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  • Semaine Stéphane Créty sur 1001bd  !

    Semaine qui met à l'honneur le dessinateur de Gueule de cuir (entre autres) qui nous a fait l'honneur de répondre à une interview sans langue de bois mais nous a aussi fourni en avant-première les premières planches du tome 3 de Gueule de cuir !

    Un grand merci à lui !

  • Salut les lecteurs,

    Oui je sais, il fait chaud, même très chaud, on a encore battu des records de températures pour un mois de juin dans toute la France...

    Mais cela signifie aussi que les grandes vacances pointent le bout de leur nez avec du repos donc, et de la lecture bien sûr 😉 Certes les sorties chez les libraires se sont un peu calmées l'été approchant, et cette accalmie fait du bien en attendant la rentrée littéraire chargée de septembre, mais notre équipe a pu vous isoler quelques pépites diverses et variées à emmener dans vos bagages.

    Promis vous ne galèrerez pas trop à les ranger en faisant du "Tetris" dans le coffre 😉 . Restons donc dans le climat avec le remarquable documentaire dessiné Dans l'indifférence générale (La boîte à bulles) , si rien ne change, nous courons droit dans la gueule du requin ! Lisez le et vous comprendrez l'anecdote. Comment ne pas mentionner l'excellent La terre verte (Delcourt) du génialissime Alain Ayrolles, une histoire médiévale au Groenland terriblement ancrée dans notre présent. Du côté des comics, nous ne pouvons que vous recommander les sorties Absolute de chez Urban comics, que ce soit Superman, Batman ou Wonder woman, vous ne serez pas déçu.

      Enfin, l'équipe manga vous recommande chaudement Doomsday war (éditeur DokiDoki), le tome 1 vient de sortir avec la suite prévue pour septembre; Switch family (Kioon) dont les deux premiers tomes sont d'ors et déjà disponibles. Deux nouvelles sagas prometteuses pour la catégorie manga, à laquelle nous ajoutons Under the oak tree, un webtoon paru chee Kbooks le 2 juillet.

    Pour ceux qui restent là, ne vous inquiétez pas, le site se met en mode été mais ne s'endort pas avec toujours des parutions espacées mais bien présentes.

    Bonnes lectures, bonnes vacances et on se donne rendez-vous en septembre ! 

  • Salut les lecteurs,

    Oui je sais, il fait chaud, même très chaud, on a encore battu des records de températures pour un mois de juin dans toute la France...

    Mais cela signifie aussi que les grandes vacances pointent le bout de leur nez avec du repos donc, et de la lecture bien sûr 😉 Certes les sorties chez les libraires se sont un peu calmées l'été approchant, et cette accalmie fait du bien en attendant la rentrée littéraire chargée de septembre, mais notre équipe a pu vous isoler quelques pépites diverses et variées à emmener dans vos bagages.

    Promis vous ne galèrerez pas trop à les ranger en faisant du "Tetris" dans le coffre 😉 . Restons donc dans le climat avec le remarquable documentaire dessiné Dans l'indifférence générale (La boîte à bulles) , si rien ne change, nous courons droit dans la gueule du requin ! Lisez le et vous comprendrez l'anecdote. Comment ne pas mentionner l'excellent La terre verte (Delcourt) du génialissime Alain Ayrolles, une histoire médiévale au Groenland terriblement ancrée dans notre présent. Du côté des comics, nous ne pouvons que vous recommander les sorties Absolute de chez Urban comics, que ce soit Superman, Batman ou Wonder woman, vous ne serez pas déçu.

      Enfin, l'équipe manga vous recommande chaudement Doomsday war (éditeur DokiDoki), le tome 1 vient de sortir avec la suite prévue pour septembre; Switch family (Kioon) dont les deux premiers tomes sont d'ors et déjà disponibles. Deux nouvelles sagas prometteuses pour la catégorie manga, à laquelle nous ajoutons Under the oak tree, un webtoon paru chee Kbooks le 2 juillet.

    Pour ceux qui restent là, ne vous inquiétez pas, le site se met en mode été mais ne s'endort pas avec toujours des parutions espacées mais bien présentes.

    Bonnes lectures, bonnes vacances et on se donne rendez-vous en septembre ! 

  • Dernières Critiques

    • Furies - Tome 1 - Le facteur humain
      Note :
      Il va devenir très urgent de donner plus de moyens à Kalopsia. 

      Ok j'aime et je respecte et valorise le travail des petits éditeurs de bd indépendants, mais ce que fait Kalopsia est quand même plus que remarquable depuis plusieurs albums. Plus que de se rapprocher de certaines parutions des mastodontes de la bd, Kalopsia nous propose une fois encore une BD qui surpasse pas mal de productions des colosses de la bd. Alors oui il reste toujours des détails et autres petites choses à règler comme une colorisation peut être un peu trop forcée, certaines planches qui manquent un peu de détails ou un visage moins agréable à regarder mais globalement le niveau de ce Furies est plus qu'intéressant. 

      L'histoire déjà : place à une dystopie légèrement futuriste façon Orwell ou V for Vendetta. On y suit deux héroïnes dont le destin est mêlé de près. Cliffhanger, scènes d'action, dilemme et questionnements seront au programme, et moi j'ai hâte d'en lire la suite. Ajoutez à ça que la couverture est bien réussie et que quelques planches graphiques sont ajoutées en fin d'album et il n'y a plus qu'à souhaiter le succès de ce "Furies".
      • 0 réponse
    • Tisseuse
      Note :
      Les voyages temporels sont toujours aussi complexes à utiliser dans les histoires même joliment contées, Léna Canaud parvient à simplifier légèrement le concept. Imaginez deux univers parallèles, un situé dans le présent pendant que l'autre accuse sept ans de retard. Une voie de communication entre les deux, un puits pour le "présent" et une cheminée pour le "passé". Ethel est tisseuse, en charge des lettres à expédier de l'autre côté. Imaginez ce que vous pourriez écrire à votre autre moi ou une connaissance de sept ans de moins ! Sept années durant lesquelles de multiples événements peuvent se dérouler, positifs ou dramatiques. Garante de ce secret, Ethel répertorie les lettres sous formes de voeux, et les expédie dans le puits. Mais que faire quand la dramaturgie intervient dans sa vie ? Elle va jouer les Cassandre et intervenir dans le "passé", le hic étant que les destins tels des fils sur une tapisserie se croisent et sont multiples ! Un événements passé peut engendrer des variables bien différentes ensuite et le monde que Ethel va découvrir en changeant d'univers va s'avérer bien différent du sien ! 

      Sous ses airs de BD jeunesse avec un graphisme rond et simple, cette histoire va vous surprendre. On s'égare parfois dans cette grande galerie de personnages, certains sont les mêmes mais ont évolué différemment dans l'autre univers. Elle nous aide en donnant des ambiances spécifiques dans chacun. Ainsi le sépia prédomine dans le présent ou monde des tisseuses, alors que le bleu caractérise le passé, le monde des gardiennes. A travers cette histoire qui prend des allures de romance, l'auteure pose des questions sur le libre arbitre, les regrets et l'infini des possibles ! Une lecture intéressante qui mérite que l'on s'y attarde voire que l'on s'y remette car complexe au demeurant 😉 
      • 0 réponse
    • Une année chez les français
      Note :
      Une année en immersion profonde dans le système éducatif français au sein d'un lycée dans la magnifique ville de Casablanca ! Une année sous le prisme du jeune Mehdi (ou du romancier Fouad Laroui) un peu perdu entre deux cultures. Et pourtant il est brillant ce petit, sa répartie surprend les membres de l'établissement, autant que sa culture générale déjà importante pour un enfant de son âge voire de ses origines ! Car les français en charge de la scolarité respectent dans l'ensemble le programme dicté par l'académie française sans imaginer les profondes dissonances avec la culture marocaine. Mehdi vient d'une famille riche lui ayant donné accès à une bonne éducation "occidentale", sans pour autant renier leur propre culture. Il navigue donc de l'une à l'autre en se liant d'amitié avec des camarades et en s'adaptant aux comportements du personnel du lycée. Du pion faisant l'éloge de Karl Marx, au cuistot conciliant et traducteur, en passant par la ménagère/lingère rarement souriante, c'est toute une galerie de personnages hétéroclites pour un récit qui s'apparente parfois à un vaudeville. Le passé d'institutrice de Carbone la scénariste ressurgit au sein des pages, en démontrant combien l'enfance et l'éducation sont des composantes essentielles à la construction de chacun.  La ligne claire de BeneDi rend la lecture facile et agréable. Elle n'hésite pas à grossir le trait sur certaines expressions faciales et fait preuve d'une belle qualité graphique sur des planches détaillées. La devise de l'éditeur Steinkis "Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts" de Isaac Newton, convient parfaitement à cette histoire maniant avec élégance le colonialisme et l'intégration. 
      • 0 réponse
    • Les rois des Belges
      Note :
      Alors ne vous y trompez pas, cet ouvrage ne vous parlera pas de Godefroy de Bouillon. Oui en France on ne connait finalement que peu l'histoire de la Belgique, bien qu'on ait œuvré très fort par le passé pour son avenir et oui ! Ici l'histoire de ces rois va démarrer avec la naissance de la Belgique comme nation. Et par l'élection de son roi. Oui oui. Enfin élection, vous verrez bien !

      On suit ensuite la lignée royale à travers leurs faits d'armes, leurs faits et gestes et leurs décisions depuis l'ère post napoléonienne jusqu'à nos jours. Quelques pages par rois donc, mais de quoi esquisser pourtant leur portrait. Chaque passage en bd sur chaque roi étant ensuite ponctué de documentation en prose plus fournie qui vient enrichir le récit. 

      Les dessins sont propres et s'inscrivent dans ce qui se fait habituellement dans la bd documentaire. Pour ma part je regrette quand même une colorisation peut être un peu trop brutal et un dessin qui semble trop travaillé informatiquement pour avoir gardé son âme. 

      Ceci dit nul doute que les amateurs d'Histoire ou du plat pays en général y trouveront leur compte.

       
      • 3 réponses
    • Six tome 3 - Le serment de Gabaldon
      Note :
      Fin de la première trilogie de Six avec la fin de l'histoire de la mine.
      Le cliffhanger du tome deux nous avait laissé pantois avec un retournement de situation plutôt intelligent et assez violent !

      Ce tome trois reprend exactement la ou le deux l'avait laissé et nous livre la fin de cette "guerre pour la mine" entre les différents groupes. Mais il fait plus que cela et c'est en ca qu'il est excellent. Il nous livre l'histoire de la mine elle-même, transformant notre histoire en récit d'aventure à la période des conquistadors et introduisant un côté fantastique à notre histoire qui n'est pas déplaisant. Surtout que cette partie fantastique est juste saupoudré sur le western. Cela n'alourdit donc pas notre histoire, mais le pimente un tout petit peu.

      Et cela permet de finir cette histoire autour de la mine de bien belle façon, nous laissant présager des bonnes choses pour la suite.

      C'est tout bon, messieurs, amenez la suite !


      Image du tome 1
      • 4 réponses
    • Les soeurs Seasons tome 1
      Note :
      C'est dingue comme rien que le nom de Rick Remender me vend du rêve.

      Entre la couverture étrange et le nom du scénariste, je me suis dit : aller bim un 5 étoiles direct !

      Et bien peut-être pas directement. Peut-être (surement ?) au prochain tome. Pour l'instant, on va raison garder comme disaient mes grand-parents. Car si ce premier tome est rempli de promesses, ce ne sont pour l'instant queue des promesses. Belles à n'en pas douter. Mais des promesses quand même.

      On est plongé dans un univers étrange, à mi-chemin entre Karakuri Circus et Umbrella Academy. Si Karakuri Circus ne prête que son cirque démoniaque trimballant une étrange maladie, Umbrella academy nous prête la petite dernière d'une famille de renom ou chacun est exceptionnel sauf elle, sauf le fait d'être le personnage central de ce premier tome.

      Comme dans cette dernière série, les mystères sont hyper présents dès le début, mais on n'arrive pas bien à définir les contours. On sent bien que Remender maitrise son rythme et son histoire avec des personnages aux caractères bien trempés et une Spring dépassée.

      Que des bonnes "vibes" pour cette histoire fantastique dont on espère juste qu'elles se concrétisent dans les prochains tomes !
      • 0 réponse
    • Thorgal Saga - La cité mouvante
      Note :
      Voici déjà le second Thorgal Saga de cette année. Pour ceux qui n'ont pas suivi la bd de ces deux dernières années, Thorgal Saga est une série à part qui gravite autour de l'univers Thorgal et permet à d'autres auteurs de venir nous proposer leur vision de Thorgal à travers une aventure qui s'inscris dans la chronologie traditionnelle des aventures classiques de Thorgal. 

      Antoine Ozanam nous livre un scénario un brin tortueux, se déroulant sur deux théâtres bien distincts et pourtant liés. Les fans seront ravis d'y recroiser certains personnages secondaires très marquants de la série d'origine. On sent que le scénariste a souhaité respecter au mieux la série originale, que ce soit dans le caractère de son Thorgal que dans l'intrigue présentée. Las, ne me demandez pas pourquoi mais je me suis un peu ennuyé. Certes les références et clins d'oeils sont agréables, mais le récit lui même, l'atmosphère et l'aventure proposée ne m'ont guère emballé. La fin m'a aussi semblée un peu précipitée. 

      Alors attention c'est loin d'être mauvais hein, c'est de la bonne fantasy. Mais je crois que les Thorgal Saga avaient mis la barre très haute. 

      Mohamed Aouamri est un dessinateur dont j'ai beaucoup aimé le Saga Valta, et sa reprise de La quête, et ici il ne démérite pas loin de là. Cependant s'il a souhaité à juste titre ne pas essayer de copier l'art de Rosinski, j'ai tout de même parfois eu du mal à me dire que je lisais là un Thorgal. Peut être que d'avoir lu et apprécié ses oeuvres précédentes m'ont fait retrouver trop de choses des séries Saga Valta et La quête. 

       

      Bref, ne tournons pas autour du pot, j'ai été un peu déçu. On sent que les auteurs y ont mis leurs tripes et ont respecté l'oeuvre d'origine. Le résultat est très bien, c'est de la bonne bd n'en doutons pas et je la relirais probablement dans quelques temps avec plaisir, mais la mayonnaise a quand même eu un peu de mal à prendre. 

       
      • 0 réponse
    • On les appelle Junior & Senior
      Note :
      Je vous l'avoue, je craignais cette BD. 

      D'abord pour la référence évidente, qui si elle m'a régalé pendant mes années jeunesse, a finit pourtant par me lasser avec le temps. Ensuite parce que j'aime mes westerns sérieux, durs. Enfin parce que l'exercice de l'humour en bd est délicat. Il faut bien dire aussi que je n'avais pas tilté sur le nom des auteurs. Honte à moi. 

       

      Robin Recht a en effet la facheuse tendance de faire de très bonnes choses depuis de longues années, et son incursion sur Thorgal, risquée certes mais au final remarquée, saluée et mémorable qui l'a fait baisser dans notre estime. Jean-Baptiste Hostache est lui certes moins connu, mais il est probable que vous ayez vu passer son adaptation très réussie de Shibumi.

      Bref tout ça pour vous dire que je me suis planté. 

       

      Cette petite madeleine de proust, hommage au western humoristique qu'il soit dans la tradition du cinéma ou dans celle de la bd franco belge est une jolie trouvaille. Un ovni diront certains mais qui m'a régalé un peu plus à chaque pages. Evidemment c'est mieux avec les références correspondantes, mais on a affaire à une véritable histoire, avec des traits d'humour réguliers et bien sentis. Le dessin est parfait pour le genre, et l'originalité de la mise en couleur, seule entorse acceptée pour Jean-Baptiste Hostache à la tradition franco belge rend l'ensemble plus moderne et plus digeste. 

       

      On se régale, et si le genre ne se fera pas une place dans mon panthéon des genres préférés en bd, cela m'a régalé le temps d'un goûter. Et c'est déjà génial. Merci messieurs. 

       
      • 0 réponse
    • La confrérie des tempêtes tome 2 - Orvann
      Note :
      Déjà le second tome pour cette nouvelle saga fantasy chapeautée par JL Istin avec pour toile de fond la piraterie dans un univers fantasy. Le premier tome plaçait les jalons de cet univers où un empereur entend régner sur les terres pendant qu'une confrérie de pirates domine les océans et routes maritimes. Un équilibre fragile et peu en adéquation avec les ambitions des hommes voire des femmes 😉 . Mais tout commence par un homme brisé, Orvann ancien membre de la confrérie, alcoolique et gardien de phare. Un coup monté à son égard va le faire sortir de sa retraite "spirituelle" et par la même occasion de sa cellule de prison pour une vengeance placée sous le signe de la sauvagerie et du sang ! Une voire deux voix off, un passé trouble et une vengeance, on retrouve les recettes habituelles de ce type de série. A noter que cette histoire est plus "terrestre" que le tome précédent, ici point de navires et d'abordages sanglants, tout se joue sur les terres de l'Empire et on devine les prémices des conflits à venir. Le dessinateur Stéphane Créty nous délivre des planches détaillées avec de nombreux édifices aux architectures convaincantes et imposantes. Le tout est magnifié par les couleurs splendides de Nanjan bien habitué à oeuvrer sur ce genre de production fantasy. Des qualités graphiques certaines pour un second tome qui peine un peu à convaincre au niveau scénaristique. Il faut cependant garder une vision d'ensemble, car cette saga prometteuse semble recéler des surprises dans le futur étant donnée la tournure des événements en toute fin d'album. 

       

       
      • 0 réponse
    • Les tortues ninja - TMNT - The last ronin tome 2 - Re-Evolution
      Note :
      Je fais une petite overdose des reboots, des nouvelles générations, des relancements de séries cultes. Et les tortues ont déjà bien donné en la matière depuis deux ans, épuisant peu à peu mon enthousiasme. Sauf que là il s'agit de la suite, du très très bon The Last Ronin que je pensais clôturé malgré les ouvertures finales évidentes. Difficile de ne pas être curieux tant The Last Ronin nous avait plu. 

      Pas de suspens dans cette chronique, ce second tome est bien, probablement un cran au dessus que la série mère et son reboot. Mais plusieurs choses me chagrinent un petit peu. D'abord on revient sur un format d'histoire de TMNT finalement plus classique. Certes la dramaturgie semble un peu plus marquée, mais globalement les différences de traitement avec la série mère s'atténuent. Ensuite on est loin de l'efficacité de The Last Ronin, qui ne perdait pas de temps en circonvolutions narratives pour nous proposer un récit brut, et brutal. Enfin, je suis un peu embêté car malgré le fait que les auteurs soient les auteurs aussi en charge de la série principale, l'histoire des tortues qu'ils nous racontent sous forme de flash back présente pas mal de différences avec le matériaux d'origine ? Pourquoi ? L'univers des tortues est déjà suffisamment obscur comme cela pour les non initiés, et si moi, qui suis ultra débutant, tique sur des détails ou des points de narration différents de ceux que j'avais lu, j'imagine que les fans de la première heure risquent de pleurer quelques larmes de sang non ?

      Ceci étant dit, l'histoire est plutôt bien, on a envie d'en lire la suite, et le niveau de dessin est vraiment agréable et constant. C'est une bonne lecture vraiment agréable, et surtout qui vous occupera un moment car on parle de 224 pages quand même. Attention ceci dit l'intrigue ne finit pas à la fin de cet opus. Attention quand même à ne pas trop rallonger la sauce.

       
      • 0 réponse
    • Supergroom tome 3 - La stratégie Gaia
      Note :
      Troisième tome de notre super héros belge préféré avec un tome très ambitieux.

      Notre héros sort de son contexte standard pour prendre de l'envergure en devenant un héros inter-temporel ! Blague à part, ce Spirou Super groom est radicalement différent avec une aventure qui oscille entre la science-fiction et le post apocalyptique ! Notre héros se retrouve projeté dans le futur à son corps défendant et se devant de trouver un moyen de corriger ce dit futur !

      Bref de belles ambitions pour un tome très rythmé qui nous tient en haleine du début à al fin.
      Peu être un peu trop en fait. En effet pour satisfaire à la "grande histoire" de ce tome trois, Vehlman a tendance à aller un peu vite sur les relations entre nos personnages rendant le rôle de "la centaure" un peu "facile" avec un retournement de veste qui ne correspond pas vraiment au personnage dans les tomes précédents.

      Cela n'enlève rien au réel plaisir de lecture de cet hybride de super héros belge. Mais au vu de la complexité de l'histoire, on aurait surement préféré qu'elle soit étalée sur 2 tomes, nous laissant plus de place pour explorer ce nouvel "univers" et laissant plus de place à un développement plus construit des seconds rôles.

       

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      • 0 réponse
    • Le cercle des Dragonnes
      Note :
      Mais pourquoi donc Eloïse change t'elle d'établissement scolaire en début d'année ? Pourquoi craint-elle cette arrivée dans ce nouveau lycée ? On est tous passé par là, changer d'école (pas forcément en cours d'année d'ailleurs) n'est jamais anodin durant l'enfance, d'autant plus à l'adolescence et avec l'ajout d'un ingrédient : les réseaux sociaux ! On suit donc pas à pas son arrivée, ses pensées, ses difficultés et bien entendu ses premières rencontres. Car passée la réputation née des réseaux sociaux, fondée ou infondée c'est bien là toute la difficulté, notre jeune lycéenne va assez vite faire la connaissance d'une amie et de fil en aiguille d'autres s'ajouteront pour former un jour le fameux cercle des Dragonnes ! Toute allusion au formidable film Le cercle des poètes disparus est fortuite 😉 . La scénariste Ingrid Chabbert dépeint fidèlement la vie de lycéenne en 2025 et surtout le besoin pour ces demoiselles de pouvoir échanger librement sur tout un tas de sujets sans aucune honte. De cette sororité va naître de belles amitiés et des révélations croustillantes, vous saurez ainsi la raison de l'éviction d'Eloïse de son établissement précédent. Un roman graphique profondément féminin et clairement adressé à ce lectorat à partir de 14 ans. La dessinatrice June réalise des planches simples où les personnages sont facilement reconnaissables et dotés d'une belle expressivité. 
      • 0 réponse
    • Batman off-world
      Note :
      Sincèrement quand j'ai vu cette couverture et lu le pitch de ce Batman, j'ai pensé que l'on se moquait de moi et que Aaron avait besoin d'argent.
      Et bien je dois bien reconnaitre que j'ai eu complètement tord.

      Jason Aaron réussit, avec ce one shot, ce que je pensais impossible : Transposer avec justesse l'esprit et le combat de notre taciturne héros dans une planète différents et à l'échelle d'un univers. Dans un veritable space opéra. Que ce soit le combat de Bruce Wayne, le fait qu'il mette ses objectifs devant son bonheur personnel, ou sa volonté de combattre les injustices à la force de ses points, tout est présent mais dans un univers graphique futuriste, au bestiaire impressionnant et au rayonnement bien plus important que la simple ville de Gotham.

      Gotham qui n'est pas oublié. Aaron réussit, de façon très maligne, à raccrocher la ville du chevalier noir à cette histoire, nous fournissant un point d'ancrage pas complètement utile mais bien pensé.

      Une excellente lecture pour laquelle je conseille, comme souvent cher Urban, de lire l'introduction qui aide à comprendre en quoi le travail d'Aaron n'était pas gagné d'avance.


       
      • 0 réponse
    • Ces lignes qui tracent mon corps
      Note :
      Premier grand coup de coeur pour cette rentrée littéraire avec ce roman graphique somptueux de la néophyte dans le monde du 9ème art : Mansoureh Kamari. Traitant de la condition des femmes dans son pays d'origine l'Iran, sujet ô combien difficile, elle nous déroute complétement par la finesse de son trait et l'élégance qu'elle donne au récit. Intégrer de la grâce dans une histoire aussi sombre et triste que la sienne, c'est digne d'un grand talent ! Aussi, ce coup de coeur n'est pas lié au propos, car vous me direz qu'il est facile de mettre 5 étoiles en hommage au combat de ces femmes opprimées, non ou plutôt pas que, Mansoureh Kamari m'a littéralement impressionné par son dessin, l'art du découpage et l'émotion ressentie au moment de contempler la hauteur de son art graphique. Mêlant présent et flashbacks, elle joue sur les noirs et blancs, tout en mettant un peu de couleurs dans un présent en reconstruction et en symbiose avec son nouvel univers sans barrières ; elle est libre de se recréer pleinement et s'exposer à nu comme elle le fait dès les premières pages. Mais pour en arriver là, elle vous racontera les sévices subis, la peur constante de mal faire dans une société patriarcale au possible où le père règne en maître absolu. Offrant les délicates courbes de son corps aux étudiants en art, elle se remémore les étapes importantes de sa jeune vie marquée par la frustration et l'incapacité de faire changer les lignes. On sent que ce roman graphique était déjà mûr dans son esprit depuis un certain temps, aujourd'hui elle peut crier son message en paix, libre et dévouée à son art ! il me tarde déjà de revoir ce dessin et sa mise en scène sur de la fiction, quel talent, non mais quel talent !

       

       
      • 2 réponses
    • C'est où, le plus loin d'ici ? tome 2
      Note :
      Casterman a eu la riche idée de publier presque simultanément les deux premiers tomes de cette série trépidante américaine ! Après un premier volume introductif avec son lot de personnages et l'univers dans lequel ils évoluent, nous nous penchons dans ce second tome sur Sid et son parcours. En possession de sa curieuse carte elle poursuit sa quête, mais dans ce monde particulier, les rencontres dangereuses ou supposées comme telles s'accumulent. Un des talents du scénariste est de nous laisser dans le noir le plus total, il est impossible de savoir à l'avance les intentions du nouveau groupe rencontré ! Des jeunes déguisés en vieillards, d'autres tenant une prison et s'imaginant redresseurs de torts et enfin une dernière bande vivant dans les bois et revêtant des têtes d'animaux ! Le scénariste poursuit l'exposition de son univers dénué d'adultes en nous offrant quelques petites révélations, tout est prêt pour le dénouement dans l'ultime tome 3. Tyler Boss varie lui énormément sa palette de couleurs et l'adapte aux événements en cours. Son trait est toujours aussi accrocheur, tout comme son découpage innovant, il peine en revanche sur le manque d'expressivité des visages. Il est très agréable de ne pas attendre trop longtemps entre les deux tomes, d'autant que la série n'est pas finie aux US, j'espère que le tome 3 arrivera avant la fin de l'année pour comprendre qui sont ces fameux "étrangers" !!

       

       
      • 3 réponses
    • Les justes - Carl Lutz
      Note :
      Après l'opus sur Schindler, la collection sur Les Justes s'enrichit d'un second tome sur un peronnage non moins important mais autrement moins connu. Carl Lutz est en effet un consul Suisse en poste en Hongrie et qui s'opposa directement et indirectement à Eichman en permettant de sauver avec roublardise, en jouant des règles et de l'administration, et en s'appuyant sur son poste de consul Suisse, des dizaines de milliers de juifs de la déportation. 

      Les dessins de Brice Goepfert sont dans la lignée de ceux de Christelle Gallant sur le tome sur Schindler, c'est sérieux, sans fioritures mais ils bénéficient de la colorisation de Tanja Wenisch, qui apporte un peu plus de finesse et de variété qu'on n'en a trouvé sur le premier tome.

      Cette fois-ci c'est à tout le monde que je recommande la lecture de ce tome, qui illustre encore mieux que la désobéissance peut parfois être la seule issue morale dans un monde qui perd sa boussole. Ce personnage est pourtant largement méconnu de tous, et c'est une bien belle idée que d'avoir mis un projecteur sérieux sur lui et ses choix.
      • 1 réponse
    • Les justes - Emilie et Oskar Schindler
      Note :
      On se passera de lien avec les tragiques actualités car ce n'est pas ici l'objet. Reste que plus que jamais le devoir de mémoire est important, et cette nouvelle série de bd présentant Les justes, ces héros discrets qui ont permis par leurs actions, leurs résistance, leurs désobéissances à sauver des juifs de l'extermination pendant la seconde guerre mondiale. 

      Le dessin y est très classique, mais il est lisible, clair et je regrette surtout quelques arrières plans un peu vides ou colorés de manière un peu brutale. 

      Le récit lui nous emmène sur les traces d'Oscar Schindler à travers les yeux de son épouse. Alors attention, cela reste très centré sur les actions d'Oskar Schindler, car même si le principe de s'attarder sur le petit personnage aux côtés du personnage connu était alléchant, dans les faits, le personnage de l'épouse servira finalement plus de mise en relief qu'autre chose. 

      Une lecture que je ne peux que conseiller, surtout si vous n'avez pas vu le film La liste de Schindler.
      • 1 réponse

    • Great Kaiju - Gaea-Tima tome 2
      Note :
      Gaea-Tima est au prise avec un nouveau kaiju géant, il semble vouloir défendre le village mais la question se pose quand il s’arrête tout à coup. Heureusement l’institut le Funé analyse déjà ce nouveau monstre et propose une action conjointe avec l’armée pour stopper ce monstre.

      Désormais c’est sûr, il y a bien un lien entre Gaea-Tima et la jeune Miyako mais pour le moment, on ne sait pas très bien comment il fonctionne et quelles en seront les conséquences.

      On a un manga typique du folklore japonais qui met en scène des monstres comme Godzilla. Il fait la part belle aux affrontements titanesques où les hommes sont insignifiants. Le titre a cependant une véritable originalité : tout d’abord il y a le lien avec Miyako mais surtout l’aspect physique de Gaea-Tima qui est en forme de bille en temps de repos et qui peut avoir des tailles différentes en fonction de la quantité d’eau avec laquelle il est en contact.

      Concernant les autres personnages, on a quand même du mal à s’y intéresser. Ce n’est pas un titre désagréable mais il manque quelque chose pour le rendre passionnant.
      • 0 réponse
    • Mr Mallow Blue tome 5
      Note :
      Aoi est un jeune homme las de la société et de sa vie, brimé à l’école, il s’est refermé sur lui-même et n’attend plus rien. Décidé d’en finir, il se retrouve mystérieusement dans le corps d’une lycéenne : Sakura, qui est elle-même victime de harcèlement. C’est là qu’il va rencontrer Minazuki, un lycéen qui semble être l’élève populaire, celui à qui tout réussi et dont tout le monde souhaite se rapprocher. Mais derrière cette façade, Minazuki a aussi un traumatisme qui se traduit par un handicap peu courant. Avec son aide, il va tenter de comprendre ce qui s’est passé et essayer de trouver un moyen de retourner dans son corps.

       D’un côté on a le binôme Aoi – Minazuki qui essayent de trouver des solutions et qui tissent un lien d’amitié assez fort, un lien qui commence même à aller au-delà de ce qu’ils auraient pu imaginer. Ils représentent le côté positif de l’histoire, ils font des efforts pour avancer et communiquer. De l’autre, il y a le couple Sakura – Yume, deux jeunes filles qui s’aimaient d’un amour obsessionnel dont la vie a basculé (vous découvrirez les raisons exactes dans le tome 5) et qui passent de l’amour à la haine de façon assez extrême. Cette obsession est tellement forte que Sakura recommence une histoire avec Yume dans le corps d’Aoi. Elles sont dans une relation toxique et destructrice à la limite de la folie.

      Dans ce manga, les sentiments sont très imagés, les traumatismes, doutes, jalousies se traduisent par des conséquences physiques. Ce choix scénaristique intensifie la lecture, non seulement on est touché moralement par les vies de ces 4 protagonistes mais on se prend aussi des claques visuelles.

      La série se finit au prochain tome et c’est bien dommage. La seule chose que l’on peut regretter c’est le prix du manga : 9,50 euros qui ne sont pas justifiés par les 2 pages en couleur et celle en papier calque. Certes l’édition est de belle qualité, l’histoire est prenante mais cela risque d’en freiner certains.
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    • Brave bell tome 4
      Note :
      C'est rigolo car la couverture de ce tome 4 de Brave Bell... aurait surement dû être celle du 5. En effet, ce tome 4 nous introduit tout juste ce nouveau personnage.
      Mais un personnage qui ne vient pas ouvrir un nouveau pan à cette histoire mais plutôt la densifier.

      C'est ce qui est très bien dans ce tome 4 : notre histoire avance mais en ce concentrant sur ce que l'on connait déjà. Les LL, l'entreprise Shirogane  qui gère les secrets de la mafia et bien sur les Brave bell. On connait les grandes lignes et on approfondit plus les seconds rôles tout en avançant vers la confrontation des deux "frères".

      Une bonne série pour un shonen sérieux et gardant toujours son côté "adulte" avec des morts et des sacrifices le démarquant des shonen traditionnels.

      Reste à voir si les deux tomes qui restent (6 en tout) seront suffisants pour conclure cette histoire.
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    • Rooms - Recueil d'illustrations
      Note :
      J’avais beaucoup aimé le one shot Le jardin des illusions de la même autrice, c’est avec plaisir que j’ai découvert ce nouvel ouvrage. Rooms est à mi-chemin entre le livre d’illustrations et le manga. Dans chaque partie, on découvre une pièce à vivre avec sa propriétaire et son animal de compagnie. Chaque « room » est unique et s’inscrit dans une inspiration différente.

      On prendra le temps d’admirer les harmonies, les agencements, le choix des meubles, des décors et même des vêtements. Tout s’accorde admirablement bien et reflète la personnalité de sa propriétaire !

      Quant à la partie manga, il s’agit d’une tranche de vie de chaque personnage que l’on rencontre et nous permet un instant d’effleurer un autre univers, une autre possibilité d’un quotidien qui pourrait être le nôtre.

      Un bel ouvrage pour ceux qui ont envie de s’évader en toute tranquillité.
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    • Sahashi et les créatures fantastiques tome 1
      Note :
      Un jour Sahashi achète un poussin au marché, il décide de prendre le plus moche mais très vite son poussin grandit et se transforme en un drôle d’oiseau ! C’est le début de la vie fantastique du garçon : lui, reste plutôt stoïque alors qu’il se retrouve vite entouré de créatures fantastiques : un phoenix, un tanuki, un homme-serpent… et même un démon.

      Ce qui fait le charme de ce manga, c’est le côté absolument tranquille de Sahashi qui bien qu’étonné sur le moment de découvrir des événements hors du commun dans son quotidien, accepte facilement toutes ces différences. Car ici et un peu comme dans Ruridragon, le fantastique a sa place dans la vie de tous les jours comme si c’était parfaitement normal !

      On sent une certaine légèreté dans le récit comme si c’était un prétexte à aborder et à présenter différents êtres du folklore mais sans tomber non plus dans une accumulation sans but. Car ici, toute l’histoire est construite autour de Sahashi qui semble avoir un don particulier qui attire les autres. Une histoire agréable et sans prétention.
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    • Therapy game restart tomes 3 & 4
      Note :
      En allant chercher Shizuma à son travail, Minato aperçoit la directrice de la clinique vétérinaire, les voyant assez complices, il ne peut s’empêcher de s’inquiéter et ne pouvant contenir ses émotions, il se met à éviter Shizuma.

      Notre jeune couple affronte les difficultés classiques : la confiance en premier lieu ! Bien qu’ils soient sûrs de leurs sentiments et de leur passion dévorante, il est difficile de ne pas douter de l’avenir surtout pour Minato vu que Shizume était hétéro à l’origine. Et puis, il y a la question de la cohabitation, à quel moment faut-il franchir le pas, sans être trop lourds ni trop possessif ?

      Mais c’est une toute autre difficulté qui les attend vers la fin, une question de famille que l’on découvrira dans le prochain tome.

      Therapy game restart est toujours aussi agréable à lire et à regarder. Le graphisme fin et détaillé s’admire sans lasser et les personnages sont attachants et ont tous des caractères intéressants. A suivre.
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    • Écoute ton coeur, Atami ! tomes 1 & 2
      Note :
      Voilà un bien étrange manga, vu le titre on pourrait croire qu’il s’agit de romance mais c’est en réalité plutôt une tranche de vie. Mais pas n’importe laquelle, c’est la tranche de vie d’Atami ! Un jeune homme qui ne ressemble pas vraiment aux autres. Pas physiquement parlant mais dans sa philosophie de vie : Atami a deux caractéristiques principales, c’est d’abord un cœur d’artichaut, il n’a pas besoin de connaître longtemps quelqu’un pour être amoureux et il est tout aussi rapide pour passer à autre chose si ça ne marche pas. Et deuxièmement, Atami réfléchit beaucoup mais pas toujours à des choses intéressantes, il regarde, il analyse et finalement il est très franc dans ce qu’il dit ou ce qu’il fait.

      Alors qu’est-ce qui est étrange me direz-vous ? C’est l’ambiance générale du livre ! Si on regarde de plus près, Atami est un personnage absolument ennuyant, les amis qu’il fréquente le sont tout autant ! Il n’y a rien d’exaltant dans ce récit : c’est une tranche de vie des plus banales et pourtant, on ne se trouve pas non plus dans un scénario classique. Oui il y a des histoires de cœur mais qui passent tellement vite que ce n’est pas important. Ce qui est important, ce sont les attitudes et réactions du héros, un peu comme s’il était blasé ou hyper philosophe.

      Finalement, ce manga réussit l’exploit d’être ennuyeux tout en laissant son empreinte dans notre esprit sans doute car il est un peu déroutant. Même graphiquement, il n’a rien d’attirant. J’aurais même envie de vous dire que l’on peut s’en passer tout en pensant que ce serait dommage de ne pas découvrir Atami et cette narration assez particulière même si au bout du compte, le récit n’a pas un grand intérêt.
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    • Master villainess l'invincible tome 1
      Note :
      Dans le monde du murim (pour rappel, il s’agit des arts martiaux coréens), le personnage principal est très souvent un homme, ici on a une jeune femme aux commandes qui va non seulement montrer des aptitudes exceptionnelles au combat mais qui va aussi prendre en main son destin en devenant une cheffe digne de ce nom.

      Après il s’agit d’une réincarnation dans un roman que l’héroïne était en train de lire… ça c’est la partie classique du scénario où elle va tout faire pour changer son avenir. Et qui incarnation dans un roman, dit qu’elle connaît certains événements mais surtout les endroits où elle peut trouver des remèdes et les plantes pour améliorer sa condition physique, stabiliser son énergie interne et développer son dantian !

      La voici donc à s’entrainer pour devenir une artiste martiale puissante afin de protéger son clan, rétablir sa réputation, et gérer également sa vie amoureuse !

      Master villainess est un webtoon d’action saupoudré de quelques fleurs bleues afin de mêler l’utile à l’agréable. Pour les amateurs de romantasy et d’arts martiaux !
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