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  1. Titre de l'album : Level up disaster - divine power tome 1 Scenariste de l'album : UCHIDA Takuya Dessinateur de l'album : UCHIDA Takuya Coloriste : Editeur de l'album : Crunchyroll Note : Résumé de l'album : Shôri Kobayashi passe sa vie à jouer en ligne pour oublier la réalité. Ce lycéen rêverait d'avoir une influence positive sur le monde, mais le courage lui manque. Un beau matin, pourtant, l'univers subit une étrange mise à jour... Les règles changent, des monstres féroces font irruption dans son quotidien et les losers d'hier deviennent les héros de demain ! Critique : Shôri Kobayashi et ses potes sont des geeks, ils friment beaucoup dans les jeux en ligne mais dans la réalité, ce sont un peu les parias de la classe. Ils restent entre eux en espérant un jour se faire remarquer par la plus belle fille de l’école et rasent les murs quand ils croisent les voyous du lycée voisin. Mais un jour, ils reçoivent une notification de mise à jour de leur jeu, des monstres débarquent dans la réalité ! Après en avoir battu un, leur niveau augmente, Shôri peut à présent défendre la fille qu’il aime et mettre une raclée au voyou. Seulement voilà, ils ne sont pas les seuls à évoluer et à comprendre la manière de le faire. Pour une fois, les héros ne sont pas transportés dans un jeu ou autre monde mais le jeu débarque dans la réalité ! Tout à coup, des fenêtres pop-up de statut avec les niveaux et les compétences arrivent et nos geeks, plus habitués que d’autres, vont enfin pouvoir réaliser leur rêve de devenir des héros. Le concept est plutôt sympathique mais l’histoire est bourrée de clichés ! Les trois garçons sont des caricatures d’adolescents accro aux jeux qui fantasment sur les filles. Et les « méchants » sont assez intelligents pour profiter aussi du système. Au passage, on a le droit à un aspect de la décadence humaine : l’utilisation à mauvais escient de ces nouveaux pouvoirs, tout un sujet dont on ne débattra pas dans cette histoire ! Ce premier tome ne m’a pas vraiment convaincue, attendons la suite. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/level-up-disaster-divine-power-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  2. Titre de l'album : No longer allowed in another world tome 1 Scenariste de l'album : NODA Hiroshi Dessinateur de l'album : WAKAMATSU Takahiro Coloriste : Editeur de l'album : Kana Note : Résumé de l'album : Cette nuit-là, un homme et sa bien-aimée se rendent sur l’aqueduc de la rivière Tamagawa afin de mettre fin à leur vie. Mais un camion surgit de nulle part… C’est à ce moment-là que cet homme, écrivain de métier, qui souhaite mourir va commencer à vivre une aventure fantastique dans un autre monde… Critique : Un nouvel isekai, oui mais pas n’importe lequel ! Ici la personne qui se réincarne ne souhaite pas vivre une nouvelle vie, son objectif c’est de réussir sa mort et surtout de se suicider en compagnie de son âme sœur ! Alors les belles paroles de la prêtresse, les compétences spéciales, Sensei (il n’a pas de nom) s’en moque. Il n’a qu’un seul but, savoir si sa bien-aimée s’est aussi réincarnée, la retrouver et mourir ; et tant pis s’il meurt avant. Pour ceux qui ont un peu de culture, il est assez simple de voir de qui le personnage principal est inspiré, un célèbre écrivain obsédé par le suicide, Osamu Dazai, un auteur qui inspire beaucoup les mangakas puisqu’on le retrouve également dans Bungo Stray Dogs et surtout les adaptations de La déchéance d’un homme. Le manga nous entraine dans un voyage inédit car Sensei n’a pas les réactions habituelles des réincarnés et surtout il accueille la Mort à bras ouverts ce qui déstabilise son entourage. Malgré lui, il va attirer du monde qui va l’accompagner dans son périple car sa présence bouscule l’ordre établi et la routine. On apprécie le parti pris de l’auteur d’introduire un anti-héros, un homme nonchalant qui n’est pas attaché à grand-chose et qui n’attend rien de la vie hormis une belle mort. En dehors de ça, il faudra aller un peu plus loin dans le récit pour vraiment s’en faire une idée, est-ce que finalement on aura une trame principale ou est-ce que ce sera un enchainement de saynètes humoristiques ? La série est toujours en cours avec 10 tomes pour le moment et fait l’objet d’une adaptation en anime. NB : Sensei signifie le professeur, le maitre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/no-longer-allowed-in-another-world-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Un nouvel isekai, oui mais pas n’importe lequel ! Ici la personne qui se réincarne ne souhaite pas vivre une nouvelle vie, son objectif c’est de réussir sa mort et surtout de se suicider en compagnie de son âme sœur ! Alors les belles paroles de la prêtresse, les compétences spéciales, Sensei (il n’a pas de nom) s’en moque. Il n’a qu’un seul but, savoir si sa bien-aimée s’est aussi réincarnée, la retrouver et mourir ; et tant pis s’il meurt avant. Pour ceux qui ont un peu de culture, il est assez simple de voir de qui le personnage principal est inspiré, un célèbre écrivain obsédé par le suicide, Osamu Dazai, un auteur qui inspire beaucoup les mangakas puisqu’on le retrouve également dans Bungo Stray Dogs et surtout les adaptations de La déchéance d’un homme. Le manga nous entraine dans un voyage inédit car Sensei n’a pas les réactions habituelles des réincarnés et surtout il accueille la Mort à bras ouverts ce qui déstabilise son entourage. Malgré lui, il va attirer du monde qui va l’accompagner dans son périple car sa présence bouscule l’ordre établi et la routine. On apprécie le parti pris de l’auteur d’introduire un anti-héros, un homme nonchalant qui n’est pas attaché à grand-chose et qui n’attend rien de la vie hormis une belle mort. En dehors de ça, il faudra aller un peu plus loin dans le récit pour vraiment s’en faire une idée, est-ce que finalement on aura une trame principale ou est-ce que ce sera un enchainement de saynètes humoristiques ? La série est toujours en cours avec 10 tomes pour le moment et fait l’objet d’une adaptation en anime. NB : Sensei signifie le professeur, le maitre.
  4. Nickad

    Hana l'inaccessible tome 7

    Le voyage d’entreprise arrive à sa fin, les aveux se sont multipliés et surtout, surtout il y a enfin la scène du baiser entre Hana et Tsuyoshi ! Ensuite, Tsuyoshi va devoir faire face à la réalité, cela fait plusieurs années qu’il travaille dans l’entreprise et il n’a encore jamais sorti un projet potable, il lui reste 4 mois pour faire ses preuves, sinon il sera muté dans l’usine de production. Bon, ce sera notre dernière critique pour cette série, on va se concentrer sur les nouveautés et les coups de cœur. Hana l’inaccessible reste un manga gentillet, très fleur bleue et très niais par moment. Mais il n’en reste pas moins sympathique, les histoires d’amour sont agréables, les manigances sont gentilles et finalement, tout ce petit monde s’entend plutôt bien même quand il y a de la rivalité. Le point fort de la série reste son graphisme avec une mention particulière pour les expressions du visage qui font bien passer les sentiments.
  5. Titre de l'album : Hana l'inaccessible tome 7 Scenariste de l'album : MURATA Kôji Dessinateur de l'album : MURATA Kôji Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : La super carte maîtresse du fabricant de pâtisseries traditionnelles, Mitsubachi, se nomme Hana Takamine et a vingt-sept ans ! Elle est amoureuse de Tsuyoshi Yowaki, un employé de l'entreprise, et c'est une demoiselle un peu naïve et gauche sur les bords quand il s'agit d'amour ! Leur amour parcourt le ciel d'été et le voyage d'entreprise touche à sa fin !! Quels mots prononcera Hana ?! De plus, le maladroit Tsuyoshi va devoir surmonter une épreuve !! Une comédie romantique mignonne, pleine de rires et de larmes entre une femme d'affaires et son véritable premier amour !!! Critique : Le voyage d’entreprise arrive à sa fin, les aveux se sont multipliés et surtout, surtout il y a enfin la scène du baiser entre Hana et Tsuyoshi ! Ensuite, Tsuyoshi va devoir faire face à la réalité, cela fait plusieurs années qu’il travaille dans l’entreprise et il n’a encore jamais sorti un projet potable, il lui reste 4 mois pour faire ses preuves, sinon il sera muté dans l’usine de production. Bon, ce sera notre dernière critique pour cette série, on va se concentrer sur les nouveautés et les coups de cœur. Hana l’inaccessible reste un manga gentillet, très fleur bleue et très niais par moment. Mais il n’en reste pas moins sympathique, les histoires d’amour sont agréables, les manigances sont gentilles et finalement, tout ce petit monde s’entend plutôt bien même quand il y a de la rivalité. Le point fort de la série reste son graphisme avec une mention particulière pour les expressions du visage qui font bien passer les sentiments. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hana-l-inaccessible-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Rosso

    De notoriété publique un loup-garou est un homme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune et ils ont été plus oui moins crées par els vampires pour devenir leurs serviteurs. Dans ce livre le loup-garou est aussi créé par un vampire mais peut se transformer en différents animaux ou emprunter les caractéristiques de ces derniers, cela peut être une chauve-souris, une araignée, un chien… Ils se nourrissent également de sang comme les vampires. Enfant, Rosso a vu sa famille se faire assassiner et lui est devenu un loup-garou. Il est entré dans les services de police dans une section spéciale destinée à arrêter les loups-garous déviants afin de pouvoir un jour retrouver le vampire qui l’a transformé et accomplir sa vengeance. On lui attribue un assistant, Mikumo, qui va aussi lui permettre de se sustenter en sang et devenir plus fort. Si la revisite du loup-garou n’est pas inintéressante, on a peu de temps pour s’y familiariser que le livre est déjà fini. Il faut le temps de s’imprégner de cet univers, de découvrir les personnages principaux, de résoudre la vérité devant le drame familial de Rosso… en un one-shot, c’est court ! Du coup, certains passages sont rapides, le dénouement surtout. Certes le scénario tient quand même la route mais quelques approfondissements n’auraient pas été superflus. Le graphisme est élégant alors entre deux autres livres, quand vous avez du temps, pourquoi pas…
  7. Nickad

    Rosso

    Titre de l'album : Rosso Scenariste de l'album : Gigi Ameno Dessinateur de l'album : Gigi Ameno Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Quand il était petit, la famille de Rosso fut massacrée par un vampire qui le transforma en loup-garou. Pour se venger, il devint enquêteur dans la sixième division de l'unité spéciale de la police, assignée aux affaires impliquant des vampires et des loups-garous. À la demande de ses supérieurs, il se voit contraint de former un nouvel enquêteur, Mikumo. D'abord agacé par Mikumo, Rosso et son nouveau partenaire vont se retrouver dans une situation délicate. Lui qui refuse de boire du sang non-synthétique, il se voit contraint de boire celui de Mikumo pour retrouver la pleine ampleur de ses pouvoirs. Mais cela fait également nôtre en lui un nouveau sentiment inconnu. Critique : De notoriété publique un loup-garou est un homme qui se transforme en loup les soirs de pleine lune et ils ont été plus oui moins crées par els vampires pour devenir leurs serviteurs. Dans ce livre le loup-garou est aussi créé par un vampire mais peut se transformer en différents animaux ou emprunter les caractéristiques de ces derniers, cela peut être une chauve-souris, une araignée, un chien… Ils se nourrissent également de sang comme les vampires. Enfant, Rosso a vu sa famille se faire assassiner et lui est devenu un loup-garou. Il est entré dans les services de police dans une section spéciale destinée à arrêter les loups-garous déviants afin de pouvoir un jour retrouver le vampire qui l’a transformé et accomplir sa vengeance. On lui attribue un assistant, Mikumo, qui va aussi lui permettre de se sustenter en sang et devenir plus fort. Si la revisite du loup-garou n’est pas inintéressante, on a peu de temps pour s’y familiariser que le livre est déjà fini. Il faut le temps de s’imprégner de cet univers, de découvrir les personnages principaux, de résoudre la vérité devant le drame familial de Rosso… en un one-shot, c’est court ! Du coup, certains passages sont rapides, le dénouement surtout. Certes le scénario tient quand même la route mais quelques approfondissements n’auraient pas été superflus. Le graphisme est élégant alors entre deux autres livres, quand vous avez du temps, pourquoi pas… Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rosso?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    Solo camping for two tome 1

    Gen Kinomura aime camper seul, vraiment seul, il aime retrouver la nature, se rendre au camping via les transports en commun et finir à pied, allumer un feu de bois. Un jour qu’il est vraiment tout seul (même les propriétaires du camping sont partis pour la nuit), débarque une jeune fille un peu fofolle qui n’a pas d’expérience du camping en solitaire et qui va venir bouleverser la tranquillité de Gen. Solo camping est à la fois un guide pour les amoureux du camping avec de nombreux conseils mais aussi une comédie, pas forcément sentimentale (il faudra attendre la suite pour en être sûr), pleine de fraicheur et de bons sentiments. La jeune Shizuku qui n’a trouvé personne de son âge pour l’accompagner dans l’aventure camping va aller demander des conseils à Gen et le convaincre de l’aider jusqu’à ce qu’elle soit autonome. On se doute que le solo camping risque fort de ne pas durer ! Le manga fait partie de la collection Gourmet car Shizuku, à défaut d’être très organisée pour le camping, est un vrai cordon bleu et propose des recettes à faire en extérieur. Il reste néanmoins le problème que ces repas sont souvent à base d’aliments japonais pas forcément évident à reproduire pour les Français à part peut-être le poulet à la bière qui m’a intrigué. Un manga sympathique qui a trouvé un bon équilibre entre conseils, aventure, comédie et cuisine. Une bonne distraction. Extrait
  9. Titre de l'album : Solo camping for two tome 1 Scenariste de l'album : DEBATA Yûdai Dessinateur de l'album : DEBATA Yûdai Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Gen est un campeur solitaire. Ce qu'il préfère par-dessus tout est de se retrouver seul dans la nature. Il en profite jusqu'au jour où débarque la tornade Shizuku, une jeune femme qui pratique à merveille l'art de l'incruste. Sa délicieuse cuisine de plein air parviendra-t-elle à le faire changer d'avis ? Découvrez les meilleures recettes en extérieur aux côtés de ce duo chaud bouillant ! Critique : Gen Kinomura aime camper seul, vraiment seul, il aime retrouver la nature, se rendre au camping via les transports en commun et finir à pied, allumer un feu de bois. Un jour qu’il est vraiment tout seul (même les propriétaires du camping sont partis pour la nuit), débarque une jeune fille un peu fofolle qui n’a pas d’expérience du camping en solitaire et qui va venir bouleverser la tranquillité de Gen. Solo camping est à la fois un guide pour les amoureux du camping avec de nombreux conseils mais aussi une comédie, pas forcément sentimentale (il faudra attendre la suite pour en être sûr), pleine de fraicheur et de bons sentiments. La jeune Shizuku qui n’a trouvé personne de son âge pour l’accompagner dans l’aventure camping va aller demander des conseils à Gen et le convaincre de l’aider jusqu’à ce qu’elle soit autonome. On se doute que le solo camping risque fort de ne pas durer ! Le manga fait partie de la collection Gourmet car Shizuku, à défaut d’être très organisée pour le camping, est un vrai cordon bleu et propose des recettes à faire en extérieur. Il reste néanmoins le problème que ces repas sont souvent à base d’aliments japonais pas forcément évident à reproduire pour les Français à part peut-être le poulet à la bière qui m’a intrigué. Un manga sympathique qui a trouvé un bon équilibre entre conseils, aventure, comédie et cuisine. Une bonne distraction. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-camping-for-two-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. France, XVIIIe siècle, Marie-Jeanne Bertin est coiffeuse dans une ville de province, elle est couturière aussi à ses heures perdues. Elle jouit déjà d’une solide réputation mais elle est aussi consciente que ce n’est pas dans cette ville qu’elle pourra s’accomplir alors elle décide de partir pour Paris. Elle découvre alors la condition des couturières, des petites mains à la renommée, et surtout, elle découvre les tendances de la mode, voyant bien que là d’où elle vient, la mode a déjà un an de retard. Marie est bien décidée à faire ce qu’il faut pour percer et un jour ouvrir sa boutique. La première chose à savoir sur ce manga, c’est qu’il est historique, Rose Bertin a réellement existé ainsi que les autres personnages importants du récit. L’auteur a pris le temps également de se documenter sur l’époque, la mode, les coutumes et la vie parisienne. Un peu comme dans Céline, une vie parisienne (avec un siècle de décalage), le récit nous permet de découvrir d’autres facettes de Paris ainsi que plein de petits métiers. A chaque fin de chapitre, il y a « les petites anecdotes » de l’auteur où il revient sur certains aspects de l’histoire ainsi que sur la création du manga. Mais le manga est aussi l’aventure de Marie-Jeanne, qui prendra le nom de Rose plus tard, son talent, sa ténacité et son parcours. Un bon premier tome intéressant et distrayant.
  11. Titre de l'album : Rose Bertin, la couturière fatale tome 1 Scenariste de l'album : ISOMI Jingetsu Dessinateur de l'album : ISOMI Jingetsu Coloriste : Editeur de l'album : Michel Lafon Note : Résumé de l'album : Découvrez le destin de la couturière de Marie-Antoinette 1766, Abbeville. Rose Bertin est de loin la meilleure couturière de la ville. Ses robes fluides et confortables font sensation. On loue ses concepts novateurs et sa dextérité hors normes. Mais la jeune femme aspire à mieux. Elle rêve de gloire, de Paris et de devenir la plus grande couturière de France ! La concurrence sera rude pour imposer son style face à sa rivale Marie-Jeanne Bécu, la modiste la plus influente de la capitale. Critique : France, XVIIIe siècle, Marie-Jeanne Bertin est coiffeuse dans une ville de province, elle est couturière aussi à ses heures perdues. Elle jouit déjà d’une solide réputation mais elle est aussi consciente que ce n’est pas dans cette ville qu’elle pourra s’accomplir alors elle décide de partir pour Paris. Elle découvre alors la condition des couturières, des petites mains à la renommée, et surtout, elle découvre les tendances de la mode, voyant bien que là d’où elle vient, la mode a déjà un an de retard. Marie est bien décidée à faire ce qu’il faut pour percer et un jour ouvrir sa boutique. La première chose à savoir sur ce manga, c’est qu’il est historique, Rose Bertin a réellement existé ainsi que les autres personnages importants du récit. L’auteur a pris le temps également de se documenter sur l’époque, la mode, les coutumes et la vie parisienne. Un peu comme dans Céline, une vie parisienne (avec un siècle de décalage), le récit nous permet de découvrir d’autres facettes de Paris ainsi que plein de petits métiers. A chaque fin de chapitre, il y a « les petites anecdotes » de l’auteur où il revient sur certains aspects de l’histoire ainsi que sur la création du manga. Mais le manga est aussi l’aventure de Marie-Jeanne, qui prendra le nom de Rose plus tard, son talent, sa ténacité et son parcours. Un bon premier tome intéressant et distrayant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/rose-bertin-la-couturiere-fatale-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Land tomes 1 & 2

    Waouh, celui-là il est bon ! Pourtant, au début de la lecture je le trouvais juste intéressant avec un bon scénario, il y avait de la teneur et beaucoup d’originalité et puis, peu à peu, l’histoire s’étoffe, il y a beaucoup d’éléments qui se mettent en place, beaucoup d’interrogations et en même temps de la réflexion. Et puis, il y a la fin du tome 2 qui interpelle et nous emmène ailleurs. Ensuite, la lecture finie, le livre ne se referme pas complétement, on y pense, on se questionne et on veut savoir la suite. Alors de quoi parle Land ? C’est d’abord la vie d’un territoire, une « seigneurie » avec son dirigeant, sa ville principale, ses hameaux et ses paysans qui mènent une vie simple. Chacun à sa tâche, son métier, sa place. Mais c’est surtout un peuple qui vit constamment selon des croyances et un tas de règles. La « land » se situe au centre de plusieurs montagnes, dans chaque direction se dresse la statue d’un Kami (un dieu), immense, qui scrute tous les faits et gestes des habitants. Et puis c’est l’histoire d’une famille, le père Sutekichi qui vient de perdre son épouse et qui a eu des jumelles, un crime pour cette communauté ! Mais il est tellement loyal aux règles qu’il sacrifie l’une de ses filles au kami (pour suivre la loi) et qu’il se crève les yeux pour expier ce crime. Ensuite il y a sa fille Ann qui se pose beaucoup de questions sur les règles de ce monde et qui se demande sans cesse ce qu’il y a de l’autre côté de la montagne, derrière les kamis, l’endroit que l’on appelle l’Autre Monde. Le peuple vit sans trop se poser de questions, il suit aveuglément les croyances et les coutumes et n’hésite pas à sacrifier son prochain si le dieu est mécontent ou si les présages sont mauvais. Mais il y a toujours des exceptions et Ann est l’un des éléments perturbateurs. Nous qui vivons dans un monde moderne, c’est assez horripilant de voir un peuple prêt à sacrifier son prochain de cette façon, on annonce de mauvaises récoltes, alors éliminons « les anormaux, les monstrueux », les moches… une façon aussi d’éliminer tous les éléments qui pourraient porter atteinte à l’autorité. On sent qu’il y a une raison derrière l’existence de ce territoire comme si quelqu’un voulait les garder à l’écart. C’est d’autant plus flagrant quand on aperçoit rapidement l’Autre Monde. Land est original, possède de nombreuses thématiques, c’est de la tranche de vie limite moyenâgeuse mais c’est aussi de l’aventure, du mystique, un peu de fantastique et de la politique. Tout est très équilibré, très réfléchi et bien construit. Un manga à lire, série finie en 11 tomes. Trailer
  13. Nickad

    Land tomes 1 & 2

    Titre de l'album : Land tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : YAMASHITA Kazumi Dessinateur de l'album : YAMASHITA Kazumi Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Ici, les habitants meurent toujours à l'âge de 50 ans... »Dans une communauté appelée « Notre Monde », les Kamis, dieux protecteurs géants, surveillent étroitement leurs habitants qui les craignent plus que tout. Soumis à des coutumes strictes, Sutekichi est contraint de sacrifier l'une de ses jumelles pour préserver le village de la sécheresse. Huit ans plus tard, Ann mène une vie insouciante en compagnie de son père et de sa tante. Mais la jeune fille désire en savoir plus sur « l'Autre Monde », un univers inconnu et inaccessible, situé au-delà des montagnes. Elle est alors prête à tout pour découvrir ce qui se cache au-delà des hauteurs, quitte à braver les interdits...Véritable chef-d'œuvre fantastique et philosophique de l'autrice Kazumi Yamashita, Land est une série en 11 tomes lauréat du 25e grand Prix Osamu Tezuka de 2021. Critique : Waouh, celui-là il est bon ! Pourtant, au début de la lecture je le trouvais juste intéressant avec un bon scénario, il y avait de la teneur et beaucoup d’originalité et puis, peu à peu, l’histoire s’étoffe, il y a beaucoup d’éléments qui se mettent en place, beaucoup d’interrogations et en même temps de la réflexion. Et puis, il y a la fin du tome 2 qui interpelle et nous emmène ailleurs. Ensuite, la lecture finie, le livre ne se referme pas complétement, on y pense, on se questionne et on veut savoir la suite. Alors de quoi parle Land ? C’est d’abord la vie d’un territoire, une « seigneurie » avec son dirigeant, sa ville principale, ses hameaux et ses paysans qui mènent une vie simple. Chacun à sa tâche, son métier, sa place. Mais c’est surtout un peuple qui vit constamment selon des croyances et un tas de règles. La « land » se situe au centre de plusieurs montagnes, dans chaque direction se dresse la statue d’un Kami (un dieu), immense, qui scrute tous les faits et gestes des habitants. Et puis c’est l’histoire d’une famille, le père Sutekichi qui vient de perdre son épouse et qui a eu des jumelles, un crime pour cette communauté ! Mais il est tellement loyal aux règles qu’il sacrifie l’une de ses filles au kami (pour suivre la loi) et qu’il se crève les yeux pour expier ce crime. Ensuite il y a sa fille Ann qui se pose beaucoup de questions sur les règles de ce monde et qui se demande sans cesse ce qu’il y a de l’autre côté de la montagne, derrière les kamis, l’endroit que l’on appelle l’Autre Monde. Le peuple vit sans trop se poser de questions, il suit aveuglément les croyances et les coutumes et n’hésite pas à sacrifier son prochain si le dieu est mécontent ou si les présages sont mauvais. Mais il y a toujours des exceptions et Ann est l’un des éléments perturbateurs. Nous qui vivons dans un monde moderne, c’est assez horripilant de voir un peuple prêt à sacrifier son prochain de cette façon, on annonce de mauvaises récoltes, alors éliminons « les anormaux, les monstrueux », les moches… une façon aussi d’éliminer tous les éléments qui pourraient porter atteinte à l’autorité. On sent qu’il y a une raison derrière l’existence de ce territoire comme si quelqu’un voulait les garder à l’écart. C’est d’autant plus flagrant quand on aperçoit rapidement l’Autre Monde. Land est original, possède de nombreuses thématiques, c’est de la tranche de vie limite moyenâgeuse mais c’est aussi de l’aventure, du mystique, un peu de fantastique et de la politique. Tout est très équilibré, très réfléchi et bien construit. Un manga à lire, série finie en 11 tomes. Trailer Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/land-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Witch family tome 4

    Une critique de @Y_Kanzaki Honnêtement, je ne sais pas quoi penser de ce tome… Les histoires sont sympathiques mais pas hilarantes, le scénario se renouvelle mais n’est pas extraordinaire. Les personnages sont toujours sympathiques et amusants, et - à mon grand bonheur- Viola n’est pas trop présente. J’aurais néanmoins voulu une évolution dans les relations entre les personnages (Alyssa et Fennel par exemple). La seule scène assez amusante est celle où Auri, le père d’Alyssa, prodigue des conseils en amour. Un quatrième volet sympathique mais sans plus, qui montre les limites et l’essoufflement de la série.
  15. Titre de l'album : Witch family tome 4 Scenariste de l'album : PIROYA Dessinateur de l'album : PIROYA Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Auri, qui se sent mis à l'écart, passe sa colère sur Fennel. En parallèle, le Phénix décide de faire un régime ! On voit enfin apparaître le fils de Lila... Et plein d'autres choses à ne surtout pas manquer vous attendent dans le quatrième volume de cette comédie chaleureuse et hilarante !! Tout le monde se réunit chez Alyssa pour voir l'album photo de bébé de Viola et des histoires remontent sur les tracas qu'elle leur causait quand elle était encore petite... Critique : Une critique de @Y_Kanzaki Honnêtement, je ne sais pas quoi penser de ce tome… Les histoires sont sympathiques mais pas hilarantes, le scénario se renouvelle mais n’est pas extraordinaire. Les personnages sont toujours sympathiques et amusants, et - à mon grand bonheur- Viola n’est pas trop présente. J’aurais néanmoins voulu une évolution dans les relations entre les personnages (Alyssa et Fennel par exemple). La seule scène assez amusante est celle où Auri, le père d’Alyssa, prodigue des conseils en amour. Un quatrième volet sympathique mais sans plus, qui montre les limites et l’essoufflement de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/witch-family-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Silent blue

    Titre de l'album : Silent blue Scenariste de l'album : ANDÔ Ikori - ANDO Icori Dessinateur de l'album : ANDÔ Ikori - ANDO Icori Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Une météorite s'est écrasée il y a vingt ans en plein coeur de la ville où vivait la jeune Aoko. Une pluie incessante a rempli le cratère engendré par le crash, et un mystérieux lac renferme désormais la mémoire dormante des habitations. Aoko, désormais adulte, ne cesse de plonger dans ce lac afin d'y retrouver les souvenirs qui y sont enfouis... Critique : Aoko est une jeune fille qui tient un café itinérant mais qui passe la majorité de son temps à plonger en apnée dans le lac Hatsukako. Un lac qui a une histoire, il s’est crée à la suite de la chute d’une météorite entrainant par la même occasion la disparition d’une petite ville vingt ans auparavant, la ville natale d’Aoko. Un jour, elle croise la route d’un assureur qui se pose des questions sur cet accident. Si lui recherche la vérité, Aoko continue de plonger pour trouver quelque chose qu’elle a perdu, une partie de son passé probablement… Dans Silent Blue, il y a une histoire très concrète qui concerne la chute de la météorite, en était-ce vraiment une ? Est-ce que les autorités étaient au courant, est-ce que la ville aurait pu être sauvée ? Mais en réalité ce n’est pas le plus important dans ce livre. Ce qui marque c’est Aoko, sa façon d’aller à la recherche d’elle-même dans les profondeurs du lac, elle plonge sans arrêt, envers et contre tout (contre l’avis de sa famille même qui semble lui cacher des événements). Aoko est plutôt une bonne vivante mais elle sent qui lui manque quelque chose et ce sont tous les moments où elle se laisse aller dans ce lac qui font la beauté du récit. Silent Blue est à la fois très pragmatique et très poétique, on aurait aimé que les moments d’immersion durent plus longtemps et qu’il y ait un peu plus de développement sur le reste de l’histoire. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/silent-blue?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Titre de l'album : Classroom of the Elite tome 1 Scenariste de l'album : KINUGASA Shôgo Dessinateur de l'album : TOMOSE Shunsaku Coloriste : Editeur de l'album : Ototo Note : Résumé de l'album : Dans les couloirs de l'Académie Avandée Kôdo Ikusei, l'élite de demain est formée, mais tout n'est pas ce qu'il semble. Kiyotaka Ayanokôji, un étudiant de la classe D, est bien plus qu'un simple élève ordinaire. Malgré son apparence de garçon timide, il possède des compétences exceptionnelles qu'il garde secrètes. Entourée de ses camarades Suzune Horikita, la solitaire, et Kikyô Kushida, la fille la plus populaire de sa classe, Kiyotaka se retrouve plongé dans une lutte acharnée pour la suprématie au sein de l'école. La compétition est rude, et les enjeux sont élevés. Dans ce monde où règnent trahisons, rivalités et secrets, Kiyotaka et ses amis devront faire preuve d'astuce et de stratégie pour gravie les échelons de l'académie. Critique : On en aura entendu parler de cette série avant de la voir débarquer en livre ! L’anime en est déjà à sa 3e saison et le tout est issu d’un light novel. Le lycée de haut niveau de Tokyo est l’établissement où tout le monde rêve d’aller, il a un grand campus, des équipements flambants neufs et surtout un taux d’embauche de 100% une fois diplômé ! C’est la rentrée, les nouveaux élèves apprennent qu’ils disposent d’une carte avec des points qu’ils leur permettent d’acheter tout ce dont ils ont besoin sur le campus. D’ores et déjà, ils ont 100 000 points (équivalent à 100 000 yens) et la carte sera rechargée au début de chaque mois. Mais ce système n’est-il pas trop beau pour être vrai ? Et pourquoi certains produits sont-ils gratuits ? Derrière ses débuts façon school life classique et gentillet, on sent que le scénario a encore beaucoup à donner et surtout plein de surprises. Le dernier chapitre amorce déjà un tournant important sur les particularités de cette école mais surtout sur les vrais caractères des personnages. Chacun a été sélectionné mais ce n’est pas vraiment à cause d’un dossier scolaire irréprochable. Ce n’est sans doute pas pour rien que la série marche aussi bien ! Du coup, en plus de nous introduire les personnages principaux, ce premier tome sème les graines d’un développement qui s’annonce fort intéressant. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/classroom-of-the-elite-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Classroom of the Elite tome 1

    On en aura entendu parler de cette série avant de la voir débarquer en livre ! L’anime en est déjà à sa 3e saison et le tout est issu d’un light novel. Le lycée de haut niveau de Tokyo est l’établissement où tout le monde rêve d’aller, il a un grand campus, des équipements flambants neufs et surtout un taux d’embauche de 100% une fois diplômé ! C’est la rentrée, les nouveaux élèves apprennent qu’ils disposent d’une carte avec des points qu’ils leur permettent d’acheter tout ce dont ils ont besoin sur le campus. D’ores et déjà, ils ont 100 000 points (équivalent à 100 000 yens) et la carte sera rechargée au début de chaque mois. Mais ce système n’est-il pas trop beau pour être vrai ? Et pourquoi certains produits sont-ils gratuits ? Derrière ses débuts façon school life classique et gentillet, on sent que le scénario a encore beaucoup à donner et surtout plein de surprises. Le dernier chapitre amorce déjà un tournant important sur les particularités de cette école mais surtout sur les vrais caractères des personnages. Chacun a été sélectionné mais ce n’est pas vraiment à cause d’un dossier scolaire irréprochable. Ce n’est sans doute pas pour rien que la série marche aussi bien ! Du coup, en plus de nous introduire les personnages principaux, ce premier tome sème les graines d’un développement qui s’annonce fort intéressant. A suivre.
  19. Nickad

    Unnamed memory tome 1

    Oscar est un prince maudit, il ne peut avoir de descendance ou plutôt, celle qui portera son enfant devra être assez puissante pour supporter la magie de sa lignée. C’est dans l’espoir de conjurer le sort qu’il se rend à la tour de la sorcière de la lune d’azur. Là il rencontre la sorcière Tinasha et lui propose de l’épouser. Unnamed memory est une bonne surprise, je m’attendais à de la fantasy un peu sombre, un peu classique aussi dans son développement et finalement, on a une lecture fluide, un dessin très agréable et surtout une touche de légèreté et de nonchalance qui apporte de la fraicheur à l’œuvre. Alors, oui les éléments de la fantasy sont présents mais la façon dont les événements sont orchestrés et la façon dont la narration est menée apportent un certain charme au récit, rien que la nature de la malédiction d’Oscar est assez originale pour nous démontrer que le titre a du potentiel. Pour faire court, le récit est plaisant et l’on a envie d’en lire davantage. La série sera diffusée en anime sur Crunchyroll à partir d’avril 2024.
  20. Titre de l'album : Unnamed memory tome 1 Scenariste de l'album : FURUMIYA Kuji Dessinateur de l'album : KOSHIMIZU Naoki , chibi Coloriste : Editeur de l'album : Mana Books Note : Résumé de l'album : Et si la sorcière sauvait le prince ? Il était une fois une sorcière solitaire, à la longévité exceptionnelle, mais aux pouvoirs dangereux... Oscar, prince héritier du grand royaume de Farsas, se rend chez Tinasha, la sorcière la plus puissante du continent, pour lever une malédiction dont il est victime depuis sa jeunesse, qui l'empêche d'avoir des enfants. Lorsqu'il passe l'épreuve de la "Tour de la sorcière', qui lui donne le droit à n'importe quel souhait, il demande alors la main de Tinasha ! Critique : Oscar est un prince maudit, il ne peut avoir de descendance ou plutôt, celle qui portera son enfant devra être assez puissante pour supporter la magie de sa lignée. C’est dans l’espoir de conjurer le sort qu’il se rend à la tour de la sorcière de la lune d’azur. Là il rencontre la sorcière Tinasha et lui propose de l’épouser. Unnamed memory est une bonne surprise, je m’attendais à de la fantasy un peu sombre, un peu classique aussi dans son développement et finalement, on a une lecture fluide, un dessin très agréable et surtout une touche de légèreté et de nonchalance qui apporte de la fraicheur à l’œuvre. Alors, oui les éléments de la fantasy sont présents mais la façon dont les événements sont orchestrés et la façon dont la narration est menée apportent un certain charme au récit, rien que la nature de la malédiction d’Oscar est assez originale pour nous démontrer que le titre a du potentiel. Pour faire court, le récit est plaisant et l’on a envie d’en lire davantage. La série sera diffusée en anime sur Crunchyroll à partir d’avril 2024. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/unnamed-memory-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  21. Titre de l'album : Mon ami de jeu en ligne est en réalité mon patron tyrannique tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : NMURA Dessinateur de l'album : NMURA Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Hashimoto, salaryman ordinaire, reçoit chaque jour des directives strictes de son supérieur beau et talentueux mais néanmoins tyrannique Shirase-san. Son seul loisir est de discuter avec son camarade de jeu en ligne UMA, à qui il se plaint de son patron. Un jour, Hashimoto décide de rencontrer ce dernier en vrai mais tout ne va pas se passer comme prévu...?! Critique : Dans la vie, il y a la réalité et il y a aussi le monde virtuel. Il y a celui où vous êtes ancrés dans les convention sociétales avec la bienséance, l’ordre hiérarchique, les contraintes morales… et puis, il y a le monde des jeux où vous pouvez vous permettre d’être celui que vous voulez mais surtout être vous-mêmes sans tabou, sans se soucier des apparences. Si le manga explore les relations amitié-amour entre les personnages de façon sympathique avec une certaine touche de candeur, créant des quiproquos amusants mais en restant toujours dans le côté positif ; la thématique abordée n’est pas sans intérêt. Il y a d’abord le fait de côtoyer une même personne dans deux univers différents sans savoir que c’est la même personne (le personnage principal se plaint à son ami de jeu de son patron alors que c’est lui), phénomène assez improbable en vrai, quelle est la probabilité de trouver deux partenaires de jeu habitant ou travaillant dans le même quartier ? Mais c’est surtout le côté anonymat qui interpelle. Caché derrière nos écrans et derrière des pseudos ou avatars, il est plus facile de discuter ouvertement, de dire le fond de sa pensée et aussi hélas, de descendre en flèche des gens parfois sans avoir pris le temps de la réflexion et souvent sans se soucier des conséquences. Mais le manga n’est pas axé sur cet aspect-là et reste cantonné à une comédie romantique où les quiproquos entrainent des situations sympathiques avec une dose de bonne humeur. La lecture est agréable, le livre distrayant et il y a de quoi vous détendre car le premier tome comporte 288 pages ! Il est dommage cependant que le livre fonctionne principalement selon un seul schéma, celui du quiproquo. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/mon-ami-de-jeu-en-ligne-est-en-realite-mon-patron-tyrannique-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Dans la vie, il y a la réalité et il y a aussi le monde virtuel. Il y a celui où vous êtes ancrés dans les convention sociétales avec la bienséance, l’ordre hiérarchique, les contraintes morales… et puis, il y a le monde des jeux où vous pouvez vous permettre d’être celui que vous voulez mais surtout être vous-mêmes sans tabou, sans se soucier des apparences. Si le manga explore les relations amitié-amour entre les personnages de façon sympathique avec une certaine touche de candeur, créant des quiproquos amusants mais en restant toujours dans le côté positif ; la thématique abordée n’est pas sans intérêt. Il y a d’abord le fait de côtoyer une même personne dans deux univers différents sans savoir que c’est la même personne (le personnage principal se plaint à son ami de jeu de son patron alors que c’est lui), phénomène assez improbable en vrai, quelle est la probabilité de trouver deux partenaires de jeu habitant ou travaillant dans le même quartier ? Mais c’est surtout le côté anonymat qui interpelle. Caché derrière nos écrans et derrière des pseudos ou avatars, il est plus facile de discuter ouvertement, de dire le fond de sa pensée et aussi hélas, de descendre en flèche des gens parfois sans avoir pris le temps de la réflexion et souvent sans se soucier des conséquences. Mais le manga n’est pas axé sur cet aspect-là et reste cantonné à une comédie romantique où les quiproquos entrainent des situations sympathiques avec une dose de bonne humeur. La lecture est agréable, le livre distrayant et il y a de quoi vous détendre car le premier tome comporte 288 pages ! Il est dommage cependant que le livre fonctionne principalement selon un seul schéma, celui du quiproquo.
  23. poseidon2

    Holyland tome 5

    Cinquième tome d'un manga qui part dans une direction que je n'aurais pas imaginée deux tomes avant. Et c'est super rafraîchissant. Plus que des combats, ce tome cinq met en avant l'addiction à l'adrénaline procurée par les victoires... au point de faire perdre la raison ! Notre héros dérape complètement et ne se rend plus compte du bien ou du mal. Un revirement qui change toute notre vision de l'histoire et relance l'intrigue pour les 12 tomes qu'il reste. Et on s'en frotte les mains !
  24. poseidon2

    Holyland tome 5

    Titre de l'album : Holyland tome 5 Scenariste de l'album : Kouji Mori Dessinateur de l'album : Kouji Mori Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Après une année à s'entraîner au combat, Yuu revient dans la rue pour y combattre les bandits les plus redoutables, toujours en quête de la tête du chasseur de yankees. Plus efficace, plus violent, Yuu n'en est pas moins toujours naïf, et il apprend que le combat de rue se dispense de toute règle, de tout honneur. Jet de pierre, coup dans les parties, doigt dans l'oeil, c'est un autre combat qui va commencer, un autre apprentissage, celui du combat réel, sale et peu glorieux. Critique : Cinquième tome d'un manga qui part dans une direction que je n'aurais pas imaginée deux tomes avant. Et c'est super rafraîchissant. Plus que des combats, ce tome cinq met en avant l'addiction à l'adrénaline procurée par les victoires... au point de faire perdre la raison ! Notre héros dérape complètement et ne se rend plus compte du bien ou du mal. Un revirement qui change toute notre vision de l'histoire et relance l'intrigue pour les 12 tomes qu'il reste. Et on s'en frotte les mains ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/holyland-tome-5?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  25. Nouvelle série chez Vega avec un titre tout en émotion et calme. Une espèce de Voyage de Chihiro sans le voyage. On suit une divinité cherchant à purger les restes de "vermines" ayant échappé à sa surveillance. Vermines qui se nourrissent des émotions négatives des humains pour les corrompre et corrompre tout ce qui les entoure. Notre Kami vient donc apaiser ses âmes troubler et le fait aussi calmement que possible. Nous suivons ce "dieu" exorciste dans sa recherche et dans l'aide qu'il apporte aux humains comme aux esprits magiques. Rien de forcement très innovant, mais c'est graphiquement très beau et l'on se laisse porter par une narration reposante.
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