-
Compteur de contenus
14 393 -
Inscription
-
Jours gagnés
112
Type de contenu
Profils
Articles
Critiques
Galerie
Forums
Calendrier
Tout ce qui a été posté par alx23
-
Les éditions Delcourt nous proposent l'intégrale de la série les enragés sortie dans les années 90 en cinq tomes. David Chauvel l'auteur de la saga les 5 Terres scénarisait cette histoire sur un tueur à gage piégé quand un contrat se déroule mal. En effet, Hamlet assassine les trois personnes de son contrat mais laisse derrière lui un témoin gênant. Dès lors, une course poursuite s'engage avec notre tueur essayant de remonter la piste de son commanditaire pendant que la police et le FBI sont à ses trousses. L'histoire est solide avec beaucoup d'action et de règlements de compte entre les truands, les flics corrompus et notre tueur en compagnie d'autres fugitifs. On se laisse prendre dans l'histoire et les cinq albums s'enchainent vite comme l'on souhaite connaitre le dénouement. Pour la partie graphique, Erwan Le Saëc gère les planches dans un style réaliste très encore actuel et parfaites aujourd'hui. Si comme moi, vous ne connaissez pas les enragés, cette intégrale devrait vous ravir avec beaucoup d'action et de fusillades à tout va. Le prix de l’intégrale est toujours plus intéressant et le format est identique au BD.
-
Une de mes prochaines lectures
- 13 réponses
-
Titre de l'album : Le bus tome 3 Scenariste de l'album : Paul Kirchner Dessinateur de l'album : Paul Kirchner Coloriste : Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Depuis la nuit des temps, c’est le vaisseau parfait que l’humanité n’a eu de cesse de chercher. Moteur de notre Histoire et horizon de toutes nos espérances, il est la réponse à toute question métaphysique, l'alpha et l'oméga de la condition humaine, le véhicule de notre destinée. Le bus est de retour ! Critique : Je ne connaissais pas cette série sur le bus dont les premières histoires sont parues dans le magazine américain Heavy Metal à partir de 1979. Mais je dois reconnaitre que cette série conceptuelle est assez intrigante autour d'un bus personnifié, transformé qui arrive toujours à l'arrêt pour prendre un le fameux passager chauve à lunette et imperméable. Le chauffeur du bus est également un personne récurrent jouant un rôle dans plusieurs histoires. Cet album est un recueil d'histoires courtes tenant sur des planches très inventives de Paul Kirchner. En effet, si la couverture rappelle les dessins de M.C. Escher, c'est aussi pour annoncer ce qui nous attend dans cet album. Paul Kirchner joue avec les dimensions, les déformations pour réussir à nous surprendre à chaque histoire. Les strips sont pratiquement tous muets et s'enchainent très bien avec beaucoup d'idées très bien mis en image par Kirchner. Il est pas évident de pouvoir renouveler le registre en partant de cette trame d'un homme attendant le bus. C'est souvent absurde ou surréaliste mais on se laisse prendre avec ce graphisme simple et efficace. Autres infos : Maison d'édition : Tanibis Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-bus-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Je ne connaissais pas cette série sur le bus dont les premières histoires sont parues dans le magazine américain Heavy Metal à partir de 1979. Mais je dois reconnaitre que cette série conceptuelle est assez intrigante autour d'un bus personnifié, transformé qui arrive toujours à l'arrêt pour prendre un le fameux passager chauve à lunette et imperméable. Le chauffeur du bus est également un personne récurrent jouant un rôle dans plusieurs histoires. Cet album est un recueil d'histoires courtes tenant sur des planches très inventives de Paul Kirchner. En effet, si la couverture rappelle les dessins de M.C. Escher, c'est aussi pour annoncer ce qui nous attend dans cet album. Paul Kirchner joue avec les dimensions, les déformations pour réussir à nous surprendre à chaque histoire. Les strips sont pratiquement tous muets et s'enchainent très bien avec beaucoup d'idées très bien mis en image par Kirchner. Il est pas évident de pouvoir renouveler le registre en partant de cette trame d'un homme attendant le bus. C'est souvent absurde ou surréaliste mais on se laisse prendre avec ce graphisme simple et efficace.
-
Titre de l'album : Les reines de sang - Irène de Byzance, l'iconophile tome 1 Scenariste de l'album : Corbeyran Dessinateur de l'album : Gabriel Ippóliti Coloriste : Gabriel Ippóliti Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Irène, orpheline à deux ans, est élevée par son oncle Constantin dans la foi chrétienne iconophile. À 16 ans, elle épouse Léon, futur empereur de Constantinople. Lorsqu'elle devient impératrice, elle s'oppose à l'iconoclasme et tente de convaincre son mari de changer de politique. Résolue à restaurer le culte des icônes, Irène s'impose dans un empire en plein bouleversement religieux et politique. Critique : Un nouveau dytique rejoint la série des reines de sang avec Irène de Byzance, sur un scénario de Corbeyran. Irène est la première femme à régner sur tout l'empire de Byzantin et devenir impératrice au décès de son époux. Ce premier tome nous la présente durant son enfance avec son éducation et sa connaissance des icones représentants des figures de la religion chrétienne. Durant cette introduction, Corbeyran nous démontre comment cette reine à dû jouer de ruse pour imposer sa vision et ses choix. Une fois de plus, les complots et trahisons sont au cœur même de la cour du roi où Irène apprend à se méfier de tous. La partie graphique est de qualité pour dépeindre l'époque et le décor, par contre les visages des personnages paraissent étrange sur certaine case. Les amateurs de la série trouveront leur bonheur avec l'histoire de cette nouvelle reine en mauvaise position à la fin de cet album. Cette série met en avant le pouvoir de toutes ces femmes importantes dans l’histoire et comment elles gouvernaient dans un monde politique souvent composé d’homme. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-reines-de-sang-irene-de-byzance-l-iconophile-tome-1/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Un nouveau dytique rejoint la série des reines de sang avec Irène de Byzance, sur un scénario de Corbeyran. Irène est la première femme à régner sur tout l'empire de Byzantin et devenir impératrice au décès de son époux. Ce premier tome nous la présente durant son enfance avec son éducation et sa connaissance des icones représentants des figures de la religion chrétienne. Durant cette introduction, Corbeyran nous démontre comment cette reine à dû jouer de ruse pour imposer sa vision et ses choix. Une fois de plus, les complots et trahisons sont au cœur même de la cour du roi où Irène apprend à se méfier de tous. La partie graphique est de qualité pour dépeindre l'époque et le décor, par contre les visages des personnages paraissent étrange sur certaine case. Les amateurs de la série trouveront leur bonheur avec l'histoire de cette nouvelle reine en mauvaise position à la fin de cet album. Cette série met en avant le pouvoir de toutes ces femmes importantes dans l’histoire et comment elles gouvernaient dans un monde politique souvent composé d’homme.
-
Titre de l'album : La passe-visage Scenariste de l'album : Koren Shadmi Dessinateur de l'album : Koren Shadmi Coloriste : Koren Shadmi Editeur de l'album : Marabulles Note : Résumé de l'album : À New York dans un futur proche, un implant cérébral permet de changer d'apparence de façon instantanée. Ces humains augmentés, surnommés "Passe-visages", louent leurs services pour soulager la solitude de leurs clients. Rose, une aspirante actrice, est devenue passe-visage à plein temps… Critique : La passe-visage est le deuxième titre de Koren Shadmi à sortir aux éditions Marabulles en même temps en librairie avec le voyageur. Les formats des deux romans graphiques sont similaires avec des paginations autour de 200 planches de BD. La passe-visage est un titre inédit de l'auteur en version française. Koren Shadmi nous propose une aventure de science-fiction autour d'un drame. Nous suivons la destiné de Rose, une actrice sans succès ayant eu recours à un implant cérébral pour changer les traits de son visages à volonté en quelques secondes. Cette nouvelle technologie lui permet de travailler pour une agence particulière proposant les services de Rose pour remplacer une personne décédé, jouer le rôle d'une petite amie, prendre la place d'une fille avec qui les parents sont fâchés durant quelques heures. De nombreux cas de figure existent mais Rose ne connait pas les risques de toutes ces transformations. Pour la partie graphique, Koren Shadmi dessine des planches de qualité dans un New-York futuriste. L'album est découpé en chapitre suivant les personnages que va interpréter Rose. Une fois de plus, Koren Shadmi nous surprend avec cette histoire assez dramatique et l’on apprend qu’il s’est inspiré d’un fait réel au Japon pour construire son intrigue. La passe-visage est une excellente surprise à lire. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-passe-visage/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
La passe-visage est le deuxième titre de Koren Shadmi à sortir aux éditions Marabulles en même temps en librairie avec le voyageur. Les formats des deux romans graphiques sont similaires avec des paginations autour de 200 planches de BD. La passe-visage est un titre inédit de l'auteur en version française. Koren Shadmi nous propose une aventure de science-fiction autour d'un drame. Nous suivons la destiné de Rose, une actrice sans succès ayant eu recours à un implant cérébral pour changer les traits de son visages à volonté en quelques secondes. Cette nouvelle technologie lui permet de travailler pour une agence particulière proposant les services de Rose pour remplacer une personne décédé, jouer le rôle d'une petite amie, prendre la place d'une fille avec qui les parents sont fâchés durant quelques heures. De nombreux cas de figure existent mais Rose ne connait pas les risques de toutes ces transformations. Pour la partie graphique, Koren Shadmi dessine des planches de qualité dans un New-York futuriste. L'album est découpé en chapitre suivant les personnages que va interpréter Rose. Une fois de plus, Koren Shadmi nous surprend avec cette histoire assez dramatique et l’on apprend qu’il s’est inspiré d’un fait réel au Japon pour construire son intrigue. La passe-visage est une excellente surprise à lire.
-
Titre de l'album : Le voyageur Scenariste de l'album : Koren Shadmi Dessinateur de l'album : Koren Shadmi Coloriste : Koren Shadmi Editeur de l'album : Marabulles Note : Résumé de l'album : En perpétuel mouvement, le voyageur parcourt en auto-stop l'immensité des États-Unis en quête de l'origine de son mal, étrange et apparemment incurable : l'immortalité. Au gré de ses rencontres, progressant d'un siècle à l'autre, il observe les changements du monde qui l'entoure et qui court inexorablement à sa perte. Critique : J'ai découvert Koren Shadmi par le bais des deux albums de la série Abaddon, où l'auteur nous racontait une histoire étrange avec de locataires bloqués dans leur appartement. L'ambiance et les dessins formaient un étrange récit fantastique très prenant. Aujourd'hui, les éditions Marabulles nous proposent une nouvelle édition de l'album Le voyageur. On suit un mystérieux auto-stoppeur sur la route depuis tellement d'année qu'il ne se souvient plus de sa destination ni du but de son voyage. Durant sept chapitres, on voyage en sa compagnie dans des époques et des lieux différents. Le voyageur croise une femme également perdue qui erre dans le temps avec la même déformation dans ses yeux. Les lecteurs connaissant les albums de Koren Shadmi seront en terrain connus avec le voyageur, avec cette atmosphère particulier qui donne envie de poursuivre et connaitre la finalité du voyage. Les dessins sont dans un style réaliste avec une couleur différente suivant l’époque et le chapitre. L’auteur utilise différentes teintes de même couleur sauf sur le dernier chapitre plus classique dans le choix des couleurs. Ce roman graphique est une réussite en tout point et je recommande fortement la lecture du voyageur si vous aimez la SF. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-voyageur-9782501183017/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
J'ai découvert Koren Shadmi par le bais des deux albums de la série Abaddon, où l'auteur nous racontait une histoire étrange avec de locataires bloqués dans leur appartement. L'ambiance et les dessins formaient un étrange récit fantastique très prenant. Aujourd'hui, les éditions Marabulles nous proposent une nouvelle édition de l'album Le voyageur. On suit un mystérieux auto-stoppeur sur la route depuis tellement d'année qu'il ne se souvient plus de sa destination ni du but de son voyage. Durant sept chapitres, on voyage en sa compagnie dans des époques et des lieux différents. Le voyageur croise une femme également perdue qui erre dans le temps avec la même déformation dans ses yeux. Les lecteurs connaissant les albums de Koren Shadmi seront en terrain connus avec le voyageur, avec cette atmosphère particulier qui donne envie de poursuivre et connaitre la finalité du voyage. Les dessins sont dans un style réaliste avec une couleur différente suivant l’époque et le chapitre. L’auteur utilise différentes teintes de même couleur sauf sur le dernier chapitre plus classique dans le choix des couleurs. Ce roman graphique est une réussite en tout point et je recommande fortement la lecture du voyageur si vous aimez la SF.
-
-
Titre de l'album : Barnstormers Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Tula Lotay Coloriste : Tula Lotay Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : 1918, aux premières heures du Barnstorming, lorsque les pilotes rivalisaient les uns avec les autres en accomplissant des exploits tous plus merveilleux, spectaculaires et... meurtriers les uns que les autres. Cette aventure est aussi un portrait intime de l'amour à la sortie de la guerre et une réflexion sur le niveau de confiance nécessaire pour mettre sa vie entre les mains de son partenaire. Critique : Barnstormers est le dernier comics de chez ComiXology Originals édité par les éditions Delcourt en version française et l'on retrouve pour la quatrième fois Scott Snyder au commande de l'histoire. Barnstormers dont la traduction est le cirque volant nous entraine dans la période des années folles aux Etats-Unis. Nous suivons les acrobaties aériennes de Bix alias Hawk .E Baron, un jeune homme un peu perturbé par les combats qu'il a mené durant la guerre. En chemin, il croise Tillie une jeune mariée qui va le suivre pour fuir son mariage. Le couple se livre à plusieurs délits en devenant les nouveaux gangsters avec un avion pour s'échapper de toutes les situations. L'ambiance est légère et l'histoire se laisse lire sans grandes surprises. La partie graphique est de qualité dans un style réaliste. Certains lecteurs pourront être déçus par les couleurs donnant un aspect étrange, ou ancien film comme avec un filtre par-dessus. L’album se termine sur quelques illustrations et des couvertures alternatives. Barnstormers est un one shot rythmé autour du couple de voleur avec pour originalité de se dérouler dans le monde du spectacle aérien. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/barnstormers/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Barnstormers est le dernier comics de chez ComiXology Originals édité par les éditions Delcourt en version française et l'on retrouve pour la quatrième fois Scott Snyder au commande de l'histoire. Barnstormers dont la traduction est le cirque volant nous entraine dans la période des années folles aux Etats-Unis. Nous suivons les acrobaties aériennes de Bix alias Hawk .E Baron, un jeune homme un peu perturbé par les combats qu'il a mené durant la guerre. En chemin, il croise Tillie une jeune mariée qui va le suivre pour fuir son mariage. Le couple se livre à plusieurs délits en devenant les nouveaux gangsters avec un avion pour s'échapper de toutes les situations. L'ambiance est légère et l'histoire se laisse lire sans grandes surprises. La partie graphique est de qualité dans un style réaliste. Certains lecteurs pourront être déçus par les couleurs donnant un aspect étrange, ou ancien film comme avec un filtre par-dessus. L’album se termine sur quelques illustrations et des couvertures alternatives. Barnstormers est un one shot rythmé autour du couple de voleur avec pour originalité de se dérouler dans le monde du spectacle aérien.
-
Titre de l'album : Le Roi des Fauves tome 1 - Hadarfell Scenariste de l'album : David Chauvel Dessinateur de l'album : Sylvain Guinebaud Coloriste : Sylvain Guinebaud Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Ivar, Oswald et Kaya sont amis depuis toujours. Alors que leur village meurt de faim et que le père d'Ivar tombe malade, ils décident d'aller braconner sur les terres du jarl... Mais sont pris sur le fait par son fils, accompagné de son maître d'armes. La rencontre tourne au drame et voilà notre trio devenu hors-la loi. Pour les trois amis, c'est le début d'un long voyage au bout d'eux-mêmes. Critique : David Chauvel l'auteur de l'excellente saga Les 5 Terres revient avec une adaptation en bande dessinée du roman d'Aurélie Wellenstein, récompensé de nombreux prix. Cette introduction nous emmène à une époque médiévale où trois amis d'enfance se retrouvent à braconner sur les terres de leur seigneur pour se nourrir durant l'hiver. A ce moment, l'histoire prend une tournure plus fantastique puisque les enfants vont être condamnés à être transformer en monstres sanguinaires pour servir leur seigneur afin de terroriser la population affamée. Chauvel réussi à nous entrainer avec ce trio courageux dans une aventure très prenante prévue en diptyque dont le deuxième tome est prévu pour septembre. Pour la partie graphique, Sylvain Guinebaud réalise des planches de grande qualité pour nous dépeindre cet univers sombre. Les scènes d'action sont très bien découpées et très rythmées. Les passages avec les débuts de transformations des personnages sont très inspirées surtout pour les déformations de visages. Ce premier tome le roi des fauves comment très fort et donne bien évidement envie de poursuivre la lecture. Cette lecture est une très bonne surprise que je recommande. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/le-roi-des-fauves-tome-1-hadarfell/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
David Chauvel l'auteur de l'excellente saga Les 5 Terres revient avec une adaptation en bande dessinée du roman d'Aurélie Wellenstein, récompensé de nombreux prix. Cette introduction nous emmène à une époque médiévale où trois amis d'enfance se retrouvent à braconner sur les terres de leur seigneur pour se nourrir durant l'hiver. A ce moment, l'histoire prend une tournure plus fantastique puisque les enfants vont être condamnés à être transformer en monstres sanguinaires pour servir leur seigneur afin de terroriser la population affamée. Chauvel réussi à nous entrainer avec ce trio courageux dans une aventure très prenante prévue en diptyque dont le deuxième tome est prévu pour septembre. Pour la partie graphique, Sylvain Guinebaud réalise des planches de grande qualité pour nous dépeindre cet univers sombre. Les scènes d'action sont très bien découpées et très rythmées. Les passages avec les débuts de transformations des personnages sont très inspirées surtout pour les déformations de visages. Ce premier tome le roi des fauves comment très fort et donne bien évidement envie de poursuivre la lecture. Cette lecture est une très bonne surprise que je recommande.
-
Titre de l'album : Jeanne et Cierges Scenariste de l'album : Karibou Dessinateur de l'album : Josselin Duparcmeur Coloriste : Josselin Duparcmeur Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Dieu n'en a que faire des Anglois ou du royaume de France et la Pucelle a tout compris de travers. Il s'incarne alors en lui-même, un vieil homme barbu (ce qui a le don de décevoir Jeanne qui s'attendait à un bel homme bien musclé) et décide d'accompagner la jeune fille dans son périple, avant tout pour tenter de tempérer son ardeur. Mais il se fera bien entendu dépasser par la ferveur de Jeanne… Critique : Avec Jeanne et Cierges, Karibou poursuit sa série humoristique centralisée autour d'une époque historique, après Salade César, Waterlose et Troie zéro. Dans ce tome, on suit le parcours de la célèbre Jeanne d'Arc guidée par les paroles de Dieu, même si ce dernier affirme ne jamais lui avoir parler. Il n'en faut pas moins à la pucelle pour partir libérer le royaume de France de ses envahisseurs. Dieu interpellé par cette adolescente va l'accompagner tout en essayant de la raisonner ainsi que toutes les personnes qu'elle croisera sur le chemin. Karibou détourne une fois de plus l'histoire avec beaucoup d'humour et dérision avec des histoires courtes sur une planche qui se suivent pendant le combat de Jeanne. La partie graphique est de qualité dans un style réaliste avec des cases bien détaillées pour le genre. Une fois de plus, le titre annonce la couleur de ce qui nous attend dans cet album. Si vous avez adorez les autres albums, vous ne serez pas surpris et passerez un agréable moment de lecture avec beaucoup de fous rires. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/jeanne-et-cierges/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Avec Jeanne et Cierges, Karibou poursuit sa série humoristique centralisée autour d'une époque historique, après Salade César, Waterlose et Troie zéro. Dans ce tome, on suit le parcours de la célèbre Jeanne d'Arc guidée par les paroles de Dieu, même si ce dernier affirme ne jamais lui avoir parler. Il n'en faut pas moins à la pucelle pour partir libérer le royaume de France de ses envahisseurs. Dieu interpellé par cette adolescente va l'accompagner tout en essayant de la raisonner ainsi que toutes les personnes qu'elle croisera sur le chemin. Karibou détourne une fois de plus l'histoire avec beaucoup d'humour et dérision avec des histoires courtes sur une planche qui se suivent pendant le combat de Jeanne. La partie graphique est de qualité dans un style réaliste avec des cases bien détaillées pour le genre. Une fois de plus, le titre annonce la couleur de ce qui nous attend dans cet album. Si vous avez adorez les autres albums, vous ne serez pas surpris et passerez un agréable moment de lecture avec beaucoup de fous rires.
-
J'ai adoré cette suite
-
Titre de l'album : La fin du sens Scenariste de l'album : Ami Inintéressant Dessinateur de l'album : Rémi Lascault Coloriste : Rémi Lascault Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un homme discute avec des collègues complotistes qui s'avèrent être ses amis imaginaires pour tromper sa solitude. Une cheffe de projet se fait mantérupter par son chef pour souligner la nécessité de laisser la parole aux femmes. Un Français lambda se fait élire président de la République après une coquille sur des bulletins de vote... Quand le sens commun disparaît, seul l'humour peut nous sauver. Critique : Dernière petite pépite de l'excellente collection Pataquès, spécialisée dans l'humour divers et varié. Les deux auteurs ont déjà collaboré sur un autre projet, Genèse & prozac, avec une réinterprétation du dernier testament et de la bible. Avec la fin du sens, on se rapproche plus de l'actualité, de la vie des hommes politiques, leur décision et de l'absurdité de nouvelles mesures. Pour résumé le fil conducteur, un homme lambda est nommé président suite à une faute d'orthographe dans le nom du véritable candidat. Bien évidement, toutes les mesures prises sont incohérentes, d'abord les hommes de pouvoirs en profite puis commencent à avoir peur de la situation qui échappe à tout le monde. Les dessins de Rémi Lascault sont correctes pour le genre avec la particularité d'avoir des personnes sans yeux, juste des sourcils. La fin du sens est une agréable bd pour passer un bon moment de lecture avec beaucoup d'humour. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/la-fin-du-sens/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Dernière petite pépite de l'excellente collection Pataquès, spécialisée dans l'humour divers et varié. Les deux auteurs ont déjà collaboré sur un autre projet, Genèse & prozac, avec une réinterprétation du dernier testament et de la bible. Avec la fin du sens, on se rapproche plus de l'actualité, de la vie des hommes politiques, leur décision et de l'absurdité de nouvelles mesures. Pour résumé le fil conducteur, un homme lambda est nommé président suite à une faute d'orthographe dans le nom du véritable candidat. Bien évidement, toutes les mesures prises sont incohérentes, d'abord les hommes de pouvoirs en profite puis commencent à avoir peur de la situation qui échappe à tout le monde. Les dessins de Rémi Lascault sont correctes pour le genre avec la particularité d'avoir des personnes sans yeux, juste des sourcils. La fin du sens est une agréable bd pour passer un bon moment de lecture avec beaucoup d'humour.
-
Titre de l'album : Club Lonely Scenariste de l'album : Pelle Forshed Dessinateur de l'album : Pelle Forshed Coloriste : Pelle Forshed Editeur de l'album : Autres Editeurs/Auto editions Note : Résumé de l'album : Benedikt Bergström, auteur de bandes dessinées autobiographiques, vient de publier Club Lonely, qu’il considère comme son chef-d’œuvre. Il attend avec impatience que la critique littéraire encense son génie et guette les articles de Mathias Ortiz, le journaliste le plus influent. Mais celui-ci n’en a que pour Boel Flood, la nouvelle étoile montante de la BD suédoise, publiée dans la même maison d’édition. Artiste incompris, Benedikt va franchir les lignes rouges les unes après les autres… Soirée costumée, baudrier d’escalade, chaîne YouTube de tarot, chaque détail finira par avoir son importance dans cette satire ironique et jubilatoire de la vie littéraire. Critique : Après Histoires de famille et Pendant ce temps qui était en sélection officielle du festival d'Angoulême en 2021, Club Lonely est le troisième roman graphique de Pelle Forshed. L'histoire nous raconte la vie d'au auteur de bande dessinée qui vient de sortir sa dernière œuvre. Il pense détenir avec cet album la nouvelle référence du genre qui va recevoir les honneurs du monde de la BD et de la reconnaissance du public. Seulement le temps passe et sa bd reste ignorée de tous, alors l'auteur essaie d’attirer un critique réputé pour écrire un article afin de booster les ventes. Cette histoire est étrange, le personne principal est désespéré tout en étant touchant avce une pointe d'humour décalé. Les dessins sont dans un style très minimalistes en quadrichromie avec un bleu clair. Un passage en couleur reprenant le style de tintin surprend en court d'album ainsi qu'un passage inspiré par les dessins de Garfield le chat. On suit l'auteur durant tout l'album à la recherche de sa première critique qui n'arrive pas malgré tous les efforts de ce dernier. L'humour est assez particulier avec certainement des situations s'inspirant de la réalité pour les auteurs sortant leur album. Autres infos : Maison d'édition : L'agrume Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/club-lonely/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Après Histoires de famille et Pendant ce temps qui était en sélection officielle du festival d'Angoulême en 2021, Club Lonely est le troisième roman graphique de Pelle Forshed. L'histoire nous raconte la vie d'au auteur de bande dessinée qui vient de sortir sa dernière œuvre. Il pense détenir avec cet album la nouvelle référence du genre qui va recevoir les honneurs du monde de la BD et de la reconnaissance du public. Seulement le temps passe et sa bd reste ignorée de tous, alors l'auteur essaie d’attirer un critique réputé pour écrire un article afin de booster les ventes. Cette histoire est étrange, le personne principal est désespéré tout en étant touchant avce une pointe d'humour décalé. Les dessins sont dans un style très minimalistes en quadrichromie avec un bleu clair. Un passage en couleur reprenant le style de tintin surprend en court d'album ainsi qu'un passage inspiré par les dessins de Garfield le chat. On suit l'auteur durant tout l'album à la recherche de sa première critique qui n'arrive pas malgré tous les efforts de ce dernier. L'humour est assez particulier avec certainement des situations s'inspirant de la réalité pour les auteurs sortant leur album.
-
Titre de l'album : Spectregraph Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Christian Ward Coloriste : Christian Ward Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un manoir étrange, niché sur la côte, à quelques kilomètres au nord de Los Angeles... Des rumeurs courent... On le dit hanté... Son propriétaire était un magnat de l'industrie, avec une étrange fascination pour l'occulte et le paranormal. Depuis des décennies, les hommes et les femmes les plus riches du pays cherchent à comprendre ce qu'il y construisait. Maintenant, alors qu'il vient de mourir, ils ont hâte de le découvrir… Critique : Depuis les séries The nice house on the lake ou Department of Truth, je suis de très près les nouvelles histoires de James Tynion IV. Cet auteur réussit toujours à surprendre les lecteurs avec des histoires originales et très étranges. Avec Spectregraph, on plonge dans un récit d'horreur fantastique en huit clos se déroulant dans un immense manoir où deux jeunes femmes sont enfermées, pour la trame de fond. En parallèle, nous suivons plusieurs groupes de personnes sur d'autres époques et surtout un homme riche ayant consacré sa vie à l'occultisme. Toutes les pièces du puzzles vont s'assembler progressivement alors que l'on avance dans la lecture pour comprendre la situation. Le scénariste est devenu maitre dans ce genre à suspense avec des révélations apportant d'autres questionnements. Au niveau des dessins, Christian Ward réalise un travail très soigné avec des planches impressionnantes notamment sur les doubles pages ou le corps d'un homme se sépare des muscles, vaisseaux sanguins, squelette et spectre fantomatique. Le dessinateur habitué des comics de super-héros gère à merveilles les ambiances plus sombres entre psychédélisme et horreur. Spectregraph est un one shot bien rythmé encré dans le paranormal où deux femmes tentent de se libérer d'un manoir. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/spectregraph-9782413088523/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
-
Depuis les séries The nice house on the lake ou Department of Truth, je suis de très près les nouvelles histoires de James Tynion IV. Cet auteur réussit toujours à surprendre les lecteurs avec des histoires originales et très étranges. Avec Spectregraph, on plonge dans un récit d'horreur fantastique en huit clos se déroulant dans un immense manoir où deux jeunes femmes sont enfermées, pour la trame de fond. En parallèle, nous suivons plusieurs groupes de personnes sur d'autres époques et surtout un homme riche ayant consacré sa vie à l'occultisme. Toutes les pièces du puzzles vont s'assembler progressivement alors que l'on avance dans la lecture pour comprendre la situation. Le scénariste est devenu maitre dans ce genre à suspense avec des révélations apportant d'autres questionnements. Au niveau des dessins, Christian Ward réalise un travail très soigné avec des planches impressionnantes notamment sur les doubles pages ou le corps d'un homme se sépare des muscles, vaisseaux sanguins, squelette et spectre fantomatique. Le dessinateur habitué des comics de super-héros gère à merveilles les ambiances plus sombres entre psychédélisme et horreur. Spectregraph est un one shot bien rythmé encré dans le paranormal où deux femmes tentent de se libérer d'un manoir.
-
Titre de l'album : Comme une fleur Scenariste de l'album : Anne Baraou Dessinateur de l'album : Amélie Patin Coloriste : Amélie Patin Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Un géant de l'horticulture est accusé du vol du brevet d'une nouvelle plante créée par les Plansueurs, un couple de petits producteurs indépendants. Églantine Morvan, jeune journaliste, mène l'enquête et découvre avec le lecteur le monde des fleurs et l'univers de la botanique. Ce récit d'investigation mélange amitié, passion, business et écologie. Critique : Anne Baraou nous emmène dans un récit documentaire autour du monde des fleurs et toute son industrie avec les risques, les enjeux suivant les méthodes mise en place par les producteurs. Pour ma part, je suis en découverte de ce monde horticole donc je me suis laissé prendre par l'histoire en essayant de comprendre le rôle de chacun avec le jargon du métier. Par dessus l'intrigue, les deux autrices ajoutent un drame par forcément en rapport avec le scandale et l'enquête. La dessinatrice Amélie Patin réalise des planches très colorées avec de nombreuses fleurs dans toutes les cases comme vous pouvez le voir avec la couverture. Cette méthode renforce vraiment le sujet autour des fleur et du monde horticole. Entre chaque chapitre, nous avons des présentations de certaine espèce, leur définition et leur caractéristiques. La partie graphique est une réussite en tout point même avec la surenchère de fleurs. La thématique et les dessins sont originaux, cet album devrait trouver son public. Autres infos : Type de l'album : Roman graphique Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/comme-une-fleur/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement