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  1. Kevin Nivek

    Kabuki

    Le duo de bienfaiteurs qui nous avaient enchantés avec Shamisen (Ankama) remet ça avec une quête identitaire sur fond de folklore japonais. On connait cette forme théâtrale du Kabuki, qui allie danse, musique, dramaturgie et de nombreux costumes. Les auteurs attribuent au personnage principal le nom de Kabuki, en digne représentant de cet art né au début du XVII ème siècle sous l'ère Edo. D'emblée on est frappé par la virtuosité graphique et le sens de la mise en scène, chaque case se contemple car la suivante lui ressemble mais avec une lueur un peu plus prononcée et cela va en s'accentuant jusqu'à la découverte de Kabuki en scène, c'est un enfant déguisé en femme. Dans une société patriarcale comme l'est le Japon, cela passe plutôt mal et Yokai ainsi qu'humains ne cessent de l'humilier et le décourager dans cette voie ! Kabuki persévère et multiplie les expériences pour trouver son véritable "moi" et vivre en paix avec lui/elle. De nombreux passages oniriques sont dessinés avec grand talent, on saisit parfaitement la métaphore de la chrysalide et du papillon. J'insiste vraiment sur les nombreuses qualités graphiques qui m'avaient enthousiasmées lors de la lecture de Shamisen. le traitement des jeux de lumières, la finesse du trait, Guilherme Petreca est un grand talent. Le scénariste Tiago Minamisawa a voulu rendre hommage aux personnes transgenres tuées au Brésil, le pays détient d'ailleurs le plus haut taux de meurtre envers cette communauté dans le monde. Cela donne une lecture spirituelle et contemplative, peut-être un peu moins accessible que Shamisen. A découvrir !
  2. Kevin Nivek

    Kabuki

    Titre de l'album : Kabuki Scenariste de l'album : Tiago Minamisawa Dessinateur de l'album : Guilherme Petreca Coloriste : Guilherme Petreca Editeur de l'album : Ankama Note : Résumé de l'album : À la suite d'une expérience traumatisante, Kabuki décide de porter un masque et de renoncer à jamais à son identité. Et si se fondre parmi les Hommes lui permettait de trouver sa place ? Errant sans but et sans âme, Kabuki se perd dans les opiacés et le désespoir jusqu'à sa rencontre avec Alma, sorte d'alter ego bienveillant. Celle-ci lui apportera son soutien et lui apprendra à se nourrir du monde afin de répondre aux questions l'habitant depuis toujours. S'inspirant d'une histoire vraie et prenant place dans le décor du théâtre traditionnel japonais, Kabuki raconte, avec poésie, les obstacles et les combats que rencontre une femme née dans le mauvais corps. Critique : Le duo de bienfaiteurs qui nous avaient enchantés avec Shamisen (Ankama) remet ça avec une quête identitaire sur fond de folklore japonais. On connait cette forme théâtrale du Kabuki, qui allie danse, musique, dramaturgie et de nombreux costumes. Les auteurs attribuent au personnage principal le nom de Kabuki, en digne représentant de cet art né au début du XVII ème siècle sous l'ère Edo. D'emblée on est frappé par la virtuosité graphique et le sens de la mise en scène, chaque case se contemple car la suivante lui ressemble mais avec une lueur un peu plus prononcée et cela va en s'accentuant jusqu'à la découverte de Kabuki en scène, c'est un enfant déguisé en femme. Dans une société patriarcale comme l'est le Japon, cela passe plutôt mal et Yokai ainsi qu'humains ne cessent de l'humilier et le décourager dans cette voie ! Kabuki persévère et multiplie les expériences pour trouver son véritable "moi" et vivre en paix avec lui/elle. De nombreux passages oniriques sont dessinés avec grand talent, on saisit parfaitement la métaphore de la chrysalide et du papillon. J'insiste vraiment sur les nombreuses qualités graphiques qui m'avaient enthousiasmées lors de la lecture de Shamisen. le traitement des jeux de lumières, la finesse du trait, Guilherme Petreca est un grand talent. Le scénariste Tiago Minamisawa a voulu rendre hommage aux personnes transgenres tuées au Brésil, le pays détient d'ailleurs le plus haut taux de meurtre envers cette communauté dans le monde. Cela donne une lecture spirituelle et contemplative, peut-être un peu moins accessible que Shamisen. A découvrir ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kabuki/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Kevin Nivek

    Brunilda à la Plata

    Un véritable ovni graphique que cet album grand format du catalan Genis Rigol ! D'emblée on est saisit, mais que diable est-on en train de lire ! Un papier jauni, ne donnant pas d'âge au récit, idem pour les costumes, des personnages aux grands pieds engloutis dans une architecture enivrante, et puis des dialogues ciselés, allant à l'essentiel (du moins au début). Brunilda invite Norman à 21H à dîner pour un premier rendez-vous, ce dernier raconte à ses collègues cette formidable soirée qui se prépare, non sans une certaine appréhension car il ne la connait pas, et les langues se délient :"c'est merveilleux" , "la délicieuse Brunilda" , tout le monde encense cette jeune femme. Le hic étant la sortie du théâtre, située à l'opposée de la situation actuelle de Norman, il n'a pas le choix, pour être à l'heure il devra traverser la scène, sous les yeux des spectateurs. Son passage n'est pas prévu par le "dramaturge", l'écrivain de la pièce, donc comment parvenir à ses fins ?? Dans cette danse des corps, Genis Rigol nous immerge dans les coulisses du spectacle et démontre toute les difficultés pour un auteur de finir son oeuvre; la finir avec panache, sans décevoir l'exigeant public venu en masse dans les gradins de cet imposant théâtre. On perçoit la "Création" avec un grand C aux côtés du fameux dramaturge, il est en proie à ses démons intérieurs et une conscience qui ne le lâche pas ! Soumis à une telle pression, le créateur semble bien loin des inquiétudes de Norman bien décidé à honorer son rendez-vous ! La virtuosité du dessin s'impose peu à peu au fil des pages, le mouvement est omniprésent, on assiste à un plan séquence en BD, le relief des cases est vertigineux, la scène vous paraîtra géante à l'image de cet édifice monstrueux de proportions. Cette bête avale et recrache ses occupants dans des couloirs sans fins, des escaliers sortis de nulle part, tout en les stimulant sur le pourquoi de leur rôle. Le processus créatif agit comme une maladie contagieuse et se répand insidieusement, jusqu'au feu d'artifice final. La naissance de l'inspiration, comment interpréter tel ou tel rôle (même une table) , ne pas décevoir le public, tant de sujets sur lesquels débattent les protagonistes ! Une bien belle édition d'une BD pas comme les autres méritant assurément le coup d'oeil !
  4. Titre de l'album : Brunilda à la Plata Scenariste de l'album : Genis Rigol Dessinateur de l'album : Genis Rigol Coloriste : Genis Rigol Editeur de l'album : Rivages Editions Note : Résumé de l'album : Dans les coulisses d'un théâtre où le rideau ne tombe jamais, Norman se heurte à un choix impossible. Ce soir, à 21h, il a rendez- vous avec Brunilda au restaurant La Plata. Mais pour la rejoindre, il n'a qu'une seule option : traverser la scène en pleine représentation. Attendre, c'est renoncer. Foncer, c'est tout bouleverser. Pauvre gamin. Critique : Un véritable ovni graphique que cet album grand format du catalan Genis Rigol ! D'emblée on est saisit, mais que diable est-on en train de lire ! Un papier jauni, ne donnant pas d'âge au récit, idem pour les costumes, des personnages aux grands pieds engloutis dans une architecture enivrante, et puis des dialogues ciselés, allant à l'essentiel (du moins au début). Brunilda invite Norman à 21H à dîner pour un premier rendez-vous, ce dernier raconte à ses collègues cette formidable soirée qui se prépare, non sans une certaine appréhension car il ne la connait pas, et les langues se délient :"c'est merveilleux" , "la délicieuse Brunilda" , tout le monde encense cette jeune femme. Le hic étant la sortie du théâtre, située à l'opposée de la situation actuelle de Norman, il n'a pas le choix, pour être à l'heure il devra traverser la scène, sous les yeux des spectateurs. Son passage n'est pas prévu par le "dramaturge", l'écrivain de la pièce, donc comment parvenir à ses fins ?? Dans cette danse des corps, Genis Rigol nous immerge dans les coulisses du spectacle et démontre toute les difficultés pour un auteur de finir son oeuvre; la finir avec panache, sans décevoir l'exigeant public venu en masse dans les gradins de cet imposant théâtre. On perçoit la "Création" avec un grand C aux côtés du fameux dramaturge, il est en proie à ses démons intérieurs et une conscience qui ne le lâche pas ! Soumis à une telle pression, le créateur semble bien loin des inquiétudes de Norman bien décidé à honorer son rendez-vous ! La virtuosité du dessin s'impose peu à peu au fil des pages, le mouvement est omniprésent, on assiste à un plan séquence en BD, le relief des cases est vertigineux, la scène vous paraîtra géante à l'image de cet édifice monstrueux de proportions. Cette bête avale et recrache ses occupants dans des couloirs sans fins, des escaliers sortis de nulle part, tout en les stimulant sur le pourquoi de leur rôle. Le processus créatif agit comme une maladie contagieuse et se répand insidieusement, jusqu'au feu d'artifice final. La naissance de l'inspiration, comment interpréter tel ou tel rôle (même une table) , ne pas décevoir le public, tant de sujets sur lesquels débattent les protagonistes ! Une bien belle édition d'une BD pas comme les autres méritant assurément le coup d'oeil ! Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.payot-rivages.fr/rivages/livre/brunilda-9782743666170/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Kevin Nivek

    Oncle Vania

    Adapté d'une pièce de théâtre écrite en 1897 par le dramaturge russe Anton Tchekov, ce roman graphique marque par son découpage et ses couleurs crépusculaires. La campagne russe se montre ça et là au fil de cases alternant natures mortes et d'autres illustrant la fuite inexorable du temps. Le calme bucolique est cependant rattrapé par l'homme agissant tel un envahisseur avec des arbres coupés, des animaux morts et une atteinte générale sur ce biotope fragile représentée par cette datcha isolée en pleine verdure avec des occupants se livrant à un brouhaha infernal ! L'auteur réalise ses planches avec des cases serrées, centrées sur un dialogue ou un jeu de regards, l'immersion dans le théâtre est pleinement réussie. En revanche, c'est verbeux et les litanies des protagonistes nous perdent par moments. Toute l'agitation autour du vieillard et sa charmante épouse est prétexte de querelles en tous genres, de messes basses et de discussions longues et peu intéressantes parfois. Rémy Benjamin ajoute à la pièce un parallèle écologique en illustrant les ravages de l'homme sur la nature, comme la vieillesse peut le faire sur les corps. Les couleurs chaudes agissent comme un brasier sur les coeurs et sont prêtes à enflammer la végétation environnante, à l'image de la couverture menaçante et rougeoyante. C'est bien illustré avec des jeux de regards soutenus mais bien trop redondant par ces textes omniprésents, mais fidèles à la littérature russe et ses imposants écrits.
  6. Kevin Nivek

    Oncle Vania

    Titre de l'album : Oncle Vania Scenariste de l'album : Rémy Benjamin, Anton Tchekov Dessinateur de l'album : Rémy Benjamin Coloriste : Rémy Benjamin Editeur de l'album : La boite à bulles Note : Résumé de l'album : Dans le domaine qu'elle possède et qu'elle gère - avec l'aide de son oncle Vania - Sonia mène une existence morne et tranquille. Mais celle-ci se trouve soudain perturbée par la présence du père de Sonia, le professeur Sérébriakov, venu passer de longues vacances, accompagné de sa nouvelle épouse, la jeune et belle Eléna. La jeune femme attise les convoitises de l'Oncle Vania ainsi que d'un ami de la famille, le médecin Astrov - homme misanthrope, amoureux de la nature et inquiet pour son devenir - dont est secrètement amoureuse Sonia... Quand le professeur, monstre d'égoïsme, annonce son intention de vendre le domaine, la tension entre les différents protagonistes atteint son paroxysme et des coups de feu sont échangés. La pièce - et sa brillante adaptation - propose une galerie de personnages tout à la fois ridicules dans leur incapacité à prendre en main leur destin, à ne pas gâcher leur unique vie, et touchants par leur sincérité, leur humanité. Et aborde des thèmes aussi contemporains que le mal de vivre ou l'écologie... Phrases clés de l'oeuvre : « Que faire ? Il faut vivre ! Nous vivrons une longue série de jours, de soirées interminables. Mon pauvre oncle Vania, tu pleures. Tu n'as pas connu de joie dans ta vis mais patience, oncle Vania, patience... Nous nous reposerons ! » « Ceux qui vivront après nous, dans cent ou deux cents ans, auront-ils une bonne parole pour nous ? » Critique : Adapté d'une pièce de théâtre écrite en 1897 par le dramaturge russe Anton Tchekov, ce roman graphique marque par son découpage et ses couleurs crépusculaires. La campagne russe se montre ça et là au fil de cases alternant natures mortes et d'autres illustrant la fuite inexorable du temps. Le calme bucolique est cependant rattrapé par l'homme agissant tel un envahisseur avec des arbres coupés, des animaux morts et une atteinte générale sur ce biotope fragile représentée par cette datcha isolée en pleine verdure avec des occupants se livrant à un brouhaha infernal ! L'auteur réalise ses planches avec des cases serrées, centrées sur un dialogue ou un jeu de regards, l'immersion dans le théâtre est pleinement réussie. En revanche, c'est verbeux et les litanies des protagonistes nous perdent par moments. Toute l'agitation autour du vieillard et sa charmante épouse est prétexte de querelles en tous genres, de messes basses et de discussions longues et peu intéressantes parfois. Rémy Benjamin ajoute à la pièce un parallèle écologique en illustrant les ravages de l'homme sur la nature, comme la vieillesse peut le faire sur les corps. Les couleurs chaudes agissent comme un brasier sur les coeurs et sont prêtes à enflammer la végétation environnante, à l'image de la couverture menaçante et rougeoyante. C'est bien illustré avec des jeux de regards soutenus mais bien trop redondant par ces textes omniprésents, mais fidèles à la littérature russe et ses imposants écrits. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/oncle-vania/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Nickad

    My number one tome 8

    Bon si je ne me fie qu’à mes gouts j’aurais probablement mis 4 car j’aime beaucoup les personnages principaux de cette série mais il faut être objectif sur le contenu de ce tome et il y a quelques remarques à faire. Tout d’abord parlons de la série : l’histoire de My number one se déroule dans le monde des arts du spectacle où Takato, un comédien sur la trentaine vient de se faire détrôner de son titre d’homme le plus sexy par Junta, un acteur plus jeune. Ce dernier ne souhaite qu’une chose : devenir le meilleur possible pour pouvoir travailler avec son idole : Takato !! Son admiration va bien au-delà, car il éprouve un amour sans limite pour lui et va même jusqu’à forcer un peu les choses. A force, Takato et Junta se mettent en couple mais ne peuvent pas s’afficher au grand jour du fait de leur statut. Le 8e tome s’inscrit dans l’arc des « liens noirs », où un jeune comédien amoureux de Junta et héritier d’un clan de yakuza vient mettre un peu la pagaille dans leur relation. La deuxième partie du livre se concentre sur la pièce de théâtre que Takato et Junta font ensemble. C’est sur dernier point que le livre perd quelques points. En effet, on a plusieurs pages qui racontent l’histoire de la pièce (un tiers du livre quasiment), mais les informations sont insuffisantes pour bien comprendre la pièce et quelque part, ce n’est pas l’objectif du livre. On sent que ce passage a été conçu pour que l’auteur fasse de belles illustrations, sur ce point c’est réussi mais ce n’est pas une adaptation de la pièce, du coup cette partie peut paraitre un peu long d’autant plus qu’il est incompréhensible (ce sont deux pratiquantes de théâtre qui vous le disent !). On apprécie toujours autant les interactions entre nos deux personnages et on en redemande.
  8. Titre de l'album : My number one tome 8 Scenariste de l'album : SAKURABI Hashigo Dessinateur de l'album : SAKURABI Hashigo Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Takato est enlevé par le clan Gozubara qui veut l'utiliser comme appât pour attirer Azumaya. En effet, leur objectif est de faire prendre à ce dernier une drogue aphrodisiaque pour le pousser à coucher avec Knight. Comment Azumaya, qui semble se désintéresser du sexe, va-t-il supporter la situation ? Critique : Bon si je ne me fie qu’à mes gouts j’aurais probablement mis 4 car j’aime beaucoup les personnages principaux de cette série mais il faut être objectif sur le contenu de ce tome et il y a quelques remarques à faire. Tout d’abord parlons de la série : l’histoire de My number one se déroule dans le monde des arts du spectacle où Takato, un comédien sur la trentaine vient de se faire détrôner de son titre d’homme le plus sexy par Junta, un acteur plus jeune. Ce dernier ne souhaite qu’une chose : devenir le meilleur possible pour pouvoir travailler avec son idole : Takato !! Son admiration va bien au-delà, car il éprouve un amour sans limite pour lui et va même jusqu’à forcer un peu les choses. A force, Takato et Junta se mettent en couple mais ne peuvent pas s’afficher au grand jour du fait de leur statut. Le 8e tome s’inscrit dans l’arc des « liens noirs », où un jeune comédien amoureux de Junta et héritier d’un clan de yakuza vient mettre un peu la pagaille dans leur relation. La deuxième partie du livre se concentre sur la pièce de théâtre que Takato et Junta font ensemble. C’est sur dernier point que le livre perd quelques points. En effet, on a plusieurs pages qui racontent l’histoire de la pièce (un tiers du livre quasiment), mais les informations sont insuffisantes pour bien comprendre la pièce et quelque part, ce n’est pas l’objectif du livre. On sent que ce passage a été conçu pour que l’auteur fasse de belles illustrations, sur ce point c’est réussi mais ce n’est pas une adaptation de la pièce, du coup cette partie peut paraitre un peu long d’autant plus qu’il est incompréhensible (ce sont deux pratiquantes de théâtre qui vous le disent !). On apprécie toujours autant les interactions entre nos deux personnages et on en redemande. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/my-number-one-tome-8?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Suite et fin de l'essai scénaristique d'Arleston. Essai dont le premier tome avait montré qu'Arleston restait avant tout un génie de la BD contemporaine, caché derrière une machine à cash ces dernières années. On attendait uniquement une conclusion à la hauteur du premier tome. Et on est pas dessus par ce deuxième tome qui continue son numéro avec une scénarisation toujours théâtrale et des personnages toujours haut en couleur. Surtout les personnages secondaires. Sur ces derniers, Arleston ne s'embarrasse pas de détails ou de moral pour nous livrer une brochette de personnages aussi drôle qu'importants pour le récit. Récit qui, n'étant au final qu'un support à cet essai, accélère à grand coup de phrase choc et de surprise délirantes pour réussir à fermer tous les tiroirs ouverts. Vous l'aurez compris, j'ai adoré ce diptyque qui nous montre que la BD peut entre surprendre, tant par son contenu que sa mise en page. PS: j'ai enlevé un demi point sur le tome précédent par ce que la couverture n'est pus texturée et dont un peu moins jolie que celle du tome 1
  10. Titre de l'album : La baroque épopée du monde qui ne voulait plus tourner tome 2 Scenariste de l'album : Scotch Arleston Dessinateur de l'album : Dimat Coloriste : Dimat Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : Le monde s'est arrêté de tourner ! Alors qu'une face brûle au soleil et que l'autre gèle dans l'ombre, la capitale Omnamül vit dans un crépuscule permanent. Un tyran y a pris le pouvoir, évinçant Altek, envoyée dans une quête impossible : faire repartir la rotation de la planète. Pourtant, en remontant le fleuve Styx qui circule à travers les mondes, Altek se retrouve sur un étrange astéroïde et découvre la vérité sur son monde... Et ouch, ça pique ! Le méchant Lompyste parviendra-t-il à épouser de force la jolie Lythek ? Oncle Grish restera-t-il dans les geôles impériales ? L'astrante Irliti-Milti-Tidzi conservera-t-elle sa dignité en toute circonstance ? Altek cèdera-t-elle aux avances des jumeaux Kléon et Sligale et imposera-t-elle la république? Faut-il gratter les yurmis derrière les oreilles ? Le monde va-t-il enfin tourner rond ? L'album de toutes les réponses... Critique : Suite et fin de l'essai scénaristique d'Arleston. Essai dont le premier tome avait montré qu'Arleston restait avant tout un génie de la BD contemporaine, caché derrière une machine à cash ces dernières années. On attendait uniquement une conclusion à la hauteur du premier tome. Et on est pas dessus par ce deuxième tome qui continue son numéro avec une scénarisation toujours théâtrale et des personnages toujours haut en couleur. Surtout les personnages secondaires. Sur ces derniers, Arleston ne s'embarrasse pas de détails ou de moral pour nous livrer une brochette de personnages aussi drôle qu'importants pour le récit. Récit qui, n'étant au final qu'un support à cet essai, accélère à grand coup de phrase choc et de surprise délirantes pour réussir à fermer tous les tiroirs ouverts. Vous l'aurez compris, j'ai adoré ce diptyque qui nous montre que la BD peut entre surprendre, tant par son contenu que sa mise en page. PS: j'ai enlevé un demi point sur le tome précédent par ce que la couverture n'est pus texturée et dont un peu moins jolie que celle du tome 1 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-baroque-epopee-du-monde-qui-ne-voulait-plus-tourner-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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