Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'fantasy'.
-
Titre de l'album : Helck tome 9 Scenariste de l'album : Nanaki Nanao Dessinateur de l'album : Nanaki Nanao Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Un mystérieux héros qui dit vouloir exterminer tous ses semblables ?! Attention, voici l'incroyable Helck ! "Hors de question de perdre", affirma le héros.La bataille finale a commencé. Helck et son groupe ont infiltré le pays des hommes. Dans les sous-sols du château du Roi, ils font une surprenante découverte !De son côté, l'armée impériale doit faire face à une nouvelle menace, alors qu'elle cherche à détruire la tour... Critique : Dernier tome "d'histoire" de Helck avec une surprenante évolution. En effet notre auteur nous trouve un lien avec... notre époque. Oui oui l'histoire est plus complexe qu'un simple combat entre Humain et Demons et les humains ne sont pas jute des brutes sans cervelles mais veulent, eux aussi, lutter pour qu'ils n'arrivent ca qu'il est déjà arrivé au peuple humain des milliers d'années auparavant. Un retournement de situation assez surprenant et que j'espère ne pas être trop complexe, de peur qu'il n'écrase le coté très "humain" du combat de Helck. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/helck-tome-9?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Dernier tome "d'histoire" de Helck avec une surprenante évolution. En effet notre auteur nous trouve un lien avec... notre époque. Oui oui l'histoire est plus complexe qu'un simple combat entre Humain et Demons et les humains ne sont pas jute des brutes sans cervelles mais veulent, eux aussi, lutter pour qu'ils n'arrivent ca qu'il est déjà arrivé au peuple humain des milliers d'années auparavant. Un retournement de situation assez surprenant et que j'espère ne pas être trop complexe, de peur qu'il n'écrase le coté très "humain" du combat de Helck.
-
Titre de l'album : Thorgal Saga - De givre et de feu Scenariste de l'album : Olivier Legrand & Jean-Blaise Djian Dessinateur de l'album : David Etien Coloriste : Bruno Tatti Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Pris dans une tempête surnaturelle et échoué sur une banquise glaciale, Thorgal découvre que le Fimbulvinter, le légendaire grand hiver annonçant la fin du monde, est proche. Pour sauver les siens et stopper cette menace, il devra s'aventurer jusqu'au coeur du royaume des géants et affronter les flammes de Muspelheim. En compagnie d'alliés aussi mystérieux et dangereux que la magicienne Vakva, fille de la Reine-Sorcière de l'île du Givre, il entame une quête périlleuse afin de dérober le Feu Magique capable de repousser l'hiver éternel. L'avenir des mondes est désormais entre les mains de Thorgal. Critique : Avec d'ors et déjà 2 tomes sur 3 dans les best of de 1001bd et le dernier qui était quand même déjà sacrément bien, il est peu dire que le paris des éditions du Lombard avec son Throgal Saga est une réussite. Il faut reconnaitre que dupliquer une partie des recettes du succès de la collection Signé sur un mythe comme Thorgal avait tout pour nous plaire. Ce quatrième tome va s'inscrire directement dans cette lignée, car il s'agit encore de l'un de mes coups de coeur de cette année. Il faut dire que le mélange : auteurs de qualités, héros intrépide et attachant, et mythologie du grand nord ne peut que me plaire. Si la couverture version feu m'a laissé un petit peu dubitatif sur le fait que le dessin de David Etien saurait s'adapter au style Thorgal, j'ai été rassuré dès les premières pages. Le style est bien respectueux de l'œuvre sans se renier pour autant, et la mise en couleur de grande qualité de Bruno Tatti ne fait que rendre l'ensemble encore plus séduisant. Le scénario d'Olivier Legrand & Jean-Blaise Djian se révèle infiniment respectueux de l'œuvre et du personnage tout en nous plongeant une nouvelle fois dans la mythologie nordique. Thorgal se retrouvera, fidèle à lui même encore et toujours opposé aux dieux et à leurs jeux. Il y a de l'odyssée d'Ulysse dans le destin de notre Thorgal, et ce n'est pas pour me déplaire. Je reste un grand amateur de mythologie nordique (surtout depuis les derniers God of War je le confesse) alors revoir encore et encore ces personnages reste un immense plaisir. Je ne peux que vous conseiller ces Thorgal saga qui viennent magnifier l'un de nos meilleurs héros de bd franco belge. L'édition en plus est de très bonne qualité, et la pagination à la hauteur pour ces one shots. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-saga-de-givre-et-de-feu-couverture-feu?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Avec d'ors et déjà 2 tomes sur 3 dans les best of de 1001bd et le dernier qui était quand même déjà sacrément bien, il est peu dire que le paris des éditions du Lombard avec son Throgal Saga est une réussite. Il faut reconnaitre que dupliquer une partie des recettes du succès de la collection Signé sur un mythe comme Thorgal avait tout pour nous plaire. Ce quatrième tome va s'inscrire directement dans cette lignée, car il s'agit encore de l'un de mes coups de coeur de cette année. Il faut dire que le mélange : auteurs de qualités, héros intrépide et attachant, et mythologie du grand nord ne peut que me plaire. Si la couverture version feu m'a laissé un petit peu dubitatif sur le fait que le dessin de David Etien saurait s'adapter au style Thorgal, j'ai été rassuré dès les premières pages. Le style est bien respectueux de l'œuvre sans se renier pour autant, et la mise en couleur de grande qualité de Bruno Tatti ne fait que rendre l'ensemble encore plus séduisant. Le scénario d'Olivier Legrand & Jean-Blaise Djian se révèle infiniment respectueux de l'œuvre et du personnage tout en nous plongeant une nouvelle fois dans la mythologie nordique. Thorgal se retrouvera, fidèle à lui même encore et toujours opposé aux dieux et à leurs jeux. Il y a de l'odyssée d'Ulysse dans le destin de notre Thorgal, et ce n'est pas pour me déplaire. Je reste un grand amateur de mythologie nordique (surtout depuis les derniers God of War je le confesse) alors revoir encore et encore ces personnages reste un immense plaisir. Je ne peux que vous conseiller ces Thorgal saga qui viennent magnifier l'un de nos meilleurs héros de bd franco belge. L'édition en plus est de très bonne qualité, et la pagination à la hauteur pour ces one shots.
-
Titre de l'album : Thorgal Saga - Adieu Aaricia Scenariste de l'album : Robin Recht Dessinateur de l'album : Robin Recht Coloriste : Gaétan Georges Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : Le temps est le plus cruel des dieux… Couronnée de cheveux blancs, Aaricia a rendu son dernier souffle. Au crépuscule de sa vie, écrasé par la douleur, Thorgal se voit proposer l'anneau d'Ouroboros par le perfide Nidhogg. Qu'il le mette à son doigt, et il pourra retourner dans son propre passé, et revoir sa bien-aimée. Qu'importe le prix à payer, il est des tentations auxquelles même le héros le plus pur ne peut résister… Critique : Ce Thorgal est un évènement. Ni plus ni moins, il me rappelle le Goldorak qui nous a estomaqué l'année dernière ou le Lucky Luke de Mathieu Bonhomme dans sa façon de jouer avec nos souvenirs et nos émotions de lecteurs d'une icône de la bd. Je ne pense pas que les éditeurs peuvent se contenter de simplement faire revoir leurs principales saga par des auteurs différents et talentueux, mais cela n'empêche pas cet exercice, quand il est réussi et rare, d'avoir une saveur toute particulière. C'est ici bien évidemment le cas. Ce premier opus de Thorgal Saga (soit la nouvelle série de Thorgal vus par un auteur différent) frappe très fort et je crois que la amateurs de la série seront bluffés par le résultat. Ceux qui ne la connaissent pas également, mais il y aura une différence de taille entre ces deux lecteurs aux souvenirs de lectures différents. L'appréhension du récit et de sa finalité sera je crois radicalement modifiée selon ce qu'on a lu des aventures de Thorgal. Pour ma part, en tant que fidèle et assez assidu lecteur de Thorgal, je vous avoue que cet opus m'a fait mal. J'ai eu mal à mon Thorgal, j'ai eu mal à mon héros, j'ai eu mal à mes souvenirs de jeunesse tant Robin Recht s'est échiné à le mettre dans une position où nous ressentons sa souffrance. Mais c'est ainsi que sont parfois faites les grandes bd, elles nous communiquent des émotions à travers leurs personnages, leurs drames et l'empathie qu'elle nous suscite, nous prennent aux tripes, et nous tordent nos certitudes dans tous les sens. A ce titre, cet Adieu Aaricia est, à l'image de sa couverture, sublime. Tout au long de cet opus, Robin Recht s'attelle à rapprocher un peu le héros de l'homme, ne lui ménageant rien de nos faiblesses et dilemmes sans jamais le salir. Graphiquement, Robin Recht livre en plus une véritable partition de maître, même si je suis plutôt content du travail effectué par Fred Vignaux sur les derniers tomes de la série mère Thorgal. Ici il prend juste ce qu'il faut de distance avec l'héritage de Rosinski pour nous en livrer une belle interprétation, fidèle sans chercher à copier. Pour les lecteurs connaisseurs, on n'est pas non plus sur son époustouflant Conan, qui livrait la part belle aux planches coups de poings. Ici l'héritage de la série n'est donc pas renié. J'ai souffert, notamment sur cette fin qui m'a scié les jambes à la lecture de ce Thorgal. Mais je remercie Robin Recht de nous avoir offert cela, car une chose est sûre, Adieu Aaricia marquera l'esprit de ses lecteurs. Et je souhaite un très bon courage aux auteurs qui bossent sur le prochain Thorgal Saga. Adieu Aaricia est un coup de maître, un hommage vibrant et intelligent, questionnant le héros et son humanité dans une aventure nordique prenante pour tout lecteur, et simplement passionnante et émouvante pour les habitués de la série. P.S : pour ceux qui ont lu mes chroniques sur les derniers Thorgal, vous connaissiez mon désir de voir cette série trouver une belle conclusion. Adieu Aaricia en est une magnifique. Autres infos : A ne manquer sous aucun prétexte. Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/thorgal-saga-tome-1-adieu-aaricia?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Pour ceux qui ne le connaissent pas, Olivier Gay est aussi un super romancier de Fantasy, je vous recommande d'ailleurs sa série La main de l'empereur, qui est de la bonne fantasy à lire sans trop se prendre le chou 🙂 Ceci dit il a désormais rejoint les rangs de Drakoo avec déjà plusieurs réussites à son actif comme Les maléfices du Danthrakon par exemple. On le retrouve ici au scénario d'une nouvelle série jeunesse et ma foi il nous livre une aventure qui sort un petit peu des sentiers battus malgré un thème mille fois abordé en fantasy. Le monde présenté est d'abord plutôt original et bien pensé, et les complications présentées dans ce premier tome sont assez originales aussi pour nous demander où tout cela va nous mener. Les dessins de Kan-J sont très réussis pour de la bd jeunesse, et les couleurs de Yoann Guillé font également merveille. J'ai beaucoup aimé et j'attends d'en lire la suite avec impatience.
-
Titre de l'album : Kaël - Tome 1 - Le sans totem Scenariste de l'album : Olivier Gay Dessinateur de l'album : Kan-J Coloriste : Yoann Guillé Editeur de l'album : Drakoo Note : Résumé de l'album : La vengeance est un plat qui fait pousser les griffes. Comme les autres enfants de son royaume, Kaël s'entraîne dans un monastère en attendant la cérémonie qui révélera son totem et donc sa place dans la société. Certains pourront se changer en loup et chasseront pour la tribu, d'autres en boeuf et porteront des charges lourdes, d'autres en aigle, en ours ou en caméléon. Mais lors du rituel, aucun totem ne se manifeste pour Kaël. Pour tout le monde, il devient le Sans-Totem, celui qu'on peut martyriser et dont on peut se moquer. Va-t-il rester un paria, ou devenir quelqu'un d'autre ? Quelqu'un de différent. De plus inquiétant .Et de rancunier. Critique : Pour ceux qui ne le connaissent pas, Olivier Gay est aussi un super romancier de Fantasy, je vous recommande d'ailleurs sa série La main de l'empereur, qui est de la bonne fantasy à lire sans trop se prendre le chou 🙂 Ceci dit il a désormais rejoint les rangs de Drakoo avec déjà plusieurs réussites à son actif comme Les maléfices du Danthrakon par exemple. On le retrouve ici au scénario d'une nouvelle série jeunesse et ma foi il nous livre une aventure qui sort un petit peu des sentiers battus malgré un thème mille fois abordé en fantasy. Le monde présenté est d'abord plutôt original et bien pensé, et les complications présentées dans ce premier tome sont assez originales aussi pour nous demander où tout cela va nous mener. Les dessins de Kan-J sont très réussis pour de la bd jeunesse, et les couleurs de Yoann Guillé font également merveille. J'ai beaucoup aimé et j'attends d'en lire la suite avec impatience. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/kael-tome-1-le-sans-totem/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Titre de l'album : Beast king and medicinal herb tome 1 Scenariste de l'album : Tatsukazu Konda Dessinateur de l'album : Asahi Sakano Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : Elle voulait tuer ses congénères...Ensemble, ils vont soigner tous leurs maux. Tous les aventuriers rêvent d'explorer des donjons, de vaincre des monstres, de s'emparer de leur butin. Tina, une jeune aventurière, aspire aussi à partir en territoire inconnu pour découvrir des richesses cachées. Malheureusement, elle est grièvement blessée lors de l'une de ses explorations. Soudain, le grand démon connu sous le nom de Galon, le Roi des Bêtes, apparaît devant elle. Ce dernier, qui était censé avoir été tué par un héros dans un passé lointain, a bien changé. Il accepte de la sauver à condition qu'elle l'aide à soigner les monstres qui peuplent les donjons... Entre aventuriers et "rois démons", le mal n'est pas toujours là où on croit. Critique : En voila une belle nouvelle série chez Doki Doki. Une série qui prend à contre pieds les séries d'aventures et de donjons, montrant des monstres plus humains que les humains. Et des humains qui agissent non pas par méchanceté mais par méconnaissance. Méconnaissance que Tina se met a regretté de plus en plus, plus elle apprend à connaitre et à respecter Galon. Une histoire d'aventure mais avant tout une histoire d'ouverture et de compréhension de l'autre. C'est bien dessiné, intéressant et très humain. Une bonne pioche pour doki doki. 5 volumes en cours Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/beast-king-and-medicinal-herb-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
En voila une belle nouvelle série chez Doki Doki. Une série qui prend à contre pieds les séries d'aventures et de donjons, montrant des monstres plus humains que les humains. Et des humains qui agissent non pas par méchanceté mais par méconnaissance. Méconnaissance que Tina se met a regretté de plus en plus, plus elle apprend à connaitre et à respecter Galon. Une histoire d'aventure mais avant tout une histoire d'ouverture et de compréhension de l'autre. C'est bien dessiné, intéressant et très humain. Une bonne pioche pour doki doki. 5 volumes en cours
-
Gadiro Ambassadeur de l'Atlantide - Tome 2 - Le serpent de Boréas
The_PoP a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Gadiro Ambassadeur de l'Atlantide - Tome 2 - Le serpent de Boréas Scenariste de l'album : Manuel Veiga Dessinateur de l'album : Adrian M. Garcia Coloriste : Tiago Barsa Editeur de l'album : Kalopsia Note : Résumé de l'album : L'Ambassadeur d'Atlantia nouvellement nommé, Gadiro, fils aîné de la Reine Actea, a pour première mission d'entrer dans la gueule du loup et d'aller à Boréas, réclamer réparation pour l'attaque subie. Accompagné de sa fiancée, Xail, une otage prise chez les Aztèques, de son ami Dhembo, un africain de Sénégambie, d'un garçon égyptien appelé Naeem, apprenti architecte, et du druide Wythrin, expulsé des terres celtes de la France actuelle, ils pénètrent dans les terres hostiles de Boréas. Les accompagne, comme Lieutenant de la troupe armée de l'ambassadeur, Sapphira, une espionne d'Atlas, l'héritier d'Atlantia, frère de Gadiro, qui cherche à le discréditer. À peine la frontière franchie la troupe de l'ambassadeur est attaquée par des centaines de serpents, aux ordres des enfants du Roi Prokopios. Ce ne sera pas la dernière attaque jusqu'à ce qu'ils parviennent au château ennemi. Là le Roi n'est guère enclin à signer un quelconque traité de paix. Bien au contraire. Critique : Et hop Kalopsia nous a fait décidément un bien joli cadeaux en sortant du même coup les deux premiers tomes de sa série de Fantasy : Gadiro Ambassadeur de l'Atlantide. Je vous ai parlé il y a quelques semaines du tome 1 qui m'avait joliment tapé dans l'oeil et bien divertit, le tome 2 se devait donc de ne pas nous décevoir et c'est chose bien faite. Certes à titre tout à fait personnel, j'avais une préférence pour le travail de Fabiano Neves, le dessinateur du premier tome, mais Adrian M. Garcia prend plutôt bien la relève, sans rien trahir à l'univers de Gadiro. Au final c'est vraiment une histoire de goûts. La colorisation est toujours aussi réussie, collant bien aux habitudes du genre. Le scénario de Manuel Veiga continue d'être frais et agréable, nous faisant voyager et découvrir tout en tissant de jolies intrigues et quelques rebondissements bienvenus. J'ai hâte de lire le tome 3, qui semble déjà annoncé. Gadiro c'est la fantasy de notre jeunesse et ça, il ne faut pas le bouder. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gadiro-tome-2-le-serpent-de-boreas?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Et hop Kalopsia nous a fait décidément un bien joli cadeaux en sortant du même coup les deux premiers tomes de sa série de Fantasy : Gadiro Ambassadeur de l'Atlantide. Je vous ai parlé il y a quelques semaines du tome 1 qui m'avait joliment tapé dans l'oeil et bien divertit, le tome 2 se devait donc de ne pas nous décevoir et c'est chose bien faite. Certes à titre tout à fait personnel, j'avais une préférence pour le travail de Fabiano Neves, le dessinateur du premier tome, mais Adrian M. Garcia prend plutôt bien la relève, sans rien trahir à l'univers de Gadiro. Au final c'est vraiment une histoire de goûts. La colorisation est toujours aussi réussie, collant bien aux habitudes du genre. Le scénario de Manuel Veiga continue d'être frais et agréable, nous faisant voyager et découvrir tout en tissant de jolies intrigues et quelques rebondissements bienvenus. J'ai hâte de lire le tome 3, qui semble déjà annoncé. Gadiro c'est la fantasy de notre jeunesse et ça, il ne faut pas le bouder.
-
West fantasy tome 5 - L'assassin, le rônin et la catin
Kevin Nivek a posté un enregistrement dans Critiques
Voici déjà venir le cinquième tome de cette saga à succès West fantasy où je le rappelle, les influences "tolkiennes" rencontrent la dure vie du far-west américain. On reprend les mêmes, ou plutôt la même avec la présence de Soeur M au casting avec deux nouveaux compères, une catin rêvant à de meilleurs lendemains ainsi qu'un mystérieux ronin, fruit de l'amour d'une elfe et d'un homme. Un des principes de cette saga étant le retour obligatoire d'un acteur principal du tome précédent mais aussi la mort d'une personnalité du trio héroïque. JL Istin a le chic pour créer des protagonistes truculents avec toujours les voix off en fil conducteur, mais aussi semer des mystères ça et là au fil du récit. Nous retrouvons donc un de ces fameux totems ou artefacts et vous en découvrirez un peu plus à leur sujet. L'originalité de cet opus étant que notre trio va composer avec un quatrième acteur, un mignon petit orc héritier du trône du Japon aux faux airs de Grogu le petit "Yoda" de la saga Star wars. Traque, combats au sabre avec effusions de sang; révélations sur des événements passés, bref aucun temps mort dans cette nouvelle aventure sentant bon le langage fleuri et la poudre. Nicolas Demare réalise des planches dans un style réaliste de premier choix et fait honneur aux magnifiques paysages de l'ouest sauvage américain. Une fois de plus le travail de colorisation est sublime avec des effets de lumière saisissants qui embellissent d'avantage le travail du dessinateur. Oxymore a vraiment une équipe de coloristes talentueux ! Un nouveau tome qui s'inscrit dans la continuité des précédents avec le même talent, JL Istin prend son temps pour dévoiler les contours de cet univers sans limites ! -
West fantasy tome 5 - L'assassin, le rônin et la catin
Kevin Nivek a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : West fantasy tome 5 - L'assassin, le rônin et la catin Scenariste de l'album : J. L. Istin Dessinateur de l'album : Nicolas Demare Coloriste : Amélie Picou et Vincent Powell Editeur de l'album : Oxymore Note : Résumé de l'album : LA MORT D'UN CLIENT RÉVÈLE L'EXISTENCE D'UN TOTEM ANCESTRAL. TROIS CHASSEURS, UN SEUL TRÉSOR, AUCUNE PITIÉ. Au saloon de Deadhill, ville où la loi brille par son absence, Séréna y exerce ses talents de fille de joie. Un soir, l'un de ses clients rend l'âme en pleine affaire. Ennuyeux, sauf que dans ses poches, elle déniche une carte au trésor menant au légendaire totem d'Anumak. Ni une, ni deux, elle file avec la carte. Pendant ce temps, Otsuka, un ronin métissé elfe-japonais trouve enfin son maître : un adorable petit orc d'un an ! Le bambin ne parle pas encore, mais ses intentions sont claires : il veut le totem d'Anumak. Entre en scène Soeur M, une tueuse impitoyable, déterminée à détruire le totem pour préserver la suprématie de son dieu. Ces trois personnages fort singuliers vont se retrouver dans une danse endiablée mêlant vengeance et rédemption. Critique : Voici déjà venir le cinquième tome de cette saga à succès West fantasy où je le rappelle, les influences "tolkiennes" rencontrent la dure vie du far-west américain. On reprend les mêmes, ou plutôt la même avec la présence de Soeur M au casting avec deux nouveaux compères, une catin rêvant à de meilleurs lendemains ainsi qu'un mystérieux ronin, fruit de l'amour d'une elfe et d'un homme. Un des principes de cette saga étant le retour obligatoire d'un acteur principal du tome précédent mais aussi la mort d'une personnalité du trio héroïque. JL Istin a le chic pour créer des protagonistes truculents avec toujours les voix off en fil conducteur, mais aussi semer des mystères ça et là au fil du récit. Nous retrouvons donc un de ces fameux totems ou artefacts et vous en découvrirez un peu plus à leur sujet. L'originalité de cet opus étant que notre trio va composer avec un quatrième acteur, un mignon petit orc héritier du trône du Japon aux faux airs de Grogu le petit "Yoda" de la saga Star wars. Traque, combats au sabre avec effusions de sang; révélations sur des événements passés, bref aucun temps mort dans cette nouvelle aventure sentant bon le langage fleuri et la poudre. Nicolas Demare réalise des planches dans un style réaliste de premier choix et fait honneur aux magnifiques paysages de l'ouest sauvage américain. Une fois de plus le travail de colorisation est sublime avec des effets de lumière saisissants qui embellissent d'avantage le travail du dessinateur. Oxymore a vraiment une équipe de coloristes talentueux ! Un nouveau tome qui s'inscrit dans la continuité des précédents avec le même talent, JL Istin prend son temps pour dévoiler les contours de cet univers sans limites ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/west-fantasy-tome-5-l-assassin-le-ronin-et-la-catin/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Gadiro - Ambassadeur de l'Atlantide - Tome 1 - Attaque à Athlan
The_PoP a posté un sujet dans Toute la BD
Titre de l'album : Gadiro - Ambassadeur de l'Atlantide - Tome 1 - Attaque à Athlan Scenariste de l'album : Manuel Veiga Dessinateur de l'album : Fabiano Neves Coloriste : Tiago Barsa Editeur de l'album : Kalopsia Note : Résumé de l'album : L'histoire se déroule en 3150 avant J.-C., quand existe encore le continent de l'Atlantide, qui s'étend des Madeira aux îles proches du Mexique. Sert de pont entre les Empires de Mésoamérique (Maya et Aztèque) et l'Europe. Elle est divisée en 10 Royaumes, très distincts entre eux. Le plus prospère est Atlantia, très avancé en Astronomie, Astrologie, et Architecture. C'est le premier endroit au monde où se construisent des Pyramides, et en commerçant avec les Mayas, les Aztèques et les Égyptiens, il leur transmettra son savoir sur ces constructions. La série nous raconte les aventures du deuxième fils du Roi d'un des dix royaumes qui forment l'Atlantide, un humain appelé GADIRO. Critique : Ah que j'aime Kalopsia. Cet éditeur indépendant file un vrai coup de fouet à la fantasy, entre modernité et hommages, entre classiques et nouveaux ingrédients. Et là, on a rien de moins que le deux premiers tomes de Gadiro qui sortent dans le même temps en France. Ce Gadiro est aussi un fruit de la bd ibérique et c'est tant mieux vu le nombre de talents que ce pays a fourni à la bd franco belge et au comics. Les personnages sont assez bien campés et pensés, bien équilibrés. Les dessins sont maitrisés et très propres. L'univers est riche, on a envie d'y plonger et l'intrigue avance fort, tout en restant toujours accessible et lisible. On voit la trame de fond qui se dessine et le fil conducteur des tomes à venir. Moi ce tome m'a immédiatement donné envie de lire le suivant et c'est plutôt très bon signe. Alors ne vous fiez pas à sa couverture un peu trop classique qui donne l'impression d'avoir lu ça cent fois, et laissez vous guider dans cet Atlantide plein de promesses. Il y a là presque tous les ingrédients dont rêve tout bon fan de fantasy : de l'action, de l'imaginaire, de l'héroïsme, un peu d'érotisme... Il ne manque qu'une pincée d'humour un peu plus marquée et des dialogues un peu plus percutants afin d'éviter l'effet parfois naïfs de certaines répliques et le cap sera franchit. A noter que la bd étant traduite de l'espagnol, le léger manque de percussion des dialogues vient peut être de cette transformation là. J'ai envie de voir ses auteurs avec un peu plus de temps et de moyens, cela peut devenir une vraie belle série de Fantasy. Je ne vous spoile pas ma chronique à venir du second tome, mais ce n'est clairement pas une déception. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gadiro-ambassadeur-de-l-atlantide-tome-1-attaque-a-athlan/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement -
Ah que j'aime Kalopsia. Cet éditeur indépendant file un vrai coup de fouet à la fantasy, entre modernité et hommages, entre classiques et nouveaux ingrédients. Et là, on a rien de moins que le deux premiers tomes de Gadiro qui sortent dans le même temps en France. Ce Gadiro est aussi un fruit de la bd ibérique et c'est tant mieux vu le nombre de talents que ce pays a fourni à la bd franco belge et au comics. Les personnages sont assez bien campés et pensés, bien équilibrés. Les dessins sont maitrisés et très propres. L'univers est riche, on a envie d'y plonger et l'intrigue avance fort, tout en restant toujours accessible et lisible. On voit la trame de fond qui se dessine et le fil conducteur des tomes à venir. Moi ce tome m'a immédiatement donné envie de lire le suivant et c'est plutôt très bon signe. Alors ne vous fiez pas à sa couverture un peu trop classique qui donne l'impression d'avoir lu ça cent fois, et laissez vous guider dans cet Atlantide plein de promesses. Il y a là presque tous les ingrédients dont rêve tout bon fan de fantasy : de l'action, de l'imaginaire, de l'héroïsme, un peu d'érotisme... Il ne manque qu'une pincée d'humour un peu plus marquée et des dialogues un peu plus percutants afin d'éviter l'effet parfois naïfs de certaines répliques et le cap sera franchit. A noter que la bd étant traduite de l'espagnol, le léger manque de percussion des dialogues vient peut être de cette transformation là. J'ai envie de voir ses auteurs avec un peu plus de temps et de moyens, cela peut devenir une vraie belle série de Fantasy. Je ne vous spoile pas ma chronique à venir du second tome, mais ce n'est clairement pas une déception.
-
Titre de l'album : Khorgan - Tome 1 - La cité d'Ampaar Scenariste de l'album : Éric Corbeyran Dessinateur de l'album : Dejan Nenadov Coloriste : Erwan Seure Le-Bihan Editeur de l'album : Kalopsia Note : Résumé de l'album : Khorgan Moorlanh est de retour chez lui après des années de servitude. Mais l'accueil que lui réservent les siens est loin d'être celui auquel il s'attendait. C'est à peine si on le reconnaît. Le peuple Bolsaan aurait-il la mémoire courte ? Malvenu chez lui, Khorgan quitte son pays à regret et, en proie au désespoir, se jette sur les chemins de l'errance. S'en remettant au hasard, il prend la route pour Där-Hennthäl. Là, il fait la connaissance de Mona, une voyante, qui le met aussitôt en garde contre le margrave qui commande la région. Ce dernier confie aussitôt une mission très risquée au voyageur : des secousses ont récemment ébranlé la montagne sur laquelle est bâtie la cité de fer et il est à craindre que des monstres resurgissent des entrailles de la terre, comme ce fut déjà le cas par le passé. Khorgan est invité à se rendre au coeur de la montagne pour se rendre compte de la situation. Mais ce qu'il découvre dans les profondeurs ténébreuses de la roche est pire encore... Critique : Ah ah ah en voilà une bd qui sent bon la nostalgie. Si dans vos références vous avez Conan, et les vieux animés années 70-80 type Tygra la glace et le feu ou Ken le Survivant, ben foncez sur ce Khorgan. Vous allez vous faire une madeleine de Proust de qualité. Alors bon comme ses illustres références, si on regarde ça avec les attentes d'aujourd'hui, c'est plus délicat car la narration est typique de ces oeuvres, avec son lot d'ellipses et de raccourcis privilégiant l'avancée de l'intrigue et le rythme de l'aventure. Côté dessin le travail de Dejan Nenadov est intéressant, dans un style qui lui est propre, et on aurait aimé qu'il puisse consacrer plus de temps aux finitions car le talent est indéniable. J'ai été un poil déçu par les couleurs d'Erwan Seure Le-Bihan car je les ai trouvées un peu trop sombres et ternes, et si cela est très pertinent pour les ambiances angoissantes, le contraste ne se crée pas avec les scènes de plein jour ou de désert. Côté histoire donc on suit les aventures d'un jeune barbare, qui une fois n'est pas coutume est loin d'être le meilleur combattant. Le récit se place dans des temps immémoriaux fictifs et l'on y côtoiera avec plaisir et crainte monstres et magie. Ce tome 1 nous plante bien les choses et on a vraiment envie d'en lire la suite. J'ai passé un vrai bon moment de lecture, et je ne peux que recommander aux amateurs de Fantasy de lire ce que produit Kalopsia, car pour le moment c'est plutôt de belles surprises et très rafraichissantes, bien que pas exempts de défauts. Par contre évitez ce Khorgan si les références que j'ai cité ne vous parlent pas, car c'est aussi le plaisir de retrouver un peu de ces univers et de cette nostalgie dans la façon de créer des univers de Fantasy qui rend cette bd aussi sympa. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/khorgan-la-cite-d-ampaar?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
- 2 réponses
-
Ah ah ah en voilà une bd qui sent bon la nostalgie. Si dans vos références vous avez Conan, et les vieux animés années 70-80 type Tygra la glace et le feu ou Ken le Survivant, ben foncez sur ce Khorgan. Vous allez vous faire une madeleine de Proust de qualité. Alors bon comme ses illustres références, si on regarde ça avec les attentes d'aujourd'hui, c'est plus délicat car la narration est typique de ces oeuvres, avec son lot d'ellipses et de raccourcis privilégiant l'avancée de l'intrigue et le rythme de l'aventure. Côté dessin le travail de Dejan Nenadov est intéressant, dans un style qui lui est propre, et on aurait aimé qu'il puisse consacrer plus de temps aux finitions car le talent est indéniable. J'ai été un poil déçu par les couleurs d'Erwan Seure Le-Bihan car je les ai trouvées un peu trop sombres et ternes, et si cela est très pertinent pour les ambiances angoissantes, le contraste ne se crée pas avec les scènes de plein jour ou de désert. Côté histoire donc on suit les aventures d'un jeune barbare, qui une fois n'est pas coutume est loin d'être le meilleur combattant. Le récit se place dans des temps immémoriaux fictifs et l'on y côtoiera avec plaisir et crainte monstres et magie. Ce tome 1 nous plante bien les choses et on a vraiment envie d'en lire la suite. J'ai passé un vrai bon moment de lecture, et je ne peux que recommander aux amateurs de Fantasy de lire ce que produit Kalopsia, car pour le moment c'est plutôt de belles surprises et très rafraichissantes, bien que pas exempts de défauts. Par contre évitez ce Khorgan si les références que j'ai cité ne vous parlent pas, car c'est aussi le plaisir de retrouver un peu de ces univers et de cette nostalgie dans la façon de créer des univers de Fantasy qui rend cette bd aussi sympa.
- 2 commentaires
-
Titre de l'album : Gagner la guerre - Tome 5 - Retour en grâce Scenariste de l'album : Frédéric Genêt Dessinateur de l'album : Frédéric Genêt Coloriste : Hugo poupelin & Frédéric Genêt Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : L'exil de Benvenuto touche à sa fin. Il le sait : il est temps regagner Ciudalia. Ce qu'il ignore, en revanche, c'est l'accueil qui lui sera réservé. Il a quelques raisons de se méfier, tant il a semé de cadavres. Entre ses fantômes qui le hantent et les mercenaires engagés par leurs survivants avides de vengeance, c'est une route longue et difficile qui l'attend… Critique : Et voici la conclusion de cette magnifique série, adaptation du roman éponyme à succès de Jean Philippe Jawoski qui l'avait fait rentrer dans la cour des grands auteurs de Fantasy, et quand il s'agit en plus d'un auteur français qui écrit dans un superbe français et que son héros est un immense salopard presque attachant, on ne peut que se réjouir. Foncez donc lire le livre, puis vous pourrez en profiter une seconde fois avec ces 5 bd qui sont une merveille d'adaptation. C'est fidèle à l'esprit du roman, et on se régale avec le dessin toujours aussi soigné et détaillé de Frédéric Genêt. Bref, ici c'est la conclusion de la saga, et je ne vous spoilerai rien, mais ce sera intense jusqu'au bout, et toujours un peu infâme. Attention cela reste de la fantasy bavarde et les machinations de l'infâme patron du non moins infâme Don Benvenuto Gesufal sont assez retorses. Et c'est peut être ce qui finit par nous rendre le Don Benvenuto sympathique, moi qui ai d'habitude horreur de voir des "méchants" glorifiés... Il n'est clairement pas un gentil, et il n'est clairement pas dans le camp des "louables", mais dans une république bien pourrie jusqu'à l'os, malgré sa malice, il finit par être presque toujours un pion pour son infâme patron. Bref, Gagner la guerre, c'est du médiéval Fantastique, et le couteau y sert plus souvent que l'épée, le complot y est monnaie courante, et finalement c'est notre game of throne à la française, mais vu des gueux. On adore. Merci aux deux auteurs pour cette belle saga. Les autres romans seront y adaptés ? Pour ma part, je rêve d'une adaptation respectueuse du chevalier aux épines.... Autres infos : D'après l'oeuvre de Jean-Philippe Jaworski Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/gagner-la-guerre-tome-5-retour-en-grace?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Et voici la conclusion de cette magnifique série, adaptation du roman éponyme à succès de Jean Philippe Jawoski qui l'avait fait rentrer dans la cour des grands auteurs de Fantasy, et quand il s'agit en plus d'un auteur français qui écrit dans un superbe français et que son héros est un immense salopard presque attachant, on ne peut que se réjouir. Foncez donc lire le livre, puis vous pourrez en profiter une seconde fois avec ces 5 bd qui sont une merveille d'adaptation. C'est fidèle à l'esprit du roman, et on se régale avec le dessin toujours aussi soigné et détaillé de Frédéric Genêt. Bref, ici c'est la conclusion de la saga, et je ne vous spoilerai rien, mais ce sera intense jusqu'au bout, et toujours un peu infâme. Attention cela reste de la fantasy bavarde et les machinations de l'infâme patron du non moins infâme Don Benvenuto Gesufal sont assez retorses. Et c'est peut être ce qui finit par nous rendre le Don Benvenuto sympathique, moi qui ai d'habitude horreur de voir des "méchants" glorifiés... Il n'est clairement pas un gentil, et il n'est clairement pas dans le camp des "louables", mais dans une république bien pourrie jusqu'à l'os, malgré sa malice, il finit par être presque toujours un pion pour son infâme patron. Bref, Gagner la guerre, c'est du médiéval Fantastique, et le couteau y sert plus souvent que l'épée, le complot y est monnaie courante, et finalement c'est notre game of throne à la française, mais vu des gueux. On adore. Merci aux deux auteurs pour cette belle saga. Les autres romans seront y adaptés ? Pour ma part, je rêve d'une adaptation respectueuse du chevalier aux épines....
-
Titre de l'album : La forêt du temps - tome 5 - La larme de solitude Scenariste de l'album : Tristan Roulot Dessinateur de l'album : Matteo Guerrero Coloriste : Amparo Crespo Cardenete Editeur de l'album : Le Lombard Note : Résumé de l'album : L'âge des dieux tire à sa fin. Tandis que les enfants de la pierre triomphent du titan Bahamuth, c'est Léviathan qui se réveille et menace d'engloutir le monde. Du déluge à l'Atlantide, les mythes dessinent une toile oubliée, comme autant de fragments de notre mémoire. Mais une histoire ne vaut que par sa conclusion, qui s'écrit, au même moment, ailleurs. Quand la larme de solitude unira le crépuscule à l'aurore, l'histoire de l'Homme pourra commencer. Critique : Oh que j'aime cette série. Et Ah que je vais devoir tout relire. Chapeau au Lombard pour avoir tenté ce paris : dissimuler l'un des scénarios les plus fous depuis UW1 derrière une bd jeunesse de pseudo fantasy. Il fallait oser. Pour moi c'est un pari clairement réussi tant Tristan Roulot tient l'ambition de son scénario tout du long, quand à Mattéo Guerrero il est depuis longtemps un dessinateur dont j'affectionne particulièrement le travail car c'est assez fin, c'est beau et détaillé même pour du dessin enfant. Bref, vous l'avez compris je ne peux que vous recommander cette série, ne vous fiez pas au dessin très gentil, le scénario va vous triturer les méninges salement et ça fait du bien ! Chapeau bas ! Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-foret-du-temps-tome-5-la-larme-de-solitude/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Oh que j'aime cette série. Et Ah que je vais devoir tout relire. Chapeau au Lombard pour avoir tenté ce paris : dissimuler l'un des scénarios les plus fous depuis UW1 derrière une bd jeunesse de pseudo fantasy. Il fallait oser. Pour moi c'est un pari clairement réussi tant Tristan Roulot tient l'ambition de son scénario tout du long, quand à Mattéo Guerrero il est depuis longtemps un dessinateur dont j'affectionne particulièrement le travail car c'est assez fin, c'est beau et détaillé même pour du dessin enfant. Bref, vous l'avez compris je ne peux que vous recommander cette série, ne vous fiez pas au dessin très gentil, le scénario va vous triturer les méninges salement et ça fait du bien ! Chapeau bas !
-
Titre de l'album : Conqueror of the dying kingdom tome 5 Scenariste de l'album : Fudeorca Dessinateur de l'album : Muramasa Sabiku Coloriste : Editeur de l'album : Doki-Doki Note : Résumé de l'album : "C'est à moi de régler cette histoire." Yuri sait que les Kuras ont l'intention d'envahir le royaume et d'exterminer ses habitants. Pour acquérir la force de défendre sa famille, il s'engage sur la voie inattendue de l'entrepreneuriat. Il se lance dans la fabrication du papier, une invention appelée à remplacer le parchemin. Les ventes décollent, mais les "Sept Sorcières" sont bien décidées à garder leur prééminence sur le marché. Myalo, le meilleur ami de Yuri, est la première cible de leurs rétorsions. "Lorsque l'on touche à ceux que j'aime, on le paie très cher." Tels sont les principes de celui qu'on appellera plus tard le Diable. Critique : Yuri grandit à vitesse grand V et notre histoire suis de façon intéressante. Fini la jeunesse. Place maintenant à une adolescence très mature qui voit notre personnage principal se lancer dans le business. En se servant habilement de ses connaissances issues de son autre vie, il impose la création de brevet, et lance des inventions, quitte à se fâcher avec les pouvoirs en place. Notre personnage nous montre un personnage de chef plus établi malgré son jeune âge... Un manga toujours très sympathique dont la rapidité d'évolution lui permet de ne pas nous ennuyer. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/conqueror-of-the-dying-kingdom-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Yuri grandit à vitesse grand V et notre histoire suis de façon intéressante. Fini la jeunesse. Place maintenant à une adolescence très mature qui voit notre personnage principal se lancer dans le business. En se servant habilement de ses connaissances issues de son autre vie, il impose la création de brevet, et lance des inventions, quitte à se fâcher avec les pouvoirs en place. Notre personnage nous montre un personnage de chef plus établi malgré son jeune âge... Un manga toujours très sympathique dont la rapidité d'évolution lui permet de ne pas nous ennuyer.
-
Suite des mésaventures de l'impétueuse Red Sonja avec ce troisième tome : Le pardon des monstres. Après avoir délivré un empire sous le joug de son despote mégalo, la voici aux prises avec un magicien non loin d'un petit village. Dans son trépas, ce dernier maudit Red Sonja d'une phrase énigmatique : " Tu ne pourras point pardonner" . Le temps passe, le village libre des méfaits du sorcier peut s'en donner à coeur joie et offrir à l'aventurière ce qu'elle aime le plus, la bière et la bagatelle 🙂 . Cependant, un événement anodin va venir perturber cette fête, Red Sonja va tabasser copieusement un jeune homme suite à une banale altercation, incapable de passer outre et de le pardonner pour sa bévue. Les ennuis commencent, d'autant que le frère du sorcier défunt, lui aussi magicien de son état, se montre épris de vengeance. Rajoutez à cela les visions (ou pas 😉 ) du dernier maraudeur ayant assassiné sa famille, la guerrière hyrkanienne se retrouve au beau milieu d'une tempête d'événements la touchant de près et pour lesquels il faudra faire de nombreux sacrifices ! Un très bon scénario que nous livre Gail Simone, plus introspectif sur l'héroïne à la chevelure flamboyante. Elle exploite les failles de Red Sonja en la rendant plus humaine et responsable de ses actes. On ne s'ennuie pas une seconde, d'autant que le dessin de l'artiste brésilien Walter Geovani est propre, soigné et bien mis en lumière par les couleurs dynamiques de son compatriote Adriano Lucas. Si vous voulez découvrir une barbare vulnérable en proie à ses démons, ce troisième tome est fait pour vous, pour ma part, je pense qu'il s'agit du meilleur du run de Gail Simone. En fichier joint ci-dessous, découvrez les belles planches de Walter Geovani : Red Sonja.pdf
-
Titre de l'album : Red Sonja tome 3 - Le pardon des monstres Scenariste de l'album : Gail Simone Dessinateur de l'album : Walter Geovani Coloriste : Adriano Lucas Editeur de l'album : Graph Zeppelin Note : Résumé de l'album : Alors que Red Sonja aide des villageois à lutter contre un odieux sorcier, elle tombe sur l'homme qu'elle hait le plus au monde : le dernier maraudeur qui a assassiné sa famille (Voir Red Sonja (1) : La Reine des Fléaux). En proie à une obsession vengeresse, la guerrière hyrkanienne pourra-t-elle sortir de cette noirceur qui envahit son âme ? Saura-t-elle vaincre son plus grand adversaire : elle-même ? Critique : Suite des mésaventures de l'impétueuse Red Sonja avec ce troisième tome : Le pardon des monstres. Après avoir délivré un empire sous le joug de son despote mégalo, la voici aux prises avec un magicien non loin d'un petit village. Dans son trépas, ce dernier maudit Red Sonja d'une phrase énigmatique : " Tu ne pourras point pardonner" . Le temps passe, le village libre des méfaits du sorcier peut s'en donner à coeur joie et offrir à l'aventurière ce qu'elle aime le plus, la bière et la bagatelle 🙂 . Cependant, un événement anodin va venir perturber cette fête, Red Sonja va tabasser copieusement un jeune homme suite à une banale altercation, incapable de passer outre et de le pardonner pour sa bévue. Les ennuis commencent, d'autant que le frère du sorcier défunt, lui aussi magicien de son état, se montre épris de vengeance. Rajoutez à cela les visions (ou pas 😉 ) du dernier maraudeur ayant assassiné sa famille, la guerrière hyrkanienne se retrouve au beau milieu d'une tempête d'événements la touchant de près et pour lesquels il faudra faire de nombreux sacrifices ! Un très bon scénario que nous livre Gail Simone, plus introspectif sur l'héroïne à la chevelure flamboyante. Elle exploite les failles de Red Sonja en la rendant plus humaine et responsable de ses actes. On ne s'ennuie pas une seconde, d'autant que le dessin de l'artiste brésilien Walter Geovani est propre, soigné et bien mis en lumière par les couleurs dynamiques de son compatriote Adriano Lucas. Si vous voulez découvrir une barbare vulnérable en proie à ses démons, ce troisième tome est fait pour vous, pour ma part, je pense qu'il s'agit du meilleur du run de Gail Simone. En fichier joint ci-dessous, découvrez les belles planches de Walter Geovani : Red Sonja.pdf Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/red-sonja-tome-3-le-pardon-des-monstres/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement