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  1. Titre de l'album : La forêt du temps - tome 5 - La larme de solitude Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Matteo Guerrero Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : L'âge des dieux tire à sa fin. Tandis que les enfants de la pierre triomphent du titan Bahamuth, c'est Léviathan qui se réveille et menace d'engloutir le monde. Du déluge à l'Atlantide, les mythes dessinent une toile oubliée, comme autant de fragments de notre mémoire. Mais une histoire ne vaut que par sa conclusion, qui s'écrit, au même moment, ailleurs. Quand la larme de solitude unira le crépuscule à l'aurore, l'histoire de l'Homme pourra commencer. Critique : Oh que j'aime cette série. Et Ah que je vais devoir tout relire. Chapeau au Lombard pour avoir tenté ce paris : dissimuler l'un des scénarios les plus fous depuis UW1 derrière une bd jeunesse de pseudo fantasy. Il fallait oser. Pour moi c'est un pari clairement réussi tant Tristan Roulot tient l'ambition de son scénario tout du long, quand à Mattéo Guerrero il est depuis longtemps un dessinateur dont j'affectionne particulièrement le travail car c'est assez fin, c'est beau et détaillé même pour du dessin enfant. Bref, vous l'avez compris je ne peux que vous recommander cette série, ne vous fiez pas au dessin très gentil, le scénario va vous triturer les méninges salement et ça fait du bien ! Chapeau bas ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-foret-du-temps-tome-5-la-larme-de-solitude/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Oh que j'aime cette série. Et Ah que je vais devoir tout relire. Chapeau au Lombard pour avoir tenté ce paris : dissimuler l'un des scénarios les plus fous depuis UW1 derrière une bd jeunesse de pseudo fantasy. Il fallait oser. Pour moi c'est un pari clairement réussi tant Tristan Roulot tient l'ambition de son scénario tout du long, quand à Mattéo Guerrero il est depuis longtemps un dessinateur dont j'affectionne particulièrement le travail car c'est assez fin, c'est beau et détaillé même pour du dessin enfant. Bref, vous l'avez compris je ne peux que vous recommander cette série, ne vous fiez pas au dessin très gentil, le scénario va vous triturer les méninges salement et ça fait du bien ! Chapeau bas !
  3. Titre de l'album : Conqueror of the dying kingdom tome 5 Scenariste de l'album : Fudeorca Dessinateur de l'album : Muramasa Sabiku Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : "C'est à moi de régler cette histoire." Yuri sait que les Kuras ont l'intention d'envahir le royaume et d'exterminer ses habitants. Pour acquérir la force de défendre sa famille, il s'engage sur la voie inattendue de l'entrepreneuriat. Il se lance dans la fabrication du papier, une invention appelée à remplacer le parchemin. Les ventes décollent, mais les "Sept Sorcières" sont bien décidées à garder leur prééminence sur le marché. Myalo, le meilleur ami de Yuri, est la première cible de leurs rétorsions. "Lorsque l'on touche à ceux que j'aime, on le paie très cher." Tels sont les principes de celui qu'on appellera plus tard le Diable. Critique : Yuri grandit à vitesse grand V et notre histoire suis de façon intéressante. Fini la jeunesse. Place maintenant à une adolescence très mature qui voit notre personnage principal se lancer dans le business. En se servant habilement de ses connaissances issues de son autre vie, il impose la création de brevet, et lance des inventions, quitte à se fâcher avec les pouvoirs en place. Notre personnage nous montre un personnage de chef plus établi malgré son jeune âge... Un manga toujours très sympathique dont la rapidité d'évolution lui permet de ne pas nous ennuyer. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conqueror-of-the-dying-kingdom-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Yuri grandit à vitesse grand V et notre histoire suis de façon intéressante. Fini la jeunesse. Place maintenant à une adolescence très mature qui voit notre personnage principal se lancer dans le business. En se servant habilement de ses connaissances issues de son autre vie, il impose la création de brevet, et lance des inventions, quitte à se fâcher avec les pouvoirs en place. Notre personnage nous montre un personnage de chef plus établi malgré son jeune âge... Un manga toujours très sympathique dont la rapidité d'évolution lui permet de ne pas nous ennuyer.
  5. Suite des mésaventures de l'impétueuse Red Sonja avec ce troisième tome : Le pardon des monstres. Après avoir délivré un empire sous le joug de son despote mégalo, la voici aux prises avec un magicien non loin d'un petit village. Dans son trépas, ce dernier maudit Red Sonja d'une phrase énigmatique : " Tu ne pourras point pardonner" . Le temps passe, le village libre des méfaits du sorcier peut s'en donner à coeur joie et offrir à l'aventurière ce qu'elle aime le plus, la bière et la bagatelle 🙂 . Cependant, un événement anodin va venir perturber cette fête, Red Sonja va tabasser copieusement un jeune homme suite à une banale altercation, incapable de passer outre et de le pardonner pour sa bévue. Les ennuis commencent, d'autant que le frère du sorcier défunt, lui aussi magicien de son état, se montre épris de vengeance. Rajoutez à cela les visions (ou pas 😉 ) du dernier maraudeur ayant assassiné sa famille, la guerrière hyrkanienne se retrouve au beau milieu d'une tempête d'événements la touchant de près et pour lesquels il faudra faire de nombreux sacrifices ! Un très bon scénario que nous livre Gail Simone, plus introspectif sur l'héroïne à la chevelure flamboyante. Elle exploite les failles de Red Sonja en la rendant plus humaine et responsable de ses actes. On ne s'ennuie pas une seconde, d'autant que le dessin de l'artiste brésilien Walter Geovani est propre, soigné et bien mis en lumière par les couleurs dynamiques de son compatriote Adriano Lucas. Si vous voulez découvrir une barbare vulnérable en proie à ses démons, ce troisième tome est fait pour vous, pour ma part, je pense qu'il s'agit du meilleur du run de Gail Simone. En fichier joint ci-dessous, découvrez les belles planches de Walter Geovani : Red Sonja.pdf
  6. Titre de l'album : Red Sonja tome 3 - Le pardon des monstres Scenariste de l'album : Gail Simone Dessinateur de l'album : Walter Geovani Coloriste : Adriano Lucas Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Alors que Red Sonja aide des villageois à lutter contre un odieux sorcier, elle tombe sur l'homme qu'elle hait le plus au monde : le dernier maraudeur qui a assassiné sa famille (Voir Red Sonja (1) : La Reine des Fléaux). En proie à une obsession vengeresse, la guerrière hyrkanienne pourra-t-elle sortir de cette noirceur qui envahit son âme ? Saura-t-elle vaincre son plus grand adversaire : elle-même ? Critique : Suite des mésaventures de l'impétueuse Red Sonja avec ce troisième tome : Le pardon des monstres. Après avoir délivré un empire sous le joug de son despote mégalo, la voici aux prises avec un magicien non loin d'un petit village. Dans son trépas, ce dernier maudit Red Sonja d'une phrase énigmatique : " Tu ne pourras point pardonner" . Le temps passe, le village libre des méfaits du sorcier peut s'en donner à coeur joie et offrir à l'aventurière ce qu'elle aime le plus, la bière et la bagatelle 🙂 . Cependant, un événement anodin va venir perturber cette fête, Red Sonja va tabasser copieusement un jeune homme suite à une banale altercation, incapable de passer outre et de le pardonner pour sa bévue. Les ennuis commencent, d'autant que le frère du sorcier défunt, lui aussi magicien de son état, se montre épris de vengeance. Rajoutez à cela les visions (ou pas 😉 ) du dernier maraudeur ayant assassiné sa famille, la guerrière hyrkanienne se retrouve au beau milieu d'une tempête d'événements la touchant de près et pour lesquels il faudra faire de nombreux sacrifices ! Un très bon scénario que nous livre Gail Simone, plus introspectif sur l'héroïne à la chevelure flamboyante. Elle exploite les failles de Red Sonja en la rendant plus humaine et responsable de ses actes. On ne s'ennuie pas une seconde, d'autant que le dessin de l'artiste brésilien Walter Geovani est propre, soigné et bien mis en lumière par les couleurs dynamiques de son compatriote Adriano Lucas. Si vous voulez découvrir une barbare vulnérable en proie à ses démons, ce troisième tome est fait pour vous, pour ma part, je pense qu'il s'agit du meilleur du run de Gail Simone. En fichier joint ci-dessous, découvrez les belles planches de Walter Geovani : Red Sonja.pdf Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-sonja-tome-3-le-pardon-des-monstres/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. Titre de l'album : West fantasy tome 4 - L'orc, le banquier & l'assassin Scenariste de l'album : Olivier Peru Dessinateur de l'album : Simone Buonfantino Coloriste : Nanjan Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : DANS L’OUEST, L’HABIT NE FAIT PAS TOUJOURS LA BONNE SŒUR. CERTAINES CACHENT DES FLINGUES SOUS LEUR ROBE...Sœur M. ne quitte jamais ses habits religieux... et pour cause, sa robe aux tissus doublés de plaques de fer est une véritable armure sous laquelle elle cache des revolvers. Sœur M. n’est pas l’une de ces gâchettes de saloon, c’est une tueuse, une vraie, un archange que l’Église envoie descendre le gros gibier pour défendre les intérêts du Christ jusque dans l’Ouest sauvage. Des chefs de guerre orcs aux puissants chasseurs elfes, elle a refroidi toutes ses cibles sans jamais faillir. Mais sa prochaine mission sacrée risque d’être la dernière. Elle doit tuer le Banquier : l’homme le plus riche et le mieux protégé des États-Unis. Un homme qui ne quitte jamais le train dans lequel il vit et où on n’a jamais fait entrer le Christ. Alors une bonne sœur... Critique : Déjà le quatrième tome de cette palpitante saga mêlant fantasy et western pour notre plus grand bonheur ! Je pense sincèrement qu'on a affaire à la meilleure nouvelle série de ce genre, lancée par Oxymore. Le lien entre les tomes et palpable, on sent un fil conducteur global avec entre autres ces fameux portails ou totems répartis sur l'immensité du territoire. Le principe ne change pas, on récupère un personnage de l'histoire précédente, ici la sculpturale Yaretsi, puis on intègre deux autres protagonistes complétant ce trio au coeur de l'intrigue. Tout d'abord Soeur M. une religieuse aux multiples talents de tueuse, puis ce fameux Banquier dont on a déjà entendu parler dans les tomes précédents. On le découvre ici en véritable parrain local, sa carrure immense lui donne des airs du fameux Caïd l'adversaire de Daredevil. Il vit reclus dans son train et avance progressivement sur la ligne de chemin de fer traversant le pays. Protégé par les sorts d'un puissant mage et toute une armada d'hommes de main, il semble inattaquable ! Comment Soeur M. en s'associant avec Yaretsi va t'elle pouvoir accomplir sa mission ? D'autant qu'une surprise va venir s'intercaler dans les plans respectifs de chacun des trois protagonistes ! De l'action, des découvertes encore un peu plus approfondies de cet univers, des personnages attachants, tout fonctionne dans ce quatrième opus, nous réservant un final explosif. Le dessin réaliste est à la mesure des précédents, Nanjan proposant encore une palette de couleurs et d'effets lumineux de premier ordre ! Si vous voulez sortir un peu du contexte "médiéval" des différentes "races" de Tolkien, je ne peux que vous recommander chaudement cette saga prometteuse sentant bon le Smith et Wesson, ainsi que la bonne vieille dynamite 😉 La suite pour le printemps prochain ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/west-fantasy-tome-4-l-orc-le-banquier-l-assassin/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Déjà le quatrième tome de cette palpitante saga mêlant fantasy et western pour notre plus grand bonheur ! Je pense sincèrement qu'on a affaire à la meilleure nouvelle série de ce genre, lancée par Oxymore. Le lien entre les tomes et palpable, on sent un fil conducteur global avec entre autres ces fameux portails ou totems répartis sur l'immensité du territoire. Le principe ne change pas, on récupère un personnage de l'histoire précédente, ici la sculpturale Yaretsi, puis on intègre deux autres protagonistes complétant ce trio au coeur de l'intrigue. Tout d'abord Soeur M. une religieuse aux multiples talents de tueuse, puis ce fameux Banquier dont on a déjà entendu parler dans les tomes précédents. On le découvre ici en véritable parrain local, sa carrure immense lui donne des airs du fameux Caïd l'adversaire de Daredevil. Il vit reclus dans son train et avance progressivement sur la ligne de chemin de fer traversant le pays. Protégé par les sorts d'un puissant mage et toute une armada d'hommes de main, il semble inattaquable ! Comment Soeur M. en s'associant avec Yaretsi va t'elle pouvoir accomplir sa mission ? D'autant qu'une surprise va venir s'intercaler dans les plans respectifs de chacun des trois protagonistes ! De l'action, des découvertes encore un peu plus approfondies de cet univers, des personnages attachants, tout fonctionne dans ce quatrième opus, nous réservant un final explosif. Le dessin réaliste est à la mesure des précédents, Nanjan proposant encore une palette de couleurs et d'effets lumineux de premier ordre ! Si vous voulez sortir un peu du contexte "médiéval" des différentes "races" de Tolkien, je ne peux que vous recommander chaudement cette saga prometteuse sentant bon le Smith et Wesson, ainsi que la bonne vieille dynamite 😉 La suite pour le printemps prochain !
  9. Si vous lisez régulièrement mes chroniques ici, vous savez que je regrette un peu que la série mère de thorgal n'ai pas connue une belle fin quand les auteurs en ont eu l'occasion, ou sur un épisode de thorgal saga. Parce que oui 42 tomes cela commence à peser sur les épaules de notre "viking" préféré, et même si F. Vignaux et Yann sont des auteurs talentueux, que raconter qui n'ai pas déjà été un peu fait sur l'un des 41 tomes précédents ? Bon une fois ceci dit, intéressons nous de plus près à cet album-ci. F. Vignaux signe encore de bien belles planches et des ambiances réussies avec une mise en couleur fine de Gaétan Georges. Seul petit bémol, parfois le dessin semble un peu trop flou sur certains personnages de second plan mais c'est assez mineur. En vrai je trouve que depuis le Thorgal saga, son travail s'est bonifié. On est sur du haut niveau en fantasy, et un héritage du maître Rosinski qui me semble respecté dans l'esprit. Le scénario de Yann est lui plus convenu, et on retrouve un gros air de déjà lu à ce tome-ci qui ressemble davantage à un tome de transition pour amorcer un nouveau cycle.
  10. Titre de l'album : Thorgal - Tome 42 - Ozurr le varègue Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : F. Vignaux Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : De retour au village, Thorgal a retrouvé Aaricia, Louve et la sérénité ; Il aide désormais Jolan à construire son propre foyer. Un matin, un vaisseau inconnu mouille au large du port : Özurr, un belliqueux mercenaire Varègue est de retour au village après en avoir été banni pendant trente ans. Il revient la tête haute, riche et prêt à payer le weirgild, le prix du sang. Thorgal va être amené à affronter le terrible Özurr au cours d'un duel sans merci, face à un adversaire pour lequel tous les coups bas sont permis. Critique : Si vous lisez régulièrement mes chroniques ici, vous savez que je regrette un peu que la série mère de thorgal n'ai pas connue une belle fin quand les auteurs en ont eu l'occasion, ou sur un épisode de thorgal saga. Parce que oui 42 tomes cela commence à peser sur les épaules de notre "viking" préféré, et même si F. Vignaux et Yann sont des auteurs talentueux, que raconter qui n'ai pas déjà été un peu fait sur l'un des 41 tomes précédents ? Bon une fois ceci dit, intéressons nous de plus près à cet album-ci. F. Vignaux signe encore de bien belles planches et des ambiances réussies avec une mise en couleur fine de Gaétan Georges. Seul petit bémol, parfois le dessin semble un peu trop flou sur certains personnages de second plan mais c'est assez mineur. En vrai je trouve que depuis le Thorgal saga, son travail s'est bonifié. On est sur du haut niveau en fantasy, et un héritage du maître Rosinski qui me semble respecté dans l'esprit. Le scénario de Yann est lui plus convenu, et on retrouve un gros air de déjà lu à ce tome-ci qui ressemble davantage à un tome de transition pour amorcer un nouveau cycle. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-tome-42-ozurr-le-varegue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Titre de l'album : Druydesses tome 1 Scenariste de l'album : Fabien Fernandez Dessinateur de l'album : Sandra Violeau Coloriste : Flavia de Vita Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Les druides du Cercle du Chêne ont disparu ! Pour les remplacer, le conseil recrute trois adolescentes très différentes : Ambre, Gwen et Morgane qui vont chambouler les vieilles traditions druidiques. Ensemble, elles devront apprendre à vivre en communauté, tout en affrontant les dangers mis en place par la terrifiante sorcière Ygraine, l'ennemie du roi Arthus... Critique : Nouvelle parution de l'éditeur Jungle au fort accent de légendes celtiques ! En effet nous suivrons le destin de trois jeunes femmes durant leur formation de "druides" dans la forêt sans fin. Trois femmes bien différentes avec chacune des qualités et des défauts, mais on perçoit vite au fil des pages que leur association sera bénéfique pour elles et le Cercle du Chêne en proie à une terrible menace. Place donc au "girl power" dans cette aventure où de nombreux mots sont féminisés comme druydesse ( oui l'une d'entre elles insiste pour le Y à la place du I ) ou encore chevaleresse. Vous allez découvrir qu'elles n'ont absolument pas besoin d'hommes ou de preux chevaliers pour accomplir leurs quêtes, dont une revisitant le mythe de la princesse "endormie" 😉 . De l'humour, de l'action, du mystère, un cocktail efficace pour une lecture agréable qui ravira les jeunes filles rêveuses d'aventures et de magie ! Les illustrations sont réalisées par Sandra Violeau, une habituée de l'éditeur puisqu'elle avait réalisée les cinq tomes de Ayati. Les décors sont soignés et détaillés, les personnages bien reconnaissables, certaines mimiques semblent un peu figées parfois mais rien de bien dramatique, les couleurs sont éclatantes rendant encore plus magique le monde environnant. Un premier tome sympathique, laissant entrevoir de belles promesses pour la suite. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/druydesses-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Kevin Nivek

    Druydesses tome 1

    Nouvelle parution de l'éditeur Jungle au fort accent de légendes celtiques ! En effet nous suivrons le destin de trois jeunes femmes durant leur formation de "druides" dans la forêt sans fin. Trois femmes bien différentes avec chacune des qualités et des défauts, mais on perçoit vite au fil des pages que leur association sera bénéfique pour elles et le Cercle du Chêne en proie à une terrible menace. Place donc au "girl power" dans cette aventure où de nombreux mots sont féminisés comme druydesse ( oui l'une d'entre elles insiste pour le Y à la place du I ) ou encore chevaleresse. Vous allez découvrir qu'elles n'ont absolument pas besoin d'hommes ou de preux chevaliers pour accomplir leurs quêtes, dont une revisitant le mythe de la princesse "endormie" 😉 . De l'humour, de l'action, du mystère, un cocktail efficace pour une lecture agréable qui ravira les jeunes filles rêveuses d'aventures et de magie ! Les illustrations sont réalisées par Sandra Violeau, une habituée de l'éditeur puisqu'elle avait réalisée les cinq tomes de Ayati. Les décors sont soignés et détaillés, les personnages bien reconnaissables, certaines mimiques semblent un peu figées parfois mais rien de bien dramatique, les couleurs sont éclatantes rendant encore plus magique le monde environnant. Un premier tome sympathique, laissant entrevoir de belles promesses pour la suite.
  13. L'aventure continue pour la famille "recomposée" d'Emmy, qui doit retourner en terres elfiques affronter le vil Torik et ses compères elfes noirs ! Comme dans le premier tome, tout va très vite, le chemin du groupe d'Emmy est tortueux et dangereux, ils doivent faire face à de nombreuses menaces avant de rejoindre le territoire hostile de leur ennemi. Notre jeune héroïne va malencontreusement se retrouver contaminée par un mal mystérieux qui pourrait bien compromettre leur mission. D'autant que Torik possède une longueur d'avance et semble tout à fait prêt à les accueillir à sa façon ! La progression s'avère semée d'embûches et vous irez de surprises en surprises en parcourant ces pages ! Le duo de scénaristes fonctionne bien et nous offre de nombreux rebondissements au fil du récit. La partie graphique de Hortense Pien est dans la même veine que le premier tome, un trait numérique efficace avec de nombreux effets visuels, des couleurs vives et un mouvement permanent. Le découpage est dynamique et fluide, au diapason du récit. Le public ciblé (ado, jeune-ado) retrouvera avec plaisir les personnages de cette aventure au bon goût de fantasy moderne !
  14. Titre de l'album : Emmy et les derniers elfes tome 2 Scenariste de l'album : Carbone, Véronique Barrau Dessinateur de l'album : Hortense Pien Coloriste : Hortense Pien Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Emmy et les elfes des Lumières exilés retournent avec détermination dans le monde elfique. Leur mission est triple : libérer leurs semblables réduits en esclavage, anéantir Torik et ses sbires mais aussi reconquérir leur royaume, sans mettre en danger leur terre. Or, ces tâches vont s'avérer bien plus ardues que prévues... En se frayant un chemin dans les paysages si longtemps malmenés par les elfes des Ténèbres, Emmy se blesse grièvement et son pouvoir s'en trouve réduit. Affaiblie, elle et les siens sont faits prisonniers par Torik qui réserve à l'héroïne un sort peu enviable... Critique : L'aventure continue pour la famille "recomposée" d'Emmy, qui doit retourner en terres elfiques affronter le vil Torik et ses compères elfes noirs ! Comme dans le premier tome, tout va très vite, le chemin du groupe d'Emmy est tortueux et dangereux, ils doivent faire face à de nombreuses menaces avant de rejoindre le territoire hostile de leur ennemi. Notre jeune héroïne va malencontreusement se retrouver contaminée par un mal mystérieux qui pourrait bien compromettre leur mission. D'autant que Torik possède une longueur d'avance et semble tout à fait prêt à les accueillir à sa façon ! La progression s'avère semée d'embûches et vous irez de surprises en surprises en parcourant ces pages ! Le duo de scénaristes fonctionne bien et nous offre de nombreux rebondissements au fil du récit. La partie graphique de Hortense Pien est dans la même veine que le premier tome, un trait numérique efficace avec de nombreux effets visuels, des couleurs vives et un mouvement permanent. Le découpage est dynamique et fluide, au diapason du récit. Le public ciblé (ado, jeune-ado) retrouvera avec plaisir les personnages de cette aventure au bon goût de fantasy moderne ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/emmy-et-les-derniers-elfes-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. J’avais découvert ce webtoon il y a quelques années et j’étais allée assez loin dans la lecture, la série n’est toujours pas finie et compte 212 chapitres actuellement, elle est disponible sur la plateforme Webtoon. Si le concept de tour tutorielle où des humains doivent gravir les étages pour devenir plus forts et apprendre des compétences dans l’optique de devenir des chasseurs émérites une fois sortis pour défendre les humains contre des hordes de monstres est devenu un classique du genre fantastique, on a rarement d’explication à cette situation. C’est l’un des atouts de ce webtoon, il y a une explication !! Et non seulement, elle tient la route mais en plus elle offre une certaine originalité dans le scénario. Mais bien sûr, comme cela n’arrive pas dans ce 1er tome, je ne vous en dirais pas plus. L’autre atout majeur du livre est le personnage de Hyeon-Woo, surnommé sur la toile « claquette-man ». Ce jeune homme, héros de l’histoire, est resté 12 ans enfermé dans la tour, il a tout essayé pour en sortir sans succès et a donc eu le temps d’essayer plein de choses farfelues à tel point qu’il est devenu une légende dans le monde réel. Petite information : il n’y a pas de vieillissement dans la tour (mais on peut y mourir) et il n’y a pas moyen d’entrer en contact avec l’extérieur, Hyeon-Woo n’a eu des informations qu’avec l’arrivée de nouveaux joueurs. Tout ça pour dire, que l’histoire ne manque pas d’humour et que ses fantaisies vont provoquer quelques événements cocasses. C’est donc un bon premier tome qui présente la situation générale, les personnages principaux, un aperçu du passé de Hyeon-Woo et sa situation présente maintenant qu’il est enfin sorti de la tour. Aventure et détente sont au rendez-vous.
  16. Titre de l'album : The advanced player of the tutorial tower tome 1 Scenariste de l'album : KIM Indoor Dessinateur de l'album : Bluepin inc Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Après avoir été piégé pendant 12 ans dans une tour pleine de monstres qui se régénèrent, Yeonu Kim est devenu plus puissant que n'importe quel humain ou monstre sur Terre. Maintenant qu'il a réussi à s'échapper, il est déterminé à découvrir qui est caché derrière son emprisonnement. Même si cela signifie qu'il doit tuer des hordes de monstres et sauver le monde, il ira jusqu'au bout ! Critique : J’avais découvert ce webtoon il y a quelques années et j’étais allée assez loin dans la lecture, la série n’est toujours pas finie et compte 212 chapitres actuellement, elle est disponible sur la plateforme Webtoon. Si le concept de tour tutorielle où des humains doivent gravir les étages pour devenir plus forts et apprendre des compétences dans l’optique de devenir des chasseurs émérites une fois sortis pour défendre les humains contre des hordes de monstres est devenu un classique du genre fantastique, on a rarement d’explication à cette situation. C’est l’un des atouts de ce webtoon, il y a une explication !! Et non seulement, elle tient la route mais en plus elle offre une certaine originalité dans le scénario. Mais bien sûr, comme cela n’arrive pas dans ce 1er tome, je ne vous en dirais pas plus. L’autre atout majeur du livre est le personnage de Hyeon-Woo, surnommé sur la toile « claquette-man ». Ce jeune homme, héros de l’histoire, est resté 12 ans enfermé dans la tour, il a tout essayé pour en sortir sans succès et a donc eu le temps d’essayer plein de choses farfelues à tel point qu’il est devenu une légende dans le monde réel. Petite information : il n’y a pas de vieillissement dans la tour (mais on peut y mourir) et il n’y a pas moyen d’entrer en contact avec l’extérieur, Hyeon-Woo n’a eu des informations qu’avec l’arrivée de nouveaux joueurs. Tout ça pour dire, que l’histoire ne manque pas d’humour et que ses fantaisies vont provoquer quelques événements cocasses. C’est donc un bon premier tome qui présente la situation générale, les personnages principaux, un aperçu du passé de Hyeon-Woo et sa situation présente maintenant qu’il est enfin sorti de la tour. Aventure et détente sont au rendez-vous. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-advanced-player-of-the-tutorial-tower-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : L'abominable chevalier tome 1 Scenariste de l'album : HIROMATSU Ryo Dessinateur de l'album : KOZUKI Osamu Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Traumatisé après avoir été accusé à tort d'une agression sexuelle, Shigeru Yoshioka décide de tout quitter pour se réincarner dans un monde fantastique de type RPG. Au moment de choisir ses paramètres, le jeune homme met son dévolu sur une puissance divine, mais également sur un physique repoussant au possible... Critique : Si ce manga peut être rangé dans la catégorie isekai, il ne reprend pas vraiment les codes habituels et propose une approche du genre totalement inédite. D’une part, toutes les personnes qui ont transmigrées dans l’autre monde l’ont fait volontairement en suivant un conseil sur internet. D’autre part, Shigeru, le personnage principal est un homme laid et imposant qui a autant de capacités « cheatées » qu’il a de pénalités : pour obtenir un maximum de points, il a mis en négatif certaines caractéristiques comme le physique où il est au niveau -255 ou encore la mort s’il a des relations sexuelles. On a donc toute une panoplie de personnages qui souhaitent tous avoir une seconde chance dans la vie dont on découvrira le passé au fur et à mesure de l’avancée du livre. Shigeru est certainement le plus puissant mais aussi le plus repoussant et cela se ressent dans la lecture : on n’a pas vraiment envie de le suivre dans ses aventures…. Heureusement, il est accompagné et ce sont ses interactions avec les autres qui amènent de l’intérêt au récit. A la lecture de ce premier tome (série finie en 6 volumes), j’ai l’impression que le véritable sujet de cette histoire n’est pas l’aventure mais les relations humaines. Il y a d’abord le cas de Shigeru, accusé à tort dans le monde réel à cause de son physique disgracieux, mais aussi tous les préjugés qu’il a au début envers ses nouveaux camarades, préjugés qui disparaissent quand il commence à les connaitre. On aurait presque l’impression que le sous-titre du manga est « ne pas se fier aux apparences » ! L’abominable chevalier est donc à lire à plusieurs niveaux et mérite que l’on s’y attarde un peu pour découvrir l’objectif de ses auteurs. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-abominable-chevalier-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    L'abominable chevalier tome 1

    Si ce manga peut être rangé dans la catégorie isekai, il ne reprend pas vraiment les codes habituels et propose une approche du genre totalement inédite. D’une part, toutes les personnes qui ont transmigrées dans l’autre monde l’ont fait volontairement en suivant un conseil sur internet. D’autre part, Shigeru, le personnage principal est un homme laid et imposant qui a autant de capacités « cheatées » qu’il a de pénalités : pour obtenir un maximum de points, il a mis en négatif certaines caractéristiques comme le physique où il est au niveau -255 ou encore la mort s’il a des relations sexuelles. On a donc toute une panoplie de personnages qui souhaitent tous avoir une seconde chance dans la vie dont on découvrira le passé au fur et à mesure de l’avancée du livre. Shigeru est certainement le plus puissant mais aussi le plus repoussant et cela se ressent dans la lecture : on n’a pas vraiment envie de le suivre dans ses aventures…. Heureusement, il est accompagné et ce sont ses interactions avec les autres qui amènent de l’intérêt au récit. A la lecture de ce premier tome (série finie en 6 volumes), j’ai l’impression que le véritable sujet de cette histoire n’est pas l’aventure mais les relations humaines. Il y a d’abord le cas de Shigeru, accusé à tort dans le monde réel à cause de son physique disgracieux, mais aussi tous les préjugés qu’il a au début envers ses nouveaux camarades, préjugés qui disparaissent quand il commence à les connaitre. On aurait presque l’impression que le sous-titre du manga est « ne pas se fier aux apparences » ! L’abominable chevalier est donc à lire à plusieurs niveaux et mérite que l’on s’y attarde un peu pour découvrir l’objectif de ses auteurs.
  19. Titre de l'album : West fantasy tome 3 - L'orc, le juge & le marshal Scenariste de l'album : Sylvain Cordurié Dessinateur de l'album : Jean-Paul Bordier Coloriste : Nanjan Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : Stupide est celui qui ose traiter un orc de cul-vert, surtout au Nouveau-Mexique, c'est la garantie de se manger une balle ! Yaretsi est une voleuse indocile. Avec une bande de pistoleros, elle braque aussi bien les banques que les trains. Hélas, ayant désobéi une fois de trop au mage qui l'emploie, ses acolytes tentent de l'abattre. Elle ne doit sa survie qu'à l'intervention de Douglas Reeves, le marshal déchu. Blessée, elle va devoir répondre de ses crimes devant Robert Anderson, surnommé le Juge Silence parce qu'il est muet. Par chance, Yaretsi sait ce que l'intraitable homme de loi ignore : pourquoi et comment il a été privé de l'usage de la parole quand il était enfant. Pour échapper à la potence et se venger de ceux qui l'ont trahi, elle passe un accord avec lui. Un accord qui les conduira à affronter un ennemi commun dans l'une des villes les plus dangereuses de l'Ouest : Deadhill ! Critique : La très sympathique saga de fantasy au farwest se poursuit avec un troisième tome truffé d'action et de plombs ^^. Sur le même principe que les opus précédents , on retrouve un trio comme protagonistes principaux dont un issu du tome précédent , avec cette fois-ci le marshall Reeves qui poursuit sa route dans cette histoire . Voici donc les orcs ou plutôt mexicorcs , avec Yaretsi la plantureuse voleuse et ses compatriotes en quête de butin . Le braquage du train ne se passant pas idéalement pour elle , la voici remise aux bras de la justice par le marshall déchu , dans la juridiction d'un juge intraitable au très lourd passé . Une orc , un marshall et un juge , voici le tiercé gagnant de cette aventure sentant la vengeance à plein nez ! Sylvain Cordurié réalise un scénario nerveux et réservant son lot de surprises . Par ailleurs , vous découvrirez un lien avec le premier tome , donnant un peu plus d'épaisseur à ce monde et des intrigues sous-jacentes à venir . On commence à découvrir au fil des histoires les différentes races et leurs motivations , cette association fantasy - univers western , est vraiment une belle trouvaille et permet une création folle dans ce bac à sable immense . D'autant que les équipes choisies se surpassent pour nous régaler les rétines . Jean-Paul Bordier , que l'on connait sur les séries Elfes/Nains (éditeur Soleil) réalise des planches superbes , magnifiées par les couleurs de Nanjan , lui aussi un habitué . Les détails fourmillent , l'univers est immersif au possible , je vous recommande chaudement les scènes d'explosions à la dynamite qui sont d'un réalisme saisissant . La suite est prévue fin novembre ,on y retrouvera Yaretsi , aux prises avec un banquier et une assassin pas comme les autres . Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/west-fantasy-tome-3-l-orc-le-juge-le-marshal/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. La très sympathique saga de fantasy au farwest se poursuit avec un troisième tome truffé d'action et de plombs ^^. Sur le même principe que les opus précédents , on retrouve un trio comme protagonistes principaux dont un issu du tome précédent , avec cette fois-ci le marshall Reeves qui poursuit sa route dans cette histoire . Voici donc les orcs ou plutôt mexicorcs , avec Yaretsi la plantureuse voleuse et ses compatriotes en quête de butin . Le braquage du train ne se passant pas idéalement pour elle , la voici remise aux bras de la justice par le marshall déchu , dans la juridiction d'un juge intraitable au très lourd passé . Une orc , un marshall et un juge , voici le tiercé gagnant de cette aventure sentant la vengeance à plein nez ! Sylvain Cordurié réalise un scénario nerveux et réservant son lot de surprises . Par ailleurs , vous découvrirez un lien avec le premier tome , donnant un peu plus d'épaisseur à ce monde et des intrigues sous-jacentes à venir . On commence à découvrir au fil des histoires les différentes races et leurs motivations , cette association fantasy - univers western , est vraiment une belle trouvaille et permet une création folle dans ce bac à sable immense . D'autant que les équipes choisies se surpassent pour nous régaler les rétines . Jean-Paul Bordier , que l'on connait sur les séries Elfes/Nains (éditeur Soleil) réalise des planches superbes , magnifiées par les couleurs de Nanjan , lui aussi un habitué . Les détails fourmillent , l'univers est immersif au possible , je vous recommande chaudement les scènes d'explosions à la dynamite qui sont d'un réalisme saisissant . La suite est prévue fin novembre ,on y retrouvera Yaretsi , aux prises avec un banquier et une assassin pas comme les autres .
  21. Orepia est plutôt rempli de bonnes idées, nous présentant un monde d'heroïc fantasy plutôt frais, et une galerie de personnage dans la compagnie de mercenaire plutôt bien pensés, mais elle souffre de défauts qui rende finalement cette lecture vite oubliée et peu mémorable. D'abord les enjeux sont vus et revus et les motivations du grand méchant, bon, on va dire aimablement que c'est peut être un brin trop caricatural et tellement vu que cela colle mal avec le reste de l'effort mis sur la création de ce monde ou des persos secondaires de la compagnie de mercenaires. L'enfant élu c'est aussi plutôt aussi un grand classique de la fantasy ce qui finalement finit par faire beaucoup. Les dessins sont aussi plutôt agréables avec un style très inspiré du manga mais qui passe très bien. Par contre du côté de la mise en couleur, cela manque beaucoup trop de nuances pour moi, rendant le dessin un peu trop figé, impersonnel et aujourd'hui je crois qu'on a été habitués à mieux en bd héroique fantasy franco belge pour s'émouvoir de cases de personnages sur fonds de couleur unie. Vous m'avez compris, ce n'est pas désagréable loin de là, ni mauvais. On sent que ce monde donne envie d'être découvert. Mais entre le rythme de la narration au pas de course, certains personnages aux motivations stéréotypées, et certaines cases peu séduisantes à l'oeil par manque de détail et par une colorisation manquant de nuances à mon goût, Orepia risque de passer aux oubliettes, sauf pour les aficionados de l'héroic fantasy ayant déjà tout lu. Mais rien que chez le même éditeur, il y a quand même plusieurs séries qui me semblent plus enthousiasmantes.
  22. Titre de l'album : Orepia - Tome 2 - Le fléau d'Orient Scenariste de l'album : Fabien Dalmasso Dessinateur de l'album : Jae Hwan Kim Coloriste : Cyril Vincent Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Seuls rescapés de la terrible attaque menée par Miw dans l'Est du royaume d'Orepia, les mercenaires d'Adhémar continuent leur périple et tentent d'avertir les habitants de la menace qui avance sur eux. Malgré la méfiance, la rumeur se répand, et une résistance timide se met en place. Prenant leur ennemi de vitesse, Adhémar et ses compagnons partent prévenir le roi d'Orepia en personne. Critique : Orepia est plutôt rempli de bonnes idées, nous présentant un monde d'heroïc fantasy plutôt frais, et une galerie de personnage dans la compagnie de mercenaire plutôt bien pensés, mais elle souffre de défauts qui rende finalement cette lecture vite oubliée et peu mémorable. D'abord les enjeux sont vus et revus et les motivations du grand méchant, bon, on va dire aimablement que c'est peut être un brin trop caricatural et tellement vu que cela colle mal avec le reste de l'effort mis sur la création de ce monde ou des persos secondaires de la compagnie de mercenaires. L'enfant élu c'est aussi plutôt aussi un grand classique de la fantasy ce qui finalement finit par faire beaucoup. Les dessins sont aussi plutôt agréables avec un style très inspiré du manga mais qui passe très bien. Par contre du côté de la mise en couleur, cela manque beaucoup trop de nuances pour moi, rendant le dessin un peu trop figé, impersonnel et aujourd'hui je crois qu'on a été habitués à mieux en bd héroique fantasy franco belge pour s'émouvoir de cases de personnages sur fonds de couleur unie. Vous m'avez compris, ce n'est pas désagréable loin de là, ni mauvais. On sent que ce monde donne envie d'être découvert. Mais entre le rythme de la narration au pas de course, certains personnages aux motivations stéréotypées, et certaines cases peu séduisantes à l'oeil par manque de détail et par une colorisation manquant de nuances à mon goût, Orepia risque de passer aux oubliettes, sauf pour les aficionados de l'héroic fantasy ayant déjà tout lu. Mais rien que chez le même éditeur, il y a quand même plusieurs séries qui me semblent plus enthousiasmantes. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/orepia-tome-2-le-fleau-d-orient?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Titre de l'album : Thorgal Saga - Shaïgan Scenariste de l'album : Yann Dessinateur de l'album : Surzhenko Coloriste : Surzhenko Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Des mers Scandinaves à celles du pays Saxon, le nom de Shaïgan-sans-merci inspire une crainte sans pareille. Sa cruauté n'a d'égale que celle de sa maîtresse, Kriss de Valnor. Tous ignorent que cette dernière a profité de l'amnésie du valeureux Thorgal pour le remodeler à sa guise. Mais certains indices commencent à le faire douter des affirmations de Kriss ; à l'insu de cette dernière, il conclut un marché avec un puissant devin ; la vérité sur sa véritable identité, en échange d'une arme légendaire dissimulée dans un tombeau quasi inaccessible... Critique : C'est peu dire que les Thorgal Saga, sur l'initiative de son éditeur Le Lombard, ont relancé fortement l'intérêt pour ce personnage qui avait perdu pas mal de son attrait au fil d'une très longue série et de multiples séries dérivées. Les saga, en conviant des auteurs renommé ont alors bousculé la série, la rafraichissant fortement et la rendant de nouveau sexy, pour les nouveaux lecteurs comme pour les anciens. Adieu AAricia était un véritable coup de maitre, et le second Wendigo avait bien confirmé notre intérêt. Ce Thorgal Shaïgan s'inscrit clairement dans la belle ligne éditoriale, mais cette fois-ci ce sont les auteurs déjà en charge de poursuivre la série mère qui ont le droit à ce one shot, explorant un passage inédit et un moment fort des aventures de notre viking préféré. L'histoire tient globalement ses promesses, même si le twist final est un peu facile à mon goût, et côté dessins, Surzenkho a bien en main l'univers graphique de la série. Cependant les précédents étaient plus marquants, plus différents, et plus remarquables, et si une fois encore la couverture de ce Shaïgan est exceptionnelle de mon point de vue, le reste de l'album, un poil plus classique, est finalement un peu en deça de ses ainés. Qu'à cela ne tienne, cela reste un excellent Thorgal, et c'est déjà plus que pas mal. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-saga-shaigan?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. Kevin Nivek

    Ilenter

    Titre de l'album : Ilenter Scenariste de l'album : Anne Loyer Dessinateur de l'album : Moon Li Coloriste : Claudia Razzoli Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : En Ilenter, territoire glacé, hostile et isolé, cohabitent bêtes maléfiques et humains.Les Tueurs, chasseurs hors pair et maîtres incontestés de cette société, protègent les habitants des menaces extérieures. Ilia, jeune fille rebelle, rêve de s’élever au rang de Tueuse. Son amoureux appartenant à cette caste supérieure, elle est prête à passer la cérémonie pour le rejoindre. Or, cette épreuve, si elle peut lui offrir ce statut, peut aussi lui ôter la vie. Mais une bien étrange découverte va changer l’image qu’elle a de son peuple et faire basculer son destin… Critique : La collection Chimères de l'éditeur Jungle réserve souvent de belles surprises avec des récits fantastiques innovants . C'est bien le cas ici avec Ilenter , un "pays" en proie aux neiges éternelles ,une faille mystérieuse proche d'un village isolé et une faune locale pouvant se montrer agressive . La scénariste Anne Loyer se lance dans le grand bain de la BD après avoir écrit des romans . Elle imagine une société nouvelle avec 3 castes la composant . Chacune plus ou moins imposée aux jeunes gens entrant dans l'âge adulte pour diverses raisons . La magie fait aussi partie du quotidien avec des animaux luminescents fidèles ainsi que des cristaux recelant des pouvoirs secrets . En suivant Ilia dans ses aventures , vous découvrirez un nouveau monde et serez vite conquis par cette histoire rondement menée aux rebondissements nombreux . Pour illustrer cette "quête" , Moon Li et la coloriste Claudia Razzoli réalisent un travail soigné , sans s'encombrer de détails , et réalisant des effets de brouillard et de lumières assez remarquables . Coloriser des paysages enneigés , rendre réels des flocons de neige , tout ceci demande un certain talent pour le réussir avec brio comme ce duo d'artistes le fait . Ajoutez à cela un découpage dynamique et immersif , rendant la lecture immersive . Avec cet été indien se profilant , plongez dans les pages de cette histoire glacée au doux parfum de magie , et enquêtez aux côté de Ilia sur la présumée mort de sa mère ainsi que le mode d'attribution des castes dans ce village , garni de secrets 😉 Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ilenter/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Kevin Nivek

    Ilenter

    La collection Chimères de l'éditeur Jungle réserve souvent de belles surprises avec des récits fantastiques innovants . C'est bien le cas ici avec Ilenter , un "pays" en proie aux neiges éternelles ,une faille mystérieuse proche d'un village isolé et une faune locale pouvant se montrer agressive . La scénariste Anne Loyer se lance dans le grand bain de la BD après avoir écrit des romans . Elle imagine une société nouvelle avec 3 castes la composant . Chacune plus ou moins imposée aux jeunes gens entrant dans l'âge adulte pour diverses raisons . La magie fait aussi partie du quotidien avec des animaux luminescents fidèles ainsi que des cristaux recelant des pouvoirs secrets . En suivant Ilia dans ses aventures , vous découvrirez un nouveau monde et serez vite conquis par cette histoire rondement menée aux rebondissements nombreux . Pour illustrer cette "quête" , Moon Li et la coloriste Claudia Razzoli réalisent un travail soigné , sans s'encombrer de détails , et réalisant des effets de brouillard et de lumières assez remarquables . Coloriser des paysages enneigés , rendre réels des flocons de neige , tout ceci demande un certain talent pour le réussir avec brio comme ce duo d'artistes le fait . Ajoutez à cela un découpage dynamique et immersif , rendant la lecture immersive . Avec cet été indien se profilant , plongez dans les pages de cette histoire glacée au doux parfum de magie , et enquêtez aux côté de Ilia sur la présumée mort de sa mère ainsi que le mode d'attribution des castes dans ce village , garni de secrets 😉
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