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  1. Un nouvel isekai, oui mais pas n’importe lequel ! Ici la personne qui se réincarne ne souhaite pas vivre une nouvelle vie, son objectif c’est de réussir sa mort et surtout de se suicider en compagnie de son âme sœur ! Alors les belles paroles de la prêtresse, les compétences spéciales, Sensei (il n’a pas de nom) s’en moque. Il n’a qu’un seul but, savoir si sa bien-aimée s’est aussi réincarnée, la retrouver et mourir ; et tant pis s’il meurt avant. Pour ceux qui ont un peu de culture, il est assez simple de voir de qui le personnage principal est inspiré, un célèbre écrivain obsédé par le suicide, Osamu Dazai, un auteur qui inspire beaucoup les mangakas puisqu’on le retrouve également dans Bungo Stray Dogs et surtout les adaptations de La déchéance d’un homme. Le manga nous entraine dans un voyage inédit car Sensei n’a pas les réactions habituelles des réincarnés et surtout il accueille la Mort à bras ouverts ce qui déstabilise son entourage. Malgré lui, il va attirer du monde qui va l’accompagner dans son périple car sa présence bouscule l’ordre établi et la routine. On apprécie le parti pris de l’auteur d’introduire un anti-héros, un homme nonchalant qui n’est pas attaché à grand-chose et qui n’attend rien de la vie hormis une belle mort. En dehors de ça, il faudra aller un peu plus loin dans le récit pour vraiment s’en faire une idée, est-ce que finalement on aura une trame principale ou est-ce que ce sera un enchainement de saynètes humoristiques ? La série est toujours en cours avec 10 tomes pour le moment et fait l’objet d’une adaptation en anime. NB : Sensei signifie le professeur, le maitre.
  2. Nickad

    Solo camping for two tome 1

    Gen Kinomura aime camper seul, vraiment seul, il aime retrouver la nature, se rendre au camping via les transports en commun et finir à pied, allumer un feu de bois. Un jour qu’il est vraiment tout seul (même les propriétaires du camping sont partis pour la nuit), débarque une jeune fille un peu fofolle qui n’a pas d’expérience du camping en solitaire et qui va venir bouleverser la tranquillité de Gen. Solo camping est à la fois un guide pour les amoureux du camping avec de nombreux conseils mais aussi une comédie, pas forcément sentimentale (il faudra attendre la suite pour en être sûr), pleine de fraicheur et de bons sentiments. La jeune Shizuku qui n’a trouvé personne de son âge pour l’accompagner dans l’aventure camping va aller demander des conseils à Gen et le convaincre de l’aider jusqu’à ce qu’elle soit autonome. On se doute que le solo camping risque fort de ne pas durer ! Le manga fait partie de la collection Gourmet car Shizuku, à défaut d’être très organisée pour le camping, est un vrai cordon bleu et propose des recettes à faire en extérieur. Il reste néanmoins le problème que ces repas sont souvent à base d’aliments japonais pas forcément évident à reproduire pour les Français à part peut-être le poulet à la bière qui m’a intrigué. Un manga sympathique qui a trouvé un bon équilibre entre conseils, aventure, comédie et cuisine. Une bonne distraction. Extrait
  3. Titre de l'album : Solo camping for two tome 1 Scenariste de l'album : DEBATA Yûdai Dessinateur de l'album : DEBATA Yûdai Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Gen est un campeur solitaire. Ce qu'il préfère par-dessus tout est de se retrouver seul dans la nature. Il en profite jusqu'au jour où débarque la tornade Shizuku, une jeune femme qui pratique à merveille l'art de l'incruste. Sa délicieuse cuisine de plein air parviendra-t-elle à le faire changer d'avis ? Découvrez les meilleures recettes en extérieur aux côtés de ce duo chaud bouillant ! Critique : Gen Kinomura aime camper seul, vraiment seul, il aime retrouver la nature, se rendre au camping via les transports en commun et finir à pied, allumer un feu de bois. Un jour qu’il est vraiment tout seul (même les propriétaires du camping sont partis pour la nuit), débarque une jeune fille un peu fofolle qui n’a pas d’expérience du camping en solitaire et qui va venir bouleverser la tranquillité de Gen. Solo camping est à la fois un guide pour les amoureux du camping avec de nombreux conseils mais aussi une comédie, pas forcément sentimentale (il faudra attendre la suite pour en être sûr), pleine de fraicheur et de bons sentiments. La jeune Shizuku qui n’a trouvé personne de son âge pour l’accompagner dans l’aventure camping va aller demander des conseils à Gen et le convaincre de l’aider jusqu’à ce qu’elle soit autonome. On se doute que le solo camping risque fort de ne pas durer ! Le manga fait partie de la collection Gourmet car Shizuku, à défaut d’être très organisée pour le camping, est un vrai cordon bleu et propose des recettes à faire en extérieur. Il reste néanmoins le problème que ces repas sont souvent à base d’aliments japonais pas forcément évident à reproduire pour les Français à part peut-être le poulet à la bière qui m’a intrigué. Un manga sympathique qui a trouvé un bon équilibre entre conseils, aventure, comédie et cuisine. Une bonne distraction. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/solo-camping-for-two-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  4. Nickad

    Land tomes 1 & 2

    Waouh, celui-là il est bon ! Pourtant, au début de la lecture je le trouvais juste intéressant avec un bon scénario, il y avait de la teneur et beaucoup d’originalité et puis, peu à peu, l’histoire s’étoffe, il y a beaucoup d’éléments qui se mettent en place, beaucoup d’interrogations et en même temps de la réflexion. Et puis, il y a la fin du tome 2 qui interpelle et nous emmène ailleurs. Ensuite, la lecture finie, le livre ne se referme pas complétement, on y pense, on se questionne et on veut savoir la suite. Alors de quoi parle Land ? C’est d’abord la vie d’un territoire, une « seigneurie » avec son dirigeant, sa ville principale, ses hameaux et ses paysans qui mènent une vie simple. Chacun à sa tâche, son métier, sa place. Mais c’est surtout un peuple qui vit constamment selon des croyances et un tas de règles. La « land » se situe au centre de plusieurs montagnes, dans chaque direction se dresse la statue d’un Kami (un dieu), immense, qui scrute tous les faits et gestes des habitants. Et puis c’est l’histoire d’une famille, le père Sutekichi qui vient de perdre son épouse et qui a eu des jumelles, un crime pour cette communauté ! Mais il est tellement loyal aux règles qu’il sacrifie l’une de ses filles au kami (pour suivre la loi) et qu’il se crève les yeux pour expier ce crime. Ensuite il y a sa fille Ann qui se pose beaucoup de questions sur les règles de ce monde et qui se demande sans cesse ce qu’il y a de l’autre côté de la montagne, derrière les kamis, l’endroit que l’on appelle l’Autre Monde. Le peuple vit sans trop se poser de questions, il suit aveuglément les croyances et les coutumes et n’hésite pas à sacrifier son prochain si le dieu est mécontent ou si les présages sont mauvais. Mais il y a toujours des exceptions et Ann est l’un des éléments perturbateurs. Nous qui vivons dans un monde moderne, c’est assez horripilant de voir un peuple prêt à sacrifier son prochain de cette façon, on annonce de mauvaises récoltes, alors éliminons « les anormaux, les monstrueux », les moches… une façon aussi d’éliminer tous les éléments qui pourraient porter atteinte à l’autorité. On sent qu’il y a une raison derrière l’existence de ce territoire comme si quelqu’un voulait les garder à l’écart. C’est d’autant plus flagrant quand on aperçoit rapidement l’Autre Monde. Land est original, possède de nombreuses thématiques, c’est de la tranche de vie limite moyenâgeuse mais c’est aussi de l’aventure, du mystique, un peu de fantastique et de la politique. Tout est très équilibré, très réfléchi et bien construit. Un manga à lire, série finie en 11 tomes. Trailer
  5. Nickad

    Land tomes 1 & 2

    Titre de l'album : Land tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : YAMASHITA Kazumi Dessinateur de l'album : YAMASHITA Kazumi Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : « Ici, les habitants meurent toujours à l'âge de 50 ans... »Dans une communauté appelée « Notre Monde », les Kamis, dieux protecteurs géants, surveillent étroitement leurs habitants qui les craignent plus que tout. Soumis à des coutumes strictes, Sutekichi est contraint de sacrifier l'une de ses jumelles pour préserver le village de la sécheresse. Huit ans plus tard, Ann mène une vie insouciante en compagnie de son père et de sa tante. Mais la jeune fille désire en savoir plus sur « l'Autre Monde », un univers inconnu et inaccessible, situé au-delà des montagnes. Elle est alors prête à tout pour découvrir ce qui se cache au-delà des hauteurs, quitte à braver les interdits...Véritable chef-d'œuvre fantastique et philosophique de l'autrice Kazumi Yamashita, Land est une série en 11 tomes lauréat du 25e grand Prix Osamu Tezuka de 2021. Critique : Waouh, celui-là il est bon ! Pourtant, au début de la lecture je le trouvais juste intéressant avec un bon scénario, il y avait de la teneur et beaucoup d’originalité et puis, peu à peu, l’histoire s’étoffe, il y a beaucoup d’éléments qui se mettent en place, beaucoup d’interrogations et en même temps de la réflexion. Et puis, il y a la fin du tome 2 qui interpelle et nous emmène ailleurs. Ensuite, la lecture finie, le livre ne se referme pas complétement, on y pense, on se questionne et on veut savoir la suite. Alors de quoi parle Land ? C’est d’abord la vie d’un territoire, une « seigneurie » avec son dirigeant, sa ville principale, ses hameaux et ses paysans qui mènent une vie simple. Chacun à sa tâche, son métier, sa place. Mais c’est surtout un peuple qui vit constamment selon des croyances et un tas de règles. La « land » se situe au centre de plusieurs montagnes, dans chaque direction se dresse la statue d’un Kami (un dieu), immense, qui scrute tous les faits et gestes des habitants. Et puis c’est l’histoire d’une famille, le père Sutekichi qui vient de perdre son épouse et qui a eu des jumelles, un crime pour cette communauté ! Mais il est tellement loyal aux règles qu’il sacrifie l’une de ses filles au kami (pour suivre la loi) et qu’il se crève les yeux pour expier ce crime. Ensuite il y a sa fille Ann qui se pose beaucoup de questions sur les règles de ce monde et qui se demande sans cesse ce qu’il y a de l’autre côté de la montagne, derrière les kamis, l’endroit que l’on appelle l’Autre Monde. Le peuple vit sans trop se poser de questions, il suit aveuglément les croyances et les coutumes et n’hésite pas à sacrifier son prochain si le dieu est mécontent ou si les présages sont mauvais. Mais il y a toujours des exceptions et Ann est l’un des éléments perturbateurs. Nous qui vivons dans un monde moderne, c’est assez horripilant de voir un peuple prêt à sacrifier son prochain de cette façon, on annonce de mauvaises récoltes, alors éliminons « les anormaux, les monstrueux », les moches… une façon aussi d’éliminer tous les éléments qui pourraient porter atteinte à l’autorité. On sent qu’il y a une raison derrière l’existence de ce territoire comme si quelqu’un voulait les garder à l’écart. C’est d’autant plus flagrant quand on aperçoit rapidement l’Autre Monde. Land est original, possède de nombreuses thématiques, c’est de la tranche de vie limite moyenâgeuse mais c’est aussi de l’aventure, du mystique, un peu de fantastique et de la politique. Tout est très équilibré, très réfléchi et bien construit. Un manga à lire, série finie en 11 tomes. Trailer Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/land-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  6. Nickad

    Witch family tome 4

    Une critique de @Y_Kanzaki Honnêtement, je ne sais pas quoi penser de ce tome… Les histoires sont sympathiques mais pas hilarantes, le scénario se renouvelle mais n’est pas extraordinaire. Les personnages sont toujours sympathiques et amusants, et - à mon grand bonheur- Viola n’est pas trop présente. J’aurais néanmoins voulu une évolution dans les relations entre les personnages (Alyssa et Fennel par exemple). La seule scène assez amusante est celle où Auri, le père d’Alyssa, prodigue des conseils en amour. Un quatrième volet sympathique mais sans plus, qui montre les limites et l’essoufflement de la série.
  7. Titre de l'album : Witch family tome 4 Scenariste de l'album : PIROYA Dessinateur de l'album : PIROYA Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Auri, qui se sent mis à l'écart, passe sa colère sur Fennel. En parallèle, le Phénix décide de faire un régime ! On voit enfin apparaître le fils de Lila... Et plein d'autres choses à ne surtout pas manquer vous attendent dans le quatrième volume de cette comédie chaleureuse et hilarante !! Tout le monde se réunit chez Alyssa pour voir l'album photo de bébé de Viola et des histoires remontent sur les tracas qu'elle leur causait quand elle était encore petite... Critique : Une critique de @Y_Kanzaki Honnêtement, je ne sais pas quoi penser de ce tome… Les histoires sont sympathiques mais pas hilarantes, le scénario se renouvelle mais n’est pas extraordinaire. Les personnages sont toujours sympathiques et amusants, et - à mon grand bonheur- Viola n’est pas trop présente. J’aurais néanmoins voulu une évolution dans les relations entre les personnages (Alyssa et Fennel par exemple). La seule scène assez amusante est celle où Auri, le père d’Alyssa, prodigue des conseils en amour. Un quatrième volet sympathique mais sans plus, qui montre les limites et l’essoufflement de la série. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/witch-family-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Nickad

    The bugle call tome 1

    Au Moyen-âge, une troupe de mercenaires participent à la guerre. Parmi eux, il y a le jeune Luka, recueilli bébé par le capitaine Gerhard et ayant toujours vécu sur le champ de bataille. Luka qui est le clairon de la troupe et qui ne souhaite qu’une chose, apprendre la musique et en vivre, devenir ménestrel. Mais Luka est aussi un peu particulier, il a une corne qui pousse sur sa tête et il dit qu’il peut voir les sons. Personne ne le croyait vraiment jusqu’au jour où son clairon permet aux mercenaires de s’extirper d’une mauvaise passe en suivant les lignes dessinées par la musique. Commence alors une autre aventure pour Luka. Au tout début du livre, on a l’impression de partir dans une épopée moyenâgeuse un peu comme dans Hawkwood mais on bascule vite dans un univers de dark fantasy. La guerre est violente, sans pitié et le fantastique vient s’en mêler. Luka fait partie d’un peuple méconnu « les branchus », des humains avec des cornes qui possèdent chacun un pouvoir particulier. Un conflit à plus grande échelle sur lequel repose l’avenir du monde va alors prendre place. The bugle call commence très bien, servi par un graphisme fort et détaillé, l’histoire est dynamique dès le départ et elle nous plonge d’emblée dans une ambiance brutale et sans concession. Le lecteur n’a pas le temps de souffler que Luka part déjà vers d’autres aventures, d’autres combats. Il rencontre néanmoins d’autres branchus avec qui il tissera des liens. Et puis il y a la surprise de la fin de volume, celle qui interpelle et qui donne l’envie folle d’aller lire la suite. Le manga est prometteur et l’univers est riche. Un livre à découvrir. Extrait The Bugle call
  9. Titre de l'album : The bugle call tome 1 Scenariste de l'album : SORA Mozuku Dessinateur de l'album : TOUMORI Higoro Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Transcender le fracas des armes, décider du sort de la bataille ! Luka, orphelin recueilli par le chef d'un groupe de mercenaires, n'est pas comme les autres : une branche pousse sur son crâne et il peut voir les sons, matérialisés par des traits de lumière... Le seul à lui parler sans crainte est son père adoptif, aussi fin stratège qu'impitoyable au combat. À 14 ans, Luka a déjà vu assez d'horreurs pour une vie. En tant que clairon, il est de tous les affrontements, transmettant les ordres via son instrument. En réalité, il n'a qu'une envie : échapper à ce quotidien fait de violence pour devenir musicien... Seulement, la bataille qui s'annonce pourrait être sa dernière : cette fois, il doit prendre les armes... et surtout, parmi ses opposants se trouvent d'autres "branchus' dotés de divers pouvoirs surnaturels ! Ils font un massacre dans les rangs de Luka, et ce dernier, blessé, se saisit d'un clairon pour sonner la retraite... C'est alors que son véritable pouvoir se dévoile et évite une déroute complète à ses alliés. Témoins de son exploit, les énigmatiques adversaires s'emparent de lui. Luka s'éveille dans une ville entourant une tour immense, vestige des temps anciens et source de magie... Ses nouveaux compagnons sont les protecteurs du lieu, régi par un mystérieux pape. Celui-ci passe un accord avec Luka : si le garçon met son pouvoir et son don tactique à son service, il l'aidera à devenir musicien. Sans le savoir, le jeune prodige se retrouve embarqué dans une guerre dont les enjeux le dépassent ! La lumière du son, seul espoir dans l'horreur des batailles... D'un trait vif et nerveux, une nouvelle génération d'auteurs invente un monde de dark fantasy sans concession. Mais ici, pas de héros surdoué au combat, juste un garçon rêvant de musique... Et pourtant, de ses talents dépend l'issue du conflit ! Critique : Au Moyen-âge, une troupe de mercenaires participent à la guerre. Parmi eux, il y a le jeune Luka, recueilli bébé par le capitaine Gerhard et ayant toujours vécu sur le champ de bataille. Luka qui est le clairon de la troupe et qui ne souhaite qu’une chose, apprendre la musique et en vivre, devenir ménestrel. Mais Luka est aussi un peu particulier, il a une corne qui pousse sur sa tête et il dit qu’il peut voir les sons. Personne ne le croyait vraiment jusqu’au jour où son clairon permet aux mercenaires de s’extirper d’une mauvaise passe en suivant les lignes dessinées par la musique. Commence alors une autre aventure pour Luka. Au tout début du livre, on a l’impression de partir dans une épopée moyenâgeuse un peu comme dans Hawkwood mais on bascule vite dans un univers de dark fantasy. La guerre est violente, sans pitié et le fantastique vient s’en mêler. Luka fait partie d’un peuple méconnu « les branchus », des humains avec des cornes qui possèdent chacun un pouvoir particulier. Un conflit à plus grande échelle sur lequel repose l’avenir du monde va alors prendre place. The bugle call commence très bien, servi par un graphisme fort et détaillé, l’histoire est dynamique dès le départ et elle nous plonge d’emblée dans une ambiance brutale et sans concession. Le lecteur n’a pas le temps de souffler que Luka part déjà vers d’autres aventures, d’autres combats. Il rencontre néanmoins d’autres branchus avec qui il tissera des liens. Et puis il y a la surprise de la fin de volume, celle qui interpelle et qui donne l’envie folle d’aller lire la suite. Le manga est prometteur et l’univers est riche. Un livre à découvrir. Extrait The Bugle call Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-bugle-call-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Tengen hero wars 2 et 3

    Une critique de @Y_Kanzaki Le deuxième tome nous montre la bataille tant attendue entre Oda Nobunaga et Zhuge Liang (alias Kongming). Le troisième, quant à lui, porte sur l’affrontement entre Napoléon et Hannibal. Ce qui est intéressant dans cette série, c’est de voir les différentes stratégies utilisées sur le champ de bataille et comment les contrer. De plus, beaucoup de grands stratèges de l’Histoire sont présentés, ce qui pourrait nous permettre de mieux les connaître. Sauf que les informations que l’on nous donne sont vraiment minimalistes et on ne sait pas ce qu’ils ont fait (pour Napoléon, on sait juste que c’est l’empereur des Français et qu’il rêve d’unification). Pour en savoir plus, il faut aller chercher sur internet. Les graphismes de ces personnages sont très romancés : Napoléon est dessiné grand et roux. Et si c’est le cas pour lui, ce doit être pareil pour les autres stratèges… Ainsi, quel est l’intérêt de juste utiliser les noms de personnages historiques célèbres et d’imaginer les stratégies qu’ils auraient pu mettre en œuvre ? J’espère trouver un peu plus d’intérêt à cette série par suite, mais ce n’est pas gagné… Une série à lire pour passer le temps
  11. Titre de l'album : Tengen hero wars 2 et 3 Scenariste de l'album : Yasu Hiromoto Dessinateur de l'album : Sakanoichi Kubaru Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Hannibal Barca VS Napoléon Bonaparte L'affrontement entre Oda Nobunaga et Zhuge Liang a réveillé les héros de tous les pays. Le premier à prendre les devants n'est autre que le souverain du plus grand territoire du sud-ouest, Napoléon Bonaparte ! Mais quand Hannibal Barca se dresse en travers de sa route, un combat de haute voltige éclate entre l'Empereur des Français et la Foudre de Carthage !Pendant ce temps, l'armée de Nobunaga prépare un plan pour se venger de Zhuge Liang... La clé de ce stratagème est entre les mains de l'homme le plus craint de l'Histoire des Trois Royaumes, Lu Bu ! Critique : Une critique de @Y_Kanzaki Le deuxième tome nous montre la bataille tant attendue entre Oda Nobunaga et Zhuge Liang (alias Kongming). Le troisième, quant à lui, porte sur l’affrontement entre Napoléon et Hannibal. Ce qui est intéressant dans cette série, c’est de voir les différentes stratégies utilisées sur le champ de bataille et comment les contrer. De plus, beaucoup de grands stratèges de l’Histoire sont présentés, ce qui pourrait nous permettre de mieux les connaître. Sauf que les informations que l’on nous donne sont vraiment minimalistes et on ne sait pas ce qu’ils ont fait (pour Napoléon, on sait juste que c’est l’empereur des Français et qu’il rêve d’unification). Pour en savoir plus, il faut aller chercher sur internet. Les graphismes de ces personnages sont très romancés : Napoléon est dessiné grand et roux. Et si c’est le cas pour lui, ce doit être pareil pour les autres stratèges… Ainsi, quel est l’intérêt de juste utiliser les noms de personnages historiques célèbres et d’imaginer les stratégies qu’ils auraient pu mettre en œuvre ? J’espère trouver un peu plus d’intérêt à cette série par suite, mais ce n’est pas gagné… Une série à lire pour passer le temps Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tengen-hero-wars-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  12. Nickad

    Confidences d'une prostituée

    Naomi est une prostituée depuis de nombreuses années, elle a vu passer les époques et surtout beaucoup de monde alors parfois, elle se laisse aller aux confidences, des histoires du passé, du sien ou de celui de ses camarades ; des histoires d’amour ou simplement des anecdotes de la vie. Confidences d’une prostituée est une œuvre de 1972 de Takao Saitô, une œuvre en partie personnelle car elle rend hommage aux femmes du quartier chaud d’Osaka quand il travaillait dans un salon de coiffure étant jeune et qu’il entendait leurs histoires. Takao Saitô est décédé en 2021 à l’âge de 84 ans, en France, il est connu pour ses mangas Survivant et surtout Golgo 13. Vous pouvez le retrouvez actuellement en librairie avec sa série Breakdown. On sent que cette œuvre plaisait à l’auteur et qu’elle lui tenait à cœur, le graphisme est soigné et minutieux, les mises en situation sont intimistes. Chaque histoire est comme un cri, aucune ne finit vraiment bien et en plus à la fin de chaque chapitre on abandonne Naomi à son sort, comme une fin inéluctable… un peu comme le destin de ces femmes de compagnie. Chaque récit s’inscrit dans un contexte historique et pourtant, quelle que soit l’époque, les conditions n’évoluent pas ou très peu. Confidences d’une prostituée est une belle œuvre à lire, riche et dense ; elle interpelle, captive, enseigne et donnent quelques leçons de vie.
  13. Titre de l'album : Confidences d'une prostituée Scenariste de l'album : SAITÔ Takao Dessinateur de l'album : SAITÔ Takao Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Avec une sensibilité et une douceur extraordinaires, Takao Saitô livre à travers Confidences d'une prostituée une sobre déclaration d'amour aux femmes des quartiers des plaisirs. Publiée en 1972, cette oeuvre résolument personnelle révèle un aspect jusque-là inédit de son immense bibliographie. Nuit après nuit, une femme conte dans l'intimité de son foyer le quotidien de prostituées d'une époque désormais révolue. Du nom de Naomi, cette ancienne dame de compagnie a été témoin de mille et une histoires, des plus tragiques aux plus cocasses, toutes teintées d'une lancinante mélancolie. Au fil de ses récits, elle dévoile les espoirs et les secrets de celles qui aspiraient à vivre avec dignité dans un Japon pris dans un tourbillon de changements. Critique : Naomi est une prostituée depuis de nombreuses années, elle a vu passer les époques et surtout beaucoup de monde alors parfois, elle se laisse aller aux confidences, des histoires du passé, du sien ou de celui de ses camarades ; des histoires d’amour ou simplement des anecdotes de la vie. Confidences d’une prostituée est une œuvre de 1972 de Takao Saitô, une œuvre en partie personnelle car elle rend hommage aux femmes du quartier chaud d’Osaka quand il travaillait dans un salon de coiffure étant jeune et qu’il entendait leurs histoires. Takao Saitô est décédé en 2021 à l’âge de 84 ans, en France, il est connu pour ses mangas Survivant et surtout Golgo 13. Vous pouvez le retrouvez actuellement en librairie avec sa série Breakdown. On sent que cette œuvre plaisait à l’auteur et qu’elle lui tenait à cœur, le graphisme est soigné et minutieux, les mises en situation sont intimistes. Chaque histoire est comme un cri, aucune ne finit vraiment bien et en plus à la fin de chaque chapitre on abandonne Naomi à son sort, comme une fin inéluctable… un peu comme le destin de ces femmes de compagnie. Chaque récit s’inscrit dans un contexte historique et pourtant, quelle que soit l’époque, les conditions n’évoluent pas ou très peu. Confidences d’une prostituée est une belle œuvre à lire, riche et dense ; elle interpelle, captive, enseigne et donnent quelques leçons de vie. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/heritages-confidences-d-une-prostituee?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Nickad

    Chunchu tome 1

    A l’origine Chunchu est un manhwa qui a été publié en France aux éditions Tokebi (disparues depuis). Il a été adapté en webtoon et il était disponible sur la plateforme Verytoon (elle aussi disparue depuis juillet 2023). Il revient aujourd’hui en version papier colorée en webtoon chez Kbooks., espérons que cela ne sera pas fatal à l’éditeur J… Chunchu est une histoire brutale avec principalement des scènes d’action et de combats. Si le graphisme présente un certain intérêt avec une colorisation assez sobre dans les tons bruns-écru donnant une ambiance particulière au récit, les dialogues sont réduits au minimum : un choix scénaristique de l’auteur qui se défend. Chunchu et son frère jumeau naissent dans un contexte étrange, l’oracle a annoncé la venue du fils du démon ! Mais ne s’attendant pas à ce qu’il y ait deux enfants, la pierre du démon est posée entre les deux pour découvrir celui qui sera éliminé ! Sur le point d’être abattu par son père, Chunchu est sauvé par sa mère qui arrive à le faire exiler dans une tribu de combattants. Mais quel que soit l’endroit où il se trouve, Chunchu n’est toujours vu que comme le fils du démon, les habitant le fuient et les tentatives d’assassinat se multiplient. Dès le début du livre (page 25), on sait que Chunchu est accusé à tort car on voit son jumeau, Eulpaso, attraper la pierre du démon et l’enfoncer de force dans la poitrine de son frère. Hélas, à part le frère, personne n’est au courant. Mais peu à peu certains personnages secondaires s’interrogent, les agissements d’Eulpaso, devenu chef de clan à présent, sont trop extrêmes pour ne pas envisager une supercherie. Ce dernier cherche désespérément à éliminer Chunchu pour que l’oracle disparaisse définitivement. Chunchu est un personnage principal maudit, épuisé par son destin, il semble errer dans la vie sans aucun but, il survit ! Le contexte du récit situe l’action en période proche moyenâgeuse dans un pays où il y a de grosses guerres de clans, il va donc y avoir des luttes de pouvoir et des intrigues politiques. Au cours des 15 tomes de la première édition, il y a eu beaucoup d’interrogations mais pas forcément les réponses. Le final indiquait la fin de la première saison, c’était en 2004… depuis, il n’y a pas eu d’annonce d’une saison 2. Certains lecteurs pensent que la série vaut quand même le coup, j’avoue que savoir qu’il n’y a pas de vraie fin m’a un peu refroidie, en attendant, ce premier tome n’est pas inintéressant et on espère que Chunchu arrivera à se faire reconnaître pour ce qu’il est véritablement. A suivre.
  15. Nickad

    Chunchu tome 1

    Titre de l'album : Chunchu tome 1 Scenariste de l'album : KIM Song-Jae Dessinateur de l'album : KIM Byung Jin Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - KBooks Note : Résumé de l'album : Chunchu, désigné par l'oracle comme fils du démon à sa naissance et banni par son peuple, mène une vie de sang et de violence. Porteur de la pierre du démon qui le rend invincible, il sort victorieux de toutes les batailles, semant la terreur sur son passage. Décidé à comprendre pourquoi un tel destin lui a été infligé, il découvre qu'un mystère se cache derrière cette légende... Critique : A l’origine Chunchu est un manhwa qui a été publié en France aux éditions Tokebi (disparues depuis). Il a été adapté en webtoon et il était disponible sur la plateforme Verytoon (elle aussi disparue depuis juillet 2023). Il revient aujourd’hui en version papier colorée en webtoon chez Kbooks., espérons que cela ne sera pas fatal à l’éditeur J… Chunchu est une histoire brutale avec principalement des scènes d’action et de combats. Si le graphisme présente un certain intérêt avec une colorisation assez sobre dans les tons bruns-écru donnant une ambiance particulière au récit, les dialogues sont réduits au minimum : un choix scénaristique de l’auteur qui se défend. Chunchu et son frère jumeau naissent dans un contexte étrange, l’oracle a annoncé la venue du fils du démon ! Mais ne s’attendant pas à ce qu’il y ait deux enfants, la pierre du démon est posée entre les deux pour découvrir celui qui sera éliminé ! Sur le point d’être abattu par son père, Chunchu est sauvé par sa mère qui arrive à le faire exiler dans une tribu de combattants. Mais quel que soit l’endroit où il se trouve, Chunchu n’est toujours vu que comme le fils du démon, les habitant le fuient et les tentatives d’assassinat se multiplient. Dès le début du livre (page 25), on sait que Chunchu est accusé à tort car on voit son jumeau, Eulpaso, attraper la pierre du démon et l’enfoncer de force dans la poitrine de son frère. Hélas, à part le frère, personne n’est au courant. Mais peu à peu certains personnages secondaires s’interrogent, les agissements d’Eulpaso, devenu chef de clan à présent, sont trop extrêmes pour ne pas envisager une supercherie. Ce dernier cherche désespérément à éliminer Chunchu pour que l’oracle disparaisse définitivement. Chunchu est un personnage principal maudit, épuisé par son destin, il semble errer dans la vie sans aucun but, il survit ! Le contexte du récit situe l’action en période proche moyenâgeuse dans un pays où il y a de grosses guerres de clans, il va donc y avoir des luttes de pouvoir et des intrigues politiques. Au cours des 15 tomes de la première édition, il y a eu beaucoup d’interrogations mais pas forcément les réponses. Le final indiquait la fin de la première saison, c’était en 2004… depuis, il n’y a pas eu d’annonce d’une saison 2. Certains lecteurs pensent que la série vaut quand même le coup, j’avoue que savoir qu’il n’y a pas de vraie fin m’a un peu refroidie, en attendant, ce premier tome n’est pas inintéressant et on espère que Chunchu arrivera à se faire reconnaître pour ce qu’il est véritablement. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/chunchu-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Nickad

    Failure frame tome 7

    Poursuivis par plusieurs groupes armés qui comptent bien leur faire la peau, nos fugitifs s’arrêtent pour appliquer un plan de défense imaginé par Tôka. Encore une fois, il va nous démontrer d’excellentes capacités d’analyse et aussi utiliser ses capacités qui laissent peu de chance à l’adversaire. Un tome un peu en-dessous car l’histoire n’avance pas vraiment. Certes, il faut bien se débarrasser des adversaires mais on aimerait aussi que nos héros arrivent vite auprès de la sorcière des Tabous afin d’avoir un peu de nouveauté ! On ne s’ennuie pas vraiment mais un peu plus de rythme ne ferait pas de mal !
  17. Titre de l'album : Failure frame tome 7 Scenariste de l'album : SHINOZAKI Kaoru , UCHIUCHI Keyaki Dessinateur de l'album : UYOSHI Shô , KWKM Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Morts ou vifs, peu importe. Ils sont tous mes marionnettes. Désormais rejoint par Eve et Liz, Tôka poursuit son périple en direction du "Nid des Monstres aux yeux dorés", repaire présumé de la Sorcière des Tabous. Seulement, le duc Svan, qui se servait d'Eve comme d'une bête de foire, a envoyé à leurs trousses une bande de sorciers prénommée "Assynt". Malgré la menace que représente ce groupe dirigé par l'astucieux Muaji, Tôka en vient à bout sans peine. Grâce à Eve et à sa puissance insoupçonnée, il écrase même les autres poursuivants débarquant juste après Assynt. "Tu crois qu'on va te laisser t'échapper ?" Voici le septième volume du récit de vengeance de cet ancien héros consumé par les flammes infernales de la haine et de la soif de revanche !! Critique : Poursuivis par plusieurs groupes armés qui comptent bien leur faire la peau, nos fugitifs s’arrêtent pour appliquer un plan de défense imaginé par Tôka. Encore une fois, il va nous démontrer d’excellentes capacités d’analyse et aussi utiliser ses capacités qui laissent peu de chance à l’adversaire. Un tome un peu en-dessous car l’histoire n’avance pas vraiment. Certes, il faut bien se débarrasser des adversaires mais on aimerait aussi que nos héros arrivent vite auprès de la sorcière des Tabous afin d’avoir un peu de nouveauté ! On ne s’ennuie pas vraiment mais un peu plus de rythme ne ferait pas de mal ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/failure-frame-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  18. Nickad

    Dog & scum tome 1

    Titre de l'album : Dog & scum tome 1 Scenariste de l'album : Iori ASAGA Dessinateur de l'album : Iori ASAGA Coloriste : Editeur de l'album : Noeve Grafx Note : Résumé de l'album : Haruma Sakuraba est adulte, salarié, mais surtout doté d'un sérieux complexe d'infériorité. Il vit depuis toujours dans l'ombre de Shûji Inukai, son ami d'enfance, qui le surpasse en tout. Lorsqu'il découvre que l'épouse de Shûji n'est autre que Reika, la femme dont il est secrètement amoureux depuis le lycée, sa jalousie prend le dessus... et un sombre secret prend forme. Critique : Tranche de vie, romance, drame ? On ne sait pas trop où l’on va après la lecture de ce 1er tome… L’éditeur annonce un thriller, de la manipulation, de la trahison mais pour le moment ce n’est pas ce qui ressort. De temps en temps une image, une phrase viennent semer le trouble, on sait que l’histoire n’est pas si simple sans savoir de quoi il retourne exactement. C’est une histoire qui commence de façon assez banale : trois amis de lycée, deux garçons et une fille trainent souvent ensemble, deux d’entre eux forment un couple, la fille la plus belle et le garçon le plus populaire à qui tout réussi. A côté, il y a Haruma, l’ami d’enfance, celui que personne ne remarque, qui n’arrivera jamais 1er quels que soient les efforts qu’il fournit, celui qui est amoureux de la copine de son ami… Quelques années plus tard, le travail et la distance physique les ont séparés, Haruma pense encore de temps en temps à ses amis mais sans plus, il a toujours dans le cœur son amour pour la belle Reika mais fait avec. Mais un jour, le hasard la remet sur sa route et une opportunité se présente. Mais est-ce vraiment un hasard ? Ce 1er tome est un constat : une présentation des personnages, un aperçu de leurs relations passées et une vue de la situation dans laquelle ils se trouvent aujourd’hui. Les premiers signes d’un drame apparaissent, rien n’est dit clairement mais il y a des indices. Il est donc difficile pour le moment de juger le manga, on est intrigué et il y a suffisamment de suspense pour vouloir aller plus loin. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dog-scum-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Titre de l'album : #DRCL midnight children tome 1 Scenariste de l'album : Shinichi SAKAMOTO , STOKER Bram Dessinateur de l'album : Shinichi SAKAMOTO Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le mythe de Dracula revisité par un orfèvre du manga ! À la fin du xixe siècle, un vaisseau russe embarque d'étranges caisses remplies d'une terre à l'odeur pestilentielle. La traversée des océans est un calvaire pour l'équipage : disparitions et morts suspectes s'enchaînent. Certains parlent d'un fantôme... Quand le bateau parvient enfin à destination en Angleterre, il a tout d'une épave flottante. Alors que la police portuaire se lance à la recherche de survivants, elle tombe sur une énorme créature mi-homme mi-loup, qui disparaît comme par magie... Quelques instants plus tard, dans le cimetière de la ville, quatre élèves du prestigieux établissement Whitby assistent à une scène terrifiante : un de leurs camarades est capturé par une bête ténébreuse ! Seule Mina Murray, l'unique fille de l'établissement, a le courage de voler à son secours, mais il est déjà trop tard... Critique : Voici la série Ki-oon tant attendue de ce début d’année, une revisite du mythe de Dracula ! Bien sûr le sujet a été vu et revu et on peut s’inquiéter d’une énième variante. Rassurez-vous cette version est réussie et elle est même très intrigante ! On a d’abord une rencontre visuelle, un premier chapitre fort qui nous met dans l’ambiance, le graphisme est détaillé, fin et précis mais surtout sait nous plonger directement dans une ambiance inquiétante, légèrement horrifique. Puis vient la seconde rencontre, celle des « héros » de l’histoire, des étudiants en médecine qui naviguent entre réalité de leur époque (notamment la place des femmes dans les sciences), blagues morbides, mystère et poésie. On reconnait tout de suite la pâte graphique de Shin’ichi Sakamoto, qui avait déjà fait sensation en France avec ses titres Nés pour cogner, Ascension ou encore Innocent / Innocent Rouge. Encore une fois, on retrouve son goût pour des personnages atypiques allant de Mina, la jeune fille forte décidée à dépasser les limites de son époque à Luke en proie à une double personnalité. Les dessins sont envoutants, oniriques et il nous appartient d’y trouver notre propre signification. L’œuvre se veut innovante, elle s’inspire de Dracula pour nous emmener ailleurs. Un premier tome qui ne nous laisse pas de marbre sans savoir vraiment où il nous conduira. Extrait Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/drcl-midnight-children-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    Tokugawa monkeys tome 1

    Tokugawa Monkeys se déroule sur fond de trame historique : on se rapproche de la fin du shogunat et certaines factions d’habitants cherchent à renverser le pouvoir. C’est aussi la période où les étrangers ont commencé à arriver au Japon et où le gouvernement hésitait à ouvrir le pays au reste du monde. Donc au niveau des dates et des événements, cela colle à peu près. Il reste quelques incertitudes concernant la faction appelée « Tengu » qui, si l’on regarde les livres d’histoire, était contre l’arrivée des étrangers, ce qui semble être le contraire dans le manga ! (Bon, je ne suis pas historienne donc je ne m’appesantirai pas plus sur le sujet). Il faut juste retenir le contexte général de l’époque : une période de troubles coincée entre un shogun peu apprécié et une ouverture à l’extérieure avec l’arrivée de nouvelles technologies. Suzu Kaneko, une jeune fille maniant le sabre, débarque à Edo dans l’espoir de retrouver et d’éliminer l’assassin de son père. Elle se retrouve prise en otage par le groupe de rebelles Tengu et rencontre deux sœurs qui vont l’aider : la première a perdu la vue et l’ouïe suite à d’anciennes tortures mais elle sait très bien se battre, la seconde l’accompagne pour la guider au travers de vibrations. Très vite, Suzu va rejoindre ce second groupe : les mashiras, une escouade secrète au service du shogun ! Tokugawa Monkeys est un manga d’action où la violence est omniprésente, les affrontements sont brutaux et il est impossible de vraiment prendre parti. Que ce soit du côté des Tengus ou des Mashiras, il y a beaucoup de zone d’ombre et de secrets et le bien fondé de leurs agissements n’est pas toujours prouvé. Les Tengus se battent soi-disant pour le bien-être du peuple mais n’hésitent pas à tuer des innocents, les Mashiras défendent la capitale mais sont au service d’un shogun plutôt corrompu. Au milieu il y a le personnage de Suzu qui n’est pas très douée et on se demande vraiment ce qu’elle fait dans l’histoire, la suite nous éclairera sûrement ! Le graphisme est efficace et les scènes d’action sont dynamiques. Concernant le récit en lui-même il est difficile de se prononcer complétement, il y a des éléments prometteurs, surtout une révélation finale qui pourrait bien amener une autre dimension au manga. A suivre.
  21. Titre de l'album : Tokugawa monkeys tome 1 Scenariste de l'album : FUJITA Kakuji Dessinateur de l'album : FUJITA Kakuji Coloriste : Editeur de l'album : ChattoChatto Note : Résumé de l'album : L'ère du Shogunat arrive t'il à son terme? Les inégalités s'installent, les conflits se multiplient et la corruption est partout. Les Tengu, un groupe armé désirant mettre fin à l'oppression du shogunat est opposé aux Mashira, des agents au service de celui-ci. Kaneno, une jeune femme venue dans la ville d'Edo afin d'assouvir une vengeance personnelle, va finir par se voir enrôlée chez les tengu et embarquée dans ce conflit qui pourrait bien mener à la fin d'une ère. Critique : Tokugawa Monkeys se déroule sur fond de trame historique : on se rapproche de la fin du shogunat et certaines factions d’habitants cherchent à renverser le pouvoir. C’est aussi la période où les étrangers ont commencé à arriver au Japon et où le gouvernement hésitait à ouvrir le pays au reste du monde. Donc au niveau des dates et des événements, cela colle à peu près. Il reste quelques incertitudes concernant la faction appelée « Tengu » qui, si l’on regarde les livres d’histoire, était contre l’arrivée des étrangers, ce qui semble être le contraire dans le manga ! (Bon, je ne suis pas historienne donc je ne m’appesantirai pas plus sur le sujet). Il faut juste retenir le contexte général de l’époque : une période de troubles coincée entre un shogun peu apprécié et une ouverture à l’extérieure avec l’arrivée de nouvelles technologies. Suzu Kaneko, une jeune fille maniant le sabre, débarque à Edo dans l’espoir de retrouver et d’éliminer l’assassin de son père. Elle se retrouve prise en otage par le groupe de rebelles Tengu et rencontre deux sœurs qui vont l’aider : la première a perdu la vue et l’ouïe suite à d’anciennes tortures mais elle sait très bien se battre, la seconde l’accompagne pour la guider au travers de vibrations. Très vite, Suzu va rejoindre ce second groupe : les mashiras, une escouade secrète au service du shogun ! Tokugawa Monkeys est un manga d’action où la violence est omniprésente, les affrontements sont brutaux et il est impossible de vraiment prendre parti. Que ce soit du côté des Tengus ou des Mashiras, il y a beaucoup de zone d’ombre et de secrets et le bien fondé de leurs agissements n’est pas toujours prouvé. Les Tengus se battent soi-disant pour le bien-être du peuple mais n’hésitent pas à tuer des innocents, les Mashiras défendent la capitale mais sont au service d’un shogun plutôt corrompu. Au milieu il y a le personnage de Suzu qui n’est pas très douée et on se demande vraiment ce qu’elle fait dans l’histoire, la suite nous éclairera sûrement ! Le graphisme est efficace et les scènes d’action sont dynamiques. Concernant le récit en lui-même il est difficile de se prononcer complétement, il y a des éléments prometteurs, surtout une révélation finale qui pourrait bien amener une autre dimension au manga. A suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tokugawa-monkeys?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Butareba tome 1

    Titre de l'album : Butareba tome 1 Scenariste de l'album : SAKAI Takuma Dessinateur de l'album : MINAMI , TÔSAKA Asagi Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Un étudiant nerd et ennuyeux perd conscience après avoir mangé du foie de porc cru. Quand il rouvre les yeux, il se rend compte qu'il s'est réincarné dans un autre monde... et dans le corps d'un cochon ! Alors qu'il se roule dans la boue de sa porcherie, il est secouru par Jess, une fille capable de lire dans les pensées des gens. Finalement, la vie de porc n'a pas l'air si mal... Critique : Attention ne fuyez pas tout de suite en voyant qu’il s’agit d’un isekai et donnez-vous la peine d’en apprendre un peu plus. La première impression de Butareba est celle d’un isekai un peu loufoque avec un petit côté coquin. Un « otaku à lunettes maigrichon » a fini changé en cochon dans un autre monde après avoir mangé du porc cru ; un transfert original mais pourquoi pas, après tout on peut faire ce que l’on veut dans un récit. Mr Cochon (on ne saura jamais son vrai nom) a beaucoup de fantasmes et n’hésite pas à en parler, enfin à y penser, ces pensées sont d’ailleurs présentes sous forme de narration. Dans ce nouveau monde, il reçoit l’aide de Jess, une yesma : une servante qui peut utiliser la magie et qui est au service d’une famille. Jess est capable de lire dans les pensées. On va donc avoir des interactions entre Jess et Mr Cochon mais comme elle peut lire toutes les pensées, M Cochon va mettre en place un système de bulles (dans le manga, dans l’anime, il change de voix) afin que Jess puisse différencier les paroles qui lui sont destinées de celles qui sont purement de la réflexion. Jess est une gentille fille et elle a tendance à prendre au 1er degré toutes les pensées. Vous pensez bien que M Cochon a des idées parfois perverses et que ce sont purement des fantasmes. Le manga joue d’ailleurs beaucoup sur l’apparence du héros sous forme de cochon et ses envies un peu cochonnes ! Afin de trouver un moyen de retrouver son corps et de rentrer dans son monde, Mr Cochon doit se rendre à la capitale, le seul endroit où il y aurait de grands magiciens, et Jess décide de l’accompagner. Bon derrière cette apparente légèreté, l’histoire est bien plus intéressante et profonde. Je vous spoile un peu afin que vous compreniez que ce manga n’est pas qu’une comédie et loin de là même. Les yesmas sont à la fois très recherchées et très méprisées, les habitants n’ont par exemple pas le droit de les aider et arrivées à un certain âge elles doivent entreprendre un voyage vers la capitale. Il y a donc beaucoup de mystères autour des yesmas, leurs origines, leurs pouvoirs, leurs conditions de vie, leurs voyages… En plus d’un graphisme des plus agréables et de certains passages humoristiques, Butareba c’est une histoire qui devient complexe et qui sait entretenir le mystère. Adapté d’un light novel (qui a remporté un prix), la série est également disponible sur Crunchyroll : 5 mangas en cours et 12 épisodes. Un manga à découvrir sans vous arrêter au 1er tome ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/butareba-tome-1-ou-l-histoire-de-l-homme-devenu-cochon?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Nickad

    Butareba tome 1

    Attention ne fuyez pas tout de suite en voyant qu’il s’agit d’un isekai et donnez-vous la peine d’en apprendre un peu plus. La première impression de Butareba est celle d’un isekai un peu loufoque avec un petit côté coquin. Un « otaku à lunettes maigrichon » a fini changé en cochon dans un autre monde après avoir mangé du porc cru ; un transfert original mais pourquoi pas, après tout on peut faire ce que l’on veut dans un récit. Mr Cochon (on ne saura jamais son vrai nom) a beaucoup de fantasmes et n’hésite pas à en parler, enfin à y penser, ces pensées sont d’ailleurs présentes sous forme de narration. Dans ce nouveau monde, il reçoit l’aide de Jess, une yesma : une servante qui peut utiliser la magie et qui est au service d’une famille. Jess est capable de lire dans les pensées. On va donc avoir des interactions entre Jess et Mr Cochon mais comme elle peut lire toutes les pensées, M Cochon va mettre en place un système de bulles (dans le manga, dans l’anime, il change de voix) afin que Jess puisse différencier les paroles qui lui sont destinées de celles qui sont purement de la réflexion. Jess est une gentille fille et elle a tendance à prendre au 1er degré toutes les pensées. Vous pensez bien que M Cochon a des idées parfois perverses et que ce sont purement des fantasmes. Le manga joue d’ailleurs beaucoup sur l’apparence du héros sous forme de cochon et ses envies un peu cochonnes ! Afin de trouver un moyen de retrouver son corps et de rentrer dans son monde, Mr Cochon doit se rendre à la capitale, le seul endroit où il y aurait de grands magiciens, et Jess décide de l’accompagner. Bon derrière cette apparente légèreté, l’histoire est bien plus intéressante et profonde. Je vous spoile un peu afin que vous compreniez que ce manga n’est pas qu’une comédie et loin de là même. Les yesmas sont à la fois très recherchées et très méprisées, les habitants n’ont par exemple pas le droit de les aider et arrivées à un certain âge elles doivent entreprendre un voyage vers la capitale. Il y a donc beaucoup de mystères autour des yesmas, leurs origines, leurs pouvoirs, leurs conditions de vie, leurs voyages… En plus d’un graphisme des plus agréables et de certains passages humoristiques, Butareba c’est une histoire qui devient complexe et qui sait entretenir le mystère. Adapté d’un light novel (qui a remporté un prix), la série est également disponible sur Crunchyroll : 5 mangas en cours et 12 épisodes. Un manga à découvrir sans vous arrêter au 1er tome !
  24. Nickad

    Dog & scum tome 1

    Tranche de vie, romance, drame ? On ne sait pas trop où l’on va après la lecture de ce 1er tome… L’éditeur annonce un thriller, de la manipulation, de la trahison mais pour le moment ce n’est pas ce qui ressort. De temps en temps une image, une phrase viennent semer le trouble, on sait que l’histoire n’est pas si simple sans savoir de quoi il retourne exactement. C’est une histoire qui commence de façon assez banale : trois amis de lycée, deux garçons et une fille trainent souvent ensemble, deux d’entre eux forment un couple, la fille la plus belle et le garçon le plus populaire à qui tout réussi. A côté, il y a Haruma, l’ami d’enfance, celui que personne ne remarque, qui n’arrivera jamais 1er quels que soient les efforts qu’il fournit, celui qui est amoureux de la copine de son ami… Quelques années plus tard, le travail et la distance physique les ont séparés, Haruma pense encore de temps en temps à ses amis mais sans plus, il a toujours dans le cœur son amour pour la belle Reika mais fait avec. Mais un jour, le hasard la remet sur sa route et une opportunité se présente. Mais est-ce vraiment un hasard ? Ce 1er tome est un constat : une présentation des personnages, un aperçu de leurs relations passées et une vue de la situation dans laquelle ils se trouvent aujourd’hui. Les premiers signes d’un drame apparaissent, rien n’est dit clairement mais il y a des indices. Il est donc difficile pour le moment de juger le manga, on est intrigué et il y a suffisamment de suspense pour vouloir aller plus loin.
  25. Nickad

    Les récits d'Obana

    A l’origine des Récits d’Obana se trouve Fuyumi ONO, une romancière qui a déjà remporté plusieurs prix littéraires notamment pour sa série Les Douze Royaumes. Les récits d’Obana, originellement composé de 3 livres, ont été adaptés en manga par la non moins célèbre Kazue KATO, l’autrice de Blue Exorcist. Le recueil est composé de 6 récits qui mettent en scène des personnes normales confrontées à des phénomènes paranormaux, souvent liés à la présence d’une âme en peine (un fantôme). On verra ainsi une porte qui s’ouvre toute seule, des pleurs d’enfant dans un garage, des bruits de pas dans un grenier, un jardin où les plantes dépérissent, une femme en deuil les jours de pluie ou encore la présence d’un petit vieux qui se cache dans une maison. A chaque chapitre, on commence par découvrir la situation qui est toujours liée à un lieu d’habitation, puis en dernier lieu arrive Obana, un bricoleur spécialisé dans les travaux d’entretien et d’amélioration qui propose une solution. Ce dernier ne fait pas d’exorcisme, il aménage le lieu pour pouvoir répondre à la fois à la demande de son client mais aussi à celle de l’esprit qui est présent. Kazue KATO nous propose un joli crayonné, plus mature et sombre que dans Blue Exorcist, elle joue sur les ombres et les trames pour faire ressortir les angoisses sans jamais tomber dans l’horreur. La narration est intéressante, contrairement à d’autres mangas « fantomatiques » où souvent on a soit l’élimination de l’esprit soit l’horreur sans autre objectif que de générer de l’effroi, Les récits d’Obana offre une autre possibilité, celle de faire cohabiter les différents protagonistes. Ces six histoires sont prenantes et donnent même l’envie d’y retourner. A lire.
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