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Titre de l'album : Danger street Scenariste de l'album : Tom King Dessinateur de l'album : Jorge Fornés Coloriste : Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Starman, Metamorpho et Warlord souhaitent intégrer la Justice League à tout prix. Pour prouver qu'ils en sont dignes, ils ont la brillante idée d'invoquer et d'affronter l'un de ses plus redoutables ennemis : Darkseid. Sans grande surprise, les conséquences sont terribles pour le monde, qui se dirige bien vite vers une crise sans précédent. Le voyage pour tenter de rattraper leur bévue sera périlleux, et l'aide de Manhunter, Lady Cop, Creeper ou encore la Green Team ne sera pas de trop ! Critique : Je ne cache pas mon amour pour Tom King et la façon dont il raconte les histoires. Alors quand il nous sort un nouveau one shot, qui est présente comme LE one shot de super héros pour ceux qui n'en lisent pas, je me suis frotté les mains... Un peu trop vite peut être. En effet j'ai été moyennement convaincu par ce one shot. Alors certes, la narration "à la King" est là, toujours aussi efficace. Certes les dessins sont bien et les mêmes du début à la fin. Certes le pitch n'est pas mensonger : vous ne connaitrez pas les héros comme les méchants de cet album, sauf très grosse culture comics des années 80.... Mais la mayonnaise à du mal à prendre. Malgré une intelligente narration par le casque de Docteur Fate (bon ok lui, vous connaissez), la première partie de l'histoire est poussive. Les cases s'imbriquent tellement doucement qu'on a du mal à accrocher. Ce début "lent" est une des marques de fabrique de King, mais elle est habitude compensée par un personnage principale très charismatique. Là, on n'a aucune accroche avec les personnages donc ce démarrage lent est..... vraiment trop lent. Alors oui une fois qu'on a passé les 2/3 de la lecture (sur un beau 376 pages quand même), la fin est bien foutue et prenante. Oui on est content de voir Darkseid et les nouveaux dieux pointer le bout de leur nez, vu que eux, on les connait un peu.... Mais l'ensemble est très long à lire pour une intrigue qui peine à en valoir le coup. Alors peut-être que je lis trop de comics... ou peut etre que pour une fois l'essai n'est pas vraiment transformé... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/danger-street?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Je ne cache pas mon amour pour Tom King et la façon dont il raconte les histoires. Alors quand il nous sort un nouveau one shot, qui est présente comme LE one shot de super héros pour ceux qui n'en lisent pas, je me suis frotté les mains... Un peu trop vite peut être. En effet j'ai été moyennement convaincu par ce one shot. Alors certes, la narration "à la King" est là, toujours aussi efficace. Certes les dessins sont bien et les mêmes du début à la fin. Certes le pitch n'est pas mensonger : vous ne connaitrez pas les héros comme les méchants de cet album, sauf très grosse culture comics des années 80.... Mais la mayonnaise à du mal à prendre. Malgré une intelligente narration par le casque de Docteur Fate (bon ok lui, vous connaissez), la première partie de l'histoire est poussive. Les cases s'imbriquent tellement doucement qu'on a du mal à accrocher. Ce début "lent" est une des marques de fabrique de King, mais elle est habitude compensée par un personnage principale très charismatique. Là, on n'a aucune accroche avec les personnages donc ce démarrage lent est..... vraiment trop lent. Alors oui une fois qu'on a passé les 2/3 de la lecture (sur un beau 376 pages quand même), la fin est bien foutue et prenante. Oui on est content de voir Darkseid et les nouveaux dieux pointer le bout de leur nez, vu que eux, on les connait un peu.... Mais l'ensemble est très long à lire pour une intrigue qui peine à en valoir le coup. Alors peut-être que je lis trop de comics... ou peut etre que pour une fois l'essai n'est pas vraiment transformé...
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Titre de l'album : Les enfants du Solstice Scenariste de l'album : Marianne Alexandre Dessinateur de l'album : Marianne Alexandre Coloriste : Marianne Alexandre Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Gaia, planète naguère prospère et saine, est aujourd'hui nécrosée par l'apparition de mystérieuses spores tandis que son peuple, au fil du temps, s'est vu abandonné par le reste de l'Empire. Reste pourtant cette tradition ancestrale qui les relie toujours à Ouranos, siège du pouvoir : le jour de leurs quinze ans, toutes les jeunes filles nées au solstice d'hiver et tous les garçons nés au solstice d'été ont ordre de rejoindre la Capitale. Ils y deviendront les prêtresses de Luna et les gardes de Phoebus : un avenir où le choix n'a pas sa place. Ambre et Leto se connaissent depuis l'enfance ; la première est fougueuse et téméraire, tandis que le second est de nature timide et délicate. Autrement dit, ils sont tous les deux désespérés du destin qu'on leur impose, une vie de calme et de recueillement pour Ambre, intrépide, un entraînement au combat harassant pour Leto, davantage passionné par les arts. Et s'ils échangeaient secrètement leurs identités ? Critique : Rhaaa il manque quelques pages... en fait non un chapitre complet. Enfin non ce n'est pas vrai. On aimerait qu'il y ait un chapitre de plus surtout. En effet la réussite de Marianne Alexandre est d'avoir su nous faire aimer ses personnages en un seul tome. À un tel point qu'on aimerait en avoir plus. Ce n'était pas chose gagnée d'avance. En effet le saut d'époque en époque au fil des parties et la narration via lettre interposée promettait un récit ou le lecteur serait plus spectateur qu'impliqué. Et bien en fait pas du tout. La complicité entre nos deux jeunes ados sort des pages pour nous le rendre attachants et nous impliquer dans le récit. Le contexte fantastique aide aussi avec une trame assez classique (une lutte de pouvoir entre les riches et le peuple) mais bien "décorée" avec un de la pollution atmosphérique qui rend la terre du peuple inhabitable, des voyages en licornes ailées, du futurisme "retro".... bref un univers intéressant et rafraîchissant. Le tout porté par un dessin... qui ravira les fans de manga ! pour tout dire j'ai du vérifier que ce n'était pas l'auteur de Sky Wars (et Appare Ramnan !) qui avait dessiné cette histoire ! De quoi me plaire ! D'ou peut-être la déception de cette fin un peu "abrupte".... Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-enfants-du-solstice?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Rhaaa il manque quelques pages... en fait non un chapitre complet. Enfin non ce n'est pas vrai. On aimerait qu'il y ait un chapitre de plus surtout. En effet la réussite de Marianne Alexandre est d'avoir su nous faire aimer ses personnages en un seul tome. À un tel point qu'on aimerait en avoir plus. Ce n'était pas chose gagnée d'avance. En effet le saut d'époque en époque au fil des parties et la narration via lettre interposée promettait un récit ou le lecteur serait plus spectateur qu'impliqué. Et bien en fait pas du tout. La complicité entre nos deux jeunes ados sort des pages pour nous le rendre attachants et nous impliquer dans le récit. Le contexte fantastique aide aussi avec une trame assez classique (une lutte de pouvoir entre les riches et le peuple) mais bien "décorée" avec un de la pollution atmosphérique qui rend la terre du peuple inhabitable, des voyages en licornes ailées, du futurisme "retro".... bref un univers intéressant et rafraîchissant. Le tout porté par un dessin... qui ravira les fans de manga ! pour tout dire j'ai du vérifier que ce n'était pas l'auteur de Sky Wars (et Appare Ramnan !) qui avait dessiné cette histoire ! De quoi me plaire ! D'ou peut-être la déception de cette fin un peu "abrupte"....
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Titre de l'album : Delta Blues Café Scenariste de l'album : Philippe Charlot Dessinateur de l'album : Miras Coloriste : Miras Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : « Elle lui avait dédié une chanson. Depuis 60 ans, il cherche cet unique enregistrement...» À l'occasion de la sortie de son film sur Robert Johnson, du blues dans les veines, Laup, acteur noir de Guyane française, est encensé par la critique. Seule ombre au tableau : le commentaire acerbe du professeur Moore de l'université du Mississippi, un vieil homme blanc spécialiste des musiques afro-américaines du début du xxe siècle. Alors en tournée de promotion, Laup profite d'un passage dans la région pour rencontrer le professeur. L'accueil est glacial. Contre toute attente, le jeune acteur décide de suivre le vieil homme dans sa quête de disques oubliés... et d'un amour perdu. Leur périple les conduit chez l'extravagante Jezie, ange gardien de ce Delta Blues Café où se réunissent les fans de blues, et où tout peut arriver, le meilleur comme le pire... En partenariat avec JAZZ Radio Critique : Dela Blues café c'est une aventure moderne à la recherche d'une douce mélancolie issue des meilleures années du blues. Sous la forme d'un road trip intergénérationnel bien pensé, nos auteurs livrent un bel hommage à un genre musical trop peu mis sur le devant de la scène en France. Une bonne histoire tenue par le personnage du professeur qui, du haut de son grand âge et ses connaissances, réussi à compenser un personnage "principale" globalement transparent et aux décisions qui semblent toutes plus incongrues les unes que les autres. Comme quoi un thème et un personnage charismatique suffisent à nous faire oublier des errements de scenarios et à nous faire passer un bon moment, bien aidé par un graphisme particulièrement réussi ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/delta-blues-cafe?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dela Blues café c'est une aventure moderne à la recherche d'une douce mélancolie issue des meilleures années du blues. Sous la forme d'un road trip intergénérationnel bien pensé, nos auteurs livrent un bel hommage à un genre musical trop peu mis sur le devant de la scène en France. Une bonne histoire tenue par le personnage du professeur qui, du haut de son grand âge et ses connaissances, réussi à compenser un personnage "principale" globalement transparent et aux décisions qui semblent toutes plus incongrues les unes que les autres. Comme quoi un thème et un personnage charismatique suffisent à nous faire oublier des errements de scenarios et à nous faire passer un bon moment, bien aidé par un graphisme particulièrement réussi !
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Titre de l'album : Superman lost Scenariste de l'album : Christopher Priest Dessinateur de l'album : Carlo Pagulayan Coloriste : Carlo Pagulayan Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Lois Lane et Clark Kent filent le parfait amour, dans un appartement normal, avec leurs petites habitudes de couple normal. Clark enfile certes collants et cape de temps à autre pour sauver le monde, mais à part ça, tout est des plus ordinaires à Metropolis. Jusqu'au jour où Superman rentre à la maison, après une mission de routine... Debout au milieu du salon, il garde son costume, montrant tous les signes extérieurs d'un trouble de stress post-traumatique, et déclare : « Je suis parti... 20 ans. » SUPERMAN : LOST, une maxi-série de dix numéros scénarisée par Christopher PRIEST, à qui l'on doit un run de Black Panther chez Marvel, mais également des passages sur la JUSTICE LEAGUE et DEATHSTROKE. Critique : Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-lost?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Superman Lost est un one shot ambitieux sur notre homme d'acier. Ambitieux car ayant la volonté de faire... perdre sa volonté à notre inamovible Clark Kent. Et Christopher Priest réussi cet exploit. Il réussit à nous transformer notre Superman en un homme brisé et apathie et à la faire avec une bonne justification. Qui ne serait pas troublé après un voyage dans l'espace de 20 années.... surtout si en revenant les autres ont l'impression qu'il ne s'est passé que quelques heures. Christopher Priest nous livre un superman écartelé par sa volonté de justice, peu importe ou dans l'univers et l'envie de rentrer chez lui. Un écartèlement suffisant pour le briser.... Ce voyage est graphiquement impressionnant. Carlo Pagulayan nous livre une copie presque parfaite et les passages dans l'espace son somptueux ? Le scenario est quant à lui très complexe... et aurait peut-être mérité de l'être un peu moins. il est compliqué de bien faire le rapprochement entre l'aventure de superman et l'enquête de Lois. L'aventure de superman est elle même déjà un peu tordue avec des aller-retour temporels et "universels" parfois un peu touffus. Je pense qu'une deuxième lecture m'éclairera un peu plus mais.... tout le monde n'a pas forcément le temps pour une deuxième lecture.
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Titre de l'album : Thorgal Saga - Wendigo Scenariste de l'album : Fred Duval Dessinateur de l'album : Corentin Rouge Coloriste : Walter & Corentin Rouge Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Naviguant vers leurs terres depuis le pays Qâ, Thorgal, Aaricia et Jolan se retrouvent pris au beau milieu du conflit qui oppose le Peuple de l'Eau et celui de la Forêt. Leurs divinités respectives sont maintenant déchaînées, et rien ne pourra plus entraver le chaos de la guerre. Sauf, peut-être, une flèche taillée dans l'Arbre de Vie, tirée sur le redoutable Wendigo. Pour sauver Aaricia, enceinte et blessée, Thorgal n'a d'autre choix que de prendre parti et de se compromettre une nouvelle fois dans la folie des hommes. Critique : Bon ben, chapeau Le Lombard. Aux éditeurs : Prenez des notes. Sur une série comme Thorgal, arriver encore à nous intéresser voir à nous passionner avec une série dérivée de la série mère... c'est un petit exploit. Surtout sur un genre aussi courru que celui de la Fantasy en bd, et après déjà 3 séries dérivées. Sauf que voilà. Le lombard laisse un peu de libertés à des auteurs exceptionnels pour venir s'insérer dans la première chronologie de Thorgal. Point de personnages secondaires, juste nos héros habituels mais vu par d'autres auteurs invités. Sans dénaturer les héros, on les développe dans d'autres directions, sans renier leur héritage ils lui rendent hommage tout en nous passionnant. La tâche va être lourde pour Christophe Bec sur le prochain. Mais après un Adieu Aaricia magistral, ce Wendigo devient lui aussi l'un des meilleurs Thorgal et fait de cette série Thorgal Saga un indispensable. Les dessins de Corentin Rouge sont un régal pour les yeux, les couleurs et l'univers ici nord américain des aventures de Thorgal est sublime, et le scénario de Fred Duval, bon... je n'en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher mais c'est très bien. Seul bémol, j'aurais aimé qu'on évite l'habituel : Thorgal doit sauver Aaricia, mais bon. Peut être pour le prochain ? M. Bec si vous nous lisez.... Si vous aimez la bd d'aventure ou de fantasy, ou si vous aimez Thorgal, ou en fait juste si vous aimez la bd, FONCEZ. C'est une réussite (de plus). Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-saga-tome-2-wendigo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon ben, chapeau Le Lombard. Aux éditeurs : Prenez des notes. Sur une série comme Thorgal, arriver encore à nous intéresser voir à nous passionner avec une série dérivée de la série mère... c'est un petit exploit. Surtout sur un genre aussi courru que celui de la Fantasy en bd, et après déjà 3 séries dérivées. Sauf que voilà. Le lombard laisse un peu de libertés à des auteurs exceptionnels pour venir s'insérer dans la première chronologie de Thorgal. Point de personnages secondaires, juste nos héros habituels mais vu par d'autres auteurs invités. Sans dénaturer les héros, on les développe dans d'autres directions, sans renier leur héritage ils lui rendent hommage tout en nous passionnant. La tâche va être lourde pour Christophe Bec sur le prochain. Mais après un Adieu Aaricia magistral, ce Wendigo devient lui aussi l'un des meilleurs Thorgal et fait de cette série Thorgal Saga un indispensable. Les dessins de Corentin Rouge sont un régal pour les yeux, les couleurs et l'univers ici nord américain des aventures de Thorgal est sublime, et le scénario de Fred Duval, bon... je n'en dirais pas plus pour ne pas vous gâcher mais c'est très bien. Seul bémol, j'aurais aimé qu'on évite l'habituel : Thorgal doit sauver Aaricia, mais bon. Peut être pour le prochain ? M. Bec si vous nous lisez.... Si vous aimez la bd d'aventure ou de fantasy, ou si vous aimez Thorgal, ou en fait juste si vous aimez la bd, FONCEZ. C'est une réussite (de plus).
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Titre de l'album : Wakhan Scenariste de l'album : Maxe L'Hermenier Dessinateur de l'album : Brice Cossu | Alexis Sentenac Coloriste : Brice Cossu | Alexis Sentenac Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Paris, 1889, alors que l'exposition universelle bat son plein, un mystérieux tueur en série sévit dans les hauteurs de la tour Eiffel, joyau de la capitale française. Le gouvernement tente d'étouffer l'affaire pour ne pas perturber les célébrations, nuire aux affaires en cours ou pire encore, fermer définitivement le monument qui ne fait déjà pas l'unanimité du gotha parisien. La jeune inspectrice Éléonore Kowalski va devoir compter sur l'aide de Jules Castignac, une nouvelle recrue fraîchement diplômée et un tantinet excentrique si elle veut débusquer le coupable avant que la malédiction de la grande dame de Paris ne fasse les choux gras de la presse à scandale. Plutôt que de suivre les recommandations de son irascible supérieur hiérarchique, Éléonore va suivre son instinct et embarquer son nouveau collègue dans une traque à mille à l'heure au coeur de la ville lumière. Des sombres ruelles au Jardin d'Éden, un claque* tout ce qu'il y a de plus distingué, en passant par Notre-Dame, nos valeureux policiers vont découvrir un lien étrange entre les meurtres et une créature divine. Une créature baptisée... Wahkan. Un récit d'aventure et de genre mené tambour battant par Brice Cossu et Alexis Sentenac, deux auteurs vedettes de Dupuis et co-dessinateurs de Goldorak, associés au prolifique scénariste Maxe L'Hermenier. * maison close. Critique : En voilà une bd qui m'a fait énormément envie : Un dessin dynamique, un univers steampunk et un one shot ! Tout pour me plaire et.... c'est peut-être pour ça que j'ai été un poil déçu. Attention ! Cette BD est un bon one shot qui ravira les 12-17 ans. On y retrouve une aventure dynamique, deux personnages haut en couleurs et qui flirtent mais surtout une aventure très "cinématographique" et pleine de rebondissements. Alors qu'est-ce qui m'a déçu ? Et bien je trouve que ce one shot est trop "superficiel" pour un adulte. Par superficiel, je ne veux pas dire que l'histoire est bâclée. Juste que nos auteurs n'ont pas le volume de page nécessaire pour développer suffisamment les petites lignes de l'histoire. L'exemple typique est la fin qui clôt l'histoire mais le fait trop vite, laissant l'action prendre le pas sur les relations entre les différents protagonistes. Et c'est un peu dommage, car cela laisse cette histoire au niveau des "histoires pour ado" la ou elle pourrait être bien plus au vu de l'univers inventé. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/wahkan?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En voilà une bd qui m'a fait énormément envie : Un dessin dynamique, un univers steampunk et un one shot ! Tout pour me plaire et.... c'est peut-être pour ça que j'ai été un poil déçu. Attention ! Cette BD est un bon one shot qui ravira les 12-17 ans. On y retrouve une aventure dynamique, deux personnages haut en couleurs et qui flirtent mais surtout une aventure très "cinématographique" et pleine de rebondissements. Alors qu'est-ce qui m'a déçu ? Et bien je trouve que ce one shot est trop "superficiel" pour un adulte. Par superficiel, je ne veux pas dire que l'histoire est bâclée. Juste que nos auteurs n'ont pas le volume de page nécessaire pour développer suffisamment les petites lignes de l'histoire. L'exemple typique est la fin qui clôt l'histoire mais le fait trop vite, laissant l'action prendre le pas sur les relations entre les différents protagonistes. Et c'est un peu dommage, car cela laisse cette histoire au niveau des "histoires pour ado" la ou elle pourrait être bien plus au vu de l'univers inventé.
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Adaptation d'une nouvelle de science-fiction de J-A Debats par Valérie Magnin, avec une histoire d'anticipation qui fait aussi froid dans le dos qu'elle n'est belle. On parle ici de la recherche de la vie éternelle par la "transmission" des pensées dans un nouveau corps. Qui n'a jamais rêvé de trouver un nouveau corps... peu importe le corps ? Et on parle forcément des dérives que peuvent impliquer ce genre d'évolution technologique. Sublimement dessinée avec des parties sous l'eau à couper le souffle, cette histoire réussit à nous faire rêver autant qu'à nous faire peur. Une bien belle histoire dont on espère qu'elle restera de l'ordre de la science-fiction
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Titre de l'album : La vieille Anglaise et le continent Scenariste de l'album : Valérie Mangin Dessinateur de l'album : Stefano Martino Coloriste : Stefano Martino Editeur de l'album : Grand Angle Note : Résumé de l'album : Un thriller abyssal ! Des scientifiques ont mis au point la transmnèse : le transfert de l'esprit dans un nouveau corps. Lorsque Ann Kelvin, mourante, se voit proposer la possibilité de migrer dans un grand cachalot, elle n'hésite pas longtemps. Cette éco-activiste qui place ses idéaux au-delà de sa propre vie espère ainsi sauver des espèces maritimes menacées par la pêche et la chasse en inoculant un virus hautement transmissible aux cétacés. Épidémie bénigne pour les baleines, mais pandémie aux effets secondaires délétères pour l'espèce humaine qui continuerait d'en consommer.Des profondeurs abyssales à l'immensité spectaculaire des eaux glacées de l'Antarctique, Ann va faire de nombreuses et dangereuses rencontres. Mais le plus redoutable des prédateurs reste l'Homme : des privilégiés ont détourné la transmnèse à leur profit... Critique : Adaptation d'une nouvelle de science-fiction de J-A Debats par Valérie Magnin, avec une histoire d'anticipation qui fait aussi froid dans le dos qu'elle n'est belle. On parle ici de la recherche de la vie éternelle par la "transmission" des pensées dans un nouveau corps. Qui n'a jamais rêvé de trouver un nouveau corps... peu importe le corps ? Et on parle forcément des dérives que peuvent impliquer ce genre d'évolution technologique. Sublimement dessinée avec des parties sous l'eau à couper le souffle, cette histoire réussit à nous faire rêver autant qu'à nous faire peur. Une bien belle histoire dont on espère qu'elle restera de l'ordre de la science-fiction Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-vieille-anglaise-et-le-continent?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Suicide squad : Blaze Scenariste de l'album : Simon Spurrier Dessinateur de l'album : Aaron Campbell Coloriste : Aaron Campbell Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Un méta-humain avec les pouvoirs de Superman, mais dépourvu de toute humanité, a été lâché sur le monde. Pour stopper ce fléau, Harley Quinn, Peacemaker, Captain Boomerang et King Shark sont missionner pour baby-sitter — et au besoin exécuter — cinq nouvelles recrues mortelles au sein de la Suicide Squad ; cinq créatures sacrifiables nées d'une expérience gouvernementale secrète du nom de Blaze. Ils sont dotés d'incroyables pouvoirs... étonnamment transmissibles. Et quand un membre de l'équipe meurt, les autres deviennent plus puissants. Qu'est-ce qui pourrait mal se passer... ? Contenu vo : Suicide Squad : Blaze #1-3. Critique : Étrange ce Suicide Squad blaze. Étrange car complètement hors continuité DC, mais étrange parce que sensiblement dans la même mouvance que les récents Catwoman Lonely City ou encore l’excellent Rogues. En effet, on est dans une histoire qui voit des héros (ou anti héros) se retrouver dans une situation catastrophique suite à un échec des plus grands héros. Situation qui va amener un changement dans l'univers des super héros tel que nous le connaissons. SI je n’aime pas particulièrement l’équipe de la suicide squad, je dois bien avouer que cette version « nounou » m’a bien plus. Tout d’abord, il faut remercier Aaron Campbell pour son travail graphique de toute beauté. Que ce soit les parties réalistes que les parties plus mystiques, le dessin est sublime et très prenant. Ensuite, il faut aussi souligner que cette histoire n’est pas « vraiment » une histoire de suicide squad, n’en déplaise à la couverture. Enfin pas à cette suicide squad la. Une autre plus déprimée et se sachant se diriger vers une mort certaine. Une suicide squad qui n’a, le pense-t-elle, vraiment rien à perdre. Encore un bon one shot pour DC qui met la barre très haut niveau one shot en ce début d’année Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/suicide-squad-blaze?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Étrange ce Suicide Squad blaze. Étrange car complètement hors continuité DC, mais étrange parce que sensiblement dans la même mouvance que les récents Catwoman Lonely City ou encore l’excellent Rogues. En effet, on est dans une histoire qui voit des héros (ou anti héros) se retrouver dans une situation catastrophique suite à un échec des plus grands héros. Situation qui va amener un changement dans l'univers des super héros tel que nous le connaissons. SI je n’aime pas particulièrement l’équipe de la suicide squad, je dois bien avouer que cette version « nounou » m’a bien plus. Tout d’abord, il faut remercier Aaron Campbell pour son travail graphique de toute beauté. Que ce soit les parties réalistes que les parties plus mystiques, le dessin est sublime et très prenant. Ensuite, il faut aussi souligner que cette histoire n’est pas « vraiment » une histoire de suicide squad, n’en déplaise à la couverture. Enfin pas à cette suicide squad la. Une autre plus déprimée et se sachant se diriger vers une mort certaine. Une suicide squad qui n’a, le pense-t-elle, vraiment rien à perdre. Encore un bon one shot pour DC qui met la barre très haut niveau one shot en ce début d’année
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Titre de l'album : Issunboshi - Le petit Samouraï Scenariste de l'album : Ryan Lang Dessinateur de l'album : Ryan Lang Coloriste : Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Dans un Japon féodal où le mythe et le folklore sont réels, un démon décide de reforger une arme ancienne très puissante pour conquérir le monde. La légende dit que seul un véritable guerrier sans peur pourra l'arrêter. Au même moment, sur une autre île, naît Issunboshi, un jeune garçon d'à peine quelques centimètres de haut. Malgré sa petite taille, il suit l'entrainement pour devenir samouraï. Et si c'était sur ses petites épaules que reposait le sort du monde ? Issunboshi, par les choix qu'il va faire, nous rappelle qu'on ne nait pas héros, on trouve le courage d'en devenir un. Critique : Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/issunboshi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Bon les éditeurs parlent de roman graphique... mais dur de catégoriser ce petit ovni que constitue Issunboshi tant il emprunte de la bd, du manga et du comics. Quoiqu'il en soit c'est une très belle réussite pour cet auteur qui nous vient d'Hawaï et qui a fait ses armes dans le monde du cinéma d'animation. Et cela se voit, son Issunboshi est parfait dans les animations, les plans choisis, le découpage comme le nécessaire minimalisme demandé dans un one shot. On se régale, le résultat est très propre. Pour certains ce sera un peu trop lisse, mais j'y ai trouvé pour ma part un petit supplément d'âme. Seul regret pour ma part, son choix de ne pas coloriser son récit, je crois qu'on est passé à côté de quelques planches qui nous en auraient mis plein la vue avec un coloriste digne de ce nom. Tant pis. Pour le reste Issunboshi est une jolie aventure issue d'un conte populaire Japonais, dans un monde médiéval fantastique réussi. Les enjeux sont simples, les personnages aussi, mais on se plait pourtant à suivre cette aventure avec beaucoup d'intérêt. Je me suis régalé tout au long de ces 100 pages au format comics. Je ne peux que vous le recommander, c'est l'un de mes coups de coeur du moment et même si l'on peut trouver le conte assez simpliste voir manichéen, c'est juste réussi.
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Titre de l'album : Terukan boys (one shot) Scenariste de l'album : Yu Nakahara Dessinateur de l'album : Yu Nakahara Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Trois trentenaires, qui font face aux difficultés de la vie, vont... braquer 30 millions de yens?! C'est le moment de prendre le plus grand pari de notre existence !À l'époque du lycée, Satoshi, Ryôhei et Kôta ont formé leur groupe de rock: les Terukan Boys. Aujourd'hui trentenaires, les trois compères ont choisi des voies différentes, mais font tous face à des difficultés qui leur semblent insurmontables.Un jour, ils découvrent au détour d'un magazine que Hamada, un ancien camarade du lycée, s'est lancé dans le monde de l'IT, les technologies de l'information. Mais ce qu'ils ignorent c'est que cela va changer leur destin à tout jamais! Critique : Un one shot dans le manga c'est toujours compliqué. On a tellement l'habitude de séries à rallonge que voir une histoire condensée sur un seul tome fait un peu peur. Mais ce Terukan Boys se sort plutôt très bien des griffes du code du manga. il nous livre une histoire touchante ou les changements dans la vie de nos trois jeunes adultes prennent le pas sur l'aspect casse à proprement parlé. On a plus une critique du passage à l'âge adulte et des choix difficile qui doivent être fait parfois pour se permettre d'avancer. Une bien belle lecture qui n'en fait trop et réussi à rester très humaine. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/terukan-boys?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Un one shot dans le manga c'est toujours compliqué. On a tellement l'habitude de séries à rallonge que voir une histoire condensée sur un seul tome fait un peu peur. Mais ce Terukan Boys se sort plutôt très bien des griffes du code du manga. il nous livre une histoire touchante ou les changements dans la vie de nos trois jeunes adultes prennent le pas sur l'aspect casse à proprement parlé. On a plus une critique du passage à l'âge adulte et des choix difficile qui doivent être fait parfois pour se permettre d'avancer. Une bien belle lecture qui n'en fait trop et réussi à rester très humaine.
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Titre de l'album : Dark Ages Scenariste de l'album : Tom Taylor Dessinateur de l'album : Coello Coloriste : Coello Editeur de l'album : Panini Note : Résumé de l'album : Que se passe-t-il quand les super-héros perdent ? Le Gardien apparaît tout à coup, annonçant aux héros de la Terre que la planète vit ses derniers instants. Leurs efforts ne servent à rien, tout ce qui fonctionne à l'électricité tombe en panne et le monde tel que nous le connaissons est plongé dans l'obscurité. Sept ans plus tard, les héros existent toujours mais les vilains se sont organisés, sous la houlette d'Apocalypse ! Cette année, Marvel multiplie les évènements qui pourraient constituer à eux seuls un crossover, mais qui sont contenus dans des mini-séries dédiées. L'intégralité de cette saga, qui rassemble les plus grands héros Marvel face à une menace inédite, est donc recueillie ici. Critique : Tom Taylor au scenario et un crossover qui part du principe que les héros Marvel perdent, tout ce qui m'a fait ouvrir un œil sur cette minisérie Panini, et ce sans écouter les experts (toujours grincheux ces experts, on n'est pas d'accord ?) Et bien, figurez-vous que j'aurai dû ravaler ma fierté et écouter les dire des connaisseurs. Certes, c'est très beau, vraiment, et l'idée de base n'est pas plus sortie de nulle part qu'une autre de marvel, mais le reste… pppfff en fait c'est ni plus ni moins qu'un résumé d'une histoire qui aurait mérité... d'être aussi longue que le Run d'Hickman sur les avengers. À on a entre les mains "l'essentiel de Dark Ages par Peter Parker". C'est de la voie off quasiment du début à la fin, des raccourcis démentiel et des combats rabougris a pas plus d'une case. En gros, ca ne sert à rien. Le rythme n'est même pas effréné car prendre Peter Parker en tant que narrateur détends trop l'atmosphère avec ses blagues habituelles. C'est pas ce genre de titre qui me fera revenir chez marvel, loin de la..... Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dark-ages?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Tom Taylor au scenario et un crossover qui part du principe que les héros Marvel perdent, tout ce qui m'a fait ouvrir un œil sur cette minisérie Panini, et ce sans écouter les experts (toujours grincheux ces experts, on n'est pas d'accord ?) Et bien, figurez-vous que j'aurai dû ravaler ma fierté et écouter les dire des connaisseurs. Certes, c'est très beau, vraiment, et l'idée de base n'est pas plus sortie de nulle part qu'une autre de marvel, mais le reste… pppfff en fait c'est ni plus ni moins qu'un résumé d'une histoire qui aurait mérité... d'être aussi longue que le Run d'Hickman sur les avengers. À on a entre les mains "l'essentiel de Dark Ages par Peter Parker". C'est de la voie off quasiment du début à la fin, des raccourcis démentiel et des combats rabougris a pas plus d'une case. En gros, ca ne sert à rien. Le rythme n'est même pas effréné car prendre Peter Parker en tant que narrateur détends trop l'atmosphère avec ses blagues habituelles. C'est pas ce genre de titre qui me fera revenir chez marvel, loin de la.....
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Titre de l'album : Jesse James Scenariste de l'album : Chris Regnault & Dobbs Dessinateur de l'album : Chris Regnault Coloriste : Chris Regnault Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Le bandit bien-aimé.Missouri, 1863. En pleine guerre de Sécession, la ferme des James est saccagée par une patrouille nordiste. Leur brutalité marque au fer rouge le jeune Jesse, qui n'aspire plus qu'à se venger! Fervent partisan de la cause du Sud, il rejoint les Bushwackers de «Bloody Bill» Anderson dans leur guérilla meurtrière, apprenant à piller, voler et tuer sous couvert d'une morale viciée par le traumatisme de la guerre civile. Au rétablissement de la paix, la rancoeur, le sentiment d'injustice et l'humiliation de la défaite le précipitent dans une carrière criminelle. Dans une surenchère de la violence, les quinze années qui suivent voient s'enchaîner les braquages de banques, les attaques de trains et de diligences, les règlements de comptes et les chevauchées sauvages... Jesse, son frère Frank et leur gang sont devenus les ennemis publics numéro un d'un pays qui peine à panser ses blessures, une partie de l'opinion sudiste voyant en lui un héros populaire, une sorte de justicier au grand coeur s'en prenant aux nantis pour venger l'honneur des vaincus.Christophe Regnault et Dobbs reprennent habilement les codes classiques du genre pour nous offrir un western dense et violent servi par une mise en scène puissante à l'atmosphère crépusculaire. Accompagné par l'historien Farid Ameur, spécialiste de la conquête de l'Ouest américain, ils nous entraînent, dans un fracas de sabots, sur les pas d'une figure légendaire qui n'a pas fini de fasciner les esprits. Critique : Forcément un Western en BD moi ça me fait toujours frétiller, alors l'arrivée du duo d'éditeurs Glénat / Fayard pour nous livrer des autobiographies des célébrités du Far West sérieuses mais sous forme dynamiques en BD ça m'intéresse. D'autant plus que Soleil avec un pitch quasi similaire m'avait laissé sur ma faim avec sa série des Western Legends. Ce premier tome consacré à Jesse James sera suivi très rapidement par celui sur Wild Bill Hickok. La couverture de ce Jesse James est pour le moins très alléchante et en tous cas une franche réussite à l'oeil. Je ne connaissais pas le travail de Chris Regnault jusqu'ici mais j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir son trait, qui s'il convient fort bien à de la bd "sérieuse" semi historique, a à mon avis beaucoup de potentiel sur d'autres genres. Bref on est sur de la belle et bonne bd qui vous rappellera parfois notre cher Mike Steve Blueberry. Du très bon. Le scénario, qui reste très biographique évidemment est une belle réussite du genre également, arrivant à nous garder dynamique et captivé malgré de nécessaires passage descriptifs et narratifs un peu plus figés. Vous l'aurez compris j'ai beaucoup aimé ce Jesse James. Autres infos : Avec la participation du conseiller historique Farid Ameur Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jesse-james-228640?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Forcément un Western en BD moi ça me fait toujours frétiller, alors l'arrivée du duo d'éditeurs Glénat / Fayard pour nous livrer des autobiographies des célébrités du Far West sérieuses mais sous forme dynamiques en BD ça m'intéresse. D'autant plus que Soleil avec un pitch quasi similaire m'avait laissé sur ma faim avec sa série des Western Legends. Ce premier tome consacré à Jesse James sera suivi très rapidement par celui sur Wild Bill Hickok. La couverture de ce Jesse James est pour le moins très alléchante et en tous cas une franche réussite à l'oeil. Je ne connaissais pas le travail de Chris Regnault jusqu'ici mais j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir son trait, qui s'il convient fort bien à de la bd "sérieuse" semi historique, a à mon avis beaucoup de potentiel sur d'autres genres. Bref on est sur de la belle et bonne bd qui vous rappellera parfois notre cher Mike Steve Blueberry. Du très bon. Le scénario, qui reste très biographique évidemment est une belle réussite du genre également, arrivant à nous garder dynamique et captivé malgré de nécessaires passage descriptifs et narratifs un peu plus figés. Vous l'aurez compris j'ai beaucoup aimé ce Jesse James.
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Titre de l'album : Catwoman, le dernier braquage Scenariste de l'album : Darwyn Cooke / Ed Brubacker Dessinateur de l'album : Darwyn Cooke Coloriste : Darwyn Cooke Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Cela fait longtemps que les larcins de la mystérieuse Catwoman n'ont pas fait la Une des journaux de Gotham. Et pour cause, la rumeur court : la célèbre voleuse serait morte. Pourtant, bien loin de raccrocher les gants, une silhouette continue de parcourir discrètement les toits de la ville en quête de trésors. Alors lorsqu'une amie de son préteur sur gage lui parle d'un train rempli des billets à destination d'un trafic d'héroïne, Selina Kyle y voit le gros coup qui lui permettra peut-être de changer définitivement de vie. Il ne lui reste plus qu'à réunir une équipe de professionnels pour l'épauler dans cette nouvelle aventure, et d'assumer pleinement les conséquences de cet ultime braquage. Critique : Deuxième album qui ressort chez Urban dans le cadre de l'arrivée futur du film The Batman. Si le premier recueil m'avait déçu avec une seule histoire de Darwyn Cooke et les autres par forcement au niveau, cette histoire de Catwoman est, elle, bien meilleure. Meilleure car plus cohérente avec une seule et même histoire du début à la fin. Meilleure aussi car Darwyn Cooke se fait aider par rein de moins que Ed Brubacker pour nous livrer un braquage aux petits oignons. Meilleur aussi surement parce que l'on est lus dans un braquage à l'italienne très sombre que dans un Batman. On suit une Selina tourmenté qui se pose des questions sur sa vie et sur ce qu'elle veut en faire. On évoque aussi la question du bien et de savoir si braquer des "salauds" est mal ou non. Le braquage en lui-même est un grand moment de cinéma si je peux dire. De l'action, des rebondissements et une fin... je vous laisserais voir. Et pour une fois dans un recueil, les histoires ajoutées à l'histoire principale sont vraiment une intro et une conclusion à notre braquage. En gros un bien bel ensemble pour les amateurs de Selina Kyle.... Plus que de Catwoman. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/catwoman-le-grand-braquage?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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