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Nickad

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  1. Nickad

    Le septième prince démon tome 1

    Alex a grandi dans un petit village tranquille en compagnie de son amie Claire avec laquelle il fait les 400 coups. Tout allait bien jusqu’au jour où le village fut anéanti par l’armée du roi démon « l’alliance de l’ombre ». Seul rescapé, Alex passa les 20 années suivantes à devenir un héros pour aller affronter le roi démon. Hélas, il perdit et se réincarna en fils de ce même roi démon. Son changement de statut ne lui fit pas perdre son objectif : l’anéantissement de l’alliance de l’ombre ! Le véritable intérêt de l’histoire est que le héros renait en tant que fils de son ennemi, lui qui avait décidé d’exterminer toute la race du roi démon, pourra-t-il garder son objectif en grandissant au milieu d’eux ? Est-ce qu’il ne va pas développer un certain attachement envers certains ? Est-ce qu’il ne va pas réaliser que ce peuple a finalement beaucoup de points communs avec la race humaine (mode de vie, sentiments, famille…) ? Ce qui pourrait donner une autre dimension à l’histoire et nous renvoyer vers certains scenarii déjà vus. Heureusement, l’auteur ne dévie pas (tout au moins pour le moment) de son objectif et commence à comprendre le fonctionnement du peuple démon : combattre autrui pour ne pas avoir de guerres internes !! Ce qui est une bonne chose pour les lecteurs et c’est ce qui apporte de l’originalité au récit ! Côté graphisme, on a un style assez rond mais avec suffisamment de marqueurs pour bien identifier les différentes espèces. Ce premier tome est prometteur et on espère que l’auteur gardera sa ligne conductrice.
  2. Titre de l'album : Neeting life tome 1 Scenariste de l'album : Tetsuya Tsutsui Dessinateur de l'album : Tetsuya Tsutsui Coloriste : Editeur de l'album : Ki-oon Note : Résumé de l'album : Le confinement élevé au rang d'art de vivre ! En pleine pandémie, les Japonais sont invités à rester confinés. Pour beaucoup, c'est une épreuve difficile, mais pour Kentaro Komori, modeste employé d'une petite entreprise, c'est l'occasion rêvée de réaliser un plan de longue date : passer le reste de sa vie sans sortir de chez lui ! Pour prendre sa retraite anticipée et se retirer du monde, il a économisé et établi un plan au yen près... Après 20 ans de travail comme représentant commercial, Kentaro est épuisé et ne se voit plus que comme un simple rouage d'un système sans pitié. Au fond, ne serait-il pas plus heureux seul à la maison, en vrai NEET, sans emploi, études, ni formation, et surtout sans comptes à rendre à quiconque ? Il transforme un studio sans voisinage en cocon ultime : au milieu de la pièce trône une tente avec son sac de couchage, son ordinateur et son radiateur. Kentaro peut enfin lire, regarder des films ou écouter de la musique à volonté ! Mieux, il invente un véritable art de vivre, avec un calcul précis des lessives nécessaires, la préparation de la playlist idéale, l'aménagement d'un coin livraison accessible depuis sa fenêtre... Le voilà calé pour au moins deux décennies de tranquillité ! C'est du moins ce qu'il s'imagine, jusqu'à ce qu'un inconnu tente de s'introduire chez lui... La réclusion, remède au burn-out ? Le maître du thriller Tetsuya Tsutsui (Prophecy, Poison City...) tacle une nouvelle fois la société moderne sous un angle décalé mais toujours avec beaucoup de justesse. À une époque où tout est à portée de clic, c'est si simple de devenir un ermite... mais peut-on vraiment échapper aux dangers du monde extérieur ? Critique : La crise du Covid a laissé son empreinte un peu partout et la production littéraire n’a pas été épargnée. Cette histoire se passe donc en pleine crise au Japon, pendant les mesures de distanciation sociale et l’apogée des visio-conférence. C’est l’une des causes qui pousse Kentaro Komori, le personnage principal à changer radicalement de vie. En réalité, la crise a été une bonne occasion pour s’échapper d’un système qui l’écœurait et pour se lançait dans un projet qu’il préparait depuis 10 ans : le neeting ! Mais qu’est-ce que le neeting me direz-vous, cela provient de l’abréviation de « Not in Education, Employment or Training » : un mode de vie sans travail à rester chez soi et à faire le minimum d’efforts. On aurait pu penser que le récit allait se tourner vers une tranche de vie qui mettrait en avant ce mode de vie tout en pointant les travers de la société qui ont poussé Kentaro à s’isoler. Mais c’était sans connaître l’auteur Tetsuya TSUTSUI, un habitué des histoires sombres parfois thrillers parfois fantastiques que l’on a pu découvrir au travers des titres Prophecy, Poison city ou encore Noise. Si l’histoire semble banale au début entre la description de la nouvelle vie de Kentaro et sa relation avec sa bruyante voisine, des petits éléments perturbants et inquiétants commencent à arriver qui semblent nous diriger vers du suspense et de l’action. Le lecteur se retrouve vite plongé dans l’ambiance à se demander, on se demande ce qui va arriver et surtout pourquoi Kentaro est ciblé, lui qui ne semble rien avoir ! Réponse dans le deuxième et dernier tome. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/neeting-life-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  3. Nickad

    Neeting life tome 1

    La crise du Covid a laissé son empreinte un peu partout et la production littéraire n’a pas été épargnée. Cette histoire se passe donc en pleine crise au Japon, pendant les mesures de distanciation sociale et l’apogée des visio-conférence. C’est l’une des causes qui pousse Kentaro Komori, le personnage principal à changer radicalement de vie. En réalité, la crise a été une bonne occasion pour s’échapper d’un système qui l’écœurait et pour se lançait dans un projet qu’il préparait depuis 10 ans : le neeting ! Mais qu’est-ce que le neeting me direz-vous, cela provient de l’abréviation de « Not in Education, Employment or Training » : un mode de vie sans travail à rester chez soi et à faire le minimum d’efforts. On aurait pu penser que le récit allait se tourner vers une tranche de vie qui mettrait en avant ce mode de vie tout en pointant les travers de la société qui ont poussé Kentaro à s’isoler. Mais c’était sans connaître l’auteur Tetsuya TSUTSUI, un habitué des histoires sombres parfois thrillers parfois fantastiques que l’on a pu découvrir au travers des titres Prophecy, Poison city ou encore Noise. Si l’histoire semble banale au début entre la description de la nouvelle vie de Kentaro et sa relation avec sa bruyante voisine, des petits éléments perturbants et inquiétants commencent à arriver qui semblent nous diriger vers du suspense et de l’action. Le lecteur se retrouve vite plongé dans l’ambiance à se demander, on se demande ce qui va arriver et surtout pourquoi Kentaro est ciblé, lui qui ne semble rien avoir ! Réponse dans le deuxième et dernier tome.
  4. Titre de l'album : Les trésors de Takara Scenariste de l'album : Suzumaru Minta Dessinateur de l'album : Suzumaru Minta Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Taishin a quitté sa ville natale, Fukuoka, pour intégrer une université à Tokyo. Mais il a surtout pour objectif d’y retrouver Takara, un beau jeune homme qu’il a rencontré durant les vacances d’été. Ce jour-là, Takara avait su réconforter Taishin d’ordinaire inconsolable. Ainsi, ils s’étaient dit qu’ils se retrouveraient à Tokyo, mais alors que tout devait se dérouler sans accrocs, Takara repousse violemment Taishin et le confronte... Critique : Taishin est un garçon simple et honnête qui a décidé d’aller étudier à Tokyo pour retrouver un garçon qu’il n’a croisé que brièvement mais qui lui a laissé une forte impression. Il ne sait pas vraiment pourquoi il a fait tout ce chemin ni ce qu’il attend de ses retrouvailles à part le remercier pour sa sollicitude et sa bienveillance. Quant à Takara (le fameux garçon recherché), c’est un jeune homme qui plait beaucoup, qui est un peu la star du club de rando et qui semble plutôt froid. Un garçon qui a grandi auprès de parents qui ne s’entendaient pas. L’histoire relève plus d’une thématique tranche de vie qui nous montre la vie étudiante, la difficulté pour des personnes de province à s’intégrer à la capitale et surtout le décalage qui peut exister dans les connaissances et le mode de vie (Taishin ignorait totalement ce qu’était l’homosexualité par exemple). Mais c’est aussi une approche de la relation amoureuse profondément honnête et sans fioriture car aucun des deux protagonistes n’a jamais été amoureux auparavant et Taishin ignore même que ce qu’il commence à ressentir est de l’amour. Que ce soit la vie étudiante ou la romance, le récit est raconté avec une certaine simplicité et une grande justesse. Tout est en finesse, le graphisme et le scénario. Une belle histoire à découvrir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/les-tresors-de-takara?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  5. Nickad

    Les trésors de Takara

    Taishin est un garçon simple et honnête qui a décidé d’aller étudier à Tokyo pour retrouver un garçon qu’il n’a croisé que brièvement mais qui lui a laissé une forte impression. Il ne sait pas vraiment pourquoi il a fait tout ce chemin ni ce qu’il attend de ses retrouvailles à part le remercier pour sa sollicitude et sa bienveillance. Quant à Takara (le fameux garçon recherché), c’est un jeune homme qui plait beaucoup, qui est un peu la star du club de rando et qui semble plutôt froid. Un garçon qui a grandi auprès de parents qui ne s’entendaient pas. L’histoire relève plus d’une thématique tranche de vie qui nous montre la vie étudiante, la difficulté pour des personnes de province à s’intégrer à la capitale et surtout le décalage qui peut exister dans les connaissances et le mode de vie (Taishin ignorait totalement ce qu’était l’homosexualité par exemple). Mais c’est aussi une approche de la relation amoureuse profondément honnête et sans fioriture car aucun des deux protagonistes n’a jamais été amoureux auparavant et Taishin ignore même que ce qu’il commence à ressentir est de l’amour. Que ce soit la vie étudiante ou la romance, le récit est raconté avec une certaine simplicité et une grande justesse. Tout est en finesse, le graphisme et le scénario. Une belle histoire à découvrir.
  6. Titre de l'album : 2.5 dimensional seduction tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : Yu HASHIMOTO Dessinateur de l'album : Yu HASHIMOTO Coloriste : Editeur de l'album : Soleil Note : Résumé de l'album : Okumura est président du club de manga de son lycée et n'a d'yeux que pour son personnage de fiction 2D préféré, Lilliel. Mais sa rencontre avec Lilysa Amano, une véritable fille en 3D, passionnée elle aussi par Lilliel, va le propulser dans un nouveau rôle... Photographe de cosplay !! Se pourrait-il qu'Okumura ait rencontré une Lilliel en chair et en os ?! Critique : J’ai découvert cette histoire avec la projection des premiers épisodes de l’anime à la Japan expo, un titre coquin sans pour autant avoir besoin d’être censuré mais à réserver tout de même aux plus grands, le fan service étant bien présent. Okumura est fan d’anime et craque pour le personnage de Liliel, il est comme ça depuis des années et s’assume très bien. Les vraies filles ne l’intéressent pas et il n’est pas franchement à l’aise en leur compagnie. Mais tout va changer quand Lilysa va rejoindre le club de manga où il était le seul membre jusqu’à présent. Car Lilysa adore faire du cosplay et elle interprète à la perfection Liliel, de quoi faire chavirer les convictions d’Okumura. Bien sûr, cette comédie romantique ne s’arrête pas là car l’amie d’enfance, amoureuse de lui depuis longtemps, va arriver et devant la menace que représente Lilysa, va aussi se mettre au cosplay ! Je parlais de fan service un peu plut tôt et c’est véritablement l’aspect qui ressort le plus, que ce soit dans les livres ou anime que regardent Okumura, dans le choix des tenues de cosplay des filles ou dans les poses qu’elles prennent, tout est fait pour mettre en avant les formes callipyges des jeunes femmes ! Les tenues sont minimalistes et les physiques harmonieux ! L’autre aspect tout aussi important et le triangle amoureux et la comédie romantique : Okumura commence à avoir les hormones qui s’agitent et la rivalité entre les filles les poussent à devenir plus entreprenantes. 2.5 dimensional seduction arrive à nous distraire sans être vulgaire, il y a bien quelques clichés par-ci par-là mais rien de rédhibitoire. En tout cas on s’en prend plein les mirettes ! Nul doute que ce titre trouvera son lectorat ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/2-5-dimensional-seduction-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  7. J’ai découvert cette histoire avec la projection des premiers épisodes de l’anime à la Japan expo, un titre coquin sans pour autant avoir besoin d’être censuré mais à réserver tout de même aux plus grands, le fan service étant bien présent. Okumura est fan d’anime et craque pour le personnage de Liliel, il est comme ça depuis des années et s’assume très bien. Les vraies filles ne l’intéressent pas et il n’est pas franchement à l’aise en leur compagnie. Mais tout va changer quand Lilysa va rejoindre le club de manga où il était le seul membre jusqu’à présent. Car Lilysa adore faire du cosplay et elle interprète à la perfection Liliel, de quoi faire chavirer les convictions d’Okumura. Bien sûr, cette comédie romantique ne s’arrête pas là car l’amie d’enfance, amoureuse de lui depuis longtemps, va arriver et devant la menace que représente Lilysa, va aussi se mettre au cosplay ! Je parlais de fan service un peu plut tôt et c’est véritablement l’aspect qui ressort le plus, que ce soit dans les livres ou anime que regardent Okumura, dans le choix des tenues de cosplay des filles ou dans les poses qu’elles prennent, tout est fait pour mettre en avant les formes callipyges des jeunes femmes ! Les tenues sont minimalistes et les physiques harmonieux ! L’autre aspect tout aussi important et le triangle amoureux et la comédie romantique : Okumura commence à avoir les hormones qui s’agitent et la rivalité entre les filles les poussent à devenir plus entreprenantes. 2.5 dimensional seduction arrive à nous distraire sans être vulgaire, il y a bien quelques clichés par-ci par-là mais rien de rédhibitoire. En tout cas on s’en prend plein les mirettes ! Nul doute que ce titre trouvera son lectorat !
  8. Titre de l'album : Reincarnated into a game as the hero's friend tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : ASIO Rampei / SUZUKI Yuki Dessinateur de l'album : ASIO Rampei / SANSHOUUO Coloriste : Editeur de l'album : Meian Note : Résumé de l'album : Bientôt, le sort du monde sera déterminé par le combat entre le héros Mazel et le roi démon... C'est du moins l'histoire du RPG dans lequel Verner se réincarne en tant que fils de nobles. Avec sa compétence « maîtrise de la lance » tout à fait banale, il comprend rapidement qu'il n'est rien de plus qu'un personnage lambda du jeu. Réalisant qu'il est destiné à mourir avec les autres personnages ordinaires lors de la tragédie qui doit frapper ce monde, il décide de tout faire pour l'empêcher de se produire. Ses seuls atouts : son amitié avec le héros et ses souvenirs de sa vie passée ! Vient alors le premier événement du jeu, une invasion de monstres qui, selon le scénario, devrait faire de nombreuses victimes... Critique : Voilà un nouvel isekai qui semble assez classique au premier abord puisque notre héros se réincarne dans un jeu, en un personnage secondaire anecdotique qui est censé mourir lors de la prochaine ruée de monstres, une vague qui n’a lieu que tous les vingt ans. Verner (notre héros) va avoir comme objectif de survivre à cette vague et ensuite, si possible, de vivre une petite vie tranquille. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’est qu’il allait devenir ami avec le véritable héros du jeu Mazel. Au départ, il est intervenu pour être sûr que Mazel tienne son rôle et mette fin à la ruée de monstres mais peu à peu, devant la maladresse du héros, il s’est impliqué davantage jusqu’à avoir un rôle clef dans la défense de la capitale. La suite, c’est de l’aventure, de la fantasy, du combat, de l’amitié et de l’action ! Tous les éléments d’un shonen sont réunis pour divertir le lecteur ! Le scénario est bien fait, les combats ne reposent pas que sur la force brute mais mettent en avant la stratégie. Le graphisme est détaillé et soigné, les mises en scène sont dynamiques, il y a bien quelques coupes de cheveux improbables ce qui est sans doute le seul bémol dans ce domaine. Reincarnated into a game as the hero’s friend démarre bien, c’est un manga plaisant et divertissant que l’on continuera à suivre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/reincarnated-into-a-game-as-the-hero-s-friend-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  9. Voilà un nouvel isekai qui semble assez classique au premier abord puisque notre héros se réincarne dans un jeu, en un personnage secondaire anecdotique qui est censé mourir lors de la prochaine ruée de monstres, une vague qui n’a lieu que tous les vingt ans. Verner (notre héros) va avoir comme objectif de survivre à cette vague et ensuite, si possible, de vivre une petite vie tranquille. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’est qu’il allait devenir ami avec le véritable héros du jeu Mazel. Au départ, il est intervenu pour être sûr que Mazel tienne son rôle et mette fin à la ruée de monstres mais peu à peu, devant la maladresse du héros, il s’est impliqué davantage jusqu’à avoir un rôle clef dans la défense de la capitale. La suite, c’est de l’aventure, de la fantasy, du combat, de l’amitié et de l’action ! Tous les éléments d’un shonen sont réunis pour divertir le lecteur ! Le scénario est bien fait, les combats ne reposent pas que sur la force brute mais mettent en avant la stratégie. Le graphisme est détaillé et soigné, les mises en scène sont dynamiques, il y a bien quelques coupes de cheveux improbables ce qui est sans doute le seul bémol dans ce domaine. Reincarnated into a game as the hero’s friend démarre bien, c’est un manga plaisant et divertissant que l’on continuera à suivre.
  10. Titre de l'album : Super bad father tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : AOI Tatsuya Dessinateur de l'album : AOI Tatsuya Coloriste : Editeur de l'album : Omaké Note : Résumé de l'album : " On ne nait pas père... surtout lui. " Al Capone de Beauvoir. Kyotaro Inubushi, un ancien yakuza totalement débile, revient dans sa petite ville natale après avoir commis une énorme bourde contre son propre clan. Il convainc son amie d'enfance de le cacher chez elle pendant un certain temps. Mais lorsque Kyotaro entre dans l'appartement, il découvre qu'une ado vit déjà ici. Et elle n'est autre que... sa fille dont il ne se souvient absolument pas. Kyotaro va devoir alors composer avec cette personnalité rebelle pour (re)devenir le meilleur père possible, malgré son tempérament explosif, sa mentalité de gangster et un groupe d'individus dangereux à sa recherche, qui vient juste de débarquer en ville Critique : Par quel bout prendre ce manga, telle est la question… C’est sans doute l’humour le maître-mot de ce livre mais pas n’importe lequel non plus. C’est à la fois déjanté et irrévérencieux, parfois drôle, parfois dérangeant et par moment sans grand intérêt. Car le livre n’a pas vraiment d’objectif en soi, il y a bien une histoire, celle de Kyôtarô, un homme dans la trentaine qui revient se terrer dans sa ville natale pour échapper à son propre clan de yakuza dans lequel il n’a jamais réussi à briller malgré sa volonté d’être le yakuza ultime. Il découvre alors qu’il a une fille et que s’il veut rester vivre là il doit devenir un bon père. Cela aurait pu faire une histoire intéressante avec un véritable développement mais le personnage principal n’en a rien à faire, c’est un profiteur de première qui fait semblant d’essayer. Donc d’un côté, on a Kyôtarô dont le seul objectif est de survivre et si possible aux crochets des autres et de l’autre, tout un tas de personnages secondaires assez improbables également. Cela va de la fille complétement obsédée par l’argent, de la grand-mère nymphomane au sous-fifre envahissant. Et bizarrement, tout ce petit monde arrive à créer un récit complétement loufoque qui ne mène pas vraiment à quelque chose mais qui a le mérite de nous sortir complétement de notre quotidien et qui arrive même, parfois, à nous faire rire. Par contre, attention, les situations sont telles qu’il est à réserver à un public adulte. Surtout lisez bien la postface de l’auteur en fin du tome 2 au sujet de son œuvre, c’est sans doute la partie la plus drôle de l’œuvre. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/super-bad-father-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  11. Par quel bout prendre ce manga, telle est la question… C’est sans doute l’humour le maître-mot de ce livre mais pas n’importe lequel non plus. C’est à la fois déjanté et irrévérencieux, parfois drôle, parfois dérangeant et par moment sans grand intérêt. Car le livre n’a pas vraiment d’objectif en soi, il y a bien une histoire, celle de Kyôtarô, un homme dans la trentaine qui revient se terrer dans sa ville natale pour échapper à son propre clan de yakuza dans lequel il n’a jamais réussi à briller malgré sa volonté d’être le yakuza ultime. Il découvre alors qu’il a une fille et que s’il veut rester vivre là il doit devenir un bon père. Cela aurait pu faire une histoire intéressante avec un véritable développement mais le personnage principal n’en a rien à faire, c’est un profiteur de première qui fait semblant d’essayer. Donc d’un côté, on a Kyôtarô dont le seul objectif est de survivre et si possible aux crochets des autres et de l’autre, tout un tas de personnages secondaires assez improbables également. Cela va de la fille complétement obsédée par l’argent, de la grand-mère nymphomane au sous-fifre envahissant. Et bizarrement, tout ce petit monde arrive à créer un récit complétement loufoque qui ne mène pas vraiment à quelque chose mais qui a le mérite de nous sortir complétement de notre quotidien et qui arrive même, parfois, à nous faire rire. Par contre, attention, les situations sont telles qu’il est à réserver à un public adulte. Surtout lisez bien la postface de l’auteur en fin du tome 2 au sujet de son œuvre, c’est sans doute la partie la plus drôle de l’œuvre.
  12. Titre de l'album : Toutes les raisons de s'aimer tomes 1 et 2 Scenariste de l'album : HIRO Chihiro Dessinateur de l'album : HIRO Chihiro Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Toutes les raisons de s'aimer, c'est le nouvel incontournable de la romance lycéenne. Chihiro Hiro y décrit avec finesse la découverte du sentiment amoureux au travers d'interactions adolescentes subtiles et touchantes. N'attendez pas pour succomber ! Lorsqu'Urara Andô découvre que le garçon qui lui est venu en aide dans le train est un élève de son lycée du nom d'Aiji Okaniwa, elle pense que c'est le Destin qui les a rapprochés. Elle compte donc prendre les devants pour apprendre à le connaître, mais Jun Mizono, l'ami d'enfance d'Aiji, se révèle particulièrement protecteur envers lui... Mettra-t-il des bâtons dans les roues de la lycéenne ? Critique : Urara est lycéenne, du genre élève modèle, elle a décidé que la prochaine fois qu’un garçon lui plairait, elle tenterait sa chance. Ça tombe bien, car son dernier coup de cœur se trouve dans son lycée ! Sauf que le garçon (Aiji), bien sous tous rapport, gentil et populaire, a probablement le cœur brisé et que son ami d’enfance compte bien dissuadé Urara d’aller plus loin. Bref, une romance lycéenne un peu cliché avec des situations déjà vues et revues… Alors si on fait abstraction de toutes les autres romances dans le même genre et que ce livre est une première lecture, on le trouvera plutôt sympathique. Les personnages ont un caractère bien défini, un triangle amoureux se profile, les dessins sont agréables et il y a un mystère autour d’Aiji qui pimente la situation. Urara manque peut-être un peu de personnalité mais elle va de l’avant et elle est plutôt positive. Une romance gentillette à lire surtout si vous commencez le shojo. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/toutes-les-raisons-de-s-aimer-tome-1-vf?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  13. Urara est lycéenne, du genre élève modèle, elle a décidé que la prochaine fois qu’un garçon lui plairait, elle tenterait sa chance. Ça tombe bien, car son dernier coup de cœur se trouve dans son lycée ! Sauf que le garçon (Aiji), bien sous tous rapport, gentil et populaire, a probablement le cœur brisé et que son ami d’enfance compte bien dissuadé Urara d’aller plus loin. Bref, une romance lycéenne un peu cliché avec des situations déjà vues et revues… Alors si on fait abstraction de toutes les autres romances dans le même genre et que ce livre est une première lecture, on le trouvera plutôt sympathique. Les personnages ont un caractère bien défini, un triangle amoureux se profile, les dessins sont agréables et il y a un mystère autour d’Aiji qui pimente la situation. Urara manque peut-être un peu de personnalité mais elle va de l’avant et elle est plutôt positive. Une romance gentillette à lire surtout si vous commencez le shojo.
  14. Titre de l'album : Ma sorcière à moi tome 1 Scenariste de l'album : MAS Haeyoon Dessinateur de l'album : MAS Haeyoon Coloriste : Editeur de l'album : Kamondo Books Note : Résumé de l'album : En cette lointaine époque, si vous êtes trop bonne ou trop mauvaise pour quelque chose ou simplement trop belle, on dit de vous que vous êtes une sorcière. Mais il existe aussi des êtres magiques appelés sorcières, qui ont le pouvoir de voyager à la fois dans le temps et dans différentes dimensions, et le font dans un but bien précis : trouver l'amour avec des êtres humains. Face aux rebondissements du destin et du temps, un jeune garçon et une mystérieuse sorcière, qui sont exclus, moqués et détestés parce qu'ils sont différents, vont se rencontrer. Lui est exclu en raison de son imperfection, l'autre parce qu'elle est trop parfaite... Mais pour pouvoir vivre leur vie, ils vont avoir besoin de plus que de simples sorts magiques et incantations : ils auront besoin l'un de l'autre. Critique : Ouahh ; je ne m’attendais pas à ça mais alors pas du tout ! Derrière une couverture qui m’a fait penser à la Petite Sirène et des premières pages qui semblaient légèrement classiques, se cache un ovni ! Il y a d’abord la narration de Colin, le personnage principal, qui semble revenir sur des éléments du passé tout en étant dans le présent. Puis Philippa, la sorcière, qui prend toujours tout du bon côté. Mais surtout il y a leur amour, puissant, qui franchit les limites du temps et qui revient vie après vie, renaissance après renaissance et qui les pousse à toujours se retrouver. C’est un peu imperceptible au départ mais peu à peu, leurs sentiments franchissent le cadre du livre et atteignent le lecteur. C’est une montée très lente des émotions qui finissent par exploser ! En même temps que cet Amour, il y a l’écœurement, le désarroi face à des attitudes humaines insupportables et révoltantes mais pourtant tellement justes ! Un livre qui sait décontenancer et surprendre, à découvrir !! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/ma-sorciere-a-moi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  15. Nickad

    Ma sorcière à moi tome 1

    Ouahh ; je ne m’attendais pas à ça mais alors pas du tout ! Derrière une couverture qui m’a fait penser à la Petite Sirène et des premières pages qui semblaient légèrement classiques, se cache un ovni ! Il y a d’abord la narration de Colin, le personnage principal, qui semble revenir sur des éléments du passé tout en étant dans le présent. Puis Philippa, la sorcière, qui prend toujours tout du bon côté. Mais surtout il y a leur amour, puissant, qui franchit les limites du temps et qui revient vie après vie, renaissance après renaissance et qui les pousse à toujours se retrouver. C’est un peu imperceptible au départ mais peu à peu, leurs sentiments franchissent le cadre du livre et atteignent le lecteur. C’est une montée très lente des émotions qui finissent par exploser ! En même temps que cet Amour, il y a l’écœurement, le désarroi face à des attitudes humaines insupportables et révoltantes mais pourtant tellement justes ! Un livre qui sait décontenancer et surprendre, à découvrir !!
  16. Nickad

    café des sports

    pour la natation, il y avait un grand silence juste avant le départ, après des cris pendant tout le temps des courses (elles vont vite les courses, on a vue 14 finales en 3 heures), ensuite un nouveau un silence, il y avait moins l'effet groupe par pays, peut-être parce qu'il y avait beaucoup de monde. les gens encouragent plus un nageur en particulier et pas une équipe. La grosse ambiance a été quand Emeline est passée (avant la course et bien sûr quand elle a gagné la médaille d'or surtout qu'elle était pas favorite), il y avait bien un autre français dans une autre course mais il n'y a pas eu le même effet. Et puis la moitié des spectateurs sont partis après la dernière course sans attendre la remise des dernières médailles Pour le rugby, c'était une ambiance stade : il y avait des animateurs pendant les breaks, un court spectacle à la mi-temps et les spectateurs lançaient aussi des animations (ola, applaudissements, chansons...) et de la musique quasiment tout le temps
  17. Nickad

    café des sports

    Je suis allée voir la para natation dimanche et le rugby fauteuil hier, deux ambiances différentes mais super sympa la vue sur la piscine était assez impressionnante, on a vue la médaille d'or d'Emeline en direct !! Globalement une super organisation sauf pour une remise de médaille : la moins bien pensée des JO probablement : mettez des jeunes filles aveugles sur un podium sans accompagnateur et un homme en fauteuil pour remettre les médailles en bas du podium... le gars ne pouvait pas approcher des médaillées et elles ne savaient pas jusqu'où elles pouvaient avancer !!!
  18. Visiblement tu aimes bien cette série car tu avais déjà mis en ligne cette critique fin juillet 🤣
  19. Titre de l'album : The world after the fall tome 1 Scenariste de l'album : S-Cynan / SingNsong Dessinateur de l'album : Undead Gamja Coloriste : Undead Gamja Editeur de l'album : Pika - Wavetoon Note : Résumé de l'album : Le monde jusqu'alors paisible, se retrouve soudainement terrorisé lorsque de gigantesques tours apparaissent, accompagnées d'essaims de monstres. De plus, un message apparaît devant chaque habitant : « voulez-vous sauver l'humanité ? ». Des volontaires sont téléportés dans la tour avec pour mission de monter jusqu'au dernier étage. Parmi eux, Jaehwan, un jeune aventurier prêt à tout pour rétablir l'ordre. Mais il commence à douter du système et l'ascension se complique d'étage en étage. Jaehwan arrivera-t-il au 100e étage sans se laisser avoir par les pièges ? Critique : Pour sauver le monde, il faut gravir la tour, affronter les ennemis, les vaincre et avancer encore et toujours. Le groupe de marcheurs dont fait partie Jaehwan se bat chaque jour au péril de leur vie et plus ils avancent moins ils sont nombreux. Seul Jaehwan arrive au dernier étage pour découvrir que la réalité n’est pas celle à laquelle ils croyaient tous. Bien décidé à ne plus se laisser manipuler, Jaehwan décide de se rebeller contre la tour. Quel que soient les livres où l’on parle de portails ou de tours d’entrainement, il n’y a toujours qu’un seul but : obtenir des humains surpuissants capables de vaincre n’importe quel ennemi ! Ce qui diffère ensuite ce sont les objectifs de la tour et comment les humains sont considérés dans le monde du livre. Est-ce qu’ils sont juste des pions à divertir des dieux comme dans Lecteur omniscient ? Des êtres entrainés pour sauver le monde de la destruction comme dans My S-class hunters ou encore juste une entité bénigne dans un système beaucoup plus grand comme dans Solo Leveling ? Ce 1er tome de The World after the fall apporte quelques éléments de réponse où la Terre ne serait qu’une petite partie d’un tout. Jaehwan refuse de suivre la procédure normale et va donc devenir un élément perturbateur dans ce système où l’on ne connaît pas encore grand-chose. La majorité de ce 1er tome est donc consacré à Jaehwan entre la fin de son ascension et la recherche de la vérité, on découvre un personnage intelligent qui se donne à fond dans ce qu’il fait et qui ne compte pas se laisser manipuler. Un premier volume où il y a donc beaucoup de combats ! Ce n’est que vers la fin (les deux derniers chapitres) que l’aventure commence vraiment quand Jaehwan dépasse l’étage 100. Le webtoon est toujours en cours actuellement, il compte 138 chapitres (VO) et il est disponible sur la plateforme Webtoon. Ce 1er tome de The world after the fall pose daonc les bases de son personnage et de l’univers dans lequel il va évoluer même si, pour le moment, on n’en a qu’un très bref aperçu. Il a un scénario prometteur avec de l’originalité. Côté graphisme, on reconnaît la qualité du studio Redice : un trait fin et précis, des scènes d’action dynamiques et convaincantes et des personnages fantastiques très bien réalisés. Un webtoon à découvrir ! PS : soyez attentif au chapitre 6, il y a un clin d’œil sympathique à une autre série du studio Redice ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/the-world-after-the-fall-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  20. Nickad

    The world after the fall tome 1

    Pour sauver le monde, il faut gravir la tour, affronter les ennemis, les vaincre et avancer encore et toujours. Le groupe de marcheurs dont fait partie Jaehwan se bat chaque jour au péril de leur vie et plus ils avancent moins ils sont nombreux. Seul Jaehwan arrive au dernier étage pour découvrir que la réalité n’est pas celle à laquelle ils croyaient tous. Bien décidé à ne plus se laisser manipuler, Jaehwan décide de se rebeller contre la tour. Quel que soient les livres où l’on parle de portails ou de tours d’entrainement, il n’y a toujours qu’un seul but : obtenir des humains surpuissants capables de vaincre n’importe quel ennemi ! Ce qui diffère ensuite ce sont les objectifs de la tour et comment les humains sont considérés dans le monde du livre. Est-ce qu’ils sont juste des pions à divertir des dieux comme dans Lecteur omniscient ? Des êtres entrainés pour sauver le monde de la destruction comme dans My S-class hunters ou encore juste une entité bénigne dans un système beaucoup plus grand comme dans Solo Leveling ? Ce 1er tome de The World after the fall apporte quelques éléments de réponse où la Terre ne serait qu’une petite partie d’un tout. Jaehwan refuse de suivre la procédure normale et va donc devenir un élément perturbateur dans ce système où l’on ne connaît pas encore grand-chose. La majorité de ce 1er tome est donc consacré à Jaehwan entre la fin de son ascension et la recherche de la vérité, on découvre un personnage intelligent qui se donne à fond dans ce qu’il fait et qui ne compte pas se laisser manipuler. Un premier volume où il y a donc beaucoup de combats ! Ce n’est que vers la fin (les deux derniers chapitres) que l’aventure commence vraiment quand Jaehwan dépasse l’étage 100. Le webtoon est toujours en cours actuellement, il compte 138 chapitres (VO) et il est disponible sur la plateforme Webtoon. Ce 1er tome de The world after the fall pose daonc les bases de son personnage et de l’univers dans lequel il va évoluer même si, pour le moment, on n’en a qu’un très bref aperçu. Il a un scénario prometteur avec de l’originalité. Côté graphisme, on reconnaît la qualité du studio Redice : un trait fin et précis, des scènes d’action dynamiques et convaincantes et des personnages fantastiques très bien réalisés. Un webtoon à découvrir ! PS : soyez attentif au chapitre 6, il y a un clin d’œil sympathique à une autre série du studio Redice !
  21. Titre de l'album : Tu me coupes le souffle tome 2 Scenariste de l'album : Zeniko Sumiya Dessinateur de l'album : Zeniko Sumiya Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Suzuki et Yano sont enfin en couple et décident d'emménager ensemble. Leur cohabitation se passait à merveille jusqu'à ce que Shizuki apprenne que Yano a des problèmes avec son père. Alors que Shizuki voudrait soutenir Yano et en apprendre plus sur lui, celui-ci refuse de lui ouvrir son coeur. Shizuki est ainsi de plus en plus en proie au doute, et voilà que Shibasaki, l'ami d'enfance de Yano, très au fait de son passé, fait son apparition dans la fanfare. Critique : Je suis un peu déçue par ce second tome. Certes la relation entre nos deux protagonistes évolue bien, ils apprennent à se connaitre et aussi à faire face à cette nouvelle situation c’est-à-dire trouver leurs marques l’un par rapport à l’autre. C’est aussi le moment d’en apprendre plus sur l’autre, son passé et savoir ce qu’il convient de faire en tant que petit ami. La psychologie et les sentiments sont toujours mis en avant dans ce second tome mais la partie « spéciale » autour de leur sensibilité musicale a disparue ! C’est dommage car c’était la véritable originalité du récit. On se retrouve avec une histoire bien faite, écrite et dessinée mais qui tend vers un déroulement classique. L’arrivée de l’ami d’enfance de Yano dans la deuxième moitié apporte un peu de renouveau et de dynamisme et de belles analyses sur les relations et la communication mais hélas, cela n’a rien de très original non plus. Une lecture agréable mais sans plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tu-me-coupes-le-souffle-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  22. Nickad

    Tu me coupes le souffle tome 2

    Je suis un peu déçue par ce second tome. Certes la relation entre nos deux protagonistes évolue bien, ils apprennent à se connaitre et aussi à faire face à cette nouvelle situation c’est-à-dire trouver leurs marques l’un par rapport à l’autre. C’est aussi le moment d’en apprendre plus sur l’autre, son passé et savoir ce qu’il convient de faire en tant que petit ami. La psychologie et les sentiments sont toujours mis en avant dans ce second tome mais la partie « spéciale » autour de leur sensibilité musicale a disparue ! C’est dommage car c’était la véritable originalité du récit. On se retrouve avec une histoire bien faite, écrite et dessinée mais qui tend vers un déroulement classique. L’arrivée de l’ami d’enfance de Yano dans la deuxième moitié apporte un peu de renouveau et de dynamisme et de belles analyses sur les relations et la communication mais hélas, cela n’a rien de très original non plus. Une lecture agréable mais sans plus.
  23. Titre de l'album : Autrice de ma destinée tomes 1 & 2 Scenariste de l'album : FURIK Dessinateur de l'album : JEOKBAL Coloriste : Editeur de l'album : KODA Note : Résumé de l'album : À la fin du roman à succès « L'Empereur et la sainte », Fiona Green, enfant illégitime devenue méchante magicienne, est vaincue par les héros. Tout est bien qui finit bien ? Pas pour l'autrice du roman ! Elle se retrouve dans le corps de Fiona enfant, envoyée se battre contre les monstres qui tentent d'envahir le royaume. Résolue à changer son destin, tenaillée par la peur de prendre une mauvaise décision, sa situation se complique encore lorsqu'elle sauve de la mort Siegren, le héros du roman. Réussira-t-elle à changer le cours de cette histoire qui est maintenant la sienne ? Critique : On a eu plusieurs webtoons de romantasy ces derniers mois et celui-ci est sans doute mon préféré même si j’ai eu des coups de cœur pour d’autres. Depuis que j’ai lu le tome 1 en février, je n’attendais qu’une chose, pouvoir lire la suite ! Oui bien sûr, j’aurai pu le faire en ligne sur la défunte plateforme Piccoma mais j’ai une nette préférence pour le format physique surtout quand c’est une œuvre que j’aime beaucoup. Il est beaucoup plus facile de pouvoir se replonger dedans et de relire ses passages préférés ! Autrice de ma destinée c’est d’abord une transmigration mais pas n’importe laquelle : l’autrice du roman « l’empereur et la sainte » se réveille un jour dans le personnage de Fiona, une enfant illégitime persécutée par sa famille qui deviendra le boss de fin de l’histoire, elle rencontrera alors une fin épouvantable. Donc notre nouvelle Fiona va faire en sorte d’échapper à ce destin mais ce qui change vraiment de ce genre d’histoire c’est qu’elle veut qu’à part son destin, la suite du roman se déroule comme dans son livre : le héros doit donc rencontrer sa belle ! Cet aspect va avoir une grande influence sur le comportement de Fiona car elle ne conçoit absolument pas que les autres personnages dévient du scénario. Il est pourtant évident que ses actions auront une répercussion ! Elle ne serait qu’une fille quelconque, ça aurait pu être le cas mais comme elle est censée devenir l’une des plus grandes mages du royaume, ses agissements ont beaucoup d’impact. Si ce webtoon sort du lot c’est également dû à ses personnages principaux, il y a Fiona bien sûr qui change les choses sans trop en faire et sans trop s’attacher aux autres (enfin c’est ce qu’elle croit). Il y a Siegren, le futur héros et empereur de l’histoire, aussi bon au combat qu’il est amoureux de Fiona. Mais surtout il y a le duc d’Heylon, l’essentiel homme puissant glacial qui a en réalité un cœur tendre. La relation entre Fiona et le duc ne manque pas d’entrain ni de réparties et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Dans le second tome on découvre la famille de Fiona et ça vaut le détour ! Côté graphisme, le webtoon est de toute beauté : des décors travaillés, des personnages au traits fins et ronds, des scènes d'action dynamique ! Le dessin met autant en valeur le romantisme que l'aventure ! Armé de personnages intéressants au caractère bien trempés et de quelques trouvailles scénaristiques, Autrice de ma destinée sait charmer son public. Vivement la suite ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/autrice-de-ma-destinee-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
  24. On a eu plusieurs webtoons de romantasy ces derniers mois et celui-ci est sans doute mon préféré même si j’ai eu des coups de cœur pour d’autres. Depuis que j’ai lu le tome 1 en février, je n’attendais qu’une chose, pouvoir lire la suite ! Oui bien sûr, j’aurai pu le faire en ligne sur la défunte plateforme Piccoma mais j’ai une nette préférence pour le format physique surtout quand c’est une œuvre que j’aime beaucoup. Il est beaucoup plus facile de pouvoir se replonger dedans et de relire ses passages préférés ! Autrice de ma destinée c’est d’abord une transmigration mais pas n’importe laquelle : l’autrice du roman « l’empereur et la sainte » se réveille un jour dans le personnage de Fiona, une enfant illégitime persécutée par sa famille qui deviendra le boss de fin de l’histoire, elle rencontrera alors une fin épouvantable. Donc notre nouvelle Fiona va faire en sorte d’échapper à ce destin mais ce qui change vraiment de ce genre d’histoire c’est qu’elle veut qu’à part son destin, la suite du roman se déroule comme dans son livre : le héros doit donc rencontrer sa belle ! Cet aspect va avoir une grande influence sur le comportement de Fiona car elle ne conçoit absolument pas que les autres personnages dévient du scénario. Il est pourtant évident que ses actions auront une répercussion ! Elle ne serait qu’une fille quelconque, ça aurait pu être le cas mais comme elle est censée devenir l’une des plus grandes mages du royaume, ses agissements ont beaucoup d’impact. Si ce webtoon sort du lot c’est également dû à ses personnages principaux, il y a Fiona bien sûr qui change les choses sans trop en faire et sans trop s’attacher aux autres (enfin c’est ce qu’elle croit). Il y a Siegren, le futur héros et empereur de l’histoire, aussi bon au combat qu’il est amoureux de Fiona. Mais surtout il y a le duc d’Heylon, l’essentiel homme puissant glacial qui a en réalité un cœur tendre. La relation entre Fiona et le duc ne manque pas d’entrain ni de réparties et apporte beaucoup de fraicheur à l’histoire. Dans le second tome on découvre la famille de Fiona et ça vaut le détour ! Côté graphisme, le webtoon est de toute beauté : des décors travaillés, des personnages au traits fins et ronds, des scènes d'action dynamique ! Le dessin met autant en valeur le romantisme que l'aventure ! Armé de personnages intéressants au caractère bien trempés et de quelques trouvailles scénaristiques, Autrice de ma destinée sait charmer son public. Vivement la suite !
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