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  1. Pendant la longue guerre qui opposa le Saint Empire de Shamar à l’empire de Darum, les elfes ont eu recours aux Esprits. Après la victoire, l’empereur craignant qu’ils deviennent trop puissants les exterminât et brulât tous les documents les concernant. Deux cents ans plus tard, Ahal, la dernière elfe, parcourt le pays pour libérer les esprits encore liés par un pacte, les renvoyant dans leur monde. Si son rôle de passeuse d’esprit est pacifique, ce n’est pas le cas des pourfendeurs d’esprit, qui les anéantissent définitivement. The last elf possède un petit côté Frieren avec les voyages d’Ahal, ses relations et son métier hors du temps. Son périple accentue l’aspect mystique du récit avec une ambiance légèrement onirique. Et puis, il y a le côté aventure avec une branche de l’armée qui pourchassent les esprits mais aussi les personnes capables de les vaincre. Il y a donc de l’action, des combats mais aussi plein de moments « paisibles ». Ce premier tome pose donc les bases de l’histoire avec un rythme qui s’intensifie progressivement. Il est encore un peu tôt pour se faire un avis mais pour le moment, ce n’est pas inintéressant.
  2. Bon, je poursuis la journée à la cour impériale avec ce titre sorti en 2024… et oui, que voulez-vous, on fait comme on peut mais mieux vaut tard que jamais !! Remède impérial c’est l’histoire d’un prince héritier, Keiun, qui cherche à trouver des alliés pour asseoir son influence mais surtout avoir assez d’appuis pour rester en vie ! Au cours d’un voyage destiné à connaître mieux le peuple qu’il sera chargé de gouverner, il rencontre Koyô, une jeune fille qui pratique une médecine non conventionnelle pour l’époque : la chirurgie !! D’un côté, il y a l’aspect traditionnel de la Chine antique avec ses traditions et surtout les nombreux complots de la cour impériale et de l’autre, la modernité, la différence avec la présence de Koyô et de son compagnon Shingdam. La première représente l’occident avec une médecine différente, jugée « barbare » et surtout un apport de fraicheur et d’humour. Le second, issu d’un peuple qui a été anéanti, permet d’introduire tous les sujets de conquêtes, politique et racisme. Mais au bout du compte, tout le monde réagit de la même façon devant la maladie ! Au final, on a une série pleine d’entrain, à la fois sérieuse et divertissante avec des personnages principaux qui font fi des préjugés et des différences et qui apportent une vraie bouffée de gaieté à l’œuvre. A découvrir.
  3. Quelle bonne surprise ! J’avais quelques doutes sur le 1er tome, trouvant certains côtés exagérés limitant un peu la fluidité du récit. Ces deux tomes m’ont fait changer d’avis et je trouve que la série se bonifie ! La jeune Karin essaye tant bien que mal de se faire des amies à la Cour intérieure mais c’est compliqué avec son air renfrogné, ses gros cernes et surtout la réputation de sa famille ! Alors quand Reiko ? la seule qui lui parle, a des ennuis, Karin n’hésite pas à se lancer dans l’action et entraîne le jeune empereur dans son sillage ! Le récit a trouvé un équilibre entre l’action due principalement aux complots à déjouer, la vie à la cour et les histoires personnelles de Karin vis-à-vis de ses « amis » et sa famille. Si le rythme du tome 2 peut paraître un peu lent, les tensions montent dans le 3e volume et on comprend mieux qui sont les ennemis du jeune souverain. Et puis on appréciera que le côté surdoué de notre héroïne soit justifié ! Au final, on a une série d’aventure saupoudrée d’humour, une recette qui fonctionne !
  4. Titre de l'album : TenPuru tome 1 & 2 Scenariste de l'album : Kimitake Yoshioka Dessinateur de l'album : Kimitake Yoshioka Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : On ne vit pas de solitude et d'eau fraîche ! Une nouvelle comédie déjantée dans la lignée de Grand Blue ! "Je n'ai plus qu'une seule solution : devenir moine !" Submergé par un désir charnel incontrôlable, Akemitsu Akagami décide d'embrasser la vie de moine et de se retirer de la société. Mais à son arrivée au temple, il découvre qu'il est habité par six jolies filles ! Suivez ses mésaventures dans ce temple sans le sou qui doit être sauvé de la ruine. Akemitsu Akagami n'a pas besoin de femmes dans sa vie !!! L'évasion parfaite pour se débarrasser de toute tentation ? Encore faut-il que ce temple ne soit pas rempli de jolies nonnes !! Bienvenue au paradis de l'abstinence ! Critique : Apres le succès de Grand Blue, les éditions Meian nous livre une autre série du même genre nommée Tenpuru. Vraiment du même genre, car c'est un manga du dessinateur de Grand Blue ou il est cette fois aussi au scenario (on verra si ça un impact sur le long terme). Kimitake Yoshioka garde le même cape que la série Grand Blue avec une histoire qui se veut drôle, sexy et pour jeune adulte. On y retrouve ce qui a fait le succès de Grand Blue : Des personnages qui disent ce qu'ils pensent (et ce que tout un chacun a pu penser au même age) sans aucun filtre et se retrouve dans des situations incongrues provocants pleins de quiproquos rigolos. Si l'ensemble est, de mon point de vue, moins drôle que Grand Blue sur ces deux tomes, avec une entrée un peu trop rapide dans le quiproquo, elle entre plus rapidement dans le sentiment avec des personnages qui évoluent plus vite (comme je disais presque un peu trop, on est quasiment sûr des relations proches du tome 21 de Grand Blue) et nous livre donc une histoire plus centrée sur les sentiments des deux personnages principaux là ou Grand Blue est orienté déconne et plongée à 50%. On a là deux tomes qui s'approchent plus de la romance rigolote (et sexy) que du manga de déconne. Espérons juste que l'auteur ne nous lasse pas sur une série qui compte deja 13 mangas au Japon.... Mais bon sur Grand Blue, je ne me suis jamais lassé. Espérons que Kimitake Yoshioka ait appris de son ami scénariste Kenji Inoue. Note : Meian fait encore et toujours un effort avec un prix de manga réduit à 6.95 ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tenpuru-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. poseidon2

    TenPuru tome 1 & 2

    Apres le succès de Grand Blue, les éditions Meian nous livre une autre série du même genre nommée Tenpuru. Vraiment du même genre, car c'est un manga du dessinateur de Grand Blue ou il est cette fois aussi au scenario (on verra si ça un impact sur le long terme). Kimitake Yoshioka garde le même cape que la série Grand Blue avec une histoire qui se veut drôle, sexy et pour jeune adulte. On y retrouve ce qui a fait le succès de Grand Blue : Des personnages qui disent ce qu'ils pensent (et ce que tout un chacun a pu penser au même age) sans aucun filtre et se retrouve dans des situations incongrues provocants pleins de quiproquos rigolos. Si l'ensemble est, de mon point de vue, moins drôle que Grand Blue sur ces deux tomes, avec une entrée un peu trop rapide dans le quiproquo, elle entre plus rapidement dans le sentiment avec des personnages qui évoluent plus vite (comme je disais presque un peu trop, on est quasiment sûr des relations proches du tome 21 de Grand Blue) et nous livre donc une histoire plus centrée sur les sentiments des deux personnages principaux là ou Grand Blue est orienté déconne et plongée à 50%. On a là deux tomes qui s'approchent plus de la romance rigolote (et sexy) que du manga de déconne. Espérons juste que l'auteur ne nous lasse pas sur une série qui compte deja 13 mangas au Japon.... Mais bon sur Grand Blue, je ne me suis jamais lassé. Espérons que Kimitake Yoshioka ait appris de son ami scénariste Kenji Inoue. Note : Meian fait encore et toujours un effort avec un prix de manga réduit à 6.95 !
  6. Nickad

    Le guérisseur de l'ombre tome 4

    Alors tout d’abord je tiens à vous rassurer concernant l’anime ! Dès le second épisode, on reprend le scénario du manga et le déroulement suit bien la trame de l’histoire. Un anime plutôt bien fait au demeurant… Zenos s’est introduit à la clinique royale afin d’enquêter sur la disparition d’un guérisseur de classe supérieur. Pour cela, il faut qu’il arrive à intégrer le cercle restreint du professeur Goldran. Heureusement pour lui, il a des capacités hors norme et il arrive à se faire repérer, dans le bon sens du terme… Ce 4e tome est un cran au-dessus des autres. Il n’y a pas la lourdeur qui est parfois ressenti par le côté harem du manga avec cinq filles qui gravitent de façon plus ou moins subtile autour de Zenos. Il n’y a bien que Carmila (le spectre) qui sait se tenir et apporte humour et légèreté à l’œuvre ! Cet opus nous plonge vraiment dans l’aventure et nous donne l’envie certaine de lire le prochain tome.
  7. Titre de l'album : Le guérisseur de l'ombre tome 4 Scenariste de l'album : Sakaku HISHIKAWA / HIKASAKU Dessinateur de l'album : JUNOICHI , DABURYU Coloriste : Editeur de l'album : Komikku Note : Résumé de l'album : La vie d'un guérisseur nonchalant aux pouvoirs exceptionnels ! Face à la menace écrasante du roi zombie, une créature de rang supérieur apparue soudainement, les guérisseurs de la clinique royale sont submergés par la peur, mais c'est alors que Zenos lance un puissant sort !! Il élimine l'effroyable mort-vivant d'un seul coup. Grâce à cet exploit, il parvient à infiltrer le laboratoire du professeur Goldran. Cependant, de nombreuses machinations semblent être à l'oeuvre... Critique : Alors tout d’abord je tiens à vous rassurer concernant l’anime ! Dès le second épisode, on reprend le scénario du manga et le déroulement suit bien la trame de l’histoire. Un anime plutôt bien fait au demeurant… Zenos s’est introduit à la clinique royale afin d’enquêter sur la disparition d’un guérisseur de classe supérieur. Pour cela, il faut qu’il arrive à intégrer le cercle restreint du professeur Goldran. Heureusement pour lui, il a des capacités hors norme et il arrive à se faire repérer, dans le bon sens du terme… Ce 4e tome est un cran au-dessus des autres. Il n’y a pas la lourdeur qui est parfois ressenti par le côté harem du manga avec cinq filles qui gravitent de façon plus ou moins subtile autour de Zenos. Il n’y a bien que Carmila (le spectre) qui sait se tenir et apporte humour et légèreté à l’œuvre ! Cet opus nous plonge vraiment dans l’aventure et nous donne l’envie certaine de lire le prochain tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-guerisseur-de-l-ombre-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  8. Presque qu’un an et demi avant d’avoir ce nouveau volume… C’est certes lent mais on devrait s’estimer heureux que la série se poursuive et ne soit pas interrompue prématurément comme cela arrive souvent. Rappelons que l’éditeur peut arrêter un titre dès que ce dernier ne fait plus suffisamment de vente. On avait laissé Kei dépité, face à la mort présumée de son frère mais n’y croyant pas. De retour au Japon avec son grand-père, il tient à découvrir la vérité entre ce qu’il connaissait de Michitaka et ce que le policier lui a dit. Pour cela, il n’a qu’une solution : partir à la découverte de son frère, reprendre son parcours, aller voir les personnes qui l’ont connu et entendre leur vision de son frère. Son ami d’enfance, Kiyoshi, l’accompagne et lui fait aussi comprendre que Michitaka est peut-être un meurtrier. Ce 7e tome s’ouvre sur une galerie graphique autour de Lilja, la jolie musicienne, et se referme aussi sur elle, nous ramenant dans les vastes paysages sauvages de l’Islande et nous ramenant surtout vers l’ambiance de la série qui manque un peu dans ce tome. Car oui, on est dans une partie du récit plus terre-à-terre avec une enquête dans une ville japonaise avec des rencontres de lycéens et des cours de cuisine de gyozas ! Mais au fur et à mesure des témoignages et des plongées dans leur passé, on voit que Kei se rapproche d’une vérité que nous, lecteurs, connaissons déjà. On attend le moment où il comprendra que son frère possède lui aussi certains pouvoirs. Ce volume est certes un peu moins envoûtant que les précédents mais on apprécie toujours autant le trait de l’autrice, fin et précis ainsi que le scénario qui nous emmène dans des contrées inconnues.
  9. Titre de l'album : Dans le sens du vent, nord nord-ouest tome 7 Scenariste de l'album : Aki Irie Dessinateur de l'album : Aki Irie Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Kei Miyama, détective indépendant de 17 ans, vit avec son grand-père français en Islande. Il possède le pouvoir communiquer avec les appareils électriques et les automobiles. Sa vie bascule soudainement lorsqu'un détective japonais en congés sur l'île lui annonce l'assassinat de son oncle et sa tante par son propre frère. Qui croire ? Convaincu de l'innocence de ce dernier, il va mener l'enquête. Critique : Presque qu’un an et demi avant d’avoir ce nouveau volume… C’est certes lent mais on devrait s’estimer heureux que la série se poursuive et ne soit pas interrompue prématurément comme cela arrive souvent. Rappelons que l’éditeur peut arrêter un titre dès que ce dernier ne fait plus suffisamment de vente. On avait laissé Kei dépité, face à la mort présumée de son frère mais n’y croyant pas. De retour au Japon avec son grand-père, il tient à découvrir la vérité entre ce qu’il connaissait de Michitaka et ce que le policier lui a dit. Pour cela, il n’a qu’une solution : partir à la découverte de son frère, reprendre son parcours, aller voir les personnes qui l’ont connu et entendre leur vision de son frère. Son ami d’enfance, Kiyoshi, l’accompagne et lui fait aussi comprendre que Michitaka est peut-être un meurtrier. Ce 7e tome s’ouvre sur une galerie graphique autour de Lilja, la jolie musicienne, et se referme aussi sur elle, nous ramenant dans les vastes paysages sauvages de l’Islande et nous ramenant surtout vers l’ambiance de la série qui manque un peu dans ce tome. Car oui, on est dans une partie du récit plus terre-à-terre avec une enquête dans une ville japonaise avec des rencontres de lycéens et des cours de cuisine de gyozas ! Mais au fur et à mesure des témoignages et des plongées dans leur passé, on voit que Kei se rapproche d’une vérité que nous, lecteurs, connaissons déjà. On attend le moment où il comprendra que son frère possède lui aussi certains pouvoirs. Ce volume est certes un peu moins envoûtant que les précédents mais on apprécie toujours autant le trait de l’autrice, fin et précis ainsi que le scénario qui nous emmène dans des contrées inconnues. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-sens-du-vent-tome-7?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  10. Nickad

    Baby tome 1

    Baby est un manga d’anticipation où l’humanité a presque disparue suite à la propagation d’un parasite nommé « baby » transformant les hommes en cyborg/machine. Les personnes touchées se laissent dominer par leurs instincts et deviennent hyper violentes. Au cours d’un combat contre un mutant, Eli, une jeune femme se fait contaminée. Accompagnée d’un robot médical qui semble être son seul ami, elle se retrouve par hasard avec un groupe de rescapés se dirigeant vers un abri sûr. Si la trame de fond semble un peu classique : un personnage principal pouvant utiliser des capacités de l’ennemi, se trouvant entre les deux espèces et représentant l’espoir de l’humanité ; certains développements sont innovants et l’enchainement des événements est efficace. Baby est publié en grand format mettant en avant un graphisme futuriste intéressant à la fois très net (lisible facilement sans surcharge) et détaillé quand il le faut. Cela rend une lecture très agréable et fluide. Au final, on obtient un premier tome convaincant et bien construit donnant envie de lire la suite.
  11. Nickad

    Wild strawberry tome 1

    L’histoire de Wild Strawberry se déroule dans un monde post-apocalyptique où des germes de plante ont contaminé les humains les transformant en jinka, un monstre végétal se nourrissant d’humains. Les hommes ont réussi à survivre grâce à un vaccin empêchant les mutations, mais qui est hélas, trop cher pour les classes de la société les plus démunies. Une unité de police/armée appelée Force Funéraire Florale parcourt les rues pour neutraliser de façon violente et définitive tous les porteurs du parasite. Contaminée et prise pour cible, Kayano, va alors se sacrifier pour sauver son frère humain, Kingo, tué par un policier alors qu’il cherchait à la protéger. Il devient à son tour un porteur mais d’un genre particulier car non seulement il a gardé sa conscience mais il semblerait qu’il puisse contrôler son jinka. L’univers de la ville en ruine envahie par des plantes dangereuses n’est pas sans rappeler le manga Green World sans compter le côté « survival » du récit. On est vite happé par le graphisme avec sa végétation luxuriante, son monde en ruine, et la violence implacable qui peut surgir à tout moment. Au milieu, il y a un fratrie, prête à tout l’un pour l’autre, qui va braver les dangers vers un espoir incertain. Avec son graphisme saisissant et un rythme soutenu, Wild Strawberry frappe fort dès le 1er tome et nous donne envie de poursuivre l’aventure. Le second tome arrive en juin. Une série en cours avec 5 volumes pour le moment.
  12. Nickad

    L'anneau de Gygès tome 1

    Deux mangakas sont en visite dans un temple, le maitre et le disciple. Le premier n’arrive pas à faire publier ses nouvelles histoires et ne supporte plus son attaché éditorial. Le second est assistant depuis quelques années et ne parvient pas à lancer sa carrière. A force de s’entendre dire qu’il est nul, il aimerait disparaitre. C’est ce qui va arriver un beau jour, leurs souhaits se réalisent. Tandis que Yu arrive à devenir invisible, Takeru peut faire disparaitre les gens et objets de son choix. Hélas, cette information ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd et l’attaché compte bien s’en servir pour commettre des méfaits et s’enrichir. Deux personnages principaux, deux relations à l’invisibilité. On s’est tous posé la question à un moment de savoir ce que l’on ferait si on pouvait devenir invisible. Il y a bien sûr la réponse humoriste d’aller espionner les filles/garçons dans les douches mais au-delà de ça, qu’est-ce que l’on ferait vraiment ? Est-ce que l’on utiliserait cette capacité pour soi ou pour les autres ? C’est ce que l’auteur aborde dans ce manga et il va encore plus loin en proposant une alternative avec le pouvoir de faire disparaitre des objets et/ou personne. Avec ces deux aspects, il va explorer le bien et le mal et mettre nos protagonistes en face de situation différentes : l’un maitrise son destin tandis que l’autre est pris au piège des événements. Un manga intéressant entre action et thriller qui mérite que l’on s’y attarde. Série finie en 7 tomes.
  13. Titre de l'album : L'anneau de Gygès tome 1 Scenariste de l'album : Takahiro KATÔ Dessinateur de l'album : Takahiro KATÔ Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le super-pouvoir ne fait pas le super-héros... Takeru, mangaka expérimenté dans le creux de la vague, cherche l'inspiration dans un sanctuaire de campagne réputé pour ses disparitions inexpliquées. Sans y croire, Takeru prie pour que son éditeur abhorré disparaisse à tout jamais afin que sa carrière retrouve enfin le chemin du succès. Mais rien ne se passe comme prévu... En plein rendez-vous professionnel avec son éditeur, et de nouveau confronté à un barrage de critiques, l'auteur craque et un pouvoir mystérieux se manifeste alors : il rend invisible son interlocuteur avant de le tuer ! Takeru dissimule son crime tant bien que mal. Lui qui a consacré sa vie à dessiner des défenseurs de la justice, serait-il passé de l'autre côté de la barrière ? Quand vos rêves se réalisent, c'est peut-être le début du cauchemar... Dans un mélange de suspense et d'humour noir, L'Anneau de Gygès nous entraîne sur les pas de héros amateurs qui ont bien mal commencé leur carrière ! Critique : Deux mangakas sont en visite dans un temple, le maitre et le disciple. Le premier n’arrive pas à faire publier ses nouvelles histoires et ne supporte plus son attaché éditorial. Le second est assistant depuis quelques années et ne parvient pas à lancer sa carrière. A force de s’entendre dire qu’il est nul, il aimerait disparaitre. C’est ce qui va arriver un beau jour, leurs souhaits se réalisent. Tandis que Yu arrive à devenir invisible, Takeru peut faire disparaitre les gens et objets de son choix. Hélas, cette information ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd et l’attaché compte bien s’en servir pour commettre des méfaits et s’enrichir. Deux personnages principaux, deux relations à l’invisibilité. On s’est tous posé la question à un moment de savoir ce que l’on ferait si on pouvait devenir invisible. Il y a bien sûr la réponse humoriste d’aller espionner les filles/garçons dans les douches mais au-delà de ça, qu’est-ce que l’on ferait vraiment ? Est-ce que l’on utiliserait cette capacité pour soi ou pour les autres ? C’est ce que l’auteur aborde dans ce manga et il va encore plus loin en proposant une alternative avec le pouvoir de faire disparaitre des objets et/ou personne. Avec ces deux aspects, il va explorer le bien et le mal et mettre nos protagonistes en face de situation différentes : l’un maitrise son destin tandis que l’autre est pris au piège des événements. Un manga intéressant entre action et thriller qui mérite que l’on s’y attarde. Série finie en 7 tomes. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-anneau-de-gyges-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  14. Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant.
  15. Titre de l'album : Dans le premier train du matin tome 1 & 2 (fin) Scenariste de l'album : Yûgo Aosaki Dessinateur de l'album : Shirohiko Yamada Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : Il est censé n'y avoir personne dans le premier train du matin... Pourtant, elle est là. Une fille de ma classe d'ordinaire peu bavarde. La raison de notre présence dans ce train ? Telle est la question. Découvrez cette histoire et bien d'autres qui mettent en scène toute la complexité de l'esprit à l'adolescence ! Critique : Dans le premier train du matin est un recueil de cinq histoires courtes en deux volumes, chaque histoire étant composée de plusieurs chapitres et n’ayant rien à voir les unes avec les autres. Ce sont des bribes de vies d’adolescents comme si on lisait un chapitre au milieu d’un roman sans avoir ni le début ni la fin. Ce sont des passages importants dans l’existence de ces jeunes, des passages qui les mettent face à une réalité, à une relation. Dans le premier train du matin, on retrouve deux jeunes qui en théorie n’auraient rien à faire là à cette heure mais qui ont tous les deux une bonne raison d’y être. Le soda au melon parle d’une jeune fille qui ne peut pas distinguer certaines couleurs, cela finit par créer une distance avec ses amies mais elle ne sait pas comment leur en parler. Il y a aussi l’histoire d’un frère et d’une sœur séparé à la suite du divorce de leurs parents, une histoire d’amour à sens unique. On finira par le 4 mars, 14h30, la cellule de prison qui compare la vie scolaire d’une lycéenne à une cellule de prison pour parler de son mal-être. Dans chaque histoire, l’un des personnages se met à analyser la situation, faisant des déductions et mettant son binôme en face d’une vérité. C’est comme un raisonnement lors d’une enquête policière. Si le concept est intéressant et les comportements bien analysés, il y a un côté assez froid dans le récit, probablement dû à cet aspect analyse psychologique. Et puis, on reste sur notre faim, comme dans la première histoire où on aurait bien aimé savoir la suite. Il y a un goût d’inachevé qui n’est pas satisfaisant. Dommage car les idées sont bonnes et le graphisme est plaisant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dans-le-premier-train-du-matin-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  16. Titre de l'album : Erio & the electric doll tome 1 Scenariste de l'album : Mujirushi Shimazaki Dessinateur de l'album : Kuroimori Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Un siècle plus tôt, une guerre meurtrière a éclaté entre les hommes et les IA, poussant l'humanité à renoncer à l'électricité pour mettre un terme aux combats. Découvrez les aventures steampunk d'Ange, la toute dernière androïde d'élite en état de marche, et d'Erio, la jeune fille qu'elle a élevée, dans un monde désormais privé d'électricité. Critique : On avait découvert Kuroimori, la dessinatrice avec Steam Reverie in Amber, elle revient, en collaboration avec Shimazaki Mujirushi (Dresseuses de monstres) dans une épopée post-apocalyptique où le monde se retrouve privé d’électricité comme au début de l’ère industrielle. Un contexte dans lequel, les auteurs ont pu déployer un univers proche du steam punk. La série a bénéficié également d’un très beau lancement à la Tour Eiffel, le jour de sa sortie en présence des auteurs qui ont, pour l’occasion, répondu à quelques questions. Si Shimazaki Sensei est resté très évasif sur le développement de la série, y compris sur le nombre de tomes final, ne voulant pas spoiler les lecteurs ; Kuroimori nous a confié que ses inspirations venaient en grande partie de Moebius et Jules Verne, considérant ce dernier comme son père spirituel. On apprécie toujours autant son trait fin, précis et détaillé mis en avant dans un manga grand format (A5). Erio est une jeune fille qui est capable de produire de l’électricité, elle a été recueillie et élevée par Ange, une « poupée électrique », un cyborg a l’apparence humaine qui a besoin d’électricité pour fonctionner. Ange est un reliquat de la grande guerre qui a opposé les humains à l’IA, une machine destinée à anéantir les humains. Mais ayant conscience qu’Erio grandit, les deux jeunes femmes partent vers la capitale afin qu’Erio puisse découvrir le monde. Le contexte du récit permet une aventure intéressante dans un monde où l’une n’a plus sa place et l’autre possède un pouvoir considéré comme négatif. Mais en dehors de leurs aventures, qui sont forts sympathiques, c’est la relation entre Ange et Erio qui donne tout son charme au récit : Ange semble particulièrement froide, répétant sans cesse qu’elle n’a pas de cœur mais elle veille avec bienveillance sur Erio. Cette dernière est lumineuse et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Un manga à découvrir et à savourer, de belles promesses en perspective ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/erio-the-electric-doll-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  17. Nickad

    Erio & the electric doll tome 1

    On avait découvert Kuroimori, la dessinatrice avec Steam Reverie in Amber, elle revient, en collaboration avec Shimazaki Mujirushi (Dresseuses de monstres) dans une épopée post-apocalyptique où le monde se retrouve privé d’électricité comme au début de l’ère industrielle. Un contexte dans lequel, les auteurs ont pu déployer un univers proche du steam punk. La série a bénéficié également d’un très beau lancement à la Tour Eiffel, le jour de sa sortie en présence des auteurs qui ont, pour l’occasion, répondu à quelques questions. Si Shimazaki Sensei est resté très évasif sur le développement de la série, y compris sur le nombre de tomes final, ne voulant pas spoiler les lecteurs ; Kuroimori nous a confié que ses inspirations venaient en grande partie de Moebius et Jules Verne, considérant ce dernier comme son père spirituel. On apprécie toujours autant son trait fin, précis et détaillé mis en avant dans un manga grand format (A5). Erio est une jeune fille qui est capable de produire de l’électricité, elle a été recueillie et élevée par Ange, une « poupée électrique », un cyborg a l’apparence humaine qui a besoin d’électricité pour fonctionner. Ange est un reliquat de la grande guerre qui a opposé les humains à l’IA, une machine destinée à anéantir les humains. Mais ayant conscience qu’Erio grandit, les deux jeunes femmes partent vers la capitale afin qu’Erio puisse découvrir le monde. Le contexte du récit permet une aventure intéressante dans un monde où l’une n’a plus sa place et l’autre possède un pouvoir considéré comme négatif. Mais en dehors de leurs aventures, qui sont forts sympathiques, c’est la relation entre Ange et Erio qui donne tout son charme au récit : Ange semble particulièrement froide, répétant sans cesse qu’elle n’a pas de cœur mais elle veille avec bienveillance sur Erio. Cette dernière est lumineuse et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Un manga à découvrir et à savourer, de belles promesses en perspective !
  18. Titre de l'album : BOICHI SF short stories tome 1 Scenariste de l'album : BOICHI Dessinateur de l'album : BOICHI Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : Quand la SF part dans huit directions différentes... Bienvenue dans ce premier volet du diptyque des SF Short Stories de Boichi ! Avec Les Voyageurs de l'espace-temps, le mangaka revient pour un recueil de huit nouvelles de science-fiction, traitant de sujets aussi variés que la dystopie, le voyage stellaire ou encore la rencontre avec d'autres créatures. Qu'il s'agisse d'un robot chargé de veiller sur les derniers éléments vivants à la suite d'une humanité condamnée, d'une mystérieuse opération ayant pour but de prolonger la vie - mais à quel prix ? - ou de la quête absolue d'un scientifique pour faire revivre une espèce malencontreusement disparue, toutes ces nouvelles se projettent dans l'avenir, mettant en avant la maestria d'un auteur hors norme. À noter que certaines nouvelles, déjà publiées dans son recueil, Hotel, sont à nouveau mises en avant, accompagnées de leur lot d'histoires inédites et d'anecdotes de création. Critique : Boichi n’est plus un auteur à présenter, il est d’ailleurs plutôt prolifique : pas moins de 13 titres parus en France en 17 ans dont Sun-ken Rock, Sanctum, Origin, Dr Stone et le prochain à paraître, le livre des multivers. Epris de fantastique et science-fiction, l’auteur a régulièrement écrit de courtes histoires qui sont regroupées ici dans un recueil en deux tomes. Les fans pourront y retrouver des histoires déjà parues dans le livre Hotel, édité en 2008 et devenu introuvable. Le livre est agrémenté de pages en couleurs et surtout des commentaires de l’auteur sur la genèse de ses œuvres. Certaines de ces histoires sont plutôt sérieuses comme Hotel – Since A.D. 2079 avec un discours écologique, d’autres sont plus farfelues, comme Rien que pour les thons ou se rapprochent plus du fantastique comme La légende de la nuit qui aurait sa place dans les Contes des mille et une nuits. Au final, on a un recueil plus ou moins intéressant, plus ou moins équilibré (dans la quantité et la teneur) qui plaira aux amateurs de science-fiction et surtout aux fans de l’auteur. On reconnaît bien la patte graphique de Boichi, qui, il faut bien le reconnaître, est particulièrement doué en la matière. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/boichi-sf-short-stories-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  19. Nickad

    BOICHI SF short stories tome 1

    Boichi n’est plus un auteur à présenter, il est d’ailleurs plutôt prolifique : pas moins de 13 titres parus en France en 17 ans dont Sun-ken Rock, Sanctum, Origin, Dr Stone et le prochain à paraître, le livre des multivers. Epris de fantastique et science-fiction, l’auteur a régulièrement écrit de courtes histoires qui sont regroupées ici dans un recueil en deux tomes. Les fans pourront y retrouver des histoires déjà parues dans le livre Hotel, édité en 2008 et devenu introuvable. Le livre est agrémenté de pages en couleurs et surtout des commentaires de l’auteur sur la genèse de ses œuvres. Certaines de ces histoires sont plutôt sérieuses comme Hotel – Since A.D. 2079 avec un discours écologique, d’autres sont plus farfelues, comme Rien que pour les thons ou se rapprochent plus du fantastique comme La légende de la nuit qui aurait sa place dans les Contes des mille et une nuits. Au final, on a un recueil plus ou moins intéressant, plus ou moins équilibré (dans la quantité et la teneur) qui plaira aux amateurs de science-fiction et surtout aux fans de l’auteur. On reconnaît bien la patte graphique de Boichi, qui, il faut bien le reconnaître, est particulièrement doué en la matière.
  20. La première chose qui interpelle, c’est le titre : impossible de ne pas penser à The irregular at magic high school et bien, cela n’a rien à voir ! Enfin dans le sens où les deux séries ne sont pas liées et qu’il ne s’agit pas des mêmes auteurs. Car, sinon, il y a bien quelques points communs dans la mesure où cela va se passer dans un monde de fantasy et dans une école de magie : on peut aussi dire que le héros est un jeune homme aux cheveux noirs qui a des capacités non négligeables et dont le parcours sort de l’ordinaire. Orphelin, survivant tant bien que mal dans la rue, Ars est recueilli un jour par un homme qui va faire de lui son fils mais surtout un assassin hors pair, car malgré ses origines modestes, Ars est capable d’utiliser la magie normalement réservée aux aristocrates. Il serait en effet un descendant de « la lignée maudite ». Après dix ans, son père décide de l’envoyer à l’école afin qu’il obtienne une qualification officielle de sorcier, mais il se fait remarquer dès le premier jour ! Ars est l’outsider qui va apporter un souffle nouveau à l’académie. Entre magie, lutte de classes, monde souterrain, assassins, aventures et romance, ce manga a tous les éléments pour réussir ! Le scénario est fluide et bien construit, le personnage principal est captivant et les méchants sont bien énervants, comme on les aime ! Un seinen rythmé à lire.
  21. Titre de l'album : The irregular of the royal academy of magic tome 1 Scenariste de l'album : Yusura Kankitsu Dessinateur de l'album : Fumi Nagatsuki Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt - Tonkam Note : Résumé de l'album : La magie - un art réservé uniquement à ceux nés dans la noblesse, et dont seuls les membres peuvent utiliser. Un jour, Ars, un jeune garçon contraint de vivre une vie d'opprimé à cause de ses origines modestes, découvre ses origines de "sang maudit" et son don pour la magie. Recueilli par un assassin et formé comme un magicien de la pègre, Ars se voit offrir son entrée à l'Académie royale de magie l'année de ses 15 ans. Critique : La première chose qui interpelle, c’est le titre : impossible de ne pas penser à The irregular at magic high school et bien, cela n’a rien à voir ! Enfin dans le sens où les deux séries ne sont pas liées et qu’il ne s’agit pas des mêmes auteurs. Car, sinon, il y a bien quelques points communs dans la mesure où cela va se passer dans un monde de fantasy et dans une école de magie : on peut aussi dire que le héros est un jeune homme aux cheveux noirs qui a des capacités non négligeables et dont le parcours sort de l’ordinaire. Orphelin, survivant tant bien que mal dans la rue, Ars est recueilli un jour par un homme qui va faire de lui son fils mais surtout un assassin hors pair, car malgré ses origines modestes, Ars est capable d’utiliser la magie normalement réservée aux aristocrates. Il serait en effet un descendant de « la lignée maudite ». Après dix ans, son père décide de l’envoyer à l’école afin qu’il obtienne une qualification officielle de sorcier, mais il se fait remarquer dès le premier jour ! Ars est l’outsider qui va apporter un souffle nouveau à l’académie. Entre magie, lutte de classes, monde souterrain, assassins, aventures et romance, ce manga a tous les éléments pour réussir ! Le scénario est fluide et bien construit, le personnage principal est captivant et les méchants sont bien énervants, comme on les aime ! Un seinen rythmé à lire. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-irregular-of-the-royal-academy-of-magic-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Titre de l'album : Jaadugar, la légende de Fatima tome 3 Scenariste de l'album : Tomato Soup Dessinateur de l'album : Tomato Soup Coloriste : Editeur de l'album : Glenat Note : Résumé de l'album : XIIIe siècle, au sein de l'Empire mongol fondé par Gengis Khan. Contre toute attente, ce n'est pas le quatrième prince Tolui qui est choisi pour monter sur le trône mais son frère, le troisième prince Ögedeï. Au même moment, Fatima, qui a été envoyée dans une autre cour en tant qu'espionne pour le compte de Sorgaqtani, l'épouse principale de Tolui, fait la rencontre de Toregene, sixième épouse du grand khagan, avec qui elle partage sa rancœur envers les Mongols... Critique : Résumé des tomes précédents : XIIIe siècle, Sitara est une jeune orpheline perse habitant la ville de Tus. Esclave, elle se retrouve au service de Fatima, une femme cultivée éprise de savoirs et de sciences. La famille de cette dernière fait partie des savants de la ville et Sitara va beaucoup apprendre à leurs côtés. Hélas, sa petite vie tranquille va prendre un autre tournant quand l’armée mongole menée par Tolui, le 4e fils de Gengis khan, part à la conquête de la Perse semant la destruction et la mort sur son passage. Les hommes âgés, les femmes et les enfants sont alors soumis à l’esclavage et partent pour un long périple, rejoindre les plaines de la Mongolie. C’est ainsi que Sitara va travailler pour Töregene la sixième épouse de l’empereur. Mais heureusement pour elle, la place des femmes n’est pas la même qu’en Perse et le savoir est un valeur reconnue ! Sitara prend alors le nom de Fatima et essaye de nouer des alliances afin de préparer sa vengeance et la chute de l’empire mongol. Tome 3 : Après la mort de Ogedeï, le 3e fils du grand Khan est le nouvel empereur. Si en apparence, la succession se passe bien, il y a un déséquilibre dans les forces et des manigances dans l’ombre. Fatima est donc envoyée en tant qu’espionne auprès d’une autre épouse. C’est là, qu’elle va trouver une alliée et pouvoir mettre en pratique certaines de ses connaissances. Notre avis : Jaadugär, la légende de Fatima est un manga à la fois intéressant et ennuyeux. Intéressant car il nous raconte des pans de l’histoire perse et mongole que l’on n’apprend pas à l’école et dont on ne parle pas souvent. Il est d’ailleurs surprenant de voir que la place de la femme en Mongolie n’était pas si mauvaise et qu’elle avait non seulement accès à la culture mais aussi à la politique (pour les épouses des dirigeants tout au moins). On apprend également beaucoup sur le mode de vie des nomades, leurs coutumes et les règles de succession. Par contre, ce qui est gênant (en ce qui me concerne), c’est le graphisme et la narration. D’un côté on a un dessin très rond, presque enfantin qui tranche avec ce qui est raconté. Si ce décalage fonctionne bien pour aborder des sujets dramatiques comme les guerres ou les génocides (on a le cas dans Peleliu), il pose un problème d’identification des personnages : on a du mal à faire la différence entre les enfants et les adultes et ils se ressemblent tous un peu. Notre attention se focalise alors sur des détails pour savoir qui est qui, d’autant plus que nous ne sommes pas habitués à ces noms propres et on s’éloigne alors de l’histoire. Concernant la narration, elle manque de dynamisme et d’étincelles qui permettraient de nous passionner. Il y a beaucoup d’éléments à digérer et sans un certain rythme, on a tendance à s’ennuyer par moment, perdus au milieu des discussions politiques…. Un livre pour les amoureux de l’Histoire qui aiment prendre leur temps. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jaadugar-la-legende-de-fatima-tome-3?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  23. Résumé des tomes précédents : XIIIe siècle, Sitara est une jeune orpheline perse habitant la ville de Tus. Esclave, elle se retrouve au service de Fatima, une femme cultivée éprise de savoirs et de sciences. La famille de cette dernière fait partie des savants de la ville et Sitara va beaucoup apprendre à leurs côtés. Hélas, sa petite vie tranquille va prendre un autre tournant quand l’armée mongole menée par Tolui, le 4e fils de Gengis khan, part à la conquête de la Perse semant la destruction et la mort sur son passage. Les hommes âgés, les femmes et les enfants sont alors soumis à l’esclavage et partent pour un long périple, rejoindre les plaines de la Mongolie. C’est ainsi que Sitara va travailler pour Töregene la sixième épouse de l’empereur. Mais heureusement pour elle, la place des femmes n’est pas la même qu’en Perse et le savoir est un valeur reconnue ! Sitara prend alors le nom de Fatima et essaye de nouer des alliances afin de préparer sa vengeance et la chute de l’empire mongol. Tome 3 : Après la mort de Ogedeï, le 3e fils du grand Khan est le nouvel empereur. Si en apparence, la succession se passe bien, il y a un déséquilibre dans les forces et des manigances dans l’ombre. Fatima est donc envoyée en tant qu’espionne auprès d’une autre épouse. C’est là, qu’elle va trouver une alliée et pouvoir mettre en pratique certaines de ses connaissances. Notre avis : Jaadugär, la légende de Fatima est un manga à la fois intéressant et ennuyeux. Intéressant car il nous raconte des pans de l’histoire perse et mongole que l’on n’apprend pas à l’école et dont on ne parle pas souvent. Il est d’ailleurs surprenant de voir que la place de la femme en Mongolie n’était pas si mauvaise et qu’elle avait non seulement accès à la culture mais aussi à la politique (pour les épouses des dirigeants tout au moins). On apprend également beaucoup sur le mode de vie des nomades, leurs coutumes et les règles de succession. Par contre, ce qui est gênant (en ce qui me concerne), c’est le graphisme et la narration. D’un côté on a un dessin très rond, presque enfantin qui tranche avec ce qui est raconté. Si ce décalage fonctionne bien pour aborder des sujets dramatiques comme les guerres ou les génocides (on a le cas dans Peleliu), il pose un problème d’identification des personnages : on a du mal à faire la différence entre les enfants et les adultes et ils se ressemblent tous un peu. Notre attention se focalise alors sur des détails pour savoir qui est qui, d’autant plus que nous ne sommes pas habitués à ces noms propres et on s’éloigne alors de l’histoire. Concernant la narration, elle manque de dynamisme et d’étincelles qui permettraient de nous passionner. Il y a beaucoup d’éléments à digérer et sans un certain rythme, on a tendance à s’ennuyer par moment, perdus au milieu des discussions politiques…. Un livre pour les amoureux de l’Histoire qui aiment prendre leur temps.
  24. Nickad

    PTSD Radio tome 2

    Je suis perplexe… Je l’étais déjà après le tome 1 dans lequel j’avais quand même discerné un fil conducteur mais là… je suis prise au dépourvue !!! Il y a un certain nombre de chapitres, assez courts, qui s’enchainent sans lien apparent entre eux. Des chapitres qui sont plus comme des flashs d’une histoire plus complexe dont on ne nous aurait pas donner le mode d’emploi. Ce sont des bribes de récit qui s’entrecroisent, reviennent avec un détail différent, un léger développement… On sent que l’on avance vers quelque chose sans trop savoir quoi. On a des pièces d’un puzzle qui ne s’assemblent pas encore. Entre la construction très particulière du livre et les histoires qui nous sont montrées, la tension monte peu à peu, une certaine répulsion aussi et surtout les mailles du filet se resserrent. Une chose est sûre : je n’irai pas habiter dans cette ville et j’irai même jusqu’à dire : fuyez !! Signe quelque part que ce renouveau du manga d’horreur est réussi.
  25. Nickad

    PTSD Radio tome 2

    Titre de l'album : PTSD Radio tome 2 Scenariste de l'album : Masaaki Nakayama Dessinateur de l'album : Masaaki Nakayama Coloriste : Editeur de l'album : Mangetsu Note : Résumé de l'album : Captez-vous l'étran... vzzz... fréquence de PTSD Radio ? L'horreur rampe, glisse et se tapit dans le noir. Elle vous ti... dzzz... par les cheveux, elle vous happe comme le vide, elle se transmet comme un virus et s'infil... bip bip bip... par tous les pores de votre... vzzz... vie. Vous pouvez... shrrr... essayer de refermer le livre... mais il sera déjà trop tard. Critique : Je suis perplexe… Je l’étais déjà après le tome 1 dans lequel j’avais quand même discerné un fil conducteur mais là… je suis prise au dépourvue !!! Il y a un certain nombre de chapitres, assez courts, qui s’enchainent sans lien apparent entre eux. Des chapitres qui sont plus comme des flashs d’une histoire plus complexe dont on ne nous aurait pas donner le mode d’emploi. Ce sont des bribes de récit qui s’entrecroisent, reviennent avec un détail différent, un léger développement… On sent que l’on avance vers quelque chose sans trop savoir quoi. On a des pièces d’un puzzle qui ne s’assemblent pas encore. Entre la construction très particulière du livre et les histoires qui nous sont montrées, la tension monte peu à peu, une certaine répulsion aussi et surtout les mailles du filet se resserrent. Une chose est sûre : je n’irai pas habiter dans cette ville et j’irai même jusqu’à dire : fuyez !! Signe quelque part que ce renouveau du manga d’horreur est réussi. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ptsd-radio-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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