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Titre de l'album : White liar Scenariste de l'album : Tomo Serizawa Dessinateur de l'album : Tomo Serizawa Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Kei, coiffeur de 28 ans, n'arrive pas à faire confiance aux hommes à cause de ses relations passées. Évitant de tomber amoureux, il se consacre uniquement à des coups d'un soir. Un jour, un acteur célèbre nommé Taiga désigne Kei pour lui couper les cheveux et alors qu'il semble peu sociable, il devient tout à coup étrangement plus amical une fois la coupe terminée. Ils finissent par se rapprocher et Kei se laisse entraîner pour une nuit... Mais Taiga n'est pas un sex friend comme les autres, il change complètement lorsqu'il est pris dans un rôle, même s'il touche et regarde Kei si tendrement habituellement. Ce dernier qui connaît maintenant la chaleur de Taiga va avoir du mal à s'en détacher... Critique : Comment faire pour vivre une relation sentimentale avec une célébrité ? Et même au-delà de cette considération, pour avoir pleinement confiance en la sincérité de cette personne quand il s’agit d’un acteur de génie capable de s’immerger dans chacun de ses rôles ? C’est dans cette situation que se trouve Kei, un jeune coiffeur qui a déjà connu des déconvenues en amour et qui ne croit plus en une relation sincère. Il rencontre par hasard Taiga, l’acteur montant du moment avec qui il passe une nuit, ils décident de poursuivre leur relation sans lendemain composé de moments intimes sans engagement mais ce qu’il ignore c’est Taiga le cherchait depuis longtemps. Hélas, il n’arrive pas à lui faire confiance. White liar est une histoire très plaisante à lire, le dessin est agréable et le scénario est fluide et bien construit. Même s’il y a des thématiques intéressantes, notamment concernant le jeu du comédien et sa façon de s’identifier ou non à son personnage, on se laisse facilement emporter dans la relation de Kei et Taiga. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/white-liar?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : L'histoire de papa, papa et moi tome 1 Scenariste de l'album : Roji Dessinateur de l'album : Roji Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Maintenant que le mariage homosexuel a été légalisé, Nao et Ai, qui sortent ensemble depuis l'université, décident de sceller leur union et d'adopter un petit garçon nommé Hiro. Nao est un jeune homme sensible qui pleure facilement, tandis qu'Ai est plus du genre à tout prendre à la légère. Leurs différences les aideront-elles dans cette grande aventure qu'est la parentalité ? Comment vont-ils gérer les premiers grands moments de la vie de leur fils ? Critique : Après leur mariage, Nao et Ai, un couple homosexuel décide de franchir un nouveau cap en adoptant un enfant. S’ils apprennent à devenir parent au fur et à mesure en découvrant les petits bonheurs et inconvénients de leur nouvelle responsabilité, ils doivent aussi faire face au regard des autres plus aiguisé pour eux dans un pays qui n’est pas encore habitué à une parentalité homosexuelle. Quand on devient parent, on se pose beaucoup de questions, il y a une grosse responsabilité à élever un enfant. Est-ce que je fais bien les choses ? Comment faire pour protéger mon enfant ? Le rendre heureux ? Suis-je à la hauteur ?... En même temps, chacun doit trouver sa place dans la famille et il y a forcément des contraintes à prendre en compte même si on le fait avec plaisir et sans compter !! Mais cette introspection renvoie également à notre propre enfance, aux relations que nous avons eues avec nos parents. C’est ainsi que Nao doit affronter les fantômes de son passé notamment l’absence de sa mère. Si cette histoire est parfois mignonne, elle est aussi très terre-à-terre. Elle nous met en face de réalités concrètes auxquelles tout parent doit faire face. Même si c’est nécessaire pour la compréhension, c’est un peu trop verbal à mon goût et le tout manque un peu d’entrain. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/l-histoire-de-papa-papa-et-moi?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Après leur mariage, Nao et Ai, un couple homosexuel décide de franchir un nouveau cap en adoptant un enfant. S’ils apprennent à devenir parent au fur et à mesure en découvrant les petits bonheurs et inconvénients de leur nouvelle responsabilité, ils doivent aussi faire face au regard des autres plus aiguisé pour eux dans un pays qui n’est pas encore habitué à une parentalité homosexuelle. Quand on devient parent, on se pose beaucoup de questions, il y a une grosse responsabilité à élever un enfant. Est-ce que je fais bien les choses ? Comment faire pour protéger mon enfant ? Le rendre heureux ? Suis-je à la hauteur ?... En même temps, chacun doit trouver sa place dans la famille et il y a forcément des contraintes à prendre en compte même si on le fait avec plaisir et sans compter !! Mais cette introspection renvoie également à notre propre enfance, aux relations que nous avons eues avec nos parents. C’est ainsi que Nao doit affronter les fantômes de son passé notamment l’absence de sa mère. Si cette histoire est parfois mignonne, elle est aussi très terre-à-terre. Elle nous met en face de réalités concrètes auxquelles tout parent doit faire face. Même si c’est nécessaire pour la compréhension, c’est un peu trop verbal à mon goût et le tout manque un peu d’entrain.
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Kaneda est une jeune recrue d’un studio de production spécialisé dans l’imagerie 3D. Il a Yanase comme tuteur, une pointure dans son domaine. Mais Kaneda ne semble pas très enjoué, il est très cassant et demande à Yanase de garder ses distances dès que ce dernier essaye de sympathiser. En réalité, Kaneda est super timide surtout envers Yanase pour qui il a une admiration sans faille. Il y a d’abord l’aspect mignon de l’histoire, Kaneda est à la fois gêné et passionné, c’est touchant de ressentir tout la ferveur qu’il porte à Yanase et de voir qu’il est prêt à tout pour l’épauler ! Mais derrière cette amitié / romance, il y a aussi des thématiques plus sérieuses. Comment continuer à faire ce que l’on aime quand on ne peut pas aller au bout de ses ambitions ? C’est le cas de Yanase qui s’est vu refuser des créations artistiques au profit de considération plus matérialistes. Ensuite, il y a un sujet autour de l’admiration ou comment arriver à différencier la réalité de l’image publique. Et pour résoudre tous ces problèmes, il y a l’écoute et l’entraide. Un livre intéressant et bien mené.
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Titre de l'album : Senpai, this can't be love ! tome 1 Scenariste de l'album : Shinta Harekawa Dessinateur de l'album : Shinta Harekawa Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Gentil, sûr de lui, doué dans ce qu'il fait... On peut appliquer toutes ces qualités à Yanase, designer en charge de former les nouveaux arrivants, dont Kaneda, un vrai bourreau de travail. Bien qu'excité à l'idée d'accomplir sa nouvelle mission, Yanase commence à perdre patience face à l'indifférence et la froideur de Kaneda. Pourtant, à l'intérieur de lui, Kaneda a de plus en plus de mal à dissimuler ses émotions vis-à-vis de son supérieur... Critique : Kaneda est une jeune recrue d’un studio de production spécialisé dans l’imagerie 3D. Il a Yanase comme tuteur, une pointure dans son domaine. Mais Kaneda ne semble pas très enjoué, il est très cassant et demande à Yanase de garder ses distances dès que ce dernier essaye de sympathiser. En réalité, Kaneda est super timide surtout envers Yanase pour qui il a une admiration sans faille. Il y a d’abord l’aspect mignon de l’histoire, Kaneda est à la fois gêné et passionné, c’est touchant de ressentir tout la ferveur qu’il porte à Yanase et de voir qu’il est prêt à tout pour l’épauler ! Mais derrière cette amitié / romance, il y a aussi des thématiques plus sérieuses. Comment continuer à faire ce que l’on aime quand on ne peut pas aller au bout de ses ambitions ? C’est le cas de Yanase qui s’est vu refuser des créations artistiques au profit de considération plus matérialistes. Ensuite, il y a un sujet autour de l’admiration ou comment arriver à différencier la réalité de l’image publique. Et pour résoudre tous ces problèmes, il y a l’écoute et l’entraide. Un livre intéressant et bien mené. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/senpai-this-can-t-be-love-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Hosaka & Miyoshi tome 1 Scenariste de l'album : Beriko Scarlet Dessinateur de l'album : Beriko Scarlet Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : À deux doigts de se lancer dans une relation sérieuse, Miyoshi, un étudiant qui manque de confiance en lui, n'ose pas finaliser son engagement avec Hosaka, plus âgé et plus entreprenant que lui. Huit mois après s'être perdus de vue, les retrouvailles avec le célèbre créateur de mode s'annoncent mouvementées. Ce dernier ne semble pas en vouloir à Miyoshi d'avoir disparu du jour au lendemain, mais n'hésite cependant pas à lui jouer un petit tour devant ses employés, ce qui a pour effet de mettre Miyoshi dans une colère noire. Il décide alors de pirater son ordinateur pour l'espionner chez lui en cachette, au risque de découvrir bien des secrets... Critique : Miyoshi est un jeune étudiant, timide et néophyte en amour. Hosaka est un créateur de mode qui pourrait être son père mais qui est surtout fou amoureux de Miyoshi. Il n’hésite d’ailleurs pas à montrer son affection et ne cesse des déclarer ses sentiments. Alors qu’Hosaka propose à Miyoshi de partager un appartement, ce dernier prend peur et ne donne plus de nouvelles pendant des mois. Mais quand ils se revoient, il apprend à mieux le connaitre et retombe peu à peu sous le charme. C’est une jolie romance pleine d’innocence et de pureté : Miyoshi est inexpérimenté et Hosaka l’attend patiemment. Mais, il y a comme un bug dans le scénario ! En effet, on a l’impression de débuter la lecture à la saison 2 ! Il y a bien quelques pages qui résument le passé mais sans donner beaucoup d’explications, un début qui va beaucoup trop vite et qui ne permet pas de se mettre dans l’ambiance. Quant à la suite, l’histoire veut mettre en avant le côté innocent de Miyoshi qui va peu à peu devenir « adulte » et prendre conscience de l’ampleur de l’amour que lui porte Hosaka mais manque un peu de réalisme. On a du mal à éprouver de l’empathie pour les personnages même si l’histoire est plutôt bien faite. Un premier tome qui a de bonnes idées mais qui n’est pas complètement convaincant. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/hosaka-miyoshi-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Miyoshi est un jeune étudiant, timide et néophyte en amour. Hosaka est un créateur de mode qui pourrait être son père mais qui est surtout fou amoureux de Miyoshi. Il n’hésite d’ailleurs pas à montrer son affection et ne cesse des déclarer ses sentiments. Alors qu’Hosaka propose à Miyoshi de partager un appartement, ce dernier prend peur et ne donne plus de nouvelles pendant des mois. Mais quand ils se revoient, il apprend à mieux le connaitre et retombe peu à peu sous le charme. C’est une jolie romance pleine d’innocence et de pureté : Miyoshi est inexpérimenté et Hosaka l’attend patiemment. Mais, il y a comme un bug dans le scénario ! En effet, on a l’impression de débuter la lecture à la saison 2 ! Il y a bien quelques pages qui résument le passé mais sans donner beaucoup d’explications, un début qui va beaucoup trop vite et qui ne permet pas de se mettre dans l’ambiance. Quant à la suite, l’histoire veut mettre en avant le côté innocent de Miyoshi qui va peu à peu devenir « adulte » et prendre conscience de l’ampleur de l’amour que lui porte Hosaka mais manque un peu de réalisme. On a du mal à éprouver de l’empathie pour les personnages même si l’histoire est plutôt bien faite. Un premier tome qui a de bonnes idées mais qui n’est pas complètement convaincant.
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Quand Torû était adolescent, il était un voleur à la sauvette plutôt doué. Il se faisait souvent réprimandé par Katô, un policier de quartier. Ce petit jeu était devenu comme une habitude et Torû passait beaucoup de temps près de Katô. Dix ans plus tard, il se fait à nouveau pincer lors d’un vol et tombe à nouveau sur Katô qui est devenu membre d’une unité spécialisée dans la cybercriminalité ? Il propose à Torû de les rejoindre plutôt que d’aller en prison. Ce dernier accepte à condition de loger ensemble car ses sentiments sont toujours présents après toutes ces années. Le manga joue sur deux tableaux. D’un côté, il y a l’aspect polar avec de l’action et des enquêtes et de l’autre un amour visiblement à sens unique. Torû court désespérément après Katô qui le repousse sans cesse. Jusqu’au bout du livre, leur relation restera floue et sans certitude. C’est un peu frustrant pour le lecteur car il n’y a pas de véritable fin. Côté action, c’est présent sans être primordial. Un aspect qui est plus là pour mettre une certaine ambiance et introduire des personnages secondaires un peu décalés comme si tous les hackers étaient des cas spéciaux ! Au final, on a une histoire qui nous laisse sur notre faim. Sympathique mais sans plus.
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Titre de l'album : Just on the borderline ! Scenariste de l'album : Akihito Satō Dessinateur de l'album : Akihito Satō Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : À la suite d'un vol à la sauvette, Tôru Satonaka se fait attraper par Kôichi Katô, membre d'une unité spéciale destinée à poursuivre les cybercriminels. Satonaka, pourtant expert en vols en tout genre, se retrouve à devoir choisir entre travailler pour l'unité en question ou être emmené au commissariat le plus proche. 10 ans plus tôt, lorsqu'il n'était qu'un policier de quartier, Katô avait déjà fait la connaissance de Satonaka, un étudiant et pickpocket hors pair à l'époque. Ce dernier accepte à une condition : loger chez Katô. Malgré l'indifférence du policier, cela n'empêche pas Satonaka de se remémorer les sentiments qu'il avait à son égard... Critique : Quand Torû était adolescent, il était un voleur à la sauvette plutôt doué. Il se faisait souvent réprimandé par Katô, un policier de quartier. Ce petit jeu était devenu comme une habitude et Torû passait beaucoup de temps près de Katô. Dix ans plus tard, il se fait à nouveau pincer lors d’un vol et tombe à nouveau sur Katô qui est devenu membre d’une unité spécialisée dans la cybercriminalité ? Il propose à Torû de les rejoindre plutôt que d’aller en prison. Ce dernier accepte à condition de loger ensemble car ses sentiments sont toujours présents après toutes ces années. Le manga joue sur deux tableaux. D’un côté, il y a l’aspect polar avec de l’action et des enquêtes et de l’autre un amour visiblement à sens unique. Torû court désespérément après Katô qui le repousse sans cesse. Jusqu’au bout du livre, leur relation restera floue et sans certitude. C’est un peu frustrant pour le lecteur car il n’y a pas de véritable fin. Côté action, c’est présent sans être primordial. Un aspect qui est plus là pour mettre une certaine ambiance et introduire des personnages secondaires un peu décalés comme si tous les hackers étaient des cas spéciaux ! Au final, on a une histoire qui nous laisse sur notre faim. Sympathique mais sans plus. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/just-borderline/?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Laisse-moi te détester tome 4 Scenariste de l'album : Hijiki Dessinateur de l'album : Hijiki Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : D’un côté, l’oméga Naoto coule des jours heureux avec sa famille adorée constituée de l’alpha Hazuki, son partenaire, sa fille chérie, Shizuku, et de son deuxième enfant Minato. De l’autre, il se démène dans son travail de concierge. Mais à la demande de Mizuki, Hazuki part pour un long voyage d’affaires et il semblerait qu’un élève du lycée où travaille Naoto s’intéresse à ce dernier qui se sent seul. Critique : Première épreuve importante pour la petite famille : Hazuki part en déplacement professionnel pour deux semaines !! C’est la première longue séparation qui risque de s’avérer difficile d’autant plus que les chaleurs de Naoto approchent. C’est aussi le moment où Aoi, un lycéen populaire enchaînant les relations légères et les conquêtes va vivre son premier amour qui n’est autre que Naoto. A titre personnel, j’aurais peut-être mis une note plus haute parce que j’aime cette série et que c’est toujours avec plaisir que j’accueille un nouveau tome. Mais il faut être objectif concernant le contenu ! Si tout se passe bien et qu’il n’y a rien à redire sur le graphisme et le scénario, on reste dans le prolongement normal de l’histoire sans grand bouleversement ni innovation. On rentre un peu plus dans l’analyse du lien entre alpha et omega et comment il fonctionne à distance. On découvre aussi un autre aspect au travers du personnage d’Aoi : celui de la possibilité pour un tiers de venir s’immiscer (ou non) entre deux personnes liées. En tout cas ce personnage m’a bien fait rire, surtout au début, on a le Don Juan dans toute sa splendeur ! Mais comme il fait ça avec une certaine candeur, on l’apprécie quand même ! Je tiens à préciser que dans l’omegaverse, Laisse-moi te détester est considérée comme l’une des meilleures séries, un incontournable que l’on continuera à suivre avec le plus grand plaisir. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/laisse-moi-te-detester-tome-4?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Première épreuve importante pour la petite famille : Hazuki part en déplacement professionnel pour deux semaines !! C’est la première longue séparation qui risque de s’avérer difficile d’autant plus que les chaleurs de Naoto approchent. C’est aussi le moment où Aoi, un lycéen populaire enchaînant les relations légères et les conquêtes va vivre son premier amour qui n’est autre que Naoto. A titre personnel, j’aurais peut-être mis une note plus haute parce que j’aime cette série et que c’est toujours avec plaisir que j’accueille un nouveau tome. Mais il faut être objectif concernant le contenu ! Si tout se passe bien et qu’il n’y a rien à redire sur le graphisme et le scénario, on reste dans le prolongement normal de l’histoire sans grand bouleversement ni innovation. On rentre un peu plus dans l’analyse du lien entre alpha et omega et comment il fonctionne à distance. On découvre aussi un autre aspect au travers du personnage d’Aoi : celui de la possibilité pour un tiers de venir s’immiscer (ou non) entre deux personnes liées. En tout cas ce personnage m’a bien fait rire, surtout au début, on a le Don Juan dans toute sa splendeur ! Mais comme il fait ça avec une certaine candeur, on l’apprécie quand même ! Je tiens à préciser que dans l’omegaverse, Laisse-moi te détester est considérée comme l’une des meilleures séries, un incontournable que l’on continuera à suivre avec le plus grand plaisir.
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Titre de l'album : Tu ne me connais pas aujourd'hui Scenariste de l'album : Moco Tonda Dessinateur de l'album : Moco Tonda Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Ono est un étudiant brillant qui ne peut pas être honnête. Pour une raison quelconque, il est toujours froid avec Mikuni. Au début, Mikuni était mécontent, mais il a soudainement craqué pour le sourire et le comportement d'Ono. Cependant, après avoir été témoin de son agression par un professeur dans la classe, il est incapable de le traiter de la même manière qu'avant et l'évite. Puis une nuit, il apprend qu'Ono s'est suicidé... Mikuni est désespéré, mais l'instant d'après... Il retourne dans le temps, le vendredi précédant la mort d'Ono... Critique : En premier lieu, j’aurai mis le titre dans l’autre sens « aujourd’hui, tu ne me connais pas », histoire d’être dans une construction grammaticale française correcte, enfin, ce n’est pas la seule bourde du livre… D’un autre côté, j’ai vu un webtoon dont le titre est « pas mon enfant, destin ! »… Un peu de relecture ne serait pas du luxe !! Concernant le récit, je trouvais le synopsis intéressant avec une boucle temporelle pour sauver Ono. Il y a même une très belle originalité dans le développement en entremêlant le destin des deux personnages à travers le temps. Il y a cependant quelques petites fautes d’exécution : une explication finale pas très nette et quelques incohérences. Mais le plus important dans cette histoire, c’est la volonté de sauver l’autre, d’être prêt à tout pour changer le destin quitte à mettre son propre avenir en péril. De ce point de vue c’est une belle histoire. Le manga aurait sans doute mérité un peu plus de finesse pour la partie fantastique. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/tu-ne-me-connais-pas-aujourd-hui?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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En premier lieu, j’aurai mis le titre dans l’autre sens « aujourd’hui, tu ne me connais pas », histoire d’être dans une construction grammaticale française correcte, enfin, ce n’est pas la seule bourde du livre… D’un autre côté, j’ai vu un webtoon dont le titre est « pas mon enfant, destin ! »… Un peu de relecture ne serait pas du luxe !! Concernant le récit, je trouvais le synopsis intéressant avec une boucle temporelle pour sauver Ono. Il y a même une très belle originalité dans le développement en entremêlant le destin des deux personnages à travers le temps. Il y a cependant quelques petites fautes d’exécution : une explication finale pas très nette et quelques incohérences. Mais le plus important dans cette histoire, c’est la volonté de sauver l’autre, d’être prêt à tout pour changer le destin quitte à mettre son propre avenir en péril. De ce point de vue c’est une belle histoire. Le manga aurait sans doute mérité un peu plus de finesse pour la partie fantastique.
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Histoire en 2 tomes et c’est bien dommage car j’aurai aimé en avoir plus ! Sweet room escape et sans doute mon boys love coup de cœur de l’année 2024, pour tout vous dire, je l’ai lu deux fois d’affilée et quelques fois encore après. Je ne m’en lasse pas !! D’abord, son autrice Owal a une patte graphique magnifique, les hommes sont à tomber avec un trait fin, une précision des détails et un sens esthétique sans faute. Ensuite il y a un vrai scénario avec des personnages qui ont une forte personnalité. Haruto est un jeune homme qui vit la vie à pleines dents tout en étant conscient de ce qu’il fait et des implications que cela peut avoir. Son objectif : avoir un amant dans chaque pays ! Quant à Albrecht, c’est un homme d’affaires qui sait ce qu’il veut et qui se donne les moyens de l’obtenir. Il a quand même un petit côté flippant dans sa façon de faire la cour. Que ce soit le dessin ou le scénario, il y a du charme partout, on alterne entre séduction et aventure car Haruto tente d’échapper à Al tout en sachant que c’est son partenaire idéal. Les scène intimes sont également très sensuelles et il y a un léger humour pétillant qui nous fait sourire surtout avec l’arrivée du majordome d’Albrecht. Un livre qui se savoure.
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Titre de l'album : Sweet room escape tomes 1 et 2 (fin) Scenariste de l'album : OWAL Dessinateur de l'album : OWAL Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Haruto est un homme d'affaires talentueux voyageant dans le monde entier à la fois pour le travail, et aussi pour se trouver des sex friends aux quatre coins du globe. En partance pour Paris, il rencontre dans l'avion un homme nommé Al qui est tout à fait son genre, mais il préfère finalement ne pas donner suite car ce dernier est un peu trop parfait pour s'amuser. Haruto quitte ainsi Al à l'aéroport en lui promettant d'aller boire un verre s'ils venaient à "se recroiser par hasard" ... Seulement, voilà qu'il tombe à nouveau sur Al dans un restaurant de luxe ?!! Serait-ce le destin ??!! Critique : Histoire en 2 tomes et c’est bien dommage car j’aurai aimé en avoir plus ! Sweet room escape et sans doute mon boys love coup de cœur de l’année 2024, pour tout vous dire, je l’ai lu deux fois d’affilée et quelques fois encore après. Je ne m’en lasse pas !! D’abord, son autrice Owal a une patte graphique magnifique, les hommes sont à tomber avec un trait fin, une précision des détails et un sens esthétique sans faute. Ensuite il y a un vrai scénario avec des personnages qui ont une forte personnalité. Haruto est un jeune homme qui vit la vie à pleines dents tout en étant conscient de ce qu’il fait et des implications que cela peut avoir. Son objectif : avoir un amant dans chaque pays ! Quant à Albrecht, c’est un homme d’affaires qui sait ce qu’il veut et qui se donne les moyens de l’obtenir. Il a quand même un petit côté flippant dans sa façon de faire la cour. Que ce soit le dessin ou le scénario, il y a du charme partout, on alterne entre séduction et aventure car Haruto tente d’échapper à Al tout en sachant que c’est son partenaire idéal. Les scène intimes sont également très sensuelles et il y a un léger humour pétillant qui nous fait sourire surtout avec l’arrivée du majordome d’Albrecht. Un livre qui se savoure. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sweet-room-escape-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Titre de l'album : Black blood Scenariste de l'album : Hayate Kuku Dessinateur de l'album : Hayate Kuku Coloriste : Editeur de l'album : Akata Note : Résumé de l'album : Ethan est un cyborg, épuisé par les nombreux combats auxquels il a participé. Il est envoyé sur la planète Peridot pour participer à une mission de terraforming, qui lui permettra peut-être de trouver la paix intérieur. Mais quand, peu de temps après son arrivée, il rencontre Mikhail, quelque chose change en lui… Un robot tel que lui, qui n’a pourtant pas de « coeur », peut-il réellement ressentir des sentiments ? Critique : Black blood c’est un manga qui mêle une romance boys’ love et de la science-fiction mais ce n’est pas non plus une histoire ordinaire, c’est le lien qui va exister entre un humain et un cyborg. Côté science-fiction, l’histoire se déroule sur une planète à l’environnement hostile où les humains ne peuvent se promener sans une combinaison de protection. Le seul aspect développé dans cette thématique concerne les cyborgs : on a différent modèles et un peu de description sur leur conception. Mais le véritable sujet réside dans l’essence même du cyborg : un être dont il ne reste quasiment plus d’éléments humains. Dans le cas d’Ethan, il ne reste que son cerveau et quelques vertèbres ; sa rencontre avec Mikhail va le plonger dans une introspection sur ce qu’il ressent et sur la réalité de ses sentiments. Peut-on aimer quand on n’a plus de cœur ? Une réponse à cette question sera apportée comme élément final du récit. Côté romance, on a une belle preuve que l’amour rend aveugle puisque Mikhail ne considère jamais Ethan comme un être différent, il en a conscience mais cela ne change rien à son comportement et à son attirance. On peut dire qu’il l’aime vraiment pour ce qu’il est et non pour son physique. Au final, on a une jolie histoire qui aurait peut-être pu aller plus loin dans l’analyse humaine du cyborg mais qui est suffisante pour un one shot. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/black-blood-9782385313876?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Black blood c’est un manga qui mêle une romance boys’ love et de la science-fiction mais ce n’est pas non plus une histoire ordinaire, c’est le lien qui va exister entre un humain et un cyborg. Côté science-fiction, l’histoire se déroule sur une planète à l’environnement hostile où les humains ne peuvent se promener sans une combinaison de protection. Le seul aspect développé dans cette thématique concerne les cyborgs : on a différent modèles et un peu de description sur leur conception. Mais le véritable sujet réside dans l’essence même du cyborg : un être dont il ne reste quasiment plus d’éléments humains. Dans le cas d’Ethan, il ne reste que son cerveau et quelques vertèbres ; sa rencontre avec Mikhail va le plonger dans une introspection sur ce qu’il ressent et sur la réalité de ses sentiments. Peut-on aimer quand on n’a plus de cœur ? Une réponse à cette question sera apportée comme élément final du récit. Côté romance, on a une belle preuve que l’amour rend aveugle puisque Mikhail ne considère jamais Ethan comme un être différent, il en a conscience mais cela ne change rien à son comportement et à son attirance. On peut dire qu’il l’aime vraiment pour ce qu’il est et non pour son physique. Au final, on a une jolie histoire qui aurait peut-être pu aller plus loin dans l’analyse humaine du cyborg mais qui est suffisante pour un one shot.
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Titre de l'album : A genoux, suppliant d'être aimé Scenariste de l'album : Nonono YAMADA Dessinateur de l'album : Nonono YAMADA Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Dans ce monde, certains hommes et femmes ont un genre secondaire : ils peuvent être des Dom, qui veulent dominer les autres, ou des Sub, qui veulent être dominés. Pour subvenir à ses besoins, en parallèle à ses cours au lycée, Masaki travaille dans un club destiné aux Sub. Le transfert dans sa classe d'un nouvel étudiant, Yusei, va bouleverser sa vie. Ce dernier affirme que Masaki est un Sub ; pour le prouver, il lui donne une Injonction, un ordre impossible à ignorer... Critique : On avait déjà découvert ce sous-genre du yaoi qu’est le concept de dom/sub (comprendre dominant et soumis), un genre où certains humains sont dotés d’une seconde nature qui les poussent pour les premiers à donner des injonctions et aux seconds à y obéir. L’abstinence de ce petit jeu ayant des conséquences néfastes sur la santé des concernés et l’idéal est de trouver sa paire (son partenaire). Comme souvent dans ce genre de livres, on commence l’histoire avec un personnage qui ne sait pas qu’il a un second genre. Ici Masaki travaille comme faux-dom pour aider les subs qui n’ont pas de partenaires. Il ignore qu’il est lui-même un sub. Après, le scénario est un peu couru d’avance, il va finir par trouver son dom et accepter sa seconde nature. Le point important du récit ne se situe pas dans l’histoire d’amour même si elle est agréable à regarder et à lire mais dans l’utilisation des injonctions. Si le sub ne peut s’opposer à un ordre du dom, quelles sont les limites à respecter ? On en a un aspect quand un concurrent de Masaki lui ordonne de « crever ». Il y a donc tout un sens moral lié à ce sous-genre qui mérite d’être exploré et pour le moment, on est loin d’en avoir fait le tour. Un livre plutôt intéressant qui a un vrai scénario. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/a-genoux-suppliant-d-etre-aime?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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On avait déjà découvert ce sous-genre du yaoi qu’est le concept de dom/sub (comprendre dominant et soumis), un genre où certains humains sont dotés d’une seconde nature qui les poussent pour les premiers à donner des injonctions et aux seconds à y obéir. L’abstinence de ce petit jeu ayant des conséquences néfastes sur la santé des concernés et l’idéal est de trouver sa paire (son partenaire). Comme souvent dans ce genre de livres, on commence l’histoire avec un personnage qui ne sait pas qu’il a un second genre. Ici Masaki travaille comme faux-dom pour aider les subs qui n’ont pas de partenaires. Il ignore qu’il est lui-même un sub. Après, le scénario est un peu couru d’avance, il va finir par trouver son dom et accepter sa seconde nature. Le point important du récit ne se situe pas dans l’histoire d’amour même si elle est agréable à regarder et à lire mais dans l’utilisation des injonctions. Si le sub ne peut s’opposer à un ordre du dom, quelles sont les limites à respecter ? On en a un aspect quand un concurrent de Masaki lui ordonne de « crever ». Il y a donc tout un sens moral lié à ce sous-genre qui mérite d’être exploré et pour le moment, on est loin d’en avoir fait le tour. Un livre plutôt intéressant qui a un vrai scénario.
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En dehors de la coquille du début concernant le personnage de Koganei « c’est un top assez grand » alors qu’il est plus petit que tous les autres personnages, phrase qui m’a laissée perplexe me demandant de quelle taille on parlait, le récit se lit plutôt bien et n’est pas sans intérêt. En soi, le scénario n’a rien d’original, Niyano vient de rompre avec sa copine qu’il comptait bien épousée et vient se changer les idées dans un bar gay où il fantasme sur un beau mec, Koganei. Pour information, Niyano est bisexuel, il n’a pas l’intention de se jeter sur le premier venu mais essaye de se réconforter en laissant vagabonder son imagination. Mais le regard insistant qu’il porte sur Koganei ne laisse pas ce dernier indifférent. En découvrant qu’ils habitent dans le même immeuble, ils vont se rapprocher peu à peu. Mais le véritable intérêt du récit se situe dans la création du personnage de Koganei, d’abord c’est un top de petite taille, ce qui est plutôt inhabituel, en plus c’est quelqu’un d’ouvert sans être trop entreprenant, il semble peu intéressé et en même temps enclin à réaliser toutes les demandes de Niyano. Cela crée une certaine ambiance délicieusement savoureuse qui supplante le manque d’originalité du scénario.
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Titre de l'album : Sous tes caresses tome 1 Scenariste de l'album : Chiaki KASAI Dessinateur de l'album : Chiaki KASAI Coloriste : Editeur de l'album : Hana Note : Résumé de l'album : Niyano, suite à une déception amoureuse, se retrouve dans l'obligation de déménager. Il n'est pas prêt à se remettre en couple, mais rêver éveillé du corps de Koganei semble lui faire plaisir... Quelle ne fut donc pas sa surprise de réaliser qu'il avait emménagé dans le même bâtiment que lui ! Critique : En dehors de la coquille du début concernant le personnage de Koganei « c’est un top assez grand » alors qu’il est plus petit que tous les autres personnages, phrase qui m’a laissée perplexe me demandant de quelle taille on parlait, le récit se lit plutôt bien et n’est pas sans intérêt. En soi, le scénario n’a rien d’original, Niyano vient de rompre avec sa copine qu’il comptait bien épousée et vient se changer les idées dans un bar gay où il fantasme sur un beau mec, Koganei. Pour information, Niyano est bisexuel, il n’a pas l’intention de se jeter sur le premier venu mais essaye de se réconforter en laissant vagabonder son imagination. Mais le regard insistant qu’il porte sur Koganei ne laisse pas ce dernier indifférent. En découvrant qu’ils habitent dans le même immeuble, ils vont se rapprocher peu à peu. Mais le véritable intérêt du récit se situe dans la création du personnage de Koganei, d’abord c’est un top de petite taille, ce qui est plutôt inhabituel, en plus c’est quelqu’un d’ouvert sans être trop entreprenant, il semble peu intéressé et en même temps enclin à réaliser toutes les demandes de Niyano. Cela crée une certaine ambiance délicieusement savoureuse qui supplante le manque d’originalité du scénario. Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/sous-tes-caresses-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Voilà un titre qui aurait toute sa place dans sur votre étagère WTF, en tout cas, il a le mérite de m’avoir bien fait rire ! Imaginez un archipel où d’anciennes coutumes sont encore pratiquées, certaines de ces iles sont peu ouvertes au monde extérieur et l’ensemble est encore régit par un roi élu lors d’une épreuve particulière. Il s’agit en effet de faire s’affronter les prétendants au trône (1 par île) dans un combat très tactile où le premier qui jouit est éliminé ! Oui, vous avez bien compris, la valeur de ces insulaires se mesure à leur capacité à maitriser leur désir ! Bien sûr, ce serait trop facile si leurs tenues étaient aussi souples et fines que les nôtres. Ici, chacun se pare d’une protection pour son membre, protection particulièrement farfelue (pour nous en tout cas) et fortement démesurée. Le moins que l’on puisse dire c’est que le scénario est très original, non seulement on part sur un archipel où les habitants sont à la fois évolués et archaïques, pas dans un sens négatif mais par rapport à l’utilisation de coutumes d’un autre temps. Le récit nous réserve quelques passages plutôt drôles comme le fait que lorsque l’on devient un homme, on montre sa virilité en montrant son postérieur ou encore, quand Harto, parti faire ses études à l’étranger, revient avec une technique annale méconnue. Si vous cherchez une histoire originale, avec de beaux dessins qui vous emmènera vers de nouveaux horizons, ce livre est fait pour vous !
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Titre de l'album : Dick Fight Island tome 1 Scenariste de l'album : Reibun IKE Dessinateur de l'album : Reibun IKE Coloriste : Editeur de l'album : Taifu Note : Résumé de l'album : Le grand tournoi des serpents est sur le point de débuter à Pulau Yang Indah. La règle est simple : le dernier guerrier à jouir sera élu roi. Mais quand Harto, guerrier du clan des pierres précieuses, revient de son séjour d'études à l'étranger avec une nouvelle technique redoutable, comment résister ? ! Critique : Voilà un titre qui aurait toute sa place dans sur votre étagère WTF, en tout cas, il a le mérite de m’avoir bien fait rire ! Imaginez un archipel où d’anciennes coutumes sont encore pratiquées, certaines de ces iles sont peu ouvertes au monde extérieur et l’ensemble est encore régit par un roi élu lors d’une épreuve particulière. Il s’agit en effet de faire s’affronter les prétendants au trône (1 par île) dans un combat très tactile où le premier qui jouit est éliminé ! Oui, vous avez bien compris, la valeur de ces insulaires se mesure à leur capacité à maitriser leur désir ! Bien sûr, ce serait trop facile si leurs tenues étaient aussi souples et fines que les nôtres. Ici, chacun se pare d’une protection pour son membre, protection particulièrement farfelue (pour nous en tout cas) et fortement démesurée. Le moins que l’on puisse dire c’est que le scénario est très original, non seulement on part sur un archipel où les habitants sont à la fois évolués et archaïques, pas dans un sens négatif mais par rapport à l’utilisation de coutumes d’un autre temps. Le récit nous réserve quelques passages plutôt drôles comme le fait que lorsque l’on devient un homme, on montre sa virilité en montrant son postérieur ou encore, quand Harto, parti faire ses études à l’étranger, revient avec une technique annale méconnue. Si vous cherchez une histoire originale, avec de beaux dessins qui vous emmènera vers de nouveaux horizons, ce livre est fait pour vous ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/dick-fight-island-tome-1?ref=44 Voir la totalité de enregistrement
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Deuxième tome de cette étonnante romance entre un jeune garçon qui se sent fille mais que ces parents n'acceptent pas comme tel, portant sa cicatrice en interne, et d'un autre qui a la sienne tellement visible qu'il fait peur aux enfants. Et un tome très bon, plein de bons sentiments orientés sur l'histoire du couple Aiko et Koichi. Un couple tellement humain et qui redonnerait fois en l'humanité. Un couple dont l'histoire fait regarder celle de nos deux ados avec un regard protecteur, mais jamais directif. Une famille de remplacement temporaire qui ne juge pas. Mais ce tome deux n'oublie pas nos deux héros, avec en particulier une finalisation du passé de Kyonosuke et du pourquoi de sa cicatrice. La fin du tome est aussi cruellement réaliste, mais rend l'ensemble encore plus émouvant. Sans parler du cliffhanger pour le moins surprenant. Vivement le prochain tome !
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Titre de l'album : Cicatrices tome 2 Scenariste de l'album : Brandon Arias Dessinateur de l'album : Brandon Arias Coloriste : Editeur de l'album : Vega-Dupuis Note : Résumé de l'album : Rapidement mis en difficulté dans leur fugue improvisée, ils trouvent refuge auprès d'Aiko et Koichi, un couple atypique dont l'histoire n'est pas sans rappeler celle des deux adolescents. Est-ce le début d'une nouvelle vie chaleureuse et heureuse pour ce quatuor improbable ? Autrement dit, pourront-ils se cacher éternellement alors qu'un détective privé a été lancé à leurs trousses ? Critique : Deuxième tome de cette étonnante romance entre un jeune garçon qui se sent fille mais que ces parents n'acceptent pas comme tel, portant sa cicatrice en interne, et d'un autre qui a la sienne tellement visible qu'il fait peur aux enfants. Et un tome très bon, plein de bons sentiments orientés sur l'histoire du couple Aiko et Koichi. Un couple tellement humain et qui redonnerait fois en l'humanité. Un couple dont l'histoire fait regarder celle de nos deux ados avec un regard protecteur, mais jamais directif. Une famille de remplacement temporaire qui ne juge pas. Mais ce tome deux n'oublie pas nos deux héros, avec en particulier une finalisation du passé de Kyonosuke et du pourquoi de sa cicatrice. La fin du tome est aussi cruellement réaliste, mais rend l'ensemble encore plus émouvant. Sans parler du cliffhanger pour le moins surprenant. Vivement le prochain tome ! Autres infos : Type de l'album : Manga Lien BDfugue : https://www.bdfugue.com/cicatrices-tome-2?ref=44 Voir la totalité de enregistrement