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  1. Titre de l'album : Noir Burlesque t2 Scenariste de l'album : Enrico Marini Dessinateur de l'album : Enrico Marini Coloriste : Enrico Marini Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Pour Slick, les choses ne s'arrangent pas. Jusqu'à présent, il avait affaire aux truands irlandais. Mais cette fois, il change de dimension : le voilà confronté à la mafia italienne. Rex, pour qui il n'avait travaillé qu'une seule fois, lui demande cette fois, sous la menace, de voler une oeuvre d'art. Et pas n'importe laquelle : outre sa très grande valeur, elle appartient à la mafia. Dans un monde idéal, Slick prendrait le large avec Caprice, la femme de sa vie. Mais nous ne sommes pas dans un monde idéal. Caprice se retrouve coincée elle aussi : Rex la retient avec un secret qui pourrait ruiner sa carrière à tout jamais. Et les ennuis de Slick ne s'arrêtent pas là : il doit faire équipe avec une bande de véritables détraqués. Notamment Crazy Horse, l'un des tueurs incontrôlable de Rex qui semble être parti sur le sentier de la guerre. Ce qui est certain, c'est que du sang et de larmes vont couler... Entre femmes fatales, fusillades sanglantes et règlements de comptes, Enrico Marini poursuit son hommage au film noir américain des années 1950. Critique : Deuxième tome du diptyque de Marini en hommage aux films noirs des années 50. Et ce tome continu l'hommage avec une montée en puissance de la guerre des gangs entre Rex et Zizzi. Les hommes de mains sont des quantités négligeables et les sulfateuses s'en donnent à cœur joie. Caprice est toujours sublime et Slick toujours aussi ténébreux. La fin de cette histoire ne surprendra personne, mais là n'est pas l'objectif. L'objectif de Marini est de rendre hommage. L'objectif du lecteur est aussi de profiter des sublimes doubles-pages à tomber par terre du maitre Marini ! Cet album est rempli de dessins somptueux, mais surtout de grandes pages mettant encore plus en valeur le trait de Marini. On peut passer des minutes entières à étudier les planches. Un album pour les amateurs du polar mis aussi pour tous les amateurs de beaux dessins. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/noir-burlesque-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : La bibliomule de Cordoue Scenariste de l'album : Lupano Dessinateur de l'album : Chemineau Coloriste : Editeur de l'album : Dargaud Note : Résumé de l'album : Califat d'Al Andalus, Espagne. Année 976. Voilà près de soixante ans que le califat est placé sous le signe de la paix, de la culture et de la science. Le calife Abd el-Rahman III et son fils al-Hakam II ont fait de Cordoue la capitale occidentale du savoir. Mais al-Hakam II meurt jeune, et son fils n'a que dix ans. L'un de ses vizirs, Amir, saisit l'occasion qui lui est donnée de prendre le pouvoir. Il n'a aucune légitimité, mais il a des alliés. Parmi eux, les religieux radicaux, humiliés par le règne de deux califes épris de culture grecque, indienne, ou perse, de philosophie et de mathématiques. Le prix de leur soutien est élevé : ils veulent voir brûler les 400 000 livres de la bibliothèque de Cordoue. La soif de pouvoir d'Amir n'ayant pas de limites, il y consent. La veille du plus grand autodafé du monde, Tarid, eunuque grassouillet en charge de la bibliothèque, réunit dans l'urgence autant de livres qu'il le peut, les charge sur le dos d'une mule qui passait par là et s'enfuit par les collines au nord de Cordoue, dans l'espoir de sauver ce qui peut l'être du savoir universel. Rejoint par Lubna, une jeune copiste noire, et par Marwan, son ancien apprenti devenu voleur, il entreprend la plus folle des aventures : traverser presque toute l'Espagne avec une « bibliomule » surchargée, poursuivi par des mercenaires berbères. Cette fable historique savoureuse écrite par Wilfrid Lupano (Les Vieux Fourneaux, Blanc Autour, ...) et servie par le trait joyeux de Léonard Chemineau (Le Travailleur de la nuit, Edmond, ...), fait écho aux conflits, toujours d'actualité, entre la soif de pouvoir et la liberté qu'incarne le savoir. Critique : L'année dernière nous avions eu Les Indes fourbes , cette année place à La bibliomule de Cordoue ! Cette petite merveille est à lire absolument . LA surprise assurément de fin d'année . Lupano nous délivre un scénario comme il sait les faire avec un travail de documentation historique et géographique assez poussé . L'époque byzantine de l'Espagne n'étant pas forcément approfondie dans nos manuels scolaires . Cela m'a permis d'apprendre des tas de faits , car derrière cette histoire de "braquage" de livres , il y a la grande histoire , et Lupano surfe dessus tel Alexandre Dumas .Il délivre une quête saupoudrée de suspens et d'humour , haletante ; dans l'univers des romans on appelle ça un "page turner" ! Mais surtout , c'est une déclaration d'amour sur la culture , le savoir , la curiosité , tous véhiculés par un support : LE LIVRE . Et l'histoire nous démontre qu'ils ont souffert nos amis les livres 😞 , ce n'est d'ailleurs sûrement pas fini avec le possible avènement de "l'ebook" ... Mais une belle histoire ne suffit pas en bd , il faut aussi l'illustrateur . Et là aussi , Chemineau se met à la mesure . Je l'avais découvert dans sa biographie sur Julius Popper scénarisée par Matz ,et je garde un excellent souvenir de son trait . Il s'améliore et se trouve sublimé par ces couleurs chaudes , "calliente" typiques de l'ancienne Andalousie . Le sens du découpage est à souligner avec des cases dynamiques et innovantes . Vous l'aurez compris , c'est un véritable coup de coeur . J'ajoute que la qualité de l'édition est remarquable . Oui Mr Lupano , je suis d'accord avec vous , les livres ont de l'avenir , je le souhaite de tout coeur 🙂 Par @Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-bibliomule-de-cordoue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. VladNirky

    La bibliomule de Cordoue

    L'année dernière nous avions eu Les Indes fourbes , cette année place à La bibliomule de Cordoue ! Cette petite merveille est à lire absolument . LA surprise assurément de fin d'année . Lupano nous délivre un scénario comme il sait les faire avec un travail de documentation historique et géographique assez poussé . L'époque byzantine de l'Espagne n'étant pas forcément approfondie dans nos manuels scolaires . Cela m'a permis d'apprendre des tas de faits , car derrière cette histoire de "braquage" de livres , il y a la grande histoire , et Lupano surfe dessus tel Alexandre Dumas .Il délivre une quête saupoudrée de suspens et d'humour , haletante ; dans l'univers des romans on appelle ça un "page turner" ! Mais surtout , c'est une déclaration d'amour sur la culture , le savoir , la curiosité , tous véhiculés par un support : LE LIVRE . Et l'histoire nous démontre qu'ils ont souffert nos amis les livres 😞 , ce n'est d'ailleurs sûrement pas fini avec le possible avènement de "l'ebook" ... Mais une belle histoire ne suffit pas en bd , il faut aussi l'illustrateur . Et là aussi , Chemineau se met à la mesure . Je l'avais découvert dans sa biographie sur Julius Popper scénarisée par Matz ,et je garde un excellent souvenir de son trait . Il s'améliore et se trouve sublimé par ces couleurs chaudes , "calliente" typiques de l'ancienne Andalousie . Le sens du découpage est à souligner avec des cases dynamiques et innovantes . Vous l'aurez compris , c'est un véritable coup de coeur . J'ajoute que la qualité de l'édition est remarquable . Oui Mr Lupano , je suis d'accord avec vous , les livres ont de l'avenir , je le souhaite de tout coeur 🙂 Par @Kevin Nivek
  4. Titre de l'album : Donjon Zénith T9 - Larmes et brouillard Scenariste de l'album : Joann Sfar / Lewis Trondheim Dessinateur de l'album : Boulet Coloriste : Walter Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Le fils d'Herbert et Isis est né. Si les jeunes parents se réjouissent de cette nouvelle arrivée, des tensions ne tardent pas à se faire sentir. Alors qu'Isis veut soumettre son bébé au rite de passage traditionnel kochaque, Herbert, jugeant ce dernier bien trop dangereux, tente de l'en dissuader. Incapable de la convaincre, il décide finalement de kidnapper le nourrisson. Critique : De retour dans la période Zénith avec ce 51è album. L'histoire est centrée principalement sur Herbert et Isis et leur enfant à venir et en devenir mais comme toujours, en arrière plan du fil principal de l'histoire, on apprend également plein de choses très intéressantes avec de nombreux rappels. Ce qui sert aussi de corde nostalgique pour les lecteurs de la 1ère heure. L'histoire fait aussi appel au dernier Donjon Monster T16 - Quelque part ailleurs pour expliquer quelques points. Une méthode maintenant classique dans la série et qui en fait une série à indice où on cherche les références d'un album à l'autre. On tire aussi petit à petit vers le côté crépuscule au fil des derniers albums de Zénith... Mais ça semble logique, on est loin de l'esprit très léger des 1ers albums. Côté planches, j'ai beaucoup aimé le style de dessin de Boulet qui réalise de très belles planches, rien que la 1ère est vraiment superbe. C'est chargé en noir avec son trait si particulier. Et ça s’accommode très bien avec la mise en couleur de Walter. Côté scénario, ça sonne de manière très particulière vu les évènements relatés dans l'album. On alterne les hautes et les bas avec de véritables surprises tout en passant sur les aspects traditions et les relations familialles de l'heureux évènement à venir pour les jeunes parents. Donc encore un très bon album du Donjon. Autres infos : Le tome 10 est annoncé pour Avril 2023 Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/donjon-zenith-tome-9-steppes-et-brouillard?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. De retour dans la période Zénith avec ce 51è album. L'histoire est centrée principalement sur Herbert et Isis et leur enfant à venir et en devenir mais comme toujours, en arrière plan du fil principal de l'histoire, on apprend également plein de choses très intéressantes avec de nombreux rappels. Ce qui sert aussi de corde nostalgique pour les lecteurs de la 1ère heure. L'histoire fait aussi appel au dernier Donjon Monster T16 - Quelque part ailleurs pour expliquer quelques points. Une méthode maintenant classique dans la série et qui en fait une série à indice où on cherche les références d'un album à l'autre. On tire aussi petit à petit vers le côté crépuscule au fil des derniers albums de Zénith... Mais ça semble logique, on est loin de l'esprit très léger des 1ers albums. Côté planches, j'ai beaucoup aimé le style de dessin de Boulet qui réalise de très belles planches, rien que la 1ère est vraiment superbe. C'est chargé en noir avec son trait si particulier. Et ça s’accommode très bien avec la mise en couleur de Walter. Côté scénario, ça sonne de manière très particulière vu les évènements relatés dans l'album. On alterne les hautes et les bas avec de véritables surprises tout en passant sur les aspects traditions et les relations familialles de l'heureux évènement à venir pour les jeunes parents. Donc encore un très bon album du Donjon.
  6. A Paris-manga, il y a les interviews prévues avec un timing bien défini et il y a les discussions au coin d’une table, c’est ce qui s’est passé avec Niko Henrichon, discussion d’autant plus facile quand on parle la même langue ! Je vous propose de retrouver quelques tenants de notre conversation mais comme je n’ai fait aucun enregistrement ni pris aucune note, ce ne sera pas sous la forme d’interview. Niko est canadien, il a commencé sa carrière en travaillant sur des comics, en anglais, c’est lors de la sortie de Barnum qu’il se fait un nom dans la profession et tout à coup c’est devenu plus simple pour lui et il s’est vu proposer plein de projets : il travaille pour DC Comics et Marvel, notamment sur Doctor Strange. En 2016, on lui propose de dessiner les Méta-Barons, une telle opportunité de travail avec Jodorowsky ne se refuse pas, il met alors vraiment un pied dans la bd dite franco-belge. Il faut savoir que sur une BD comme Fang, les auteurs ne touchent que 10% du prix de vente, à se partager bien sûr, il faut donc beaucoup vendre pour avoir un revenu correct. Aujourd’hui il habite en France avec sa famille et après 20 ans de carrière, il peut enfin choisir ses projets et se permettre d’en refuser. Il m’a gentiment expliqué en passant le système des commissions : il s’agit de commander une illustration directement à l’auteur lors des conventions notamment, l’acheteur choisit le format et ce qu’il souhaite avoir, ce système représente une bonne partie des revenus du dessinateur. La dédicace du jour (avec dessin) sera gratuite mais il me dit que cela risque de ne pas durer. Pour la petite histoire Niko ne connaissait pas Paris-manga et Sci-Fi show, c’est l’un de ses amis, auteur de comics également qui lui a proposé de l’accompagner. L’ami en question n’est pas venu et Niko se sentait un peu isolé, heureusement il a retrouvé des connaissances sur place ! Par contre, il n’était pas prêt à affronter le froid qui régnait dans le hall le 1er jour, un comble pour un canadien ! Je remercie Niko Henrichon pour ce moment de partage et pour le message qu’il a laissé pour 1001BD. Niko_Henrichon_dec_2022_p.mp4
  7. poseidon2

    Noir Burlesque t2

    Deuxième tome du diptyque de Marini en hommage aux films noirs des années 50. Et ce tome continu l'hommage avec une montée en puissance de la guerre des gangs entre Rex et Zizzi. Les hommes de mains sont des quantités négligeables et les sulfateuses s'en donnent à cœur joie. Caprice est toujours sublime et Slick toujours aussi ténébreux. La fin de cette histoire ne surprendra personne, mais là n'est pas l'objectif. L'objectif de Marini est de rendre hommage. L'objectif du lecteur est aussi de profiter des sublimes doubles-pages à tomber par terre du maitre Marini ! Cet album est rempli de dessins somptueux, mais surtout de grandes pages mettant encore plus en valeur le trait de Marini. On peut passer des minutes entières à étudier les planches. Un album pour les amateurs du polar mis aussi pour tous les amateurs de beaux dessins.
  8. 3 années après le denier tomes de la série mère, quel plaisir de retrouver l'univers futuriste de Sylvain Runberg. Cette ambiance de space opéra avec ces multiples planètes, ces espèces toutes différentes et les humains comme derniers arrivés dans ce grand monde..... un régal. Et pour ne pas perdre le lecteur, Sylvain Runberg nous parle d'un personnage qu'on à déjà vu : la sœur de Caleb. Soeur dont on savait qu'elle avait pris une trajectoire radicalement différente de celle de son frère, mais dont l passé restait flou. Ce passé nous est raconté ici, et de bien belle façon, qu'Éric Chabbert prend la relève de Serge Pelé pour nous livrer un sublime dessin "à l'ancienne" dirait-on maintenant (on sent la couleur directe sur le papier). Pour ceux qui n'auraient pas lu orbital... ben, c'est mal d'abord... mais vous pouvez quand même vous lancer dans Outlaws sans soucis car la lecture ne nécessite pas du tout de savoir qui est Caleb. Vous risquez juste d'avoir envie d'investir dans la série mère ne fin de tome 🙂
  9. Titre de l'album : Outlaws t1 : le cartel des cimes Scenariste de l'album : Sylvain Runberg Dessinateur de l'album : Éric Chabbert Coloriste : Éric Chabbert Editeur de l'album : Dupuis Note : Résumé de l'album : Premier épisode du spin-off d'Orbital, via l'aventure de la sœur de Caleb, hors-la-loi luttant contre les mafias extraterrestres. Espace confédéré. Année 2779. Un vaisseau mené par le commandant Grello arrive en vue de l'Astroport de Lugmila. À son bord : un chargement de clandestins échappés de leurs planètes respectives, qui se voient forcés de travailler six mois pour le terrible cartel des Cimes, mafia qui a organisé leur passage. Parmi ces hors-la-loi, une mystérieuse humaine, représentante d'une race honnie pour être la dernière à avoir intégré la Confédération. Taciturne et têtue, elle va se trouver au cœur d'une incroyable lutte de pouvoir d'où le cartel des Cimes pourrait ne pas sortir gagnant. Mais elle, peut-être... Après Orbital, créé en duo avec Serge Pellé, Sylvain Runberg nous offre son envers avec Outlaws, série autonome permettant d'explorer de l'intérieur des mafias galactiques ressemblant étrangement aux nôtres. Space opera, critique sociétale, polar et portrait d'une jeune femme furieusement indépendante : un futur classique, porté par le remarquable dessin d'Éric Chabbert. Critique : 3 années après le denier tomes de la série mère, quel plaisir de retrouver l'univers futuriste de Sylvain Runberg. Cette ambiance de space opéra avec ces multiples planètes, ces espèces toutes différentes et les humains comme derniers arrivés dans ce grand monde..... un régal. Et pour ne pas perdre le lecteur, Sylvain Runberg nous parle d'un personnage qu'on à déjà vu : la sœur de Caleb. Soeur dont on savait qu'elle avait pris une trajectoire radicalement différente de celle de son frère, mais dont l passé restait flou. Ce passé nous est raconté ici, et de bien belle façon, qu'Éric Chabbert prend la relève de Serge Pelé pour nous livrer un sublime dessin "à l'ancienne" dirait-on maintenant (on sent la couleur directe sur le papier). Pour ceux qui n'auraient pas lu orbital... ben, c'est mal d'abord... mais vous pouvez quand même vous lancer dans Outlaws sans soucis car la lecture ne nécessite pas du tout de savoir qui est Caleb. Vous risquez juste d'avoir envie d'investir dans la série mère ne fin de tome 🙂 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/outlaws-tome-1-le-cartel-des-cimes?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. VladNirky

    Conquêtes Tome 9 - Sahondra

    Allez c'est reparti pour un nouveau tome de Conquêtes, la série aux one shot sur un thème unique: "La survie des civilisations Terrestres dépend des vaisseaux de colonisations envoyés vers des planètes lointaines et incertaines." Avec ce tome nous partons cette fois avec les civilisations africaines à la découverte de Sahondra, planète superbe, mais comme d'habitude tout ne va pas se passer comme sur des roulettes et les protagonistes vont passer pas de multiples péripéties avant d'arriver à la planche finale de ce tome assez copieux (plus de 60 pages). Cette fable écologique, est encore une fois plutôt bien réussie. On retrouve des enjeux moraux entre un pouvoir militaire, civil, et des IA qui font cette fois aussi partie du voyage. La planète pourrait être une partie de l’Afrique (végétation, plan d'eau, ciel bleu et soleil...) et le bestiaire africain est lui aussi sur l'arche que constitue le vaisseau, et va débarquer en même temps sur la planète (singes, lions, antilopes...) Scénaristiquement, j'aime beaucoup. Je trouve ça malin et ça arrive à renouveler le thème un peu identique, tout de même, de tous les précédant tomes de la série avec brio. Tout en étant curieusement d'actualité.... Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler. Petit bémol personnel sur le rendu graphique que je trouve un peu terne sur la plupart des planches sur la planète (ça s'explique aussi par l'histoire) et le design pas spécialement inspiré de la partie vaisseau dont on ne voit pas grand chose... Les planches pêchent un peu sur les tons utilisées également je trouve. Ca manque un peu de diversité au final. Mais bon, un très bon tome.
  11. Titre de l'album : Conquêtes Tome 9 - Sahondra Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Louis et Kyko Duarte Coloriste : Olivier Héban Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Après soixante ans de voyage, l'armada africaine est à bout, elle doit débarquer sur Sahondra. Une planète paradisiaque régie par une absurdité biologique : aucune créature n'y mesure plus de quelques centimètres. Qu'est-ce qui tue et régule la biomasse animale ? Un virus ? Une forme de vie inconnue ? Kenya, biologiste de génie, doit percer ce mystère, sinon les siens mourront en exil. Critique : Allez c'est reparti pour un nouveau tome de Conquêtes, la série aux one shot sur un thème unique: "La survie des civilisations Terrestres dépend des vaisseaux de colonisations envoyés vers des planètes lointaines et incertaines." Avec ce tome nous partons cette fois avec les civilisations africaines à la découverte de Sahondra, planète superbe, mais comme d'habitude tout ne va pas se passer comme sur des roulettes et les protagonistes vont passer pas de multiples péripéties avant d'arriver à la planche finale de ce tome assez copieux (plus de 60 pages). Cette fable écologique, est encore une fois plutôt bien réussie. On retrouve des enjeux moraux entre un pouvoir militaire, civil, et des IA qui font cette fois aussi partie du voyage. La planète pourrait être une partie de l’Afrique (végétation, plan d'eau, ciel bleu et soleil...) et le bestiaire africain est lui aussi sur l'arche que constitue le vaisseau, et va débarquer en même temps sur la planète (singes, lions, antilopes...) Scénaristiquement, j'aime beaucoup. Je trouve ça malin et ça arrive à renouveler le thème un peu identique, tout de même, de tous les précédant tomes de la série avec brio. Tout en étant curieusement d'actualité.... Je n'en dirais pas plus pour ne pas spoiler. Petit bémol personnel sur le rendu graphique que je trouve un peu terne sur la plupart des planches sur la planète (ça s'explique aussi par l'histoire) et le design pas spécialement inspiré de la partie vaisseau dont on ne voit pas grand chose... Les planches pêchent un peu sur les tons utilisées également je trouve. Ca manque un peu de diversité au final. Mais bon, un très bon tome. Autres infos : Ne respirez jamais avant d'avoir fait bouillir votre air ! Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conquetes-tome-9-sahondra?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Titre de l'album : Rip tome 3 - Ahmed au bon endroit au mauvais moment Scenariste de l'album : Gaet'S Dessinateur de l'album : Julien Monier Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Après un premier tome consacré à Derrick et un deuxième dédié à Maurice, nous plongeons désormais dans le quotidien sordide d'Ahmed, jeune flic spécialisé dans l'étude des insectes. Plongé dans une affaire criminelle qui le dépasse mais décidé à faire ses preuves, Ahmed risque bien de se retrouver au bon endroit... au mauvais moment. Critique : Ce troisième opus de la série RIP se focalise sur le personnage d'Ahmed, le policier infiltré comme on a pu le découvrir dans les épisodes précédents. D'ailleurs, ce tome démarre avec un passage du premier album, avec toute l'équipe qui rend visite à Ahmed suite à la disparition d'une bague de grande valeur. En effet, tous les personnages principaux de RIP travaillent pour une sombre société qui se charge de récupérer toutes les choses de valeur dans les maisons et appartements de décès pas encore déclarés à la police. L'ambiance peut sembler glauque aux premiers abords avec toutes les mouches, les insectes et autres nuisibles qui s'installent, pondent ou dévorent les cadavres mais les auteurs gèrent à merveilles leur histoire avec quelques touches d'humour et des dialogues bien pensés. Chaque épisode est consacré à un personnage clé de l'histoire, le premier tome nous présentait Derrick, le second Maurice et maintenant Ahmed. Nous sommes arrivés à la moitié de l'histoire comme la série est prévue depuis le début en six tomes. Au niveau des dessins, Julien Monier poursuit son travail méticuleux pour nous dépeindre cet univers réaliste et souvent morbide. Le premier tome m’avait agréablement surpris à sa sortie, la suite restait dans le même registre mais ce troisième tome relance avec beaucoup d’intérêt la série. Les flash-backs sont nombreux dans la série ainsi que les scènes vues d’un autre angle suivant le personnage ou l’album, nous donnent une autre vision de l’histoire. Autres infos : Editions Petits à Petits Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rip-tome-3-ahmed-au-bon-endroit-au-mauvais-moment/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Ce troisième opus de la série RIP se focalise sur le personnage d'Ahmed, le policier infiltré comme on a pu le découvrir dans les épisodes précédents. D'ailleurs, ce tome démarre avec un passage du premier album, avec toute l'équipe qui rend visite à Ahmed suite à la disparition d'une bague de grande valeur. En effet, tous les personnages principaux de RIP travaillent pour une sombre société qui se charge de récupérer toutes les choses de valeur dans les maisons et appartements de décès pas encore déclarés à la police. L'ambiance peut sembler glauque aux premiers abords avec toutes les mouches, les insectes et autres nuisibles qui s'installent, pondent ou dévorent les cadavres mais les auteurs gèrent à merveilles leur histoire avec quelques touches d'humour et des dialogues bien pensés. Chaque épisode est consacré à un personnage clé de l'histoire, le premier tome nous présentait Derrick, le second Maurice et maintenant Ahmed. Nous sommes arrivés à la moitié de l'histoire comme la série est prévue depuis le début en six tomes. Au niveau des dessins, Julien Monier poursuit son travail méticuleux pour nous dépeindre cet univers réaliste et souvent morbide. Le premier tome m’avait agréablement surpris à sa sortie, la suite restait dans le même registre mais ce troisième tome relance avec beaucoup d’intérêt la série. Les flash-backs sont nombreux dans la série ainsi que les scènes vues d’un autre angle suivant le personnage ou l’album, nous donnent une autre vision de l’histoire.
  14. Nickad

    Hi/Lo tome 1

    Noëlle est une jeune fille avec des rondeurs, elle supporte les remarques sur son physique et les rumeurs qui courent sur elle. Kai est un beau gosse, il a une copine et aime bien embêter Noëlle. Un soir de sorties en groupe, les deux se disputent et voient une étoile filante. Le lendemain, chacun se retrouve dans le corps de l’autre. Ils vont devoir coopérer pour trouver une solution. Une histoire d’échange de corps, ce n’est pas forcément original mais ça fonctionne toujours quand il s’agit d’aller comprendre l’autre. Ce qui est bien par contre, c’est que l’héroïne est une jeune fille normale, qui a des formes, qui doit vivre avec de fausses rumeurs sur elle, qui essaye tant bien que mal d’aller de l’avant. Tous les personnages ne sont pas ce qu’ils paraissent être. Le dessin est agréable, coloré et rond, l’histoire est fluide, il n’y a pas de temps morts. En plus d’aller découvrir comment sont vraiment les personnages et leurs passés, cela permet aussi de mieux comprendre le fonctionnement des filles et des garçons et de combattre les clichés. Une BD parfaite pour les adolescents qui en plus du divertissement, leur apprendra à ne pas se fier aux apparences.
  15. Nickad

    Hi/Lo tome 1

    Titre de l'album : Hi/Lo tome 1 Scenariste de l'album : POCETTA Elisa "Pocci" Dessinateur de l'album : POCETTA Elisa "Pocci" Coloriste : Editeur de l'album : Shockdom Note : Résumé de l'album : « Mets-toi à ma place ! ». C'est le vœu imprudent exprimé par Noëlle et Kai après une discussion animée. Le lendemain matin quelque chose cloche : ils se réveillent dans le corps l'un de l'autre ! À la difficulté de devoir gérer les relations, le corps et les secrets de l'autre, s'ajoute le petit détail que les deux jeunes ne pouvaient pas se supporter avant cet incident. Arriveront-ils à regagner leurs corps ? Critique : Noëlle est une jeune fille avec des rondeurs, elle supporte les remarques sur son physique et les rumeurs qui courent sur elle. Kai est un beau gosse, il a une copine et aime bien embêter Noëlle. Un soir de sorties en groupe, les deux se disputent et voient une étoile filante. Le lendemain, chacun se retrouve dans le corps de l’autre. Ils vont devoir coopérer pour trouver une solution. Une histoire d’échange de corps, ce n’est pas forcément original mais ça fonctionne toujours quand il s’agit d’aller comprendre l’autre. Ce qui est bien par contre, c’est que l’héroïne est une jeune fille normale, qui a des formes, qui doit vivre avec de fausses rumeurs sur elle, qui essaye tant bien que mal d’aller de l’avant. Tous les personnages ne sont pas ce qu’ils paraissent être. Le dessin est agréable, coloré et rond, l’histoire est fluide, il n’y a pas de temps morts. En plus d’aller découvrir comment sont vraiment les personnages et leurs passés, cela permet aussi de mieux comprendre le fonctionnement des filles et des garçons et de combattre les clichés. Une BD parfaite pour les adolescents qui en plus du divertissement, leur apprendra à ne pas se fier aux apparences. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hi-lo-tome-1-body-electricity?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Sentinel

    Un homme se retrouve avec son fils, encore bébé, sur une ile inconnue après avoir fait naufrage et perdu sa femme. Les indigènes semblent hostiles et le pourchassent, il doit à tout prix trouver une embarcation pour quitter l’ile et pour cela ne peut compter que sur l’aide d’une femme mystérieuse qui ne comprend pas sa langue. Tout se passe très vite dans cette histoire, le naufrage, l’arrivée sur l’ile et l’issue de l’histoire. Tout est dans l’action, celle du présent où il faut se cacher et lutter, celle du passé menée tambour battant. Il y a un narrateur, non défini, qui raconte son histoire. Il y a des similitudes entre passé et présent. Et puis il y a l’inconnu, omniprésent, d’abord parce qu’on ne connait pas grand-chose de l’ile, à part son nom « Sentinel », qu’une grande partie de l’action se passe la nuit, et puis parce qu’il y a peu de paroles et que la moitié est en langage local. Le lecteur est mis au même niveau que l’homme, il subit l’action, on ne lui laisse pas le temps de s’appesantir et de comprendre et il prend la fin de plein fouet et tout s’éclaire enfin. Sentinel est une bd d’action efficace servie par des dessins tout autant efficaces. Elle n’est peut-être pas la plus originale dans le scenario mais elle a une narration légèrement déroutante, le genre de livre où la fin change tout. Toutefois, il y a des césures de mots inappropriées et des lettres en plus qui se baladent, je ne sais pas si c’est fait exprès mais cela laisse un petit goût de manque de finition pour le lectorat français.
  17. Nickad

    Sentinel

    Titre de l'album : Sentinel Scenariste de l'album : SARDINA Toni Dessinateur de l'album : D'ANGELO Simone Coloriste : D'ANGELO Simone Editeur de l'album : Shockdom Note : Résumé de l'album : Après un naufrage, un homme et son fils se retrouvent sur une île peuplée par des individus dangereux et inquiétants, décidés à les traquer comme des animaux. La fuite est impossible. Ils ne peuvent que confier leur destin à une femme autochtone qui veut les aider. Critique : Un homme se retrouve avec son fils, encore bébé, sur une ile inconnue après avoir fait naufrage et perdu sa femme. Les indigènes semblent hostiles et le pourchassent, il doit à tout prix trouver une embarcation pour quitter l’ile et pour cela ne peut compter que sur l’aide d’une femme mystérieuse qui ne comprend pas sa langue. Tout se passe très vite dans cette histoire, le naufrage, l’arrivée sur l’ile et l’issue de l’histoire. Tout est dans l’action, celle du présent où il faut se cacher et lutter, celle du passé menée tambour battant. Il y a un narrateur, non défini, qui raconte son histoire. Il y a des similitudes entre passé et présent. Et puis il y a l’inconnu, omniprésent, d’abord parce qu’on ne connait pas grand-chose de l’ile, à part son nom « Sentinel », qu’une grande partie de l’action se passe la nuit, et puis parce qu’il y a peu de paroles et que la moitié est en langage local. Le lecteur est mis au même niveau que l’homme, il subit l’action, on ne lui laisse pas le temps de s’appesantir et de comprendre et il prend la fin de plein fouet et tout s’éclaire enfin. Sentinel est une bd d’action efficace servie par des dessins tout autant efficaces. Elle n’est peut-être pas la plus originale dans le scenario mais elle a une narration légèrement déroutante, le genre de livre où la fin change tout. Toutefois, il y a des césures de mots inappropriées et des lettres en plus qui se baladent, je ne sais pas si c’est fait exprès mais cela laisse un petit goût de manque de finition pour le lectorat français. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sentinel?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    24 décembre 1992 décès de PEYO

    Pierre Culliford est né en 1928 en Belgique. Il débute dans la bande dessinée d’après-guerre puis entre au journal de Spirou en 1951 grâce à Franquin, il développe son personnage de Johan (apparut en 1946), rejoint bientôt par Pirlouit. C’est en 1958 qu’apparaissent pour la 1ere fois les schtroumpfs qui vont voler la vedette à Johan et Pirlouit. En 1960, il fonde un studio pour accueillir ses assistants car il est surchargé de travail et crée les séries Benoit Brisefer et Jacky et Célestin. Avec le succès de ses séries et le développement des schtroumpfs sous de multiples formats et produits dérivés, Peyo ne peut plus dessiner autant qu’avant d’autant qu’il a des problèmes de santé. En 1988, avec son fils il quitte Dupuis et crée sa maison d’édition Cartoon creation, ce sera un échec. Il rejoint ensuite Le lombard et sort de nouvelles aventures, il ne s’occupe plus que du côté artistique, sa famille gérant les affaires. Épuisé et malade, il meurt le 24 décembre d’une crise cardiaque. Son surnom Peyo vient de son petit cousin qui n’arrivait pas à prononcer les « r ». Au départ, les schtroumpfs ne devaient exister que dans une seule histoire et c’est le courrier des lecteurs qui incite le rédacteur en chef Yvan Delporte à poursuivre leurs aventures. Francis (auteur de la Ford T), François Walthéry (auteur de Natacha), Derib (Yakari, Buddy Longway, Jo…) entre autres ont été les assistants de Peyo. Le schtroumpf financier est le dernier album dessiné par Peyo
  19. Nickad

    23 décembre 2013 décès de José ORTIZ

    Né en 1932, José Ortiz est l’un des grands dessinateurs de la bande dessinée espagnole, il travailla dans les magazines Eerie et Vampirella. Puis il créa avec Segura les séries Hombre, Burton & Cyb et Morgan. Il est surtout reconnu pour son trait et son encrage qui en inspira plus d’un. Si vous voulez voir d’autres planches de l’auteur avec la progression de son trait, je vous recommande d’aller voir cet article José Ortiz : un maître espagnol nous a quittés… | BDZoom.com
  20. Nickad

    21 décembre 1935 naissance de JIDEHEM

    Jean de Maesmaker s’oriente rapidement vers une carrière artistique. En 1954, il crée une série policière Ginger et il prend alors à ce moment le nom de Jidéhem. En 1957, il entre au journal de Spirou et travaille sur les séries Spirou et Fantasio, Gaston Lagaffe puis Starter avec son héroïne Sophie. Le personnage de M de Maesmaker dans Gaston est inspiré en partie du père de Jidéhem avec l'accord de Franquin bien évidemment.
  21. Nickad

    17 décembre 1940 naissance d’EDIKA

    Edouard Karali dit Edika est né en Egyte où il a fait ses études et commencé à travailler dans la publicité. Arrivé en France ses dessins sont publiés dans les magazines Pilote, Charlie Mensuel ou Psikopat. Il se spécialise dans le dessin d’humour, parfois cru, ses personnages principaux sont Bronsky Proko ou Clark Gaybeul. La famille Karali baigne littéralement dans la bande dessinée, son frère Paul dit Carali est le créateur du journal Psikopat et dessine aussi, sa belle-sœur dite Gudule est écrivaine, un de ses neveux dit Olivier Ka et sa nièce dite Melaka sont auteurs de bandes dessinées.
  22. Bob Morane est avant tout un héros de romans d’Henri VERNES, apparu pour la 1ere fois dans le marabout junior n°16 en 1953. S’il était plus simple aventurier au départ, ses aventures sont devenues de plus en plus complexes, espionnage et science-fiction s’y sont mêlés. Henri Vernes a écrit 230 romans et une trentaine de nouvelles. Le personnage a été repris en 2012 par Gilles Devindilis dans les nouvelles aventures de Bob Morane. Une adaptation en bande dessinée existe également, parue d’abord dans les journaux comme Femmes d’aujourd’hui, Pilote et Tintin, on peut les trouver en intégrales. En 2015, Le lombard relance la série sous le nom de Bob Morane renaissance et une nouvelle BD, réalisé par des fans doit bientôt paraître en hommage à Henri Vernes, décédé le 25 juillet 2021.
  23. Nickad

    15 décembre 1967 naissance de ZEP

    Philippe CHAPPUIS dit ZEP est un auteur de bande dessinée suisse. A 12 ans il crée son 1er fanzine et l’appelle ZEP en hommage à Led Zeppelin, à 14 ans, il entre à l’école des arts décoratifs de Genève. En 1985, il commence à travailler au journal de Spirou et en 1992, il crée le personnage de Titeuf qui reste sa série phare mais dessine aussi d’autres albums en style plus réaliste (une histoire d’hommes, un bruit étrange et beau…)
  24. Philippe a fait 6 ans d’études à Bruxelles en suivant notamment les cours de François SCHUITEN et Philippe BERTHET afin de devenir dessinateur professionnel. Après plusieurs collaborations, il rencontre en 1988 Jean Van Hamme pour l’adaptation de ses romans Largo Winch. Depuis, il ne travaille plus que sur cette série.
  25. Titre de l'album : Aquablue T17 - La nuit de la miséricorde Scenariste de l'album : Hautière Dessinateur de l'album : Reno Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Terrorisme, écologie, xénophobie, extrémisme religieux, ce cycle, Retour aux Sources, aura abordé des sujets très en phase avec l'actualité et se conclue avec un formidable et généreux épisode de résolution. Sur Aquablue, Landon préside un banquet entre indigènes et colons humains pour célébrer l'apaisement et organiser la vie future en bonne entente. Nao, toujours prisonnier de son mystérieux geôlier, assiste à l'évènement par écran interposé. Bientôt le spectacle tourne au cauchemar et la situation s'embourbe. Il ne reste guère de solution diplomatique : « Si tu veux la paix, prépare la guerre ». Critique : Suite et fin de ce cycle entamé par Hautière et Reno , démarré en 2011 ! Ils avaient marqué une rupture graphique importante avec ces dessins plus "réalistes" , plus cinématographiques . On aime ou on aime pas , je le conçois . Etant fan de l'univers de Nao depuis ses débuts , j'ai adhéré totalement . Hautière se sert de problématiques actuelles telles l'écologie , la colonisation pour tisser son histoire et cela fonctionne parfaitement . Trahisons , vaisseaux spatiaux , mékas , lagons , surprises aussi , le cycle termine en feux d'artifices . Je dois préciser cependant que mes anciens Aquablue sont dans les cartons et je ne me souvenais plus tout à fait des tenants et aboutissants , j'aurai des blans à combler lorsque je relirai tout d'une traite . Il faut noter que la fin est une fin au sens propre du terme . Soit ils repartent sur un nouveau cycle , soit ils arrêtent . Avec toutes ces séries interminables , je trouve la démarche bienvenue . Un bon opus , dans la lignée des précédents , qui devrait combler les amateurs de l'autre planète bleue . Rakahanga Par @Kevin Nivek Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/aquablue-tome-17-la-nuit-de-la-misericorde?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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