lent est..... vraiment trop lent. Alors oui une fois qu'on a passé les 2/3 de la lecture (sur un beau 376 pages quand même), la fin est bien foutue et prenante. Oui on est content de voir Darkseid et les nouveaux dieux pointer le bout de leur nez, vu que eux, on les connait un peu.... Mais l'ensemble est très long à lire pour une intrigue qui peine à en valoir le coup. Alors peut-être que je lis trop de comics... ou peut etre que pour une fois l'essai n'est pas vraiment transformé...
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Titre de l'album : Les enfants du Solstice Scenariste de l'album : Marianne Alexandre Dessinateur de l'album : Marianne Alexandre Coloriste : Marianne Alexandre Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Gaia, planète naguère prospère et saine, est aujourd'hui nécrosée par l'apparition de mystérieuses spores tandis que son peuple, au fil du temps, s'est vu abandonné par le reste de l'Empire. Reste pourtant cette tradition ancestrale qui les relie toujours à Ouranos, siège du pouvoir : le jour de leurs quinze ans, toutes les jeunes filles nées au solstice d'hiver et tous les garçons nés au solstice d'été ont ordre de rejoindre la Capitale. Ils y deviendront les prêtresses de Luna et les gardes de Phoebus : un avenir où le choix n'a pas sa place. Ambre et Leto se connaissent depuis l'enfance ; la première est fougueuse et téméraire, tandis que le second est de nature timide et délicate. Autrement dit, ils sont tous les deux désespérés du destin qu'on leur impose, une vie de calme et de recueillement pour Ambre, intrépide, un entraînement au combat harassant pour Leto, davantage passionné par les arts. Et s'ils échangeaient secrètement leurs identités ? Critique : Rhaaa il manque quelques pages... en fait non un chapitre complet. Enfin non ce n'est pas vrai. On aimerait qu'il y ait un chapitre de plus surtout. En effet la réussite de Marianne Alexandre est d'avoir su nous faire aimer ses personnages en un seul tome. À un tel point qu'on aimerait en avoir plus. Ce n'était pas chose gagnée d'avance. En effet le saut d'époque en époque au fil des parties et la narration via lettre interposée promettait un récit ou le lecteur serait plus spectateur qu'impliqué. Et bien en fait pas du tout. La complicité entre nos deux jeunes ados sort des pages pour nous le rendre attachants et nous impliquer dans le récit. Le contexte fantastique aide aussi avec une trame assez classique (une lutte de pouvoir entre les riches et le peuple) mais bien "décorée" avec un de la pollution atmosphérique qui rend la terre du peuple inhabitable, des voyages en licornes ailées, du futurisme "retro".... bref un univers intéressant et rafraîchissant. Le tout porté par un dessin... qui ravira les fans de manga ! pour tout dire j'ai du vérifier que ce n'était pas l'auteur de Sky Wars (et Appare Ramnan !) qui avait dessiné cette histoire ! De quoi me plaire ! D'ou peut-être la déception de cette fin un peu "abrupte".... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-du-solstice?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Rhaaa il manque quelques pages... en fait non un chapitre complet. Enfin non ce n'est pas vrai. On aimerait qu'il y ait un chapitre de plus surtout. En effet la réussite de Marianne Alexandre est d'avoir su nous faire aimer ses personnages en un seul tome. À un tel point qu'on aimerait en avoir plus. Ce n'était pas chose gagnée d'avance. En effet le saut d'époque en époque au fil des parties et la narration via lettre interposée promettait un récit ou le lecteur serait plus spectateur qu'impliqué. Et bien en fait pas du tout. La complicité entre nos deux jeunes ados sort des pages pour nous le rendre attachants et nous impliquer dans le récit. Le contexte fantastique aide aussi avec une trame assez classique (une lutte de pouvoir entre les riches et le peuple) mais bien "décorée" avec un de la pollution atmosphérique qui rend la terre du peuple inhabitable, des voyages en licornes ailées, du futurisme "retro".... bref un univers intéressant et rafraîchissant. Le tout porté par un dessin... qui ravira les fans de manga ! pour tout dire j'ai du vérifier que ce n'était pas l'auteur de Sky Wars (et Appare Ramnan !) qui avait dessiné cette histoire ! De quoi me plaire ! D'ou peut-être la déception de cette fin un peu "abrupte"....
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Titre de l'album : Delta Blues Café Scenariste de l'album : Philippe Charlot Dessinateur de l'album : Miras Coloriste : Miras Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : « Elle lui avait dédié une chanson. Depuis 60 ans, il cherche cet unique enregistrement...» À l'occasion de la sortie de son film sur Robert Johnson, du blues dans les veines, Laup, acteur noir de Guyane française, est encensé par la critique. Seule ombre au tableau : le commentaire acerbe du professeur Moore de l'université du Mississippi, un vieil homme blanc spécialiste des musiques afro-américaines du début du xxe siècle. Alors en tournée de promotion, Laup profite d'un passage dans la région pour rencontrer le professeur. L'accueil est glacial. Contre toute attente, le jeune acteur décide de suivre le vieil homme dans sa quête de disques oubliés... et d'un amour perdu. Leur périple les conduit chez l'extravagante Jezie, ange gardien de ce Delta Blues Café où se réunissent les fans de blues, et où tout peut arriver, le meilleur comme le pire... En partenariat avec JAZZ Radio Critique : Dela Blues café c'est une aventure moderne à la recherche d'une douce mélancolie issue des meilleures années du blues. Sous la forme d'un road trip intergénérationnel bien pensé, nos auteurs livrent un bel hommage à un genre musical trop peu mis sur le devant de la scène en France. Une bonne histoire tenue par le personnage du professeur qui, du haut de son grand âge et ses connaissances, réussi à compenser un personnage "principale" globalement transparent et aux décisions qui semblent toutes plus incongrues les unes que les autres. Comme quoi un thème et un personnage charismatique suffisent à nous faire oublier des errements de scenarios et à nous faire passer un bon moment, bien aidé par un graphisme particulièrement réussi ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/delta-blues-cafe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dela Blues café c'est une aventure moderne à la recherche d'une douce mélancolie issue des meilleures années du blues. Sous la forme d'un road trip intergénérationnel bien pensé, nos auteurs livrent un bel hommage à un genre musical trop peu mis sur le devant de la scène en France. Une bonne histoire tenue par le personnage du professeur qui, du haut de son grand âge et ses connaissances, réussi à compenser un personnage "principale" globalement transparent et aux décisions qui semblent toutes plus incongrues les unes que les autres. Comme quoi un thème et un personnage charismatique suffisent à nous faire oublier des errements de scenarios et à nous faire passer un bon moment, bien aidé par un graphisme particulièrement réussi !
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Titre de l'album : Superman lost Scenariste de l'album : Christopher Priest Dessinateur de l'album : Carlo Pagulayan Coloriste : Carlo Pagulayan Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lois Lane et Clark Kent filent le parfait amour, dans un appartement normal, avec leurs petites habitudes de couple normal. Clark enfile certes collants et cape de temps à autre pour sauver le monde, mais à part ça, tout est des plus ordinaires à Metropolis. Jusqu'au jour où Superman rentre à la maison, après une mission de routine... Debout au milieu du salon, il garde son costume, montrant tous les signes extérieurs d'un trouble de stress post-traumatique, et déclare : « Je suis parti... 20 ans. » SUPERMAN : LOST, une maxi-série de dix numéros scénarisée par Christopher PRIEST, à qui l'on doit un run de Black Panther chez Marvel, mais également des passages sur la JUSTICE LEAGUE et DEATHSTROKE. Critique : Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-lost?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture.
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Titre de l'album : Thorgal Saga - Wendigo Scenariste de l'album : Fred Duval Dessinateur de l'album : Corentin Rouge Coloriste : Walter & Corentin Rouge Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Naviguant vers leurs terres depuis le pays Qâ, Thorgal, Aaricia et Jolan se retrouvent pris au beau milieu du conflit qui oppose le Peuple de l'Eau et celui de la Forêt. Leurs divinités respectives sont maintenant déchaînées, et rien ne pourra plus entraver le chaos de la guerre. Sauf, peut-être, une flèche taillée dans l'Arbre de Vie, tirée sur le redoutable Wendigo. Pour sauver Aaricia, enceinte et blessée, Thorgal n'a d'autre choix que de prendre parti et de se compromettre une nouvelle fois dans la folie des hommes. Critique : Bon ben, chapeau Le Lombard. Aux éditeurs : Prenez des notes. Sur une série comme Thorgal, arriver encore à nous intéresser voir à nous passionner avec une série dérivée de la série mère... c'est un petit exploit. Surtout sur un genre aussi courru que celui de la Fantasy en bd, et après déjà 3 séries dérivées. Sauf que voilà. Le lombard laisse un peu de libertés à des auteurs exceptionnels pour venir s'insérer dans la première chronologie de Thorgal. Point de personnages secondaires, juste nos héros habituels mais vu par d'autres auteurs invités. Sans dénaturer les héros, on les développe dans d'autres directions, sans renier leur héritage ils lui rendent hommage tout en nous passionnant. La tâche va être lourde pour Christophe Bec sur le prochain. Mais après un Adieu Aaricia magistral, ce Wendigo devient lui aussi l'un des meilleurs Thorgal et fait de cette série Thorgal Saga un indispensable. Les dessins de Corentin Rouge sont un régal pour les yeux, les couleurs et l'univers ici nord américain des aventures de Thorgal est sublime, et le scénario de Fred Duval, bon... je n'en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher mais c'est très bien. Seul bémol, j'aurais aimé qu'on évite l'habituel : Thorgal doit sauver Aaricia, mais bon. Peut être pour le prochain ? M. Bec si vous nous lisez.... Si vous aimez la bd d'aventure ou de fantasy, ou si vous aimez Thorgal, ou en fait juste si vous aimez la bd, FONCEZ. C'est une réussite (de plus). Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-saga-tome-2-wendigo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon ben, chapeau Le Lombard. Aux éditeurs : Prenez des notes. Sur une série comme Thorgal, arriver encore à nous intéresser voir à nous passionner avec une série dérivée de la série mère... c'est un petit exploit. Surtout sur un genre aussi courru que celui de la Fantasy en bd, et après déjà 3 séries dérivées. Sauf que voilà. Le lombard laisse un peu de libertés à des auteurs exceptionnels pour venir s'insérer dans la première chronologie de Thorgal. Point de personnages secondaires, juste nos héros habituels mais vu par d'autres auteurs invités. Sans dénaturer les héros, on les développe dans d'autres directions, sans renier leur héritage ils lui rendent hommage tout en nous passionnant. La tâche va être lourde pour Christophe Bec sur le prochain. Mais après un Adieu Aaricia magistral, ce Wendigo devient lui aussi l'un des meilleurs Thorgal et fait de cette série Thorgal Saga un indispensable. Les dessins de Corentin Rouge sont un régal pour les yeux, les couleurs et l'univers ici nord américain des aventures de Thorgal est sublime, et le scénario de Fred Duval, bon... je n'en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher mais c'est très bien. Seul bémol, j'aurais aimé qu'on évite l'habituel : Thorgal doit sauver Aaricia, mais bon. Peut être pour le prochain ? M. Bec si vous nous lisez.... Si vous aimez la bd d'aventure ou de fantasy, ou si vous aimez Thorgal, ou en fait juste si vous aimez la bd, FONCEZ. C'est une réussite (de plus).
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Titre de l'album : Wakhan Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier Dessinateur de l'album : Brice Cossu | Alexis Sentenac Coloriste : Brice Cossu | Alexis Sentenac Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Paris, 1889, alors que l'exposition universelle bat son plein, un mystérieux tueur en série sévit dans les hauteurs de la tour Eiffel, joyau de la capitale française. Le gouvernement tente d'étouffer l'affaire pour ne pas perturber les célébrations, nuire aux affaires en cours ou pire encore, fermer définitivement le monument qui ne fait déjà pas l'unanimité du gotha parisien. La jeune inspectrice Éléonore Kowalski va devoir compter sur l'aide de Jules Castignac, une nouvelle recrue fraîchement diplômée et un tantinet excentrique si elle veut débusquer le coupable avant que la malédiction de la grande dame de Paris ne fasse les choux gras de la presse à scandale. Plutôt que de suivre les recommandations de son irascible supérieur hiérarchique, Éléonore va suivre son instinct et embarquer son nouveau collègue dans une traque à mille à l'heure au coeur de la ville lumière. Des sombres ruelles au Jardin d'Éden, un claque* tout ce qu'il y a de plus distingué, en passant par Notre-Dame, nos valeureux policiers vont découvrir un lien étrange entre les meurtres et une créature divine. Une créature baptisée... Wahkan. Un récit d'aventure et de genre mené tambour battant par Brice Cossu et Alexis Sentenac, deux auteurs vedettes de Dupuis et co-dessinateurs de Goldorak, associés au prolifique scénariste Maxe L'Hermenier. * maison close. Critique : En voilà une bd qui m'a fait énormément envie : Un dessin dynamique, un univers steampunk et un one shot ! Tout pour me plaire et.... c'est peut-être pour ça que j'ai été un poil déçu. Attention ! Cette BD est un bon one shot qui ravira les 12-17 ans. On y retrouve une aventure dynamique, deux personnages haut en couleurs et qui flirtent mais surtout une aventure très "cinématographique" et pleine de rebondissements. Alors qu'est-ce qui m'a déçu ? Et bien je trouve que ce one shot est trop "superficiel" pour un adulte. Par superficiel, je ne veux pas dire que l'histoire est bâclée. Juste que nos auteurs n'ont pas le volume de page nécessaire pour développer suffisamment les petites lignes de l'histoire. L'exemple typique est la fin qui clôt l'histoire mais le fait trop vite, laissant l'action prendre le pas sur les relations entre les différents protagonistes. Et c'est un peu dommage, car cela laisse cette histoire au niveau des "histoires pour ado" la ou elle pourrait être bien plus au vu de l'univers inventé. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wahkan?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voilà une bd qui m'a fait énormément envie : Un dessin dynamique, un univers steampunk et un one shot ! Tout pour me plaire et.... c'est peut-être pour ça que j'ai été un poil déçu. Attention ! Cette BD est un bon one shot qui ravira les 12-17 ans. On y retrouve une aventure dynamique, deux personnages haut en couleurs et qui flirtent mais surtout une aventure très "cinématographique" et pleine de rebondissements. Alors qu'est-ce qui m'a déçu ? Et bien je trouve que ce one shot est trop "superficiel" pour un adulte. Par superficiel, je ne veux pas dire que l'histoire est bâclée. Juste que nos auteurs n'ont pas le volume de page nécessaire pour développer suffisamment les petites lignes de l'histoire. L'exemple typique est la fin qui clôt l'histoire mais le fait trop vite, laissant l'action prendre le pas sur les relations entre les différents protagonistes. Et c'est un peu dommage, car cela laisse cette histoire au niveau des "histoires pour ado" la ou elle pourrait être bien plus au vu de l'univers inventé.
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Adaptation d'une nouvelle de science-fiction de J-A Debats par Valérie Magnin, avec une histoire d'anticipation qui fait aussi froid dans le dos qu'elle n'est belle. On parle ici de la recherche de la vie éternelle par la "transmission" des pensées dans un nouveau corps. Qui n'a jamais rêvé de trouver un nouveau corps... peu importe le corps ? Et on parle forcément des dérives que peuvent impliquer ce genre d'évolution technologique. Sublimement dessinée avec des parties sous l'eau à couper le souffle, cette histoire réussit à nous faire rêver autant qu'à nous faire peur. Une bien belle histoire dont on espère qu'elle restera de l'ordre de la science-fiction
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Titre de l'album : La vieille Anglaise et le continent Scenariste de l'album : Valérie Mangin Dessinateur de l'album : Stefano Martino Coloriste : Stefano Martino Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Un thriller abyssal ! Des scientifiques ont mis au point la transmnèse : le transfert de l'esprit dans un nouveau corps. Lorsque Ann Kelvin, mourante, se voit proposer la possibilité de migrer dans un grand cachalot, elle n'hésite pas longtemps. Cette éco-activiste qui place ses idéaux au-delà de sa propre vie espère ainsi sauver des espèces maritimes menacées par la pêche et la chasse en inoculant un virus hautement transmissible aux cétacés. Épidémie bénigne pour les baleines, mais pandémie aux effets secondaires délétères pour l'espèce humaine qui continuerait d'en consommer.Des profondeurs abyssales à l'immensité spectaculaire des eaux glacées de l'Antarctique, Ann va faire de nombreuses et dangereuses rencontres. Mais le plus redoutable des prédateurs reste l'Homme : des privilégiés ont détourné la transmnèse à leur profit... Critique : Adaptation d'une nouvelle de science-fiction de J-A Debats par Valérie Magnin, avec une histoire d'anticipation qui fait aussi froid dans le dos qu'elle n'est belle. On parle ici de la recherche de la vie éternelle par la "transmission" des pensées dans un nouveau corps. Qui n'a jamais rêvé de trouver un nouveau corps... peu importe le corps ? Et on parle forcément des dérives que peuvent impliquer ce genre d'évolution technologique. Sublimement dessinée avec des parties sous l'eau à couper le souffle, cette histoire réussit à nous faire rêver autant qu'à nous faire peur. Une bien belle histoire dont on espère qu'elle restera de l'ordre de la science-fiction Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vieille-anglaise-et-le-continent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Suicide squad : Blaze Scenariste de l'album : Simon Spurrier Dessinateur de l'album : Aaron Campbell Coloriste : Aaron Campbell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un méta-humain avec les pouvoirs de Superman, mais dépourvu de toute humanité, a été lâché sur le monde. Pour stopper ce fléau, Harley Quinn, Peacemaker, Captain Boomerang et King Shark sont missionner pour baby-sitter — et au besoin exécuter — cinq nouvelles recrues mortelles au sein de la Suicide Squad ; cinq créatures sacrifiables nées d'une expérience gouvernementale secrète du nom de Blaze. Ils sont dotés d'incroyables pouvoirs... étonnamment transmissibles. Et quand un membre de l'équipe meurt, les autres deviennent plus puissants. Qu'est-ce qui pourrait mal se passer... ? Contenu vo : Suicide Squad : Blaze #1-3. Critique : Étrange ce Suicide Squad blaze. Étrange car complètement hors continuité DC, mais étrange parce que sensiblement dans la même mouvance que les récents Catwoman Lonely City ou encore l’excellent Rogues. En effet, on est dans une histoire qui voit des héros (ou anti héros) se retrouver dans une situation catastrophique suite à un échec des plus grands héros. Situation qui va amener un changement dans l'univers des super héros tel que nous le connaissons. SI je n’aime pas particulièrement l’équipe de la suicide squad, je dois bien avouer que cette version « nounou » m’a bien plus. Tout d’abord, il faut remercier Aaron Campbell pour son travail graphique de toute beauté. Que ce soit les parties réalistes que les parties plus mystiques, le dessin est sublime et très prenant. Ensuite, il faut aussi souligner que cette histoire n’est pas « vraiment » une histoire de suicide squad, n’en déplaise à la couverture. Enfin pas à cette suicide squad la. Une autre plus déprimée et se sachant se diriger vers une mort certaine. Une suicide squad qui n’a, le pense-t-elle, vraiment rien à perdre. Encore un bon one shot pour DC qui met la barre très haut niveau one shot en ce début d’année Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/suicide-squad-blaze?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Étrange ce Suicide Squad blaze. Étrange car complètement hors continuité DC, mais étrange parce que sensiblement dans la même mouvance que les récents Catwoman Lonely City ou encore l’excellent Rogues. En effet, on est dans une histoire qui voit des héros (ou anti héros) se retrouver dans une situation catastrophique suite à un échec des plus grands héros. Situation qui va amener un changement dans l'univers des super héros tel que nous le connaissons. SI je n’aime pas particulièrement l’équipe de la suicide squad, je dois bien avouer que cette version « nounou » m’a bien plus. Tout d’abord, il faut remercier Aaron Campbell pour son travail graphique de toute beauté. Que ce soit les parties réalistes que les parties plus mystiques, le dessin est sublime et très prenant. Ensuite, il faut aussi souligner que cette histoire n’est pas « vraiment » une histoire de suicide squad, n’en déplaise à la couverture. Enfin pas à cette suicide squad la. Une autre plus déprimée et se sachant se diriger vers une mort certaine. Une suicide squad qui n’a, le pense-t-elle, vraiment rien à perdre. Encore un bon one shot pour DC qui met la barre très haut niveau one shot en ce début d’année
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Titre de l'album : Issunboshi - Le petit Samouraï Scenariste de l'album : Ryan Lang Dessinateur de l'album : Ryan Lang Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Dans un Japon féodal où le mythe et le folklore sont réels, un démon décide de reforger une arme ancienne très puissante pour conquérir le monde. La légende dit que seul un véritable guerrier sans peur pourra l'arrêter. Au même moment, sur une autre île, naît Issunboshi, un jeune garçon d'à peine quelques centimètres de haut. Malgré sa petite taille, il suit l'entrainement pour devenir samouraï. Et si c'était sur ses petites épaules que reposait le sort du monde ? Issunboshi, par les choix qu'il va faire, nous rappelle qu'on ne nait pas héros, on trouve le courage d'en devenir un. Critique : Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/issunboshi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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- one shot
- japon médiéval
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(et 3 en plus)
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