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  1. alx23

    La petite lumière

    Titre de l'album : La petite lumière Scenariste de l'album : Gregory Panaccione Dessinateur de l'album : Gregory Panaccione Coloriste : Gregory Panaccione Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : "Je suis venu ici pour disparaître, dans ce hameau abandonné et désert dont je suis le seul habitant" . Le récit d'Antonio Moresco met en scène un homme vieillissant qui a décidé de s'extraire du monde. Mais chaque soir, une petite lumière perce sa solitude... Grégory Panaccione démontre une fois encore son étonnante capacité à exprimer graphiquement une écriture, la plus singulière soit-elle. Critique : J'ai souvent pu profiter du travail de dessinateur de Gregory Panaccione en collaboration avec des scénaristes comme sur Chronosquad ou un océan d'amour. Mais l'auteur réalise souvent en auteur complet des adaptations de romans comme sur La petite lumière d'Antonio Moresco. Ce roman graphique prend le temps de mettre en avant le besoin de solitude du personnage principal et son envie d'être éloigné de la société. Beaucoup de planches sont muettes mais les dessins se suffisent à eux-mêmes pour comprendre et être absorbé par l'histoire. On suit donc cette personne âgée recluse dans un hameau abandonné de la France rural. Il apprécie vivre éloigné de tous quand une petite lumière s'allume sur la montagne en face de chez lui. Dès lors, l'homme souhaite connaitre sa provenance et pourquoi quelqu’un habiterait dans montagne au milieu de la forêt. Je ne connaissais pas le roman ni l'auteur mais l'histoire m'a vraiment emmené avec beaucoup de tendresse dans ce récit. Je me suis beaucoup questionné avant de deviner la finalité certainement à cause de film dans le même registre ou utilisant les mêmes mécaniques. La petite lumière n’en reste pas moins une excellente lecture. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-petite-lumiere?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : Lord Gravestone - Tome 2 - Le dernier loup d'alba Scenariste de l'album : Jérôme Le Gris Dessinateur de l'album : Nicolas Sinner Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand le chasseur devient la proie. Mordu par la stryge qui a tué son père, John Gravestone pourrait bien devenir une créature des ténèbres si ce démon venait à parachever son oeuvre. Pour le protéger, son oncle Théophile et son fidèle Tibbett organisent sa fuite vers les terres écossaises de son enfance. Mais malgré leurs efforts, la vampire Camilla reste inexorablement proche de sa proie. Le destin des Gravestone va-t-il se jouer dans la relation ambiguë qui commence à se nouer entre John et Camilla ? Tandis que Tibbett dévoile son vrai visage, la situation pourrait prendre un tournant des plus inattendus. Récit à l'atmosphère sombre et gothique, Lord Gravestone mêle écriture moderne et fable vampirique en puisant aux sources du genre. En plaçant leur oeuvre chronologiquement en amont du célèbre Dracula de Bram Stoker, à l'époque prévictorienne, Jérôme Le Gris et Nicolas Siner imaginent un univers esthétique où le mythe se fond dans une relecture de Roméo et Juliette. Un récit épique et fascinant au coeur de l'épais brouillard anglais. Critique : Décidément cela ne traîne pas. Nicolas Sinner et Jérôme Le Gris n'ont pas le temps pour nous livrer déjà le second tome de leur nouvelle série Lord Gravestone. Oui le tome 1 est sorti seulement au mois de mars de cette année. Et quand on voit la qualité de ces tomes on ne peut qu'être ébahi par ces délais de fous furieux. Ceci étant dit les lecteurs que nous sommes n'ont pas de raisons de se plaindre puisque le souvenir du tome 1 restait vivace dans nos mémoires. Il faut bien reconnaitre qu'il avait su marquer nos esprits par sa qualité et son cliffhanger final. L'aventure et le drame reprennent donc scéance tenante dès le début de ce tome avec un Lord Gravestone toujours aussi perdu face au poids de son héritage et de sa destinée, heureusement il va prendre de la densité au fil de l'album lorsque les fils tissés par le destins vont lentement se refermer sur lui, préparer vous au pire, car s'il y a une chose que l'on a appris avec ces deux auteurs sur Horacio d'Alba, leur précédente collaboration Ô combien réussie, c'est qu'ils n'aiment rien de plus que d'infliger un destin terrible à leurs héros, et Lord Gravestone ne fera pas exception. Les dessins et couleurs de Nicolas Siner sont toujours aussi splendides, et cette bd fut l'une des première que j'ai dévoré dans cette rentrée chargée car elle condense tout ce que j'aime dans la bd, de l'aventure, du drame humain, de l'action époustouflante, un univers riche et une intrigue qu'on aimerait ne pas lâcher. Je ne peux que vous le recommander car à l'heure actuelle, il n'y a que peu de séries qui présentent autant d'attraits que ce Lord Gravestone. Et ce tome 2 vient de confirmer encore une fois tout le bien qu'on pensant de ses deux auteurs. Merci messieurs. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/lord-gravestone-tome-2-les-hauts-loups-d-alba?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Décidément cela ne traîne pas. Nicolas Sinner et Jérôme Le Gris n'ont pas le temps pour nous livrer déjà le second tome de leur nouvelle série Lord Gravestone. Oui le tome 1 est sorti seulement au mois de mars de cette année. Et quand on voit la qualité de ces tomes on ne peut qu'être ébahi par ces délais de fous furieux. Ceci étant dit les lecteurs que nous sommes n'ont pas de raisons de se plaindre puisque le souvenir du tome 1 restait vivace dans nos mémoires. Il faut bien reconnaitre qu'il avait su marquer nos esprits par sa qualité et son cliffhanger final. L'aventure et le drame reprennent donc scéance tenante dès le début de ce tome avec un Lord Gravestone toujours aussi perdu face au poids de son héritage et de sa destinée, heureusement il va prendre de la densité au fil de l'album lorsque les fils tissés par le destins vont lentement se refermer sur lui, préparer vous au pire, car s'il y a une chose que l'on a appris avec ces deux auteurs sur Horacio d'Alba, leur précédente collaboration Ô combien réussie, c'est qu'ils n'aiment rien de plus que d'infliger un destin terrible à leurs héros, et Lord Gravestone ne fera pas exception. Les dessins et couleurs de Nicolas Siner sont toujours aussi splendides, et cette bd fut l'une des première que j'ai dévoré dans cette rentrée chargée car elle condense tout ce que j'aime dans la bd, de l'aventure, du drame humain, de l'action époustouflante, un univers riche et une intrigue qu'on aimerait ne pas lâcher. Je ne peux que vous le recommander car à l'heure actuelle, il n'y a que peu de séries qui présentent autant d'attraits que ce Lord Gravestone. Et ce tome 2 vient de confirmer encore une fois tout le bien qu'on pensant de ses deux auteurs. Merci messieurs.
  4. alx23

    Salamandre

    Titre de l'album : Salamandre Scenariste de l'album : I.N.J. Culbard Dessinateur de l'album : I.N.J. Culbard Coloriste : I.N.J. Culbard Editeur de l'album : 404 comics Note : Résumé de l'album : Kaspar Salamandre est un jeune artiste endeuillé qui est envoyé vivre chez son énigmatique grand-père dans un pays gouverné par un régime oppressif, où il ne peut y avoir qu’un être adulé : l'Empereur. Dans ce pays où les fleurs sont des objets de contrebande où la musique est illégale et dans lequel l'art se crée dans la clandestinité, Kaspar découvre un monde peuplé d’artistes révolutionnaires, d’espions et de membres de la police secrète. Kaspar Salamandre est un jeune artiste endeuillé qui est envoyé vivre chez son énigmatique grand-père dans un pays gouverné par un régime oppressif, où il ne peut y avoir qu’un être adulé : l'Empereur. Critique : I.N.J. Culbard est un auteur notamment connu pour ses adaptations de HP Lovecraft en comics, avec les montagnes hallucinées ou l'abîme du temps. Aujourd'hui, on peut découvrir l'auteur dans un autre registre que le fantastique horrifique avec ce titre plus tendre autour d'un drame. Culbard s'inspire de sa jeunesse pour inventer tout un univers dans un régime autoritaire où un enfant va passer quelques vacances suite au décès de son père. Son père est aussi au centre de l'histoire en le dessinant en héros avec son travail de plongeur dans les eaux profondes. Ce jeune ado va vivre le deuil de son père dans un pays très conditionné sur toutes les formes d'art, seul la peinture de l'empereur est autorisée dans les maisons. Les dessins de Culbard ont gagné en détails depuis les adaptations de Lovecraft avec des personnes aux visages plus expressifs. L’album se termine sur plusieurs pages de recherches graphiques et des recherches pour les couvertures des comics VO. D’ailleurs la couverture de Salamandre donne vraiment envie d’ouvrir cet album avec les couleurs vives des fleurs. Salamandre jongle entre le drame familial avec une touche de fantastique pour décrire l’acceptation de la mort pour les enfants mais aussi l’importance de l’art dans la vie de tous les jours. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/salamandre/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. alx23

    Salamandre

    I.N.J. Culbard est un auteur notamment connu pour ses adaptations de HP Lovecraft en comics, avec les montagnes hallucinées ou l'abîme du temps. Aujourd'hui, on peut découvrir l'auteur dans un autre registre que le fantastique horrifique avec ce titre plus tendre autour d'un drame. Culbard s'inspire de sa jeunesse pour inventer tout un univers dans un régime autoritaire où un enfant va passer quelques vacances suite au décès de son père. Son père est aussi au centre de l'histoire en le dessinant en héros avec son travail de plongeur dans les eaux profondes. Ce jeune ado va vivre le deuil de son père dans un pays très conditionné sur toutes les formes d'art, seul la peinture de l'empereur est autorisée dans les maisons. Les dessins de Culbard ont gagné en détails depuis les adaptations de Lovecraft avec des personnes aux visages plus expressifs. L’album se termine sur plusieurs pages de recherches graphiques et des recherches pour les couvertures des comics VO. D’ailleurs la couverture de Salamandre donne vraiment envie d’ouvrir cet album avec les couleurs vives des fleurs. Salamandre jongle entre le drame familial avec une touche de fantastique pour décrire l’acceptation de la mort pour les enfants mais aussi l’importance de l’art dans la vie de tous les jours.
  6. alx23

    Glaise

    Titre de l'album : Glaise Scenariste de l'album : Franck Bouysse Dessinateur de l'album : Fabrice Colin Coloriste : Loic Godart Editeur de l'album : Marabulles Note : Résumé de l'album : Au coeur du Cantal, dans la chaleur d'août 1914, les hommes se résignent à partir se battre. Joseph, quinze ans, a la charge de prendre soin de la ferme familiale avec sa mère, sa grand-mère et Léonard, vieux voisin devenu son ami. Dans la propriété d'à côté, Valette, tenu éloigné de la guerre en raison d'une main atrophiée, ressasse ses rancoeurs et sa rage. Il doit recueillir la femme de son frère, Hélène et sa fille Anna, venues se réfugier à la ferme. L'arrivée des deux femmes va bouleverser l'ordre immuable de la vie dans ces montagnes. Critique : Glaise est l'adaptation en bande dessinée du roman de Franck Bouysse par le scénariste Fabrice Colin. Ce roman graphique est le deuxième titre des éditions Marabulles dans un format plus petit mais avec une pagination plus importante, avec plus 150 planches. Je ne vais pas pouvoir comparer ou juger de l'adaptation du best-seller comme je ne l'ai pas lu. On retrouve cependant un rythme propre aux romans, avec une intrigue qui prend le temps de se développer autour d'une romance entre un couple de jeunes au démarrage de la première guerre mondiale, dans un petit village du Cantal. Le contexte historique n'est pas très joyeux et les personnages secondaires sont souvent tristes et subissent leur vie à la campagne. On ressent un drame inévitable qui doit arriver avec l'oncle de la jeune Anna depuis son arrivée avec sa mère à la ferme pendant que le mari est sur le front. La partie graphique Loic Godart est de grande qualité, l'auteur réussie très bien à faire ressortir le côté sombre des personnes. La couverture est très représentative des planches intérieures. Glaise est une histoire d'amour assombrie par la guerre dans ce drame rural réaliste et très sombre, avec l'attente du retour des hommes ou des courriers annonçant leur décès. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/glaise?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. alx23

    Glaise

    Glaise est l'adaptation en bande dessinée du roman de Franck Bouysse par le scénariste Fabrice Colin. Ce roman graphique est le deuxième titre des éditions Marabulles dans un format plus petit mais avec une pagination plus importante, avec plus 150 planches. Je ne vais pas pouvoir comparer ou juger de l'adaptation du best-seller comme je ne l'ai pas lu. On retrouve cependant un rythme propre aux romans, avec une intrigue qui prend le temps de se développer autour d'une romance entre un couple de jeunes au démarrage de la première guerre mondiale, dans un petit village du Cantal. Le contexte historique n'est pas très joyeux et les personnages secondaires sont souvent tristes et subissent leur vie à la campagne. On ressent un drame inévitable qui doit arriver avec l'oncle de la jeune Anna depuis son arrivée avec sa mère à la ferme pendant que le mari est sur le front. La partie graphique Loic Godart est de grande qualité, l'auteur réussie très bien à faire ressortir le côté sombre des personnes. La couverture est très représentative des planches intérieures. Glaise est une histoire d'amour assombrie par la guerre dans ce drame rural réaliste et très sombre, avec l'attente du retour des hommes ou des courriers annonçant leur décès.
  8. alx23

    Préjudice

    Titre de l'album : Préjudice Scenariste de l'album : Ingrid Chabbert & Pog Dessinateur de l'album : Pauline Bertrand Coloriste : Pauline Bertrand Editeur de l'album : Marabulles Note : Résumé de l'album : Hélène se rend à l'enterrement d'une copine de Lycée et revient sur les lieux de sa jeunesse. À la suite d'un drame, elle s'est retrouvée liée à trois autres filles au sein d'un groupe aussi fragile qu'extrême. Depuis, chacune a suivi sa route, avec ce qu'elle sait ou croit savoir. Critique : Ce roman graphique débute tranquillement avec le quotidien d'Hélène une jeune femme qui revient dans sa ville natale pour l'enterrement d'une amie et en profite pour voir son père et ses amies. Mais on devine de par le titre et les flashbacks qu'un problème survenu quelques années plus tôt pèse encore lourd sur les consciences. En effet, les jeunes femmes partagent un secret gênant que l’on ressent dans leur retrouvaille. En parallèle, le père d’Hélène souffre des premiers symptômes de la maladie d'Alzheimer pour compliquer la situation. Les scènes du passé s'alternent avec le présent pour un drame très prenant jusqu’à la fin. Les dessins de Pauline Bertrand sont un style réaliste avec des couleurs apaisantes en contradiction avec les scènes de flashbacks ou de violences qui sont très sombre. L’autrice dessine et arrive très bien à donner des émotions à ses personnages. J’ai beaucoup apprécié la lecture de ce roman graphique avec une histoire forte autour d’un drame et comment des personnes lambda réagissent face à la gravité d’un préjudice. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/prejudice?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. alx23

    Préjudice

    Ce roman graphique débute tranquillement avec le quotidien d'Hélène une jeune femme qui revient dans sa ville natale pour l'enterrement d'une amie et en profite pour voir son père et ses amies. Mais on devine de par le titre et les flashbacks qu'un problème survenu quelques années plus tôt pèse encore lourd sur les consciences. En effet, les jeunes femmes partagent un secret gênant que l’on ressent dans leur retrouvaille. En parallèle, le père d’Hélène souffre des premiers symptômes de la maladie d'Alzheimer pour compliquer la situation. Les scènes du passé s'alternent avec le présent pour un drame très prenant jusqu’à la fin. Les dessins de Pauline Bertrand sont un style réaliste avec des couleurs apaisantes en contradiction avec les scènes de flashbacks ou de violences qui sont très sombre. L’autrice dessine et arrive très bien à donner des émotions à ses personnages. J’ai beaucoup apprécié la lecture de ce roman graphique avec une histoire forte autour d’un drame et comment des personnes lambda réagissent face à la gravité d’un préjudice.
  10. The_PoP

    Liberty

    Titre de l'album : Liberty Scenariste de l'album : Warnauts & Raives Dessinateur de l'album : Warnauts & Raives Coloriste : Warnauts & Raives Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 1974. Le monde entier s'est donné rendez-vous à Kinshasa pour assister au combat entre Ali et Foreman. Mais pour Tshilanda, seize ans, la rencontre brutale a lieu bien loin du ring. Proie rêvée pour un Américain peu scrupuleux, elle tombe enceinte à son corps défendant. Elle décide alors d'écrire la suite de son histoire aux USA. Sa fille s'appellera Liberty, comme un voeu pieux. Car il est encore loin, le chemin qui mènera à l'élection de Barack Obama... Critique : Liberty est réédité cette fois-ci aux éditions du Lombard, et il faut reconnaitre que le boulot est bien fait sur cette édition avec les superbes pages de croquis insérées au milieu des pages de ce roman graphique. Pour ceux qui comme moi étaient passés à côté de la première sortie de cet ouvrage Liberty retrace le destin d'une jeune Zaïroise qui va choisir d'immigrer aux états unis pour affronter son destin et celui de l'Amérique. On la suivra à travers son histoire et celle de sa fille, racontée à travers plusieurs personnages narrateurs différents. Si les dernières parutions sur Purple Heart notamment du duo constitué d'Éric Warnauts et de Guy Raives m'avaient un peu laissé de marbre graphiquement parlant, ici j'ai beaucoup aimé le résultat de leur collaboration. J'ai passé un chouette moment de lecture sur ce roman graphique qui nous permet une fois encore avec ces auteurs de parcourir 30 ans d'histoire de l'Amérique sous le sigle de l'afro américanisme. Intéressant. Autres infos : Réédition Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/liberty-ned?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. The_PoP

    Liberty

    Liberty est réédité cette fois-ci aux éditions du Lombard, et il faut reconnaitre que le boulot est bien fait sur cette édition avec les superbes pages de croquis insérées au milieu des pages de ce roman graphique. Pour ceux qui comme moi étaient passés à côté de la première sortie de cet ouvrage Liberty retrace le destin d'une jeune Zaïroise qui va choisir d'immigrer aux états unis pour affronter son destin et celui de l'Amérique. On la suivra à travers son histoire et celle de sa fille, racontée à travers plusieurs personnages narrateurs différents. Si les dernières parutions sur Purple Heart notamment du duo constitué d'Éric Warnauts et de Guy Raives m'avaient un peu laissé de marbre graphiquement parlant, ici j'ai beaucoup aimé le résultat de leur collaboration. J'ai passé un chouette moment de lecture sur ce roman graphique qui nous permet une fois encore avec ces auteurs de parcourir 30 ans d'histoire de l'Amérique sous le sigle de l'afro américanisme. Intéressant.
  12. The_PoP

    Idiss

    Idiss est une sublime fresque mise en image par Fred Bernard sur le destin des juifs Russes entre 1880 et 1945. Adapté du roman éponyme de Robert Badinter, Idiss est presque la biographie de sa grand mère. On imagine toute la pudeur et la délicatesse de ce roman, qui à l'heure d'aborder des sujets dramatiques, le fait avec bienveillance, en s'attachant avant tout aux femmes et aux hommes et en faisant ressortir d'eux le meilleur, sans pour autant les déïfer. C'est un très bel exercice d'équilibriste que se livrent la les auteurs, dont le résultat ne manquera pas de vous plaire et de vous marquer tant Fred Bernard a su nous proposer une adptation graphique touchante, et qui rend un vrai hommage à la tendresse des mots de Robert Badinter et de Rochard Malka. Idiss est de ces fresques romanesques qui nous livre par l'aperçu d'un destin ordinaire, un bout de la grande Histoire. Educatif, puissant, et terriblement d'actualité, il serait une erreur majeur de passer outre, car si le thème du judaïsme peut être clivant en ces temps troublés, ce n'en est pas là l'objet puisque cet ouvrage pourrait être adapté à beaucoup d'autres persécutions, religieuses ou non. je ne peux que vous recommander la lecture de ce morceau d'histoire, enfin à la portée de tous.
  13. The_PoP

    Idiss

    Titre de l'album : Idiss Scenariste de l'album : Richard Malka Dessinateur de l'album : Fred Bernard Coloriste : Fred Bernard Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : "J'ai écrit ce livre en hommage à ma grand-mère maternelle, Idiss. Il ne prétend être ni une biographie, ni une étude de la condition des immigrés juifs de l'Empire russe venus à Paris avant 1914. Il est simplement le récit d'une destinée singulière à laquelle j'ai souvent rêvé. Puisse-t-il être aussi, au-delà du temps écoulé, un témoignage d'amour de son petit-fils". Robert Badinter. Richard Malka et Fred Bernard s'emparent de ce récit poignant et intime pour en livrer une interprétation lumineuse tout en pudeur et à l'émotion intacte. Critique : Idiss est une sublime fresque mise en image par Fred Bernard sur le destin des juifs Russes entre 1880 et 1945. Adapté du roman éponyme de Robert Badinter, Idiss est presque la biographie de sa grand mère. On imagine toute la pudeur et la délicatesse de ce roman, qui à l'heure d'aborder des sujets dramatiques, le fait avec bienveillance, en s'attachant avant tout aux femmes et aux hommes et en faisant ressortir d'eux le meilleur, sans pour autant les déïfer. C'est un très bel exercice d'équilibriste que se livrent la les auteurs, dont le résultat ne manquera pas de vous plaire et de vous marquer tant Fred Bernard a su nous proposer une adptation graphique touchante, et qui rend un vrai hommage à la tendresse des mots de Robert Badinter et de Rochard Malka. Idiss est de ces fresques romanesques qui nous livre par l'aperçu d'un destin ordinaire, un bout de la grande Histoire. Educatif, puissant, et terriblement d'actualité, il serait une erreur majeur de passer outre, car si le thème du judaïsme peut être clivant en ces temps troublés, ce n'en est pas là l'objet puisque cet ouvrage pourrait être adapté à beaucoup d'autres persécutions, religieuses ou non. je ne peux que vous recommander la lecture de ce morceau d'histoire, enfin à la portée de tous. Autres infos : Adaptation du Roman de Robert Badinter Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/idiss?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. alx23

    Pocahontas

    Depuis quelques années maintenant, Patrick Prugne réalise des albums de toute beauté sur les débuts de la colonisation aux États-Unis, avec les amérindiens en premier plan. Cette fois ci, Patrick Prugne s'attaque à la légende de Pocahontas, fille du chef de la tribu des Powhatans. Il existe très peu d'écrit sur la véritable histoire de Pocahontas mais elle rencontra le capitaine John Smith qui faisait partie des premiers colons anglais à venir s'installer sur le territoire des États-Unis pour fonder la ville de Jamestown. Cet album relate cette rencontre et la relation naissante entre deux personnes de deux mondes et cultures différentes. La colonisation se fait dans un climat tendu avec les natifs chassés de leur territoire par les colons. Les aquarelles en couleur directes de Patrick Prugne sont magnifiques pour mettre en avant des ambiances réalistes. L'édition est soignée avec plusieurs recherches graphiques en fin d'albums ainsi que des illustrations. J'adore vraiment le travail de Patrick Prugne, chaque tome est une pure merveille pour les yeux même si l'histoire est moins originale avec Pocahontas, elle n'en reste pas moins très intéressante.
  15. alx23

    Pocahontas

    Titre de l'album : Pocahontas Scenariste de l'album : Patrick Prugne Dessinateur de l'album : Patrick Prugne Coloriste : Patrick Prugne Editeur de l'album : Daniel Maghen Note : Résumé de l'album : 1607 : Trois navires anglais accostent en Virginie. Une centaine de colons débarquent et construisent le premier fort anglais en Amérique qui deviendra Jamestown. Les indiens Powhatans n’auront de cesse de vouloir rejeter à la mer ces nouveaux venus bien inquiétants. Dans ce conflit latent, seule Pocahontas, fille du chef Powhatan tentera de rapprocher les deux peuples. La narration commence en 1621 par une tentative de traité de paix entre tribus indiennes et colons du fort et se poursuit par des flash-backs sous forme d’un dialogue entre Pamouic, le fils du chef Powhatan et le narrateur. Leurs interventions rappellent constamment la place centrale jouée par Pocahontas sur la destinée des colons. Basée sur la légende, l’histoire souligne crescendo les rapports amoureux entre le capitaine Smith et la jeune indienne... D’eux dépendra l’avenir de la colonie. Critique : Depuis quelques années maintenant, Patrick Prugne réalise des albums de toute beauté sur les débuts de la colonisation aux États-Unis, avec les amérindiens en premier plan. Cette fois ci, Patrick Prugne s'attaque à la légende de Pocahontas, fille du chef de la tribu des Powhatans. Il existe très peu d'écrit sur la véritable histoire de Pocahontas mais elle rencontra le capitaine John Smith qui faisait partie des premiers colons anglais à venir s'installer sur le territoire des États-Unis pour fonder la ville de Jamestown. Cet album relate cette rencontre et la relation naissante entre deux personnes de deux mondes et cultures différentes. La colonisation se fait dans un climat tendu avec les natifs chassés de leur territoire par les colons. Les aquarelles en couleur directes de Patrick Prugne sont magnifiques pour mettre en avant des ambiances réalistes. L'édition est soignée avec plusieurs recherches graphiques en fin d'albums ainsi que des illustrations. J'adore vraiment le travail de Patrick Prugne, chaque tome est une pure merveille pour les yeux même si l'histoire est moins originale avec Pocahontas, elle n'en reste pas moins très intéressante. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/pocahontas-238618?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. alx23

    Rivage de la colère

    Une nouvelle adaptation de roman à succès rejoint le catalogue des éditions Philéas avec Rivage de la colère, un roman plusieurs primé. Le scénariste Laurent Galandon se charge de cette adaptation pour le format bande dessinée. Cette romance débute avec la rencontre d'un jeune Mauricien travaillant dans l'administration colonial et une jeune femme de Diego Garcia, aux Chagos. L'histoire se construit autour de ce sombre fait historique où les Chagossiens doivent quitter leur île suite à plusieurs évènements dont le déclencheur principal est l'indépendance de la République de Maurice après 158 ans de domination britannique. Ce titre permet de suivre le cheminement qui amène à cette catastrophe pour les Chagossiens et leur combat juridique. Ce drame historique est complétement ignoré du grand public et mise en avant grâce à cette écrivaine franco-mauricienne et maintenant porté en bande dessinée. Les dessins de Rachid Nhaoua sont de qualité pour dépeindre les décors paradisiaques des îles et mettre en image ce drame. Rivage de la colère ne laisse pas indifférent avec l'histoire triste des Chagossiens et cette romance difficile pour ce couple et le combat d'un fils.
  17. Titre de l'album : Rivage de la colère Scenariste de l'album : Laurent Galandon Dessinateur de l'album : Rachid Nhaoua Coloriste : Degreff Editeur de l'album : Philéas Note : Résumé de l'album : En mars 1967, Marie-Pierre Ladouceur vit à Diego Garcia, aux Chagos, un archipel rattaché à l'île Maurice. Elle y fait la connaissance de Gabriel, un Mauricien venu seconder l'administrateur colonial. Un homme de la ville. Une élégance folle. Quelques mois plus tard, Maurice accède à l'indépendance après 158 ans de domination britannique. Mais les soldats convoquent les Chagossiens sur la plage : ils ont une heure pour quitter leur île, abandonner leurs bêtes, leurs maisons, leurs attaches. Et pour quelle raison ? Pour aller où ? Après le déchirement vient la colère et, avec elle, la révolte. Une histoire d'amour impossible qui nous plonge dans le drame historique des Chagossiens; vendus aux Anglais par le gouvernement mauricien ; une population de 2000 habitants devenus parias et écrasés par l'Histoire, qui peu à peu vont retrouver leur dignité dans le combat. Critique : Une nouvelle adaptation de roman à succès rejoint le catalogue des éditions Philéas avec Rivage de la colère, un roman plusieurs primé. Le scénariste Laurent Galandon se charge de cette adaptation pour le format bande dessinée. Cette romance débute avec la rencontre d'un jeune Mauricien travaillant dans l'administration colonial et une jeune femme de Diego Garcia, aux Chagos. L'histoire se construit autour de ce sombre fait historique où les Chagossiens doivent quitter leur île suite à plusieurs évènements dont le déclencheur principal est l'indépendance de la République de Maurice après 158 ans de domination britannique. Ce titre permet de suivre le cheminement qui amène à cette catastrophe pour les Chagossiens et leur combat juridique. Ce drame historique est complétement ignoré du grand public et mise en avant grâce à cette écrivaine franco-mauricienne et maintenant porté en bande dessinée. Les dessins de Rachid Nhaoua sont de qualité pour dépeindre les décors paradisiaques des îles et mettre en image ce drame. Rivage de la colère ne laisse pas indifférent avec l'histoire triste des Chagossiens et cette romance difficile pour ce couple et le combat d'un fils. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rivage-de-la-colere?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Titre de l'album : Toutes les princesses meurent après minuit Scenariste de l'album : Quentin Zuttion Dessinateur de l'album : Quentin Zuttion Coloriste : Quentin Zuttion Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : 31 août 1997 au matin, dans un pavillon de banlieue, une mère de famille repasse le linge quand la télévision lui apprend la nouvelle : Lady Di est morte cette nuit. Au même moment dans la salle de bain, Lulu, son fils de 8 ans, se tartine la bouche de rouge à lèvre et s'imagine embrasser son petit voisin. De son côté, Cam, en pleine adolescence, cache son petit copain dans sa chambre sous le refrain de la musique du moment. Quant au père, il rentre seulement à la maison, lui n'a pas dormi ici. De l'éveil du désir aux passions fanées, le portrait amoureux de cette famille s'esquisse à travers cette journée ensoleillée qui va changer leur vie... Critique : Pfiou, que j'aime ce genre de lectures ! La finesse de la couverture et des choix graphiques m'avaient fait envie, et puis ne nous voilons pas la face, je suis un très bon client pour les romans graphiques façon tranche de vie. Celui-ci est toutefois particulièrement réussi, et je serai bien en peine de lui trouver des défauts. C'est tendre et touchant, sans jamais devenir niais, ça parle de tous, des adultes au enfants, de nos lâchetés, de nos courages, de la vie qui est parfois bien rude, et de ces moments hors du temps qui façonnent parfois grandement ce que nous deviendront. A travers la photographie et le récit d'une journée d'été, l'auteur réussit avec beaucoup de tendresse à nous dépeindre la vie, la vraie. Je vais en profiter pour mettre les pieds dans le plat, car parfois cela dissuade des lecteurs qui passeraient à côté d'une bien belle lecture. Non cette bd ne traite pas de l'homosexualité. Ce n'est finalement même pas le sujet, il s'agit avant tout de tranches de vies et de problématiques amoureuses vécues par plusieurs personnages à divers moment de leurs vies. Un beau et grand moment, d'une rare pudeur, et pourtant, tout y est dit ou presque. Les personnages ne sont ni excessifs, ni quelconques, ils sont un peu de nous quelque part, et ça fait du bien. Il faut bien reconnaitre sur l'ecueil parfois de ces romans graphiques intimistes et vie quotidienne sont que finalement, les enjeux, les non dits ne sont pas toujours clairs pour le lecteur, et parfois en voulant être trop minimaliste, on finit par avoir une impression de banalité, et un manque d'intérêt. Rassurez-vous, ici vous lirez jusqu'au bout une fois ce roman graphique ouvert. Je tiens également à dire que souvent l'appréciation de ce genre de roman graphique tient beaucoup à notre vécu personnel et à ce que cela peut nous renvoyer. Ici ce n'est pas le cas, cette histoire m'a intéressée pour ce qu'elle est puisqu'elle ne se rapprochait pas vraiment de mes vécus. Une petite merveille donc, à découvrir et que je ne manquerais pas de prêter autour de moi. A noter que si je n'en ai que peu parlé, le dessin est au diapason de la couverture et du propos. Une franche réussite, une histoire d'une rare justesse, de celles que je n'attendais pas à ce niveau. Cerise sur le gâteau, vous pourrez le faire lire à vos ados sans soucis. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/toutes-les-princesses-meurent-apres-minuit?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Pfiou, que j'aime ce genre de lectures ! La finesse de la couverture et des choix graphiques m'avaient fait envie, et puis ne nous voilons pas la face, je suis un très bon client pour les romans graphiques façon tranche de vie. Celui-ci est toutefois particulièrement réussi, et je serai bien en peine de lui trouver des défauts. C'est tendre et touchant, sans jamais devenir niais, ça parle de tous, des adultes au enfants, de nos lâchetés, de nos courages, de la vie qui est parfois bien rude, et de ces moments hors du temps qui façonnent parfois grandement ce que nous deviendront. A travers la photographie et le récit d'une journée d'été, l'auteur réussit avec beaucoup de tendresse à nous dépeindre la vie, la vraie. Je vais en profiter pour mettre les pieds dans le plat, car parfois cela dissuade des lecteurs qui passeraient à côté d'une bien belle lecture. Non cette bd ne traite pas de l'homosexualité. Ce n'est finalement même pas le sujet, il s'agit avant tout de tranches de vies et de problématiques amoureuses vécues par plusieurs personnages à divers moment de leurs vies. Un beau et grand moment, d'une rare pudeur, et pourtant, tout y est dit ou presque. Les personnages ne sont ni excessifs, ni quelconques, ils sont un peu de nous quelque part, et ça fait du bien. Il faut bien reconnaitre sur l'ecueil parfois de ces romans graphiques intimistes et vie quotidienne sont que finalement, les enjeux, les non dits ne sont pas toujours clairs pour le lecteur, et parfois en voulant être trop minimaliste, on finit par avoir une impression de banalité, et un manque d'intérêt. Rassurez-vous, ici vous lirez jusqu'au bout une fois ce roman graphique ouvert. Je tiens également à dire que souvent l'appréciation de ce genre de roman graphique tient beaucoup à notre vécu personnel et à ce que cela peut nous renvoyer. Ici ce n'est pas le cas, cette histoire m'a intéressée pour ce qu'elle est puisqu'elle ne se rapprochait pas vraiment de mes vécus. Une petite merveille donc, à découvrir et que je ne manquerais pas de prêter autour de moi. A noter que si je n'en ai que peu parlé, le dessin est au diapason de la couverture et du propos. Une franche réussite, une histoire d'une rare justesse, de celles que je n'attendais pas à ce niveau. Cerise sur le gâteau, vous pourrez le faire lire à vos ados sans soucis.
  20. Titre de l'album : Jusqu'à ce que je te tue tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : YANAGISAWA Yukio Dessinateur de l'album : YANAGISAWA Yukio Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Au Japon, une nouvelle loi sur la peine de mort condamne les criminels à être exécutés de la même manière que leur victime. Enfermés dans un espace clos qui reprend les éléments de leur vie quotidienne, leurs journées sont retransmises en direct à la télévision. Le dernier condamné à mort du pays est Kaoru Oda, un ancien enquêteur accusé du meurtre de son amant par strangulation. Kohei Mizutani, un gardien de prison, a été sélectionné pour se charger de son exécution. En voulant jouer le rôle de l'ancien petit-ami, il finit par se rapprocher du meurtrier, et tente de comprendre ce qu'il peut bien cacher... Critique : De temps en temps au milieu des yaoi, il y a une histoire atypique qui n’a été classée là que parce qu’elle parle de sentiments entre deux hommes. Une histoire qui ne s’intéresse pas forcément aux relations charnelles et qui véhicule de nombreuses idées, une histoire comme celle de ce manga. Japon, époque moderne, une nouvelle loi sur la peine de mort est en vigueur, elle consiste à reproduire le quotidien du meurtrier, lui faire revivre les derniers moments avant le drame. Une reconstitution, diffusée en continu, qui a lieu de punition avant l’exécution, qui montre un quotidien où un sosie de la victime prend place auprès du condamné, et quand ce dernier retrouve l’envie de vivre, le sosie le tue de la même façon qu’il a commis son meurtre. Kaoru Oda est le seul condamné actuellement, Mizutani est son bourreau, il doit agir le plus possible comme la victime pour mettre Oda en confiance. Ce dernier semble bien docile face à la situation et n’attend qu’une chose : mourir enfin. Mais à force de faire semblant, et de s’impliquer dans cette situation, est-ce que Mizutani en sortira indemne ? Que ce manga est bon ! Il ne se contente pas d’explorer les différents sentiments de nos personnages, entre la culpabilité, l’amour, l’obligation de tuer un être humain… Il se permet une critique de la peine de mort, de décisions politiques qui cachent parfois de sombres vérités, et nous montre une diabolique dérive de la téléréalité. Si la relation entre Oda et Mizutani évolue petit à petit, c’est l’engouement tout autour qui est fou. Yukio Yanagisawa sait rendre les sentiments palpables, que ce soit le grand amour ou la folie de la société, il sait trouver les mots qu’il faut et les accompagner de son dessin soigné. Une réussite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jusqu-a-ce-que-je-te-tue-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. De temps en temps au milieu des yaoi, il y a une histoire atypique qui n’a été classée là que parce qu’elle parle de sentiments entre deux hommes. Une histoire qui ne s’intéresse pas forcément aux relations charnelles et qui véhicule de nombreuses idées, une histoire comme celle de ce manga. Japon, époque moderne, une nouvelle loi sur la peine de mort est en vigueur, elle consiste à reproduire le quotidien du meurtrier, lui faire revivre les derniers moments avant le drame. Une reconstitution, diffusée en continu, qui a lieu de punition avant l’exécution, qui montre un quotidien où un sosie de la victime prend place auprès du condamné, et quand ce dernier retrouve l’envie de vivre, le sosie le tue de la même façon qu’il a commis son meurtre. Kaoru Oda est le seul condamné actuellement, Mizutani est son bourreau, il doit agir le plus possible comme la victime pour mettre Oda en confiance. Ce dernier semble bien docile face à la situation et n’attend qu’une chose : mourir enfin. Mais à force de faire semblant, et de s’impliquer dans cette situation, est-ce que Mizutani en sortira indemne ? Que ce manga est bon ! Il ne se contente pas d’explorer les différents sentiments de nos personnages, entre la culpabilité, l’amour, l’obligation de tuer un être humain… Il se permet une critique de la peine de mort, de décisions politiques qui cachent parfois de sombres vérités, et nous montre une diabolique dérive de la téléréalité. Si la relation entre Oda et Mizutani évolue petit à petit, c’est l’engouement tout autour qui est fou. Yukio Yanagisawa sait rendre les sentiments palpables, que ce soit le grand amour ou la folie de la société, il sait trouver les mots qu’il faut et les accompagner de son dessin soigné. Une réussite !
  22. Sorti au mois de mai il s'agit du second tome de ce drame historique ayant pour théâtre la seconde guerre mondiale et plus particulièrement la période d'occupation allemande de la France. Le Merlu est une bd assez classique dans sa trame et dans sa réalisation mais néanmoins réalisée très soigneusement et sans grand défauts. Pour les amateurs de l'époque et des drames historiques je ne peux que la recommander tant personnages et scénario sont bien amenés. Les dessins de Jérome Phalippou et les couleurs de Patrick Larme rendent bien la période. Les visages et les expressions bien sculptées permettent de s'immerger dans les luttes des personnages et la fin du tome arrive plus vite qu'on ne le veut, e qui est plutôt bon signe pour un tome de 56 pages quand même. Ce tome 2 reprend l'intrigue à la suite du tome 1 et nous développe simplement les petites histoires de nos héros dans la Grande Histoire. Gageons que les prochains tomes seront aussi bien réalisés mais je fais confiance au auteurs et au éditions Paquet pour cela.
  23. Titre de l'album : Le merlu tome 2 - Les routes du sang Scenariste de l'album : Thierry Dubois Dessinateur de l'album : Jérome Phalippou Coloriste : Patrick Larme Editeur de l'album : Paquet Note : Résumé de l'album : Décembre 1941, Pearl Harbor vient d'être attaqué par l'aviation japonaise. Le monde s'enfonce un peu plus dans une guerre mondiale. Georges Colin a disparu depuis plusieurs moi, tué par l'armée allemande ? Marie-Jeanne n'y croit pas... Mais résignée, elle s'est mariée à Jean-Claude, sympathisant actif de l'occupant, afin de faire cesser les ennuis pour son père. Pendant ce temps, le transport doit continuer et les entreprises Colin et Leduc survivent tant bien que mal... Et quelques part, un certain Merlu s'active dans le maquis... Critique : Sorti au mois de mai il s'agit du second tome de ce drame historique ayant pour théâtre la seconde guerre mondiale et plus particulièrement la période d'occupation allemande de la France. Le Merlu est une bd assez classique dans sa trame et dans sa réalisation mais néanmoins réalisée très soigneusement et sans grand défauts. Pour les amateurs de l'époque et des drames historiques je ne peux que la recommander tant personnages et scénario sont bien amenés. Les dessins de Jérome Phalippou et les couleurs de Patrick Larme rendent bien la période. Les visages et les expressions bien sculptées permettent de s'immerger dans les luttes des personnages et la fin du tome arrive plus vite qu'on ne le veut, e qui est plutôt bon signe pour un tome de 56 pages quand même. Ce tome 2 reprend l'intrigue à la suite du tome 1 et nous développe simplement les petites histoires de nos héros dans la Grande Histoire. Gageons que les prochains tomes seront aussi bien réalisés mais je fais confiance au auteurs et au éditions Paquet pour cela. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-merlu-tome-2-les-routes-du-sang?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. The_PoP

    Entre les lignes

    Titre de l'album : Entre les lignes Scenariste de l'album : Dominique Mermoux Dessinateur de l'album : Dominique Mermoux Coloriste : Dominique Mermoux Editeur de l'album : Rue de sevres Note : Résumé de l'album : Lorsqu'il découvre dans une vieille malle trois carnets renfermant des lettres d'amour, le père de Baptiste sombre dans une profonde mélancolie. Baptiste, lui, tombe des nues : Moïse, son grand-père, y raconte toute l'histoire de sa vie. Plus incroyable encore, Moïse adresse son récit à une inconnue : Anne-Lise Schmidt. Naviguant entre les grands drames du xxe siècle et des témoignages d'aujourd'hui glanés dans une tentative éperdue de faire passer un message à son père, Baptiste devra percer le lourd secret d'un homme et lever le voile sur un mystère qui va chambouler toute une famille... Critique : Et voici encore une nouvelle adaptation plus que réussie d'un super livre par les éditions Rue de Sèvres. Je n'avais pas lu le roman dont est tiré cette adaptation mais on est d'emblée saisi par la finesse et la douceur des illustrations de Dominique Mermoux qui tranche parfois avec le monde rude de cette europe du début du vingtième siècle. L'histoire elle est belle et nous invite à revoir la grande Histoire à travers les petits destins parfois tragiques des personnages. C'est beau, c'est humain, c'est parfois merveilleux et dur en même temps. Une belle histoire, magnifiquement mise en image par le talent de Dominique Mermoux. La construction de l'intrigue sur les deux époques est également très réussie et rythme très bien l'avancée du scénario. Je ne peux que vous conseiller de lire "Entre les lignes". Autres infos : Adaptation du roman de Baptiste Beaulieu Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/entre-les-lignes-207288?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. The_PoP

    Entre les lignes

    Et voici encore une nouvelle adaptation plus que réussie d'un super livre par les éditions Rue de Sèvres. Je n'avais pas lu le roman dont est tiré cette adaptation mais on est d'emblée saisi par la finesse et la douceur des illustrations de Dominique Mermoux qui tranche parfois avec le monde rude de cette europe du début du vingtième siècle. L'histoire elle est belle et nous invite à revoir la grande Histoire à travers les petits destins parfois tragiques des personnages. C'est beau, c'est humain, c'est parfois merveilleux et dur en même temps. Une belle histoire, magnifiquement mise en image par le talent de Dominique Mermoux. La construction de l'intrigue sur les deux époques est également très réussie et rythme très bien l'avancée du scénario. Je ne peux que vous conseiller de lire "Entre les lignes".
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