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Titre de l'album : Superman dark prophecy Scenariste de l'album : Joshua Williamson Dessinateur de l'album : Dan Mora Coloriste : Dan Mora Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Après les événements de ABSOLUTE POWER, le monde Superman est de nouveau bouleversé. En premier lieu, sa femme Lois Lane est dorénavant dotée... de super-pouvoirs ! Officiant en tant que Superwoman, elle accompagne dorénavant les membres de la Super Famille dans la protection de Metropolis. Mais dans l'ombre, le trappeur temporel complote pour réaliser son plan ultime et celui-ci pourrait bien impliquer l'ennemi le plus dangereux de Superman... Contenu vo : SUPERMAN (Vol. 7) #19-24 + SUPERMAN : LEX LUTHOR SPECIAL #1 + SUPERWOMAN SPECIAL #1 Critique : Après le lancement de la branche parallèle de DC, revoici la branche principale de DC avec la continuité du crossover Absolute Power. Pour rappel, Absolute Power voyait Amanda Waller voler les pouvoirs de la plupart des super héros pour essayer de purger le monde de ces soi-disant héros. Après une bataille épique (et plutôt bien faite ), nos héros ont réussi à déjouer les plans de Waller et ont rendu leurs pouvoirs… mais pas toujours aux bons propriétaires. On se retrouve donc avec des personnages ayant de nouveaux pouvoirs comme... Lois "Lane/Kent" qui se trouve avoir... les mêmes pouvoirs que son mari. C'est la grosse "nouveauté" de ce début de série "post Absolute Power". Pour le reste on retrouve un méchant interdimensionnel qui prédit la fin du monde à Superman, blabliblabla... Bon vous l'aurez compris, la ou le lancement de la série Absolute avait amené un vent frais dans l'univers DC, cette continuité est elle étonnamment... classique. Si le fait d'avoir un couple de super héros est rigolo au début, c'est vite redondant (les deux s'enfuient d'un coup, porte le costume sous leurs vêtements et tout et tout). Et c'est un peu dommage de passer du temps là-dessus car l'univers a pas mal évolué(Perry est maire etc...) et mériterait d'avoir plus d'attention. Ca arrivera peut-être après mais cela sera noyé au milieu des batailles avec Doomsday, le retour de Lex, le trappeur temporel etc.... Bref un retour à du tout venant de Superman un peu facile à mon gout, se basant peut-être un peu trop sur le dessin de Dan Mora, toujours au top. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/superman-dark-prophecy-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après le lancement de la branche parallèle de DC, revoici la branche principale de DC avec la continuité du crossover Absolute Power. Pour rappel, Absolute Power voyait Amanda Waller voler les pouvoirs de la plupart des super héros pour essayer de purger le monde de ces soi-disant héros. Après une bataille épique (et plutôt bien faite ), nos héros ont réussi à déjouer les plans de Waller et ont rendu leurs pouvoirs… mais pas toujours aux bons propriétaires. On se retrouve donc avec des personnages ayant de nouveaux pouvoirs comme... Lois "Lane/Kent" qui se trouve avoir... les mêmes pouvoirs que son mari. C'est la grosse "nouveauté" de ce début de série "post Absolute Power". Pour le reste on retrouve un méchant interdimensionnel qui prédit la fin du monde à Superman, blabliblabla... Bon vous l'aurez compris, la ou le lancement de la série Absolute avait amené un vent frais dans l'univers DC, cette continuité est elle étonnamment... classique. Si le fait d'avoir un couple de super héros est rigolo au début, c'est vite redondant (les deux s'enfuient d'un coup, porte le costume sous leurs vêtements et tout et tout). Et c'est un peu dommage de passer du temps là-dessus car l'univers a pas mal évolué(Perry est maire etc...) et mériterait d'avoir plus d'attention. Ca arrivera peut-être après mais cela sera noyé au milieu des batailles avec Doomsday, le retour de Lex, le trappeur temporel etc.... Bref un retour à du tout venant de Superman un peu facile à mon gout, se basant peut-être un peu trop sur le dessin de Dan Mora, toujours au top.
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Titre de l'album : Walking Dead - Clementine tome 3 Scenariste de l'album : Tillie Walden Dessinateur de l'album : Tillie Walden Coloriste : Tillie Walden Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Clementine a enfin trouvé tout ce dont elle rêvait : un endroit sûr où vivre, une petite amie et même un chat... Mais rien n'est éternel. Et lorsqu'elle subit une perte sans précédent, un nouveau mentor lui propose une nouvelle famille et une nouvelle façon de vivre... Sera-t-elle prête à en payer le prix ? Critique : Dernier tome très volumineux du spin-off Walking dead Clémentine, où l'on retrouve le personnage du jeu vidéo TellTale pour les gamers. L'album commence de façon très intense avec l'accouchement d'Olivia dans les conditions postapocalyptique où tout ce qui est du domaine médical est très sommaire pour ne pas dire inexistant. Tillie Walden reprend le schéma classique maintenant de Walking dead avec des passages calmes alternant avec les scènes d'actions fortes où des personnages principaux peuvent mourir à tout instant, comme vous pourrez le découvrir dans ce tome. Le point de vue intéressant de la série provient du choix des jeunes adolescentes qui forme le trio d'amies. L'autrice joue sur les relations entre personne, le fait d'avoir trouvé par chance le confort et la sécurité dans ce petit village fortifié. D'ailleurs même les jours de classe vont reprendre pour toute la petite bande. La partie graphique reste classique avec des découpages parfois originaux mais qui peuvent devenir compliqués à comprendre. Les lecteurs en manque de Walking dead trouveront leur compte avec les albums double de Clementine. Cette trilogie offre une version féminine adolescente de la série principale. Autres infos : Type de l'album : BD Europeene Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/walking-dead-clementine-tome-3/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dernier tome très volumineux du spin-off Walking dead Clémentine, où l'on retrouve le personnage du jeu vidéo TellTale pour les gamers. L'album commence de façon très intense avec l'accouchement d'Olivia dans les conditions postapocalyptique où tout ce qui est du domaine médical est très sommaire pour ne pas dire inexistant. Tillie Walden reprend le schéma classique maintenant de Walking dead avec des passages calmes alternant avec les scènes d'actions fortes où des personnages principaux peuvent mourir à tout instant, comme vous pourrez le découvrir dans ce tome. Le point de vue intéressant de la série provient du choix des jeunes adolescentes qui forme le trio d'amies. L'autrice joue sur les relations entre personne, le fait d'avoir trouvé par chance le confort et la sécurité dans ce petit village fortifié. D'ailleurs même les jours de classe vont reprendre pour toute la petite bande. La partie graphique reste classique avec des découpages parfois originaux mais qui peuvent devenir compliqués à comprendre. Les lecteurs en manque de Walking dead trouveront leur compte avec les albums double de Clementine. Cette trilogie offre une version féminine adolescente de la série principale.
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Titre de l'album : Monstres en vadrouille Scenariste de l'album : Kay Davault Dessinateur de l'album : Kay Davault Coloriste : Kay Davault Editeur de l'album : Jungle Note : Résumé de l'album : Iris ne s'est jamais sentie à sa place dans le manoir de M. Halloway. Entre licornes, trolls et autres dragons, elle est pourtant bien entourée. Mais ce dont elle rêve, elle, c'est de liberté, et d'un véritable foyer. Jusqu'au jour où, par accident, un chasseur de monstres brise la magie qui scellait la porte de cette maison insolite. Pour la première fois, Iris et ses amis peuvent explorer la ville voisine : ses rues animées, ses lumières fascinantes, ses surprenants habitants...Une découverte de la beauté - et des dangers - du monde extérieur qui va déterrer un sombre secret... qui pourrait bien tout changer. Critique : Kay Davault imagine un monde où humains et monstres existent mais ne se côtoient pas, la faute à un imaginaire méfiant, en somme la peur de l'autre. On découvre Iris évoluant dans un manoir peuplé uniquement de monstres comme elle, sous l'oeil bienveillant de monsieur Halloway, un humain les protégeant. Iris n'est pas tout à fait comme les autres, elle rêve de liberté et ses envies d'ailleurs sont décuplées par le sentiment de ne pas être à sa place, aux côté de Halloway qui semble méfiant à son égard. Aussi, lors de la visite d'un intrus humain brisant le sceau d'inviolabilité magique du manoir et laissant la porte ouverte derrière lui, Iris sort et découvre un tout autre monde ! L'apprentissage de la vie, la méfiance des autres, de ce qu'on ne connait pas, le désir de liberté, Kay Davault insère de nombreux messages dans ce récit coloré et respirant de sincérité. Au fil des 300 pages, elle prend bien le temps de développer l'histoire avec la découverte des personnages et des nombreux secrets les liant. Le format "comics" offre peu de cases par pages et rend la lecture fluide et accessible pour les plus jeunes avec des dialogues courts. Le style "chibi" des protagonistes rend assez bien avec de l'originalité dans les faciès des petits monstres dotés d'une grande expressivité. Un sympathique one-shot à faire découvrir aux plus de 8 ans, avec un beau message de tolérance. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/monstres-en-vadrouille/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Kay Davault imagine un monde où humains et monstres existent mais ne se côtoient pas, la faute à un imaginaire méfiant, en somme la peur de l'autre. On découvre Iris évoluant dans un manoir peuplé uniquement de monstres comme elle, sous l'oeil bienveillant de monsieur Halloway, un humain les protégeant. Iris n'est pas tout à fait comme les autres, elle rêve de liberté et ses envies d'ailleurs sont décuplées par le sentiment de ne pas être à sa place, aux côté de Halloway qui semble méfiant à son égard. Aussi, lors de la visite d'un intrus humain brisant le sceau d'inviolabilité magique du manoir et laissant la porte ouverte derrière lui, Iris sort et découvre un tout autre monde ! L'apprentissage de la vie, la méfiance des autres, de ce qu'on ne connait pas, le désir de liberté, Kay Davault insère de nombreux messages dans ce récit coloré et respirant de sincérité. Au fil des 300 pages, elle prend bien le temps de développer l'histoire avec la découverte des personnages et des nombreux secrets les liant. Le format "comics" offre peu de cases par pages et rend la lecture fluide et accessible pour les plus jeunes avec des dialogues courts. Le style "chibi" des protagonistes rend assez bien avec de l'originalité dans les faciès des petits monstres dotés d'une grande expressivité. Un sympathique one-shot à faire découvrir aux plus de 8 ans, avec un beau message de tolérance.
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Titre de l'album : Absolute Batman tome 1 - Le zoo Scenariste de l'album : Scott Snyder Dessinateur de l'album : Gabriel Walta | Nick Dragotta Coloriste : Gabriel Walta | Nick Dragotta Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Bruce Wayne ne part de rien. Il n'est pas le descendant d'un riche empire de Gotham City, il est le fils d'un professeur d'école publique qui, enfant, a vécu l'horreur inimaginable d'une fusillade, changeant à jamais la trajectoire de sa vie. Sans ressources illimitées pour le financer, sans manoir ni majordome pour s'occuper de lui, Bruce est devenu un Batman d'un genre tout à fait différent, à la fois cérébral et ultra musclé, vivant dans les quartiers les plus difficiles et les plus défavorisés de Gotham, loin de la haute société. Et alors que le gang de Black Mask sème la terreur dans la ville, il n'hésitera pas à déchainer un torrent de violence contre ses adversaires pour que le message soit clair : il y a un nouveau Batman en ville. Contenu vo : Absolute Batman #1-6. Critique : Dernier volume (de la premiere salve) à tomber entre mes mains parmi les reboot "Absolute" des univers de DC. Et on finit par mon chouchou : Monsieur batou avec rien de moins monsieur Snyder aux manettes. Pour être très honnête, ce qui marque en premier ce sont les superbes dessins de Nick Dragotta. Qu'est-ce que c'est beau… Que ce soit les scènes de combat, les choix des couleurs ou la mise en page, c'est super beau et bien adapté au Batman très dark que nous a contacté Snyder. Car Snyder nous livre un Batman "défavorisé", copain d'orphelinat avec des méchants de la version originale, sans véritable ressources autres que son investissement et ses entrainements qui en ont fait une bette physique. Ce Batman est plus sombre, plus à même de faire TRES mal, tant qu'il ne tue pas. On retrouve, encore une fois dans cette collection Absolute, tous les protagonistes de la filière principale dans des rôles radicalement différents. Les nouveaux venus auront la chance de découvrir Batman dans un nouvel univers avec une nouvelle histoire et les anciens pour se divertir à chercher les concordances. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/absolute-batman-tome-1-le-zoo?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Dernier volume (de la premiere salve) à tomber entre mes mains parmi les reboot "Absolute" des univers de DC. Et on finit par mon chouchou : Monsieur batou avec rien de moins monsieur Snyder aux manettes. Pour être très honnête, ce qui marque en premier ce sont les superbes dessins de Nick Dragotta. Qu'est-ce que c'est beau… Que ce soit les scènes de combat, les choix des couleurs ou la mise en page, c'est super beau et bien adapté au Batman très dark que nous a contacté Snyder. Car Snyder nous livre un Batman "défavorisé", copain d'orphelinat avec des méchants de la version originale, sans véritable ressources autres que son investissement et ses entrainements qui en ont fait une bette physique. Ce Batman est plus sombre, plus à même de faire TRES mal, tant qu'il ne tue pas. On retrouve, encore une fois dans cette collection Absolute, tous les protagonistes de la filière principale dans des rôles radicalement différents. Les nouveaux venus auront la chance de découvrir Batman dans un nouvel univers avec une nouvelle histoire et les anciens pour se divertir à chercher les concordances.
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Titre de l'album : BRZRKR - Bloodlines tome 2 Scenariste de l'album : Matt Kindt, Keanu Reeves et Jason Aaron Dessinateur de l'album : Ron Garney et Salvador Larroca Coloriste : Bill Crabtree et Lee Loughridge Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : Que pouvait bien faire B. à l'époque du Far West entre un grand propriétaire lancé à la recherche de sa fille fugueuse, mais aussi de la légendaire Babylone au XIIIe siècle aux côtés de Ghengis Khan ? C'est ce que proposent de nous raconter les auteurs des deux récits complets proposés dans ce deuxième opus consacré au passé de l'immortel créé par Keanu Reeves. Critique : Comme pour le premier tome, Bloodlines propose deux récits par album avec des équipes artistiques différentes. La première histoire est scénarisée par Matt Kindt et Keanu Reeves pour nous revenir sur le règne de Gengis Khan. Ce dernier en suivant les conseils d'un émissaire du culte surveillant Unute, pour réussir à l'assouvir et lui proposer de conquérir le monde en massacrant tous les ennemis sur la route. Les auteurs ne font pas dans la dentelle avec beaucoup d'action où unute aux traits de Keanu Reeves est une arme immortelle très dangereuse. Les dessins de Ron Garney sont efficaces sur les scènes où le héros affronte des armées avec ses mains. La deuxième histoire est scénarisée par Jason Aaron l'auteur de Scalped, avec Unute au temps des cowboys. Les dessins de Salvador Larroca sont dans un style très réaliste plus fins que sur la première histoire. Les auteurs se donnent beaucoup de mal à trouver des situations impossibles où Unute est démembré ou encore ébouillanté avant de que son corps se régénère pour poursuivre les tueries incontrôlables. La série BRZRKR est très sanglante et violente et j'ai une préférence pour l'univers étendu de Bloodlines avec des récits courts à des époques différentes. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/brzrkr-bloodlines-tome-2/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Comme pour le premier tome, Bloodlines propose deux récits par album avec des équipes artistiques différentes. La première histoire est scénarisée par Matt Kindt et Keanu Reeves pour nous revenir sur le règne de Gengis Khan. Ce dernier en suivant les conseils d'un émissaire du culte surveillant Unute, pour réussir à l'assouvir et lui proposer de conquérir le monde en massacrant tous les ennemis sur la route. Les auteurs ne font pas dans la dentelle avec beaucoup d'action où unute aux traits de Keanu Reeves est une arme immortelle très dangereuse. Les dessins de Ron Garney sont efficaces sur les scènes où le héros affronte des armées avec ses mains. La deuxième histoire est scénarisée par Jason Aaron l'auteur de Scalped, avec Unute au temps des cowboys. Les dessins de Salvador Larroca sont dans un style très réaliste plus fins que sur la première histoire. Les auteurs se donnent beaucoup de mal à trouver des situations impossibles où Unute est démembré ou encore ébouillanté avant de que son corps se régénère pour poursuivre les tueries incontrôlables. La série BRZRKR est très sanglante et violente et j'ai une préférence pour l'univers étendu de Bloodlines avec des récits courts à des époques différentes.
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Les tortues ninja n'en finissent plus chez Hi Graphics, et pour le plus grand plaisir de leurs fans. Il faut dire que leur univers s'est considérablement étendu au fil des runs. Difficile désormais de se lancer la dedans sans être un petit peu paumé par la multitude de personnages et de trames. Mais pour les fans c'est du plaisir assuré. Ce spin off qui peut se lire en one shot vient compléter et étendre encore un peu plus cet univers. On va y suivre la quête du clan foot pour revenir aux sommets depuis la disparition de Shredder. C'est l'occasion de redécouvrir sous un angle moins antipathique certains de nos méchants habituels. Si d'habitude je ne suis pas un grand fan de ce genre de spin off centrés sur des vilains, l'univers des tortues est suffisamment gentil pour que cela ne m'ai pas créé particulièrement de malaise, au contraire, revoir Bebop et Rocksteady reste un plaisir coupable. Côté dessin en plus on retrouve le sens de la mise en scène de Mateus Santolouco qui nous livre un run bien lisible, dynamique, et nerveux. On n'en demande pas plus ! Ce spin off ravira les fans de la première heure, en leur proposant un contenu certes dispensable mais au final bien équilibré, cohérent, dynamique et avec une histoire complète et intéressante. Merci Hi Graphics !
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Teenage Mutant Ninja Turtles - Karaï - La destinée secrète du clan de foot
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Titre de l'album : Teenage Mutant Ninja Turtles - Karaï - La destinée secrète du clan de foot Scenariste de l'album : Erik Burnham Dessinateur de l'album : Mateus Santolouco & Santos Coloriste : Marco Lesko Editeur de l'album : Hi-Graphics Note : Résumé de l'album : Oroku Karai est devenue la cheffe du clan Foot après la disparition du Shredder. Mais elle a encore fort à faire afin de pouvoir s'affirmer comme une vraie leader, d'autant plus après avoir vécu dans l'ombre de son père et de son grand-père. Rapidement, elle doit faire face à un nouveau clan ennemi, dont le chef assure être le véritable descendant d'Oroku Saki (le Shredder), et par conséquent le dirigeant légitime du Clan Foot. Karai va devoir découvrir la vérité sur les origines de sa famille pour pouvoir défaire ce formidable adversaire. Critique : Les tortues ninja n'en finissent plus chez Hi Graphics, et pour le plus grand plaisir de leurs fans. Il faut dire que leur univers s'est considérablement étendu au fil des runs. Difficile désormais de se lancer la dedans sans être un petit peu paumé par la multitude de personnages et de trames. Mais pour les fans c'est du plaisir assuré. Ce spin off qui peut se lire en one shot vient compléter et étendre encore un peu plus cet univers. On va y suivre la quête du clan foot pour revenir aux sommets depuis la disparition de Shredder. C'est l'occasion de redécouvrir sous un angle moins antipathique certains de nos méchants habituels. Si d'habitude je ne suis pas un grand fan de ce genre de spin off centrés sur des vilains, l'univers des tortues est suffisamment gentil pour que cela ne m'ai pas créé particulièrement de malaise, au contraire, revoir Bebop et Rocksteady reste un plaisir coupable. Côté dessin en plus on retrouve le sens de la mise en scène de Mateus Santolouco qui nous livre un run bien lisible, dynamique, et nerveux. On n'en demande pas plus ! Ce spin off ravira les fans de la première heure, en leur proposant un contenu certes dispensable mais au final bien équilibré, cohérent, dynamique et avec une histoire complète et intéressante. Merci Hi Graphics ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tortues-ninja-tmnt-karai-la-destinee-secrete-du-clan-foot/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement- 1 réponse
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Titre de l'album : Absolute Superman tome 1 - Les poussières de Krypton Scenariste de l'album : Jason Aaron Dessinateur de l'album : Rafa Sandoval Coloriste : Rafa Sandoval Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Que serait devenu Superman s'il avait été élevé sur Krypton ? S'il avait dû fuir sa famille pour échapper au destin tragique de sa civilisation ? S'il n'avait pas reçu le code moral de la famille humaine des Kent ? C'est ce que propose de découvrir ce récit mettant en scène l'histoire épique et tragique du dernier fils de Krypton dans un univers plus sombre et réaliste ! Critique : Deuxième tome de la nouvelle gamme Absolute avec le reboot de Superman avec rien de moins que Jason Aaron aux commandes. Et le moins que l'on puisse dire c'est que Jason Aaron a pris son rôle très au sérieux en nous livrant un reboot particulièrement savoureux. L'intelligence de Aaron a été de ne changer qu'une seule chose : l'age de Kal-El lorsqu'il part de krypton. C'est tout. Et ca change tout. Car Kal-El n'est plus un bébé élevé par de gentils fermiers, mais bien un ado qui a connu, et vu, la disparition de son monde comme la mort de ses parents. Un ado qui est forcément marqué par ce qu'il a vu et qui ne voit pas du tout le monde comme le Kal El que l'on connait. Jason Aaron nous livre donc un Superman bien plus sombre et plus torturé. Le tout porté par un graphisme de haut vol par un Rafa Sandoval au sommet de son art. Bref une véritable réussite ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/absolute-superman-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Deuxième tome de la nouvelle gamme Absolute avec le reboot de Superman avec rien de moins que Jason Aaron aux commandes. Et le moins que l'on puisse dire c'est que Jason Aaron a pris son rôle très au sérieux en nous livrant un reboot particulièrement savoureux. L'intelligence de Aaron a été de ne changer qu'une seule chose : l'age de Kal-El lorsqu'il part de krypton. C'est tout. Et ca change tout. Car Kal-El n'est plus un bébé élevé par de gentils fermiers, mais bien un ado qui a connu, et vu, la disparition de son monde comme la mort de ses parents. Un ado qui est forcément marqué par ce qu'il a vu et qui ne voit pas du tout le monde comme le Kal El que l'on connait. Jason Aaron nous livre donc un Superman bien plus sombre et plus torturé. Le tout porté par un graphisme de haut vol par un Rafa Sandoval au sommet de son art. Bref une véritable réussite !
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Titre de l'album : Traqué dans l'espace Scenariste de l'album : Michael Park & Chris Baldie Dessinateur de l'album : Chris Baldie Coloriste : Chris Baldie Editeur de l'album : Bamboo Note : Résumé de l'album : Il est le dernier humain de l'univers, sa valeur est inestimable.Que la chasse commence ! L'humanité a disparu. Il est le dernier Homme survivant. Prisonnier d'un sarcophage échoué sur une planète de glace, il revient à la vie. Mais il n'a plus aucun repère car tout ce qui faisait son monde a disparu. Désormais, seul représentant de son espèce, il devient une marchandise à la valeur inestimable. Traqué par tout ce que l'univers compte de chasseurs de prime, il va devoir se battre, s'enfuir sans jamais renoncer dans un seul but : survivre. Action, gunfights lasers et résilience ! Suivez la traque épique à travers l'espace d'un vieux capitaine fatigué. Critique : Quelle belle idée que d'inverser un peu les rôles. Cette fois-ci c'est bien l'humanité qui s'est faite éradiquer. Et le dernier homme qui devient la chose la plus précieuse de l'univers. Le pitch est simple mais en renversant les rôles il permet d'obtenir une belle dramaturgie ainsi qu'un souffle de fraicheur qui évite à ce space opéra d'avoir un trop grand air de déjà vu. On embarque assez vite dans cette aventure, rythmée et sans temps morts jusqu'à la dernière page. Les seconds rôles apportent un peu de fraicheur à ce héros parfois un peu dépassé par les évènements. Les clins d'oeils à la SF y sont nombreux pour les amateurs. Le style graphique lui est assez particulier, et aurait gagné je trouve a un peu plus de lisibilité dans les scènes d'actions. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/traque-dans-l-espace/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Quelle belle idée que d'inverser un peu les rôles. Cette fois-ci c'est bien l'humanité qui s'est faite éradiquer. Et le dernier homme qui devient la chose la plus précieuse de l'univers. Le pitch est simple mais en renversant les rôles il permet d'obtenir une belle dramaturgie ainsi qu'un souffle de fraicheur qui évite à ce space opéra d'avoir un trop grand air de déjà vu. On embarque assez vite dans cette aventure, rythmée et sans temps morts jusqu'à la dernière page. Les seconds rôles apportent un peu de fraicheur à ce héros parfois un peu dépassé par les évènements. Les clins d'oeils à la SF y sont nombreux pour les amateurs. Le style graphique lui est assez particulier, et aurait gagné je trouve a un peu plus de lisibilité dans les scènes d'actions.
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Titre de l'album : Absolute Wonder Woman tome 1 Scenariste de l'album : Kelly Thompson Dessinateur de l'album : Hayden Sherman Coloriste : Hayden Sherman Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Depuis des millénaires, les Amazones ont protégé l'humanité dans l'ombre au fil de son développement, empêchant les incursions de monstres venus d'ailleurs. Mais quand les dieux leur tournent le dos, la Princesse des Amazones, Diana, est exilée aux Enfers et le nom même des Amazones est rayé de l'histoire... Sans île du Paradis, sans la sororité qui l'a forgée en tant qu'héroïne, et sans même son rôle d'émissaire de paix... Diana reste Wonder Woman ! Critique : C'est partit pour un nouveau schisme dans l'univers DC avec un nouvel univers nommé Absolute. Un univers hors continuité qui redéfinit nos héros les plus populaires. Et on commence avec Wonder Woman (mais ne vous inquiétez pas, les deux autres arrivent) et le moins que l'on puisse dire c'est que ce n'est pas "juste" un relooking. Les changements sont profonds. La naissance de Wonder Woman n'est pas du tout la même, tout comme son histoire et surtout les ennemis qu'elle affronte. Pour tout vous dire on est ici, ni plus ni moins, que dans un récit mythologique ! Déplacé au 21 siècle, mais un récit mythologique. Avec naissance dans la terre glaise, vie aux enfer et combat contre des démons en volant sur le dos du Pegase mort sorti des enfers ! On retrouve quand même les grandes lignes, avec le caporal Trevor, la façon dont ils se rencontrent, le fouet et la misogynie des militaires. Mais tout est orienté autour de la mythologie grecque. C'est super rafraichissant pour tout vous dire. Il faut voir comment l'histoire va évoluer et si cet aspect mythologique va pouvoir se percuter aux autres reboot des autres héros...mais pour l'instant c'est un petit bonbon savoureux au gout intriguant. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/absolute-wonder-woman-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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C'est partit pour un nouveau schisme dans l'univers DC avec un nouvel univers nommé Absolute. Un univers hors continuité qui redéfinit nos héros les plus populaires. Et on commence avec Wonder Woman (mais ne vous inquiétez pas, les deux autres arrivent) et le moins que l'on puisse dire c'est que ce n'est pas "juste" un relooking. Les changements sont profonds. La naissance de Wonder Woman n'est pas du tout la même, tout comme son histoire et surtout les ennemis qu'elle affronte. Pour tout vous dire on est ici, ni plus ni moins, que dans un récit mythologique ! Déplacé au 21 siècle, mais un récit mythologique. Avec naissance dans la terre glaise, vie aux enfer et combat contre des démons en volant sur le dos du Pegase mort sorti des enfers ! On retrouve quand même les grandes lignes, avec le caporal Trevor, la façon dont ils se rencontrent, le fouet et la misogynie des militaires. Mais tout est orienté autour de la mythologie grecque. C'est super rafraichissant pour tout vous dire. Il faut voir comment l'histoire va évoluer et si cet aspect mythologique va pouvoir se percuter aux autres reboot des autres héros...mais pour l'instant c'est un petit bonbon savoureux au gout intriguant.
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Il y a un peu de East of West dans ce The New World. Et comme East of West je n'ai eu aucune envie de le lire ni de l'ouvrir au début. Puis comme dans East of West on se fait happer, et on finit ce comics alors même que l'on aurait aimé en avoir encore un peu. Cette comparaison n'est pas innocente et HiGraphics a vraiment le talent d'aller nous chercher des ovnis. Certes The New World n'atteindra pas le niveau de cette glorieuse inspiration, mais on ne boudera pas notre plaisir pour autant. Place à une Amérique une fois encore décadente ayant sombré dans un totalitarisme faisant la part belle au spectacle... On y suit un couple de héros, guère sympathiques de prime abord pour un rush endiablé. Difficile de dire pourquoi cela fonctionne mais entre l'univers graphique déjanté, flashy, coloré, et normalement pas à mon goût, et les personnages excentriques, je n'étais pas la cible. Sauf que le charme opère et que la magie prend. Je me suis régalé. Et je ne sais pas encore à qui je vais pouvoir recommander cette lecture tant elle est particulière 🙂 Mais pour les amateurs de comics différents, vous pouvez y aller : entre Punk Rock Jesus et East of West, The New World ne laissera pas indifférent.
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Titre de l'album : The New World Scenariste de l'album : Ales Kot Dessinateur de l'album : Tradd Moore Coloriste : Heather Moore Editeur de l'album : Hi-Graphics Note : Résumé de l'album : Les États-Unis ont connu une seconde Guerre Civile ; en Nouvelle Californie, la population suit tous les jours une émission de téléréalité brutale, où la police pourchasse des criminels désignés par le pouvoir en place, puis les exécute selon le vote du public. Stella Maris est la flic la plus efficace à ce jeu - mais refuse de tuer quiconque. Un soir, elle fait la rencontre de Kirby Shazaku Miyazaki, avec qui elle passe une nuit torride. Mais Kirby est aussi un anarchiste bien décidé à renverser le gouvernement. Lorsqu'il devient l'ennemi public numéro un après une tentative d'attentat, Stella doit selon la règle l'arrêter et le mettre à mort. S'engage alors une course-poursuite où les amants maudits vont devoir rassembler tout ce qui les unit - et les oppose - pour espérer s'en sortir. Une aventure dantesque à la croisée de Roméo & Juliette, Mad Max et Cyberpunk 2077 dans laquelle Tradd Moore révèle un talent démentiel à chaque page. Critique : Il y a un peu de East of West dans ce The New World. Et comme East of West je n'ai eu aucune envie de le lire ni de l'ouvrir au début. Puis comme dans East of West on se fait happer, et on finit ce comics alors même que l'on aurait aimé en avoir encore un peu. Cette comparaison n'est pas innocente et HiGraphics a vraiment le talent d'aller nous chercher des ovnis. Certes The New World n'atteindra pas le niveau de cette glorieuse inspiration, mais on ne boudera pas notre plaisir pour autant. Place à une Amérique une fois encore décadente ayant sombré dans un totalitarisme faisant la part belle au spectacle... On y suit un couple de héros, guère sympathiques de prime abord pour un rush endiablé. Difficile de dire pourquoi cela fonctionne mais entre l'univers graphique déjanté, flashy, coloré, et normalement pas à mon goût, et les personnages excentriques, je n'étais pas la cible. Sauf que le charme opère et que la magie prend. Je me suis régalé. Et je ne sais pas encore à qui je vais pouvoir recommander cette lecture tant elle est particulière 🙂 Mais pour les amateurs de comics différents, vous pouvez y aller : entre Punk Rock Jesus et East of West, The New World ne laissera pas indifférent. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-new-world/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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J'avais raté la première édition de Torso sorti à l'époque chez Semic, mais par chance les éditions Delcourt nous proposent ce policier classique. Brian Michael Bendis est au scénario de l'histoire en se basant sur une sordide histoire se déroulant aux Etats-Unis en 1935. Le scénariste s'est inspiré des nombreux articles de journaux et autres archives d'interviews de l'époque, pour rendre crédible cette histoire. On retrouve donc Eliot Ness peu de temps après l'arrestation d'Al Capone, l'inspecteur est encore sur le devant de la scène pour son travail sur les trafiquants d'alcool. Sans le vouloir, Ness se retrouve propulsé dans cette enquête de meurtres avec des morceaux de cadavres découpés et jeté dans toute la ville de Cleveland. L'histoire n'est pas sans rappeler Jack l'éventreur de Londres. Pour la partie graphique, on profite du style particulier Marc Andreykoa avec un noir et blanc intense. Andreykoa ajoute des photos d'époque pour les décors afin de renforcer le côté réaliste du récit. Il joue avec les cases lors des interrogatoires avec de nombreuses petites cases ou elles tournent en spirale pour donner du dynamique au récit. Les lecteurs amateurs de récits policier seront comblés par le traitement de Torso avec Bendis au dialogue.
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Titre de l'album : Torso Scenariste de l'album : Brian Michael Bendis Dessinateur de l'album : Marc Andreyko Coloriste : Editeur de l'album : Delcourt Note : Résumé de l'album : États-Unis, 1935. Cleveland est une oasis économique gangrénée par la corruption et le crime. Le maire fait appel à Eliot Ness, auréolé de l'arrestation récente d'Al Capone. Mais le héros de l'Amérique se retrouve face à un véritable monstre, surnommé « The Cleveland Torso Murderer », un tueur en série insaisissable qui coupe la tête et démembre ses victimes. Basé sur des faits réels, ce tueur ne fut jamais arrêté. Critique : J'avais raté la première édition de Torso sorti à l'époque chez Semic, mais par chance les éditions Delcourt nous proposent ce policier classique. Brian Michael Bendis est au scénario de l'histoire en se basant sur une sordide histoire se déroulant aux Etats-Unis en 1935. Le scénariste s'est inspiré des nombreux articles de journaux et autres archives d'interviews de l'époque, pour rendre crédible cette histoire. On retrouve donc Eliot Ness peu de temps après l'arrestation d'Al Capone, l'inspecteur est encore sur le devant de la scène pour son travail sur les trafiquants d'alcool. Sans le vouloir, Ness se retrouve propulsé dans cette enquête de meurtres avec des morceaux de cadavres découpés et jeté dans toute la ville de Cleveland. L'histoire n'est pas sans rappeler Jack l'éventreur de Londres. Pour la partie graphique, on profite du style particulier Marc Andreykoa avec un noir et blanc intense. Andreykoa ajoute des photos d'époque pour les décors afin de renforcer le côté réaliste du récit. Il joue avec les cases lors des interrogatoires avec de nombreuses petites cases ou elles tournent en spirale pour donner du dynamique au récit. Les lecteurs amateurs de récits policier seront comblés par le traitement de Torso avec Bendis au dialogue. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/torso-9782413088998/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Saga tome 12 Scenariste de l'album : Brian K. Vaughan Dessinateur de l'album : Fiona Staples Coloriste : Fiona Staples Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Hazel a désormais douze ans et vit avec sa mère, son frère Écuyer et bien d’autres, au sein d’un cirque itinérant. Chacun tente à sa façon de surmonter les traumatismes du passé, mais la disparition de Marko reste encore et toujours une douleur bien difficile à apaiser. Un tourment partagé par Le Testament et Gwendolyn, que la perte de Sophie plonge dans un désespoir sans précédent. Chacun devra trouver la force de s’ouvrir à l’autre et de faire de nouveau confiance. Malheureusement, ces périodes de fragilité profitent bien souvent aux gens les bien moins intentionnés. Critique : Saga porte étonnamment bien son nom. Une vraie saga familiale. Et une véritable réussite pour Brian K Vaughan car il nous livre une histoire de famille qui nous fait nous sentir des membres de cette famille. L'ouverture d'un nouveau tome de Saga est comme la réception d'une carte d'une partie de la famille vivant non et nous racontant son année passée. On se sent proche de nos personnages, et cela, même si on n'a pas de nouvelles pendant un an. On a escorté Hazel depuis sa création jusqu'à ses 12 ans. On se peut donc qu'être demandeur de nouvelles et s'émerveiller à chaque nouvel album de la "normalité" de la vie de nos fugitifs. Ce qui se ressent encore une fois dans ce tome 12 avec un grand bonheur : Notre famille, prise bien malgré elle dans une guerre galactique qui les poursuit, est en proie à... l'adolescence ! Oui oui ! L'univers et la guerre entre les ailés et les cornus change mais ce n'est pas le véritable problème d'Hazel et de son frère, qui cherchent à savoir comment adopter les changements de leurs corps et de leurs esprits. Cette dichotomie entre l'univers qui veut leur donner un rôle important et leur volonté de survivre aux petits tracas du quotidien est encore plus présente dans un tome 12 qui ne fait que nous faire souhaiter que l'histoire continue.... jusqu'au 80 ans de Hazel ! Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/saga-tome-12?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Saga porte étonnamment bien son nom. Une vraie saga familiale. Et une véritable réussite pour Brian K Vaughan car il nous livre une histoire de famille qui nous fait nous sentir des membres de cette famille. L'ouverture d'un nouveau tome de Saga est comme la réception d'une carte d'une partie de la famille vivant non et nous racontant son année passée. On se sent proche de nos personnages, et cela, même si on n'a pas de nouvelles pendant un an. On a escorté Hazel depuis sa création jusqu'à ses 12 ans. On se peut donc qu'être demandeur de nouvelles et s'émerveiller à chaque nouvel album de la "normalité" de la vie de nos fugitifs. Ce qui se ressent encore une fois dans ce tome 12 avec un grand bonheur : Notre famille, prise bien malgré elle dans une guerre galactique qui les poursuit, est en proie à... l'adolescence ! Oui oui ! L'univers et la guerre entre les ailés et les cornus change mais ce n'est pas le véritable problème d'Hazel et de son frère, qui cherchent à savoir comment adopter les changements de leurs corps et de leurs esprits. Cette dichotomie entre l'univers qui veut leur donner un rôle important et leur volonté de survivre aux petits tracas du quotidien est encore plus présente dans un tome 12 qui ne fait que nous faire souhaiter que l'histoire continue.... jusqu'au 80 ans de Hazel !
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Titre de l'album : The department of truth tome 5 Scenariste de l'album : James Tynion IV Dessinateur de l'album : Martin Simmonds Coloriste : Martin Simmonds Editeur de l'album : Urban Comics Note : Résumé de l'album : Face à un ennemi sur le point de révéler ses plus sombres secrets au monde entier, le Département de la Vérité fait un choix des plus audacieux : être le premier à s'exposer au grand jour ! Mais pour comprendre ce pari fou, il faut retourner où tout a commencé, à Dallas, en 1963. Là, tandis que défile le cortège de John Fitzgerald Kennedy, une mystérieuse femme en rouge, les yeux marqués d'un X, pointe un fusil sur le président... et Lee Harvey Oswald est à ses côtés ! Critique : Pour l'instant James Tynion IV est le scénariste très tendance avec toutes ses histoires aux thématiques originales et surprenantes. The department of Truth fait partie de ses meilleurs productions, avec la mise en avant du contrôle de masse des populations en partant d'une idée précise que l'on développe avant qu'elle ne prenne forme et devienne l'histoire que l'on connait. Dans cette ambiance complotiste, nous suivons la brigade du département de la vérité dirigée évidement par Lee Harvey Oswald. Ce nouvel épisode se consacre entièrement à Lee Harvey Oswald avec le fameux jour de l'assassinat de Kennedy à Dallas. A ce moment précis, on reconnait tout le savoir-faire de James Tynion IV pour nous embarquer dans une autre réalité avec des explications à la clé. La deuxième partie de l'album revient sur les derniers moments de vie de Marilyn Monroe où l'on croise aussi Hunter S Thompson. La partie graphique est absolument incroyable sur cette série, la mise en couleur et tous les éléments rajoutés par-dessus les planches fonctionnement à merveilles. Les couvertures sont très représentatives des planches intérieurs. Dans cet album, plusieurs dessinateurs sont invités à apporter leur contribution avec des styles différents. The department of Truth est une des meilleures série que je lis actuellement en comics. Autres infos : Type de l'album : Comic Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-department-of-truth-tome-5/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Un best of BD au hasard
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BD européenes/Comics
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La confrérie des tempêtes tome 1 - Thoorak
Kevin Nivek a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Nouvelle saga à venir pour le prolifique éditeur Oxymore avec La confrérie des tempêtes ! Cet univers créé par JL Istin et Sylvain Cordurié s'inscrit dans la lignée d'une autre série de leur catalogue : West fantasy. Ici les auteurs utilisent les races "tolkiennes" (avec quelques ajouts) dans un monde marin sur lequel naviguent entre autres, des pirates. Il est fait mention dans la préface d'un Empire prédominant ces îles ainsi que trois seigneurs pirates dirigeant la Confrérie des tempêtes. Ils ne reconnaissent pas l'autorité de l'empereur et créent leurs propres lois. C'est dans ce contexte que l'on découvre la jeune Agora, seule survivante du massacre de sa famille, se réfugiant dans les bras d'un orc membre de la Confrérie, Thoorak. On suivra son évolution au fil d'un lourd apprentissage teinté de violence et de trahison, jusqu'au final réservant son lot de surprises. Médaillon, magie, mensonges, vengeance et secrets de famille seront au programme de ces 72 pages à lire sans modération ! Certes la voix off et l'éternelle revanche composent l'épine dorsale (une nouvelle fois) de ce type de saga, mais elle est bien réalisée et s'inscrit dans une histoire plus vaste. Aratheon n'a pas fini de nous surprendre ! Au dessin ,on retrouve l'artiste italien Giovanni Lorusso ayant déjà travaillé avec JL Istin sur Les guerres d'Arran (Soleil). Son trait réaliste convient parfaitement au récit, les cases sont bien détaillées, les décors environnants sublimes, idem pour les navires. Un graphisme magnifié par les couleurs de Olivier Héban qui apporte du relief et de très beaux effets de lumières. On entre dans cet univers de pirates par la grande porte assurément et on a envie d'y retourner ! Cinq albums sont déjà prévus et il est fort possible que l'on retrouve des personnages présents dans cet opus lors du sixième tome 😉 Une très sympathique nouvelle saga à venir, aux couleurs du drapeau noir des pirates !-
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Kevin Nivek, -
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Calédonia - Tome 2 - Le mur d'hadrien
The_PoP a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Ce Caledonia nous propose une série sur la Rome antique confrontée en Angleterre à de terrifiantes divinités. Mais Rome est un empire qui ne compte pas se laisser abattre du moment que l'adversaire peut saigner. On avait laissé nos deux héros mal en point à l'issue du tome 1. Ce tome 2 reprend directement à l'issue de la fin du tome 1 et nous amène quelques révélations de taille. On plonge définitivement dans le fantastique et c'est plutôt réussi. Seuls bémols, je trouve les personnages un peu trop fades à mon goût et leur relation un peu trop téléphonée. Bon, cela ne nous empêche pas de découvrir ce nouvel univers avec plaisir.
J'ai par ailleurs eu du mal avec le dessin, malgré une jolie colorisation. J'ai eu du mal avec le dessin d'Emmanuel Despujol que j'avais pourtant plutôt apprécié sur Side Show. Ici j'ai trouvé que cela manquait un peu de peps, de vitalité, de mouvements, et que les visages me semblaient un peu lisses et pas si expressifs au final. C'est sûr que je suis un peu dur en disant cela, et je ne veux manquer de respect à personne car l'on sent qu'il y a du travail derrière, mais les goûts et les couleurs ne se commandent pas bien et cela m'a un peu refroidit dans ma lecture de ce Caledonia. Alors allez le feuilleter et faites vous votre idée !-
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The_PoP, -
Mangas
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Blood-crawling princess tome 1
Nickad a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Un grand empire désireux de conquêtes et de pouvoir envahit un jour le petit royaume paisible de Batalia, exterminant la population. Par miracle Evita, la princesse du royaume arrive à s’échapper et n’a pas d’autre choix que de vendre son corps pour survivre. Elle est donc devenue, sous le nom de Priscilla, l’une des courtisanes les plus prisées de la ville de San Missa, un endroit dédié au plaisir composé de maisons closes où les femmes y sont retenues contre leur gré jusqu’à leur mort.
Mais Priscilla n’est pas la gentille idiote qu’elle laisse paraitre et elle fomente sa vengeance contre l’empire en entrainant dans son sillage toutes les femmes de la cité. Il est temps de lancer la contre-attaque !
Si dans The brave wish revenging, on a Raoul, le héros trahi, qui prend sa revanche de façon extrême, Evita est son pendant féminin. Une héroïne forte qui va frapper un grand coup (plusieurs même !) que ce soit contre l’empire mais surtout contre les hommes. Pour dire, Kurokawa a accompagné l’envoi du service de presse d’un casse-noix, je vous laisse deviner son utilisation :) !
C’est antitotalitarisme et anti-patriarcal à souhait !! Par contre, le manga est violent et à réserver à un public averti. Reste à voir si le scénario va tomber dans une accumulation de scènes choquantes (comme son pendant) ou s’il va proposer une trame plus constructive et intéressante. À suivre-
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Nickad, -
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The world's finest assassin tomes 1 & 2
Nickad a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :J’ai découvert cette série par son anime que j’avais bien apprécié. Je n’ai pas été déçue par le manga, les deux sont cohérents que ce soit au niveau du graphisme ou du scénario.
Notre héros était un assassin hors pair mais dans ce genre d’organisation, il n’y a pas de retraite (Comme pour Killer Peter !) : vous mourrez en mission ou vous êtes éliminé ! C’est ce qui s’est passé pour notre héros, il est mort lors de l’explosion d’un avion. Mais son profil intéressait la déesse d’un autre monde qui cherche des personnes capables d’éliminer le futur héros de son monde. Comme souvent, le héros surpuissant est un problème : soit il fait de l’ombre au roi en place soit il se lâche et représente une calamité pour les habitants.
Donc Lugh (c’est son nouveau nom) se voit offrir une nouvelle vie avec un objectif à atteindre : assassiner le héros mais seulement après qu’il ait vaincu le seigneur démon !! Pour cela, il peut choisir quelques compétences et renaît dans une famille avec des moyens : les Tuatha Dé, une famille d’assassins au service de la royauté. Le voilà donc à améliorer ses compétences, chercher des armes ou des techniques efficaces et trouver des renseignements sur sa cible. Mais ce qu’il n’avait pas anticiper ce sont les liens affectifs qu’il va développer : famille, amis et amour !
On a un shonen efficace bien ficelé et rythmé. Les personnages sont attachants, le graphisme est agréable et adapté et le scénario contient assez d’évènements pour ne pas avoir le temps de s’ennuyer. Par contre, je ne sais pas si la partie « harem » était nécessaire mais c’est un élément classique de ce genre d’isekai et vu qu’il n’est pas trop lourd, il ne dérange pas. Una aventure à suivre !-
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Nickad, -
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Vavam Vampire tome 1
Nickad a posté un enregistrement dans Critiques,
Note :Qui est Ranmaru Mori ? c’est certes un samurai à l’époque d’Oda Nobunaga mais c’est surtout l’employé des bains de la Carpe au Japon contemporain. Un employé un peu spécial car derrière son comportement d’employé modèle, c’est surtout un vampire qui lorgne sur le fils de famille, il attend depuis une décennie que ce dernier atteigne la majorité avent de la croquer car pour lui, rien n’est plus délicieux que le sang d’un adolescent encore vierge qui s’ouvre à ses premiers émois !
Mais son plan risque de tomber à l’eau le jour où le garçon vit son premier coup de foudre : Ranmaru compte bien se débarrasser de la gêneuse !
Voici un vampire bien différent de ceux que l’on a l’habitude de voir dans les mangas. Oublié le vampire séduisant au cœur des shojo ou le vampire puissant et combatif des shonen ! Ran ne rentre dans aucune case connue : il n’est pas imbu de lui-même, ne joue pas au mystérieux (il dit ouvertement qu’il est un vampire), il est prêt à faire n’importe quel travail ou action pour atteindre son objectif.
Au final, on a un scénario original, un personnage intéressant et beaucoup de pointes d’humour qui font de cette série un pur moment de divertissement sans prise de tête.
Pour information l’anime est sorti en janvier 2025 au Japon et diffusé en simulcast sur Netflix, il y aura aussi un long métrage qui devrait sortir sur les écrans nippons cet été. En attendant, vous pouvez vous offrir la version collector du premier tome avec une jaquette alternative et un standee de Ranmaru.-
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Nickad, -
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